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The anti-fascism of the Canadian volunteers in the Spanish Civil War, 1936-1939Parenteau, Ian January 1999 (has links) (PDF)
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Le soccer comme arme antifasciste : une histoire politique, culturelle et sociale de la tournée de l'équipe nationale basque en URSS pendant la guerre civile espagnoleBoivin-Chouinard, Mathieu January 2009 (has links) (PDF)
À l'été 1937, alors que les horreurs de la guerre civile espagnole et les dérives de la terreur stalinienne battaient leur plein, une équipe regroupant les meilleurs joueurs de soccer du Pays Basque effectua une tournée mémorable de neuf matchs en Union soviétique. Malgré le fait qu'elle resta longtemps incrustée dans la mémoire d'une génération de Soviétiques, l'historiographie a négligé cette tournée, ne l'évoquant que dans une perspective événementielle et ne l'analysant qu'en surface. Ce mémoire vise à rectifier le tir en examinant en profondeur les aspects politiques, culturels et sociaux de cet événement sportif s'étant déroulé dans une période si cruciale de l'histoire de l'Espagne et de l'URSS.
Après l'introduction, qui tâche de revisiter l'historiographie et de présenter le cadre théorique sous-tendant ce mémoire, le premier chapitre souligne le caractère spectaculaire de la tournée par une mise en contexte et une description des nombreux rebondissements qui parsemèrent la visite des Basques en URSS, permettant ainsi de saisir les changements majeurs entraînés dans l'univers du soccer soviétique. Dépassant l'aspect purement sportif, les deux chapitres suivants démontrent que l'événement fut mis au service du programme politique et culturel des dirigeants soviétiques. Les efforts furent nombreux pour profiter de l'immense popularité de la tournée en vue de faire valoir la politique soviétique de soutien à l'Espagne républicaine et d'union antifasciste. De plus, une offensive médiatique et artistique massive tâcha de représenter les joueurs basques en modèles culturels, leur accolant pour ce faire l'image du nouvel homme soviétique promu par le régime. La grande complexité politique et sociale de l'URSS stalinienne empêcha cependant ces grands desseins d'atteindre leurs objectifs de façon satisfaisante. Le soccer, par sa nature compétitive, imprévisible et parfois violente, n'était pas le véhicule idéal pour diffuser la politique de solidarité antifasciste et les valeurs officielles d'ordre et de civilité, avec lesquelles il entrait en contradiction. En ce sens, le quatrième chapitre montre que la tournée fut parfois déviée de ses significations officielles par les valeurs propres aux nombreux ouvriers qui composaient la majorité de l'auditoire et dont le bagage social, qui échappait au contrôle strict du régime, les amenait à interpréter différemment l'événement. Par l'étude du cas de la tournée de l'équipe basque de soccer en URSS à l'été 1937, ce mémoire démontre donc que malgré les tentatives de transformation d'un événement sportif en outil de socialisation et d'endoctrinement, celui-ci pouvait aussi constituer un moyen de résistance à petite échelle et un véhicule pour des valeurs et des identités alternatives, distinctes et concurrentes de celles promues par les dirigeants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Soccer, Union soviétique, Pays Basque, Guerre civile espagnole, Antifascisme.
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The anti-fascism of the Canadian volunteers in the Spanish Civil War, 1936-1939Parenteau, Ian, January 1900 (has links) (PDF)
Thesis (M.A.)--University of New Brunswick, 1999. / Includes bibliographical references.
