Spelling suggestions: "subject:"africa, central."" "subject:"africa, dentral.""
21 |
Methodologies to ensure aboveground biomass in the Congo Basin Forest in a UNFCCC REDD+ contextManiatis, Danae January 2011 (has links)
No description available.
|
22 |
The causes of armed conflict and human rights abuses in Central Africa and the impact on the Democratic Republic of Congo /Kayamba, Musaputa Emery, January 2008 (has links) (PDF)
Thesis (M.S.) -- Central Connecticut State University, 2008. / Thesis advisor: Timothy Rickard. "... in partial fulfillment of the requirements for the degree of Master of Science in International Studies." Includes bibliographical references (leaves 117-124). Also available via the World Wide Web.
|
23 |
Etude d'une endémie goitreuse en Afrique centrale: influence de la croissance et des facteurs d'environnement sur la fonction thyroïdienneDelange, François January 1972 (has links)
Doctorat en sciences médicales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
|
24 |
Diversité, biogéographie, écologie et conservation des Rubioideae-Rubiaceae en Afrique centrale, Burundi, R.D.Congo, Rwanda / Diversity, biogeography, ecology and conservation of Rubioideae-Rubiaceae in Central Africa, Burundi, D.R.Congo, RwandaNiyongabo, Ferdinand 27 April 2012 (has links)
Cette étude est une contribution à la connaissance de la biodiversité, la distribution géographique et la conservation des Rubioideae (Rubiaceae) d’Afrique centrale (Burundi,R.D.Congo et Rwanda). Le travail est basé sur l’analyse critique des riches collections conservées dans les grands herbaria de Belgique et du Burundi (plus de 10.000 échantillons). Une check-list critique des Rubioideae d’Afrique centrale a été établie; 291 taxons ont été inventoriés et une carte de distribution géographique a été tracée pour chacun, après géoréférencement de toutes<p>les récoltes. Des taxons nouveaux pour le territoire étudié ont été découverts, révélant le caractère incomplet de la ‘World check-list of Rubiaceae’. Des taxons nouveaux pour la science ont été mis en évidence. Une espèce nouvelle (avec deux variétés) a été décrite. Les analyses de distribution ont utilisé deux niveaux de résolution: le système d’information géographique (SIG) pour la production des cartes de la distribution des espèces et le système de maillage pour calculer la densité et l’effort d’échantillonnage. La richesse floristique apparente est fortement biaisée par l’intensité d’échantillonnage. Après correction de ces biais, la diversité reste inégalement répartie.<p>Des régions de plus haute diversité peuvent être expliquées à la fois par des processus déterministes (régions à haute diversité ’habitats), et, probablement aussi par des contingences historiques (refuges). Elles correspondent à des zones de spéciation active ou de moindre extinction. De plus, cette diversité varie selon les phytochories considérées.<p>La distribution des taxons a été utilisée pour tenter de redéfinir sur une base objective des subdivisions phytogéographiques du territoire étudié. L’approche basée sur la similarité floristique et la distribution potentielle a démontré le rôle déterminant des taxons indicateurs et des variables environnementales<p>dans l’établissement d’un système cohérent de phytochories pour l’Afrique centrale. Un nouveau<p>système de trois territoires floristiques défini sur base des Rubioideae est comparativement proche de celui de White (1979, 1983) mais ne comprend pas des zones de transition.<p>Enfin, la caractérisation de l’état de conservation des Rubioideae de la zone d’étude, sur base de la méthodologie de l’UICN, a porté sur cinquante-six taxons (sub-)endémiques d’Afrique centrale. L’évaluation paramétrique a été largement utilisée. Elle est basée sur la détermination de la zone d’occupation (AOO) et de la zone d’occurrence (EOO). La proportion des Rubioideae menacés et coïncide avec celles des autres groupes déjà évalués. Cette analyse a démontré qu’il existe une corrélation entre les taxons menacés et les zones de forte concentration humaine.<p><p><p>This study is a contribution to the knowledge of biodiversity, geographic distribution and conservation of Rubioideae (Rubiaceae), a group of flowering plants in Central Africa (D.R.Congo, Rwanda, Burundi). The work is based on the critical evaluation of the rich herbarium collections conserved in Belgium and Burundi (> 10,000 specimens). A critical check-list of Rubioideae in Central Africa has been produced, comprising 291 taxa. A distribution map has been obtained for each of them. A number of taxa are new to the area, highlighting the gaps of knowledge in the ‘World check-list of Rubiaceae’. Species new to science have been detected, one of which has been formally described (with two varieties) in this study. The analysis of distribution patterns has been performed at two levels of resolution. Grid-maps have been used to analyse patterns of species diversity. Floristic richness appears strongly correlated with<p>sampling effort. After correction for sampling effort, species diversity remains heterogeneous.