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Local government in the Bas-Languedoc, 1789-1801

Duck, Roger James January 2006 (has links)
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Gendarmerie et maquis sous l'Occupation en France (1943 - 1944) : force est faiblesse / Gendarmerie and maquis during French Occupation (1943-1944)

Chevet, Emmanuel 25 February 2011 (has links)
Il s’agit d’analyser un schéma complexe qui ne peut pas être la relation de deux univers diamétralement antithétique, déjà dans les faits, mais aussi dans les idées, entre une gendarmerie vouée à l’Etat, la collaboration, l’ordre ou la loi et des maquis prolongement d’une Nation, de résistances, du désordre, de hors-la-loi. Ce doctorat veut comprendre comment les mondes de l’ordre conventionnel et du désordre coexistent, à l’intérieur d’un même milieu, voire d’un même lieu. Les interactions avec la population rurale sont alors au cœur de notre réflexion. / It is about analysing a complex scheme of interactions that cannot be reduced to the relation between two opposed worlds, the opposition in actions and ideas between the collaborating, state devoted, law abiding and the resistants, the hand of a Nation, the outlaws. That is to say the doctorate is trying to find out how legal order and disorder coexisted within the same milieu sometimes even in the same place. Our reflexion is centred on the social interaction with the rural population.
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La violence dans le discours et les pratiques du PCF de 1920 à la Seconde guerre mondiale / Violence in speeches and practices of the PCF since 1920 to World War two

François, David 27 March 2012 (has links)
La place de la violence dans l'histoire du XX° siècle est l'objet de nombreuses études depuis la publication des ouvrages de l'historien américain George L. Mosse. Si cet intérêt s'est longtemps concentré sur l'étude des mouvements d'extrême-droite, depuis une décennie la recherche historique se penche sur l'étude des relations qu'entretient le communisme, avec la violence. C'est dans cet environnement historiographique que notre étude vise à éclairer la place tenue par la violence dans la vie du PCF de sa naissance, en 1920, à son interdiction en septembre 1939. Dans un premier temps, après avoir analysé la place de la violence dans le mouvement socialiste et ouvrier avant 1914, il s'agit de percevoir la nouveauté introduite par l'idéologie bolchevique dans cette relation au moment où la société française est confrontée à la Grande Guerre et ses séquelles et de déterminer le rôle de la violence dans la naissance du PCF et dans son développement jusqu'à la fin des années 1920. Nous analysons ensuite la période « classe contre classe » où le PC développe pleinement les potentialités contenues dans la culture de guerre civile qu'il cultive depuis sa naissance. Il essaye alors d'inscrire cette guerre civile dans la réalité française. Le discours qui s'appuie sur la simplification de la perception des réalités politiques, économiques et sociales, décryptée au prisme de la culture de la guerre civile se durcit pour marquer l'imminence de la parousie révolutionnaire. Le PCF prône alors la confrontation directe avec les forces de l'ordre dans le but de conquérir la rue tout en essayant de mettre sur pied une force paramilitaire. L'abandon de l'activisme violent à la fin de 1931 entraîne une période d'hésitation sur la place de la violence dans la stratégie communiste, hésitation qui prend fin à partir de 1934 avec le tournant vers le Front populaire qui fait l'objet de notre troisième et dernière partie. La culture de guerre civile, que porte en lui le communisme, s'intègre alors à la culture républicaine sous le signe de l'antifascisme. Ce processus, qui participe aux succès que connaissent alors les communistes, entraîne une atténuation de la place de la violence dans la politique du PCF, mais non sa disparition. Sa trace se retrouve dans la politique interne de vigilance révolutionnaire, l'usage de la force contre les fascistes et les renégats et le rôle des communistes français sur le front espagnol durant la guerre civile. / The place of violence in history of XX ° century is the object of many studies since the studies of the American historian George L. Mosse. If this interest has concentrated for a long time on the study of the far-right movements, for decade historical research leans over the study of relations communism, with violence. It's in this historiographic environment that our study aims at lighting the place held by violence in the life of PCF since its birth, in 1920 to its ban in September, 1939. At first, having analysed the place of violence in socialist and working movement before 1914 and the novelty introduced by the bolchevik ideology in this relation at the time when the French society is confronted with First World War and its consequences to determine the role of violence in the birth of PCF and in its development during 1920s. We analyse the period «class against class» where the PC develops entirely potentialities contained in the culture of civil war which it cultivates since its birth. He tries to register this civil war in French reality. The speech which leans on the simplification of the perception of political, economic and social realities, having read in prism of the culture of civil war to mark the imminence of the revolutionary parousie. PCF search direct confrontation with police force in the intention of winning the street, while trying to set up a paramilitary force. The end of violent activism at the end of 1931 draws away a period of hesitancy on the place of violence in communist strategy, hesitancy which comes to end from 1934 with turn towards the Popular Front which makes the object of our third and last part. The culture of civil war, that hits in him communism, integrates then with republican culture under the sign of antifascism. This process, which participates in the successes which know then the communists, draws away an alleviation of the place of violence in the policy of PCF, but not its disappearance. Its trace is in the internal policy of revolutionary alertness, the usage of force against the fascists and the renegades and the role of the French communists on the Spanish front during civil war.
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Besançon à l'heure de la décolonisation : le processus de la décolonisation vue d'une ville moyenne de province de 1945 aux années 1960 / Besançon at the decolonization time : the decolonization process studied a medium-sized French ciy from 1945 to the 1960s