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Résistance italienne et littérature : Contribution à une étude de la mémoire collective / The contribution of fictional material to building the memory of the Italian ResistanceSereno, Marie-Noëlle 15 December 2014 (has links)
Est-ce que les romans écrits par six grands auteurs italiens (Beppe Fenoglio, Italo Calvino, Elio Vittorini, Renata Viganò, Mario Tobino), membres de la Résistance, peuvent aider les historiens à mieux comprendre cette période de la Seconde Guerre Mondiale et à analyser les processus de la construction de la mémoire collective. Les fictions apportent des éléments pour comprendre l'état d'esprit des hommes qui ont pris le parti de se battre contre les nazis et les fascistes. Les écrivains présentent le caractère spontané, incertain des motivations de ces rebelles, loin d'être des héros. L'historien Guido Quazza définit ces attitudes par le terme « d'antifascisme existentiel », insistant sur les aspects valeureux de ce mouvement, comme les historiens qui l'ont précédé. Cette différence entre les deux visions apparaît également dans l'examen des attitudes de la population. Les romans insistent sur la multiplicité et l'instabilité des comportements des civils. Les travaux des historiens des années 50 se concentrent sur les formes de soutien du monde paysan. Dans les années 70 ils étudient cette partie de la population italienne qui n'a pas voulu prendre parti, qu'ils nomment « la zone grise ». Les romans accordent une place au rôle des femmes dans la Résistance, pris en compte plus tard par la recherche historique.Cette analyse montre l'efficacité de la littérature pour l'histoire culturelle et anthropologique de la Résistance, par sa finesse et sa subtilité elle permet de percevoir, derrière les événements, les pensées des gens qui y participent. De plus l'utilisation de la littérature comme source peut contribuer à l'élaboration d'une mémoire complexe. / Six notable Italian authors (Beppe Fenoglio, Italo Calvino, Elio Vittorini, Renata Viganò, Luigi Meneghello, Mario Tobino) portrayed what the life of the insurgents was during World War II. This research investigates the potential of their fictional works to help historian better understand this crucial period, they experienced.An appraisal of fictitious accounts of the war, as seen from the insurgent's perspective, may help understanding their state of mind once facing the armed forces of both the German occupant and fascists battalions. Their pre-political sensibility has been defined by the historian Guido Quazza as 'existential anti-Fascism". Historian's accounts of the Italian Resistance portrayed it from a somewhat idealistic view, mostly highlighting the heroic side. However, it is clear from the literature analyzed, that it was far from harmonious. The writer stresses the multifarious and the diversity of the population's comportments. Historical works of the 1950's concentrated on analyzing the support by the peasants to the Resistance, while in the 1970's this focus shifted to the importance of the "grey zone", the non-committal population. The novels underline the factual, supportive attitude of women throughout the Italian Resistance, only corroborated by recent scholarly works.This research indicates the efficacy of fictional literature as a complement to the use of historical cultural anthropology, for analyzing components of the Italian Resistance. Their keenness and subtlety allows scholars to better assess people's thoughts behind observed events. Use of this material may help avoid a simplified building of memory.
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Représentations de l'Allemagne et des Allemands chez d'anciens concentrationnaires en France / Representations of Germany and the Germans among former concentration camp prisoners in FranceFauser, Henning 15 December 2016 (has links)
Par le biais de l'étude des perceptions et de l'analyse du discours, cette thèse se propose de cartographier l'imaginaire lié à l'Allemagne et aux Allemands chez les anciens déportés en France entre 1945 et 1975. Elle entend démontrer que ce ne sont pas l'expérience concentrationnaire et ses séquelles, mais les appartenances de ces survivants à différents groupes sociaux ainsi que les valeurs et orientations de ceux-ci qui ont déterminé leurs représentations des voisins d' outre-Rhin. Ainsi, cette expérience particulière n'aura pas généré chez les rescapés des camps de concentration de représentations inédites de l'Allemagne et des Allemands, ni du nazisme et des nazis. Néanmoins, les transformations sociales et politiques en France et en Allemagne au cours des deux décennies d'après-guerre ainsi que l' évolution des relations entre ces deux nations ont contribué à la création de plusieurs schémas qui leur sont propres. Il s'agit d' un modèle d' interprétation distinguant Allemands et nazis ainsi que de deux topoi mettant en lien la mémoire des crimes nazis et l'attitude vis-à-vis des Allemands. Ainsi cette thèse permet de réfléchir non seulement à l'impact des discours circulant au sein d'un groupe social et de la société, mais aussi au contexte de la création, de la modification et de la disparition d'images d'autrui. En outre, ces interrogation éclaircissent les liens entre l' expérience du passé, la perception du présent et les attentes pour l' avenir. Enfin, ce travail se propose de montrer