<p>Regions of higher diversity correspond either to areas of more active speciation, in relation to a high diversity of habitats, or to forest refuges where extinction rates have been lower. Additionally, this diversity varies between the different phytochoria recognized. The distribution of species has been used in an attempt to redefine phytochoria based only on floristic criteria. Floristic similarity, and potential distribution (based on climatic parameters), has shown that phytochoria can be effectively defined and characterized by the method of indicator taxa. Three major<p>phytochoria show a reasonably match with phytochoria previously proposed by White (1979, 1983), but White’s transition zones are not highlighted. Finally, distribution data have been used to critically evaluate the conservation status of 56 taxa, using the methodology and criteria of IUCN. The area of occupancy (AOO) and extent of occurrence (EOO) were calculated and used as main criteria to evaluate the species. A relatively high proportion of taxa appear to be threatened, especially in relation to urbanization and deforestation in the most<p>highly populated parts of the study area. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
|
25 |
Diversité, endémisme, géographie et conservation des Fabaceae de l'Afrique Centrale / Diversity, endemism, geography and conservation of Fabaceae of Central AfricaNdayishimiye, Joel 21 October 2011 (has links)
La connaissance de la distribution spatiale des espèces et leurs déterminants constituent les principaux thèmes de la biogéographie et de l’écologie. Cette thèse a été réalisée sur les Fabaceae de l’Afrique Centrale :Burundi, République Démocratique du Congo et Rwanda. Composées de trois sous-familles (Caesalpinioideae, Faboideae et Mimosoideae), les Fabaceae sont présentes dans tous les biomes terrestres du monde. La présente étude a pour objectif d’évaluer et localiser la diversité spécifique, déterminer les zones de conservation des Fabaceae, identifier leur modèle de distribution spatiale et examiner l’impact potentiel de la déforestation sur les espèces indicatrices de cette famille. Les facteurs environnementaux déterminant la distribution des espèces endémiques de Fabaceae, les zones favorables à leur présence et l’évaluation de leur état de conservation ont également été analysés. L’étude a consisté à vérifier et à digitaliser tous les échantillons d’herbiers des Fabaceae conservés au Jardin Botanique National de Belgique et à l’Université Libre de Bruxelles. Les Systèmes d’Information Géographique ont été largement utilisés. Les analyses spatiales ont montré une distribution non uniforme de la diversité spécifique des Fabaceae. Les zones où la diversité spécifique coïncide avec celle des espèces endémiques ont été suggérées comme prioritaires pour la conservation. L’analyse de groupement appliquée sur le jeu de données des Mimosoideae a mis en évidence trois régions floristiques majeures. Ces trois régions correspondent aux régions phytogéographiques définies par White (1979, 1983). L’étude des Caesalpinioideae a confirmé l’existence d’espèces indicatrices de territoires phytogéographiques de Ndjele (1988). L’étude de cas réalisée au Katanga (R.D. Congo) a montré que la déforestation constitue une menace potentielle pour ces espèces, les plus vulnérables étant inféodées aux habitats forestiers. La distribution potentielle des espèces endémiques de Fabaceae (Caesalpinioideae) a montré une convergence entre les cartes de la distribution actuelle et celles issues de la distribution potentielle. Des sites où les espèces n’ont jamais été signalées ont été identifiés. La distribution potentielle a démontré le rôle des déterminants environnementaux dans la distribution des espèces endémiques. Cette étude a également prouvé que d’importantes proportions des zones de diversité des espèces endémiques ne sont pas couvertes par la conservation actuelle de l’Afrique Centrale. Cette thèse confirme que l’Afrique Centrale est une zone importante de conservation de la biodiversité. L’étude devrait être poursuivie en étendant la distribution potentielle aux Fabaceae non endémiques afin de définir leurs aires de distributions, critère indispensable pour évaluer le degré de vulnérabilité d’une espèce. La création de nouvelles aires protégées renforcerait le système actuel de conservation dans cette région./Knowledge of the spatial distribution of species and its determinants constitutes a principal theme in biogeography and ecology. This dissertation focused on the Fabaceae family of Central Africa: Burundi, the Democratic Republic of the Congo and Rwanda. Composed of three subfamilies (Caesalpinioideae, Faboideae and Mimosoideae), Fabaceae species are present in all terrestrial biomes of the world. The current study aimed to assess and locate Fabaceae species diversity, to determine potential conservation zones, to identify the spatial distribution pattern and to examine the potential impact of deforestation on some indicator species of this family. The environmental factors driving the distribution of endemic Fabaceae have been identified, as well as the potential areas of occurrence; their conservation status in the region has also been studied. The current study has verified and digitized all the herbarium samples kept at the National Botanical Garden of Belgium and the Université Libre de Bruxelles regarding the Fabaceae family. Geographic Information Systems have been used frequently. Spatial analysis showed an uneven distribution of Fabaceae species diversity. The