Ponçot, Bénédicte 01 July 2016 (has links)
L'objectif de la thèse est de mesurer comment et combien la société bisontine a été touchée par le processus de décolonisation. L'étude d'une communauté urbaine est à la confluence de plusieurs champs historiographiques (histoire politique, culturelle, de la colonisation et de la décolonisation, de la guerre froide). Dans le cadre de cette histoire vue d'en bas, il s'agit de comprendre comment les habitants vivent (comprennent, ressentent, interprètent) la décolonisation. Ce travail englobe la période qui court de 1945 aux années 1960. Une double démarche a été poursuivie l'une comparant échelon local et national, l'autre envisageant la compréhension du milieu bisontin pour lui-même. La diversité des sources (officielles, groupes constitués, presse, entretiens) et leur confrontation ont permis d'établir une double conclusion. D'une part, l'exemple bisontin démontre que le processus de décolonisation a concerné la société française, y compris dans un espace qui pouvait apparaître périphérique. Il s'agit moins d'une reproduction d'un vécu national sous direction parisienne que d'un partage d'expériences communes au territoire métropolitain. D'autre part, ces similitudes n'empêchent pas des variations, sans doute non exclusives à l'espace bisontin, qui reflètent certaines caractéristiques locales : force du catholicisme social, construction d'une lutte commune entre catholiques de gauche et communistes, radicalité des choix de certains acteurs (procès Rapiné). Enfin, dans ce processus, la guerre d'Algérie a profondément marqué le vécu bisontin au point de produire parfois une histoire particulière et différente du récit national. / This doctoral thesis aims at assessing the impact of the decolonisation process on the population of Besançon. The study of an urban community involves taking an interest in various historiographical fields (such as the political and cultural history of both colonisation and decolonisation, as well as the Cold War). From a people's history perspective, our purpose is to grasp how people experienced decolonisation (how they understood, felt, thought, acted). This research covers the period from 1945 up to the 1960s. A two-angled approach has been applied, including comparisons on local and national levels and a thorough investigation of Besançon's social environment in and of itself. The diversity of sources (official sources, organised groups, press articles, interviews) and their comparison have allowed us to draw several conclusions. The example of Besançon demonstrates that the decolonisation process affected French society, even in areas that could be considered peripheral. It was actually less the replica of the nation's reality following a Parisian leadership than the sharing of a series of collective experiences on a nation-wide scale. These shared experiences may allow for variations, undoubtedly not restricted to the area of Besançon, which do indeed reflect local characteristics: the strength of social Catholicism, left-wing Catholics joining forces with Communists, the radical choices of key protagonists (e.g. the Rapiné trial). Finally, the Algerian War so dramatically influenced Besançon's experience of decolonisation that it created a singular history, different from the national narrative on some specific points.

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