que l' analyse de perceptions et représentations ne doit pas être une fin en soi, mais qu'elle est indissociable de l' étude des groupes et des individus qui les portent et les expriment. / Using approaches from perception research and discourse analysis, this thesis intends to draw a map of the imaginative world linked to Germany and the Germans among former concentration camp prisoners in France between 1945 and 1975. It seeks to show that it was not the concentration camp experience and its after-effects, but the affiliations of those survivors with different social groups and the values and orientations of the latter which determined their representations of the eastern neighbours. Hence, this particular experie nce neither generated unprecedented visions of Germany and the Germans, nor of Nazism or the Nazis. Nevertheless, social and political transformations in France and in Germany during the two post-war decades as well as the evolution of the relations between these two nations have contributed to the creation of several patterns of thought among them. Those were, on the one hand, an interpretive mode ) distinguishing between Germans and Nazis and, on the other hand, two topoi linking the memory of Nazi crimes and the attitude towards the Germans.Therefore, this thesis will consider not only the impact of discourses circulating within a social group and in society at large, but also the context of the creation, modification and disappearance of representations of others. Furthermore, these inquiries elucidate the links between the experience of the past, the perception of the present and expectations for the future.Finally, this study intends to show that the analysis of perceptions and representations should not be an end in itself, but that it is inseparable from the study of individuals and groups who carry and express them.
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La « seconde génération » de l'élite dirigeante du Parti communiste italien : entre fascisme, antifascisme et communisme / The ''second generation'' of the ruling elite of the Italian Communist Party : between fascism, antifascism and communismNaccarella, Pierpaolo 12 December 2013 (has links)
Les membres de la « seconde génération » de l’élite dirigeante du Parti communiste italien (PCI) se forment sous le fascisme. Pendant les années 1930, ce sont de jeunes intellectuels qui adhèrent au « fascisme de gauche ». A partir du milieu de cette décennie-là, ils commencent à s’éloigner du fascisme. Ils rejoindront ensuite le PCI. Entre 1944 et 2006, une vingtaine d’entre eux publient des « écritures de soi » (des ouvrages autobiographiques et personnels), dans lesquelles ils expliquent leur itinéraire politique. Ils y revendiquent leur cohérence : les principales raisons pour lesquelles ils ont adhéré au fascisme coïncident avec les raisons de leur engagement dans le PCI.Ils écrivent également que leur soutien au régime mussolinien a été le résultat de la tromperie dont ils ont été victimes sous le fascisme, qui leur a imposé une fausse image de lui. La jeunesse intellectuelle n’a pas adhéré au « vrai » fascisme, mais à une représentation erronée de celui-ci. En conséquence, ils ont toujours été antifascistes tout en se croyant fascistes.Le contenu de ces ouvrages est influencé par le leader du PCI, Palmiro Togliatti, qui utilise les « écritures de soi » datant des années 1940 pour attirer les jeunes ex-fascistes, dont son parti a besoin pour former une nouvelle classe dirigeante et gagner le combat pour la conquête du pouvoir.Ces « écritures de soi » influencent à leur tour plusieurs historiens et l’opinion italienne qui, pendant longtemps, ont accepté leurs thèses sans les remettre en question et ont fondé sur elles la façon de représenter et décrire l’engagement politique et culturelle dont la jeunesse intellectuelle a fait preuve sous le fascisme. / The members of the ''second generation'' of the ruling elite of the Italian Communist Party (ICP) come together under fascism. During the 1930s they are young intellectuals who belong to ''left-wing fascism''. From the middle of this decade they start to move away from fascism. They will later join the ICP.Between 1944 and 2006 twenty of them publish ''personal texts'' (personal and autobiographical works), in which they explain their political itinerary. In them they claim to be coherent: the main reasons for which they followed fascism are the reasons for their commitment to the ICP.They also write that their support for the Mussolini regime was the result of the fact that they were deceived under fascism which gave them a false impression of itself. The young intellectuals did not adhere to the ''real'' fascism, but a false representation of it. Consequently they had always been antifascists while believing themselves to be fascists.The content of these publications is influenced by the leader of the ICP, Palmiro Togliatti, who uses the ''personal texts'' dating from the 1940s to attract young ex-fascists whom his party needs to form a new ruling class and to win the battle for the conquest of power.These ''personal texts" in turn influence several historians and Italian opinion which, for a long time, accepted their theses without calling them into question, and based their way of representing and describing the political and cultural commitment shown by young intellectuals under fascism on them.
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La violence dans le discours et les pratiques du PCF de 1920 à la Seconde guerre mondiale / Violence in speeches and practices of the PCF since 1920 to World War twoFrançois, David 27 March 2012 (has links)
La place de la violence dans l'histoire du XX° siècle est l'objet de nombreuses études depuis la publication des ouvrages de l'historien américain George L. Mosse. Si cet intérêt s'est longtemps concentré sur l'étude des mouvements d'extrême-droite, depuis une décennie la recherche historique se penche sur l'étude des relations qu'entretient le communisme, avec la violence. C'est dans cet environnement historiographique que notre étude vise à éclairer la place tenue par la violence dans la vie du PCF de sa naissance, en 1920, à son interdiction en septembre 1939. Dans un premier temps, après avoir analysé la place de la violence dans le mouvement socialiste et ouvrier avant 1914, il s'agit de percevoir la nouveauté introduite par l'idéologie bolchevique dans cette relation au moment où la société française est confrontée à la Grande Guerre et ses séquelles et de déterminer le rôle de la violence dans la naissance du PCF et dans son développement jusqu'à la fin des années 1920. Nous analysons ensuite la période « classe contre classe » où le PC développe pleinement les potentialités contenues dans la culture de guerre civile qu'il cultive depuis sa naissance. Il essaye alors d'inscrire cette guerre civile dans la réalité française. Le discours qui s'appuie sur la simplification de la perception des réalités politiques, économiques et sociales, décryptée au prisme de la culture de la guerre civile se durcit pour marquer l'imminence de la parousie révolutionnaire. Le PCF prône alors la confrontation directe avec les forces de l'ordre dans le but de conquérir la rue tout en essayant de mettre sur pied une force paramilitaire. L'abandon de l'activisme violent à la fin de 1931 entraîne une période d'hésitation sur la place de la violence dans la stratégie communiste, hésitation qui prend fin à partir de 1934 avec le tournant vers le Front populaire qui fait l'objet de notre troisième et dernière partie. La culture de guerre civile, que porte en lui le communisme, s'intègre alors à la culture républicaine sous le signe de l'antifascisme. Ce processus, qui participe aux succès que connaissent alors les communistes, entraîne une atténuation de la place de la violence dans la politique du PCF, mais non sa disparition. Sa trace se retrouve dans la politique interne de vigilance révolutionnaire, l'usage de la force contre les fascistes et les renégats et le rôle des communistes français sur le front espagnol durant la guerre civile. / The place of violence in history of XX ° century is the object of many studies since the studies of the American historian George L. Mosse. If this interest has concentrated for a long time on the study of the far-right movements, for decade historical research leans over the study of relations communism, with violence. It's in this historiographic environment that our study aims at lighting the place held by violence in the life of PCF since its birth, in 1920 to its ban in September, 1939. At first, having analysed the place of violence in socialist and working movement before 1914 and the novelty introduced by the bolchevik ideology in this relation at the time when the French society is confronted with First World War and its consequences to determine the role of violence in the birth of PCF and in its development during 1920s. We analyse the period «class against class» where the PC develops entirely potentialities contained in the culture of civil war which it cultivates since its birth. He tries to register this civil war in French reality. The speech which leans on the simplification of the perception of political, economic and social realities, having read in prism of the culture of civil war to mark the imminence of the revolutionary parousie. PCF search direct confrontation with police force in the intention of winning the street, while trying to set up a paramilitary force. The end of violent activism at the end of 1931 draws away a period of hesitancy on the place of violence in communist strategy, hesitancy which comes to end from 1934 with turn towards the Popular Front which makes the object of our third and last part. The culture of civil war, that hits in him communism, integrates then with republican culture under the sign of antifascism. This process, which participates in the successes which know then the communists, draws away an alleviation of the place of violence in the policy of PCF, but not its disappearance. Its trace is in the internal policy of revolutionary alertness, the usage of force against the fascists and the renegades and the role of the French communists on the Spanish front during civil war.
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Pio Turroni et le mouvement anarchiste italien en exil en France durant l’entre-deux-guerres : de l’engagement individuel à la mobilisation collective / Pio Turroni and the anarchist Italian movement in exile in France between the two wars : from individual commitment to collective mobilisationFontanelli Morel, Françoise 08 December 2016 (has links)
L’histoire du mouvement libertaire italien en exil en France est un sujet faiblement étudié. Il convient de la replacer dans le cadre des migrations politiques de l'antifascisme et du fuoruscitismo. L’historiographie s’est concentrée sur les partis de masses occultant ainsi les formations politiques minoritaires que sont les giellistes et les anarchistes. Les historiens ont surtout privilégié les portraits des « ténors » de l’antifascisme des personnages les plus connus au détriment des « obscurs ». À travers le parcours d’un militant secondaire du mouvement libertaire italien, Pio Turroni, cette étude retrace l’histoire des anarchistes italiens exilés en France et plus particulièrement dans le sud-est de la France entre les deux guerres. Après un bilan historiographique et l’inventaire des sources mobilisées pour mener à bien cette étude, nous avons décidé d’écrire la biographie de l’un d’entre eux pour étudier le parcours du groupe entier. Le changement d’échelle, le passage du portrait de groupe à l’étude d’une trajectoire individuelle permet enfin d’appréhender l’engagement individuel d’un acteur et le réseau de ses relations au sein du mouvement anarchiste en exil comme au sein des autres familles de l’antifascisme italien. Cette étude analyse enfin, la culture politique, les pratiques et les stratégies d’un ensemble de militants à partir d’un des maillons de la chaîne. Nous avons tenté de faire de la biographie de Pio Turroni une entrée permettant de comprendre l’histoire des réseaux anarchistes en exil en France et au-delà contribuer à une meilleure connaissance de l’antifascisme. / The History of Italian libertarian movement in exile to France, is a faintly studied topic . It is important to situate this study in link with an another wide topic: the politics migration of the Anti-fascism in France. Firstly, historiography is focused on the masses parties eclipsing the creation of politics minorities groups like Giustizia e libertà movement and anarchist. Secondly, historians favored particularly portraits of « ténors » to deal with anti-fascisme of the most famous figures to the detriment of « obscurs ». This study traces the history of Italians anarchists who were exiled in France and particularly in South-east France during interwar, through the path of a secondary militant from Italian libertarian movement, Pio Turroni. After a historiographic assessment and an inventory of sources mobilized to complete this study, we decided to write the biography of one amongst themselves to work on the history of the entire group. Change at scale, passage from the group’s portrait to the study of an individual trajectory enables to understand the role of a character played by an individual commitment and galloping network of his relations within anarchist movement in exile like others Italian anti-fascism groups.Finally, this study analyses cultural politics, practices and strategies of a militants group from the link plays by Pio Turroni. From the biography of Pio Turroni, we tried to create a way to understand the History of anarchists network in exile to France, and above all contributes to a better knowledge about antifascism and its insertion into the political and social fabric of receiving countries.
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«Si t’es pas antifasciste, t’es fasciste, ou tu fais rien» : comprendre l’antifascisme montréalais et son engagement militantEl-Amraoui, Anaïs F. 06 1900 (has links)
L’antifascisme fait l’objet de nombreuses études sous sa forme historique, mais peu s’intéressent à son expression contemporaine. Afin de comprendre l’antifascisme dans le contexte montréalais, rencontrer les militants de cette lutte, acteurs de terrain de l’action, a semblé primordial. C’est donc en réalisant des entrevues semi-dirigées avec 5 militant(e)s antifascistes montréalais et par une courte recherche documentaire dans les ressources antifascistes montréalaises, que la compréhension de cette forme d’antifascisme a pu se construire. Cette recherche met en lumière une pluralité de portraits et de parcours militants auxquels la littérature sur le sujet , alors que les participants s’expriment sur leurs différents parcours, leur cheminement personnel ainsi que sur leurs motivations à s’engager. Ces discussions permettent de contextualiser l’engagement antifasciste dans le cadre spécifique du Québec au cours des 15 dernières années, tout en soulevant les défis des engagements militants. Par la même occasion, la rencontre des militant(es) met en avant la diversité des actions antifascistes ainsi que leurs enjeux, dont celui de la violence qui fait l’objet d’un traitement médiatique important. Cette recherche démontre que ce qui est présenté dans les médias ou la littérature sur l’antifascisme n’est que la pointe de l’iceberg et que la réalité du milieu est beaucoup plus complexe. / Anti-fascism is the object of many studies when it comes to its historical expression, but few focus on its modern expression. When seeking to understand modern anti-fascism in Montreal, meeting the militants of the movement, front actors of the actions, seemed to be of prime importance. The comprehension of this form of anti-fascism was achieved by conducting semi-directed interviews with 5 Montrealer anti-fascist activists and through a documentary search conducted on several Montreal anti-fascists key resources. This research highlights a plurality of portraits and militant journeys which are hardly referred to in the literature on anti-fascism, while the participants describe their different experiences, their personal journey and their motivations to get involved in the cause. These discussions help contextualizing anti-fascist engagement in Montréal, Quebec, by exploring its definitional and cultural frameworks, while addressing the challenges of militant engagement. Anti-fascist actions are explored with the activists and allow to map out their actions as well as their challenges and stakes, including the issue of violence. This research shows that what is presented in the media or literature about anti-fascism is only the tip of the iceberg and the reality of the milieu is much more complex.
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De la naissance de Giustizia e Liberta à la dissolution du Partito d'Azione (1929-1947) : un antifascisme européiste / From the birth of Giustizia e Libertà to the dissolution of the Partito d’Azione (1929-1947) : a Europeanist Anti-fascismTortorella, Francesca 04 July 2019 (has links)
L'évolution du débat européiste de la naissance du mouvement antifasciste Giustizia e Libertà (GL) en 1929 jusqu'à la dissolution du Partita d'Azione (PdA) en 1947 est le cœur de cette recherche. Le propos est sa contextualisation dans une dimension européenne. Si GL agit surtout en exil dans les années Trente, le PdA, né en 1942, est l'un des protagonistes de la Résistance armée italienne. Leur révolution démocratique aspire à souder les valeurs de la liberté politique et de la justice sociale. Ils souhaitent la constitution d'une Italie républicaine dans le cadre d'une Europe politiquement unifiée et démocratique. Cette thèse met en exergue les idées d'unité européenne élaborées dans ce milieu antifasciste pluriel. Dans une période de crise du processus de la construction européenne, l'exploration de cette filiation politico-intellectuelle ambitionne de contribuer à la connaissance des courants européistes et des réflexions diverses autour de l'unité de l'Europe. / The evolution of the Europeanist debate from the birth of the anti-fascist movement Giustizia e Libertà (GL) in 1929 until the dissolution of the Partita d'Azione (PD) in 1947 is the heart of this research. The purpose is its contextualization within a European dimension. If GL acts mainly in exile in the Thirties, the PdA, born in 1942, is one of the protagonists of the ltalian Armed Resistance. Their democratie revolution aspires to weld the values of political freedom and social justice. They want the constitution of a republican ltaly within the framework of a politically unified and democratie Europe. This thesis highlights the ideas of European unity developed in this plural anti-fascist milieu. ln a period of crisis in the process of European construction, the exploration of this political and intellectual filiation aims to contribute to the knowledge of Europeanist currents and the various thoughts regarding the unity of Europe.
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