zones where species richness depends on endemic species diversity are suggested to have priority for conservation. A cluster analysis applied to the dataset of Mimosoideae has highlighted three major floristic regions. These three regions correspond to existing phytogeographical regions defined by White (1979, 1983). A study on Caesalpinioideae species of Central Africa has confirmed the existence of indicator species of phytogeographic territories of Ndjele (1988). A case study conducted in Katanga (D.R Congo) showed that deforestation constitutes a potential threat for these species, the most vulnerable being those strictly confined to forest habitats. The potential distribution of endemic Fabaceae (Caesalpinioideae) showed a clear convergence between the current distribution maps and the potential distibutions. Sites where those species had not been reported before have been identified. The potential distribution enabled to identify the importance of the different environmental factors for each endemic species’ distribution. This study also showed that large regions characterized by important endemic species diversity are not covered by current zones of conservation in Central Africa. This dissertation confirms Central Africa as an important zone for biodiversity conservation. The current research should be completed by the potential distribution of non endemic Fabaceae species of Central Africa, an important criterion to evaluate their degree of vulnerability. Creation of new protected areas would reinforce the current status of conservation in the region. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
|
26 |
Analyse multi-échelle et interprétation géodynamique des données morphostructurales associées au volcano-plutonisme phanérozoïque d'Afrique équatoriale (ligne du Caméroun et régions voisines) / Multi-scale analysis and geodynamic interpretation of morphostructural data associated to the phanerozoic volcano-plutonism of Equatorial Africa (Cameroon line and neighboring regions)Nkono, Collin 13 November 2008 (has links)
De l’observation microscopique d’une lame mince à l’observation mégascopique d’une province volcano-plutonique par télédétection (SRTM, Landsat), ce travail s’intéresse aux méthodes de comptage, aux traitements statistique et fractale des tailles, formes, orientations et distributions spatiales ainsi qu’à l’interprétation pétrogénétique et/ou géodynamique de différents marqueurs géologiques (cristaux, linéaments, cônes volcaniques…) associés au volcano-plutonisme phanérozoïque d’Afrique équatoriale (Ligne du Cameroun et régions voisines).<p><p>L’analyse à l’échelle microscopique de la distribution de taille de grains et des textures de roches volcaniques et mantelliques (laves et enclaves provenant de l’île de Bioko, golfe de Guinée) a permis de mettre en évidence l’importance d’une quantification objective des paramètres de taille et des relations entre les phases minérales. Après avoir appliqué et discuté les résultats obtenus par les méthodes dites de « distribution de tailles de grains » ou CSD (Crystal Size Distribution), les relations spatiales entre les cristaux et donc les textures ont été étudiées par analyse fractale classique puis grâce à l’entropie de Shannon, dont il s’agit de la première application 2D. La généralisation de ces méthodes de comptage à des objets géologiques de plus grande taille (linéaments, cônes volcaniques…) par le biais des images satellites (Landsat) et modèles numériques de terrain (MNT) issus des données SRTM, a permis d’aborder de manière objective, sur un nombre suffisant de mesures, la morphostructure de la région étudiée. L’ensemble des données morpho-structurales, soit 15.171 linéaments, 8.092 cônes volcaniques ou complexes annulaires, d’une vaste zone de plus de 2.700.000 km2 autour du golfe de Guinée, ont permis d’élaborer plusieurs modèles structuraux locaux qui, synthétisés dans une vue spatio-temporelle complète depuis le Carbonifère jusqu’à l’actuel, ont permis de redéfinir l’évolution géodynamique de la région.<p><p>Cette zone mobile complexe, pincée entre le craton congolais et le craton ouest-africain, est caractérisée par un soubassement précambrien, réactivé lors de la mise en place des grands bassins sédimentaires et ensembles magmatiques phanérozoiques. Contrairement à un modèle unique, souvent invoqué, l’évolution géologique régionale se présente comme une suite de régimes transcurrents dextres se déplaçant spatialement autour des directions N80 au Jurassique, N120 au Crétacé et N30 du Paléogène à l’actuel. L’intégration des nombreuses données géochimiques et isotopiques de la littérature aux modèles géodynamiques de ce travail oblige à globaliser le magmatisme cénozoïque à l’échelle de l’Afrique équatoriale dans son ensemble qui se présente alors comme un « ensemble » magmatique cohérent.<p> / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
|
27 |
Analyse des structures spatiales des données de distribution phytogéographique des Acanthaceae en Afrique centrale / Analysis of the spatial structures of the data of phytogeographic distribution of the Acanthaceae in central AfricaKoffi, Kouao Jean 04 July 2008 (has links)
Les données phytogéographiques reflètent la variabilité spatiale de la diversité des espèces et constituent donc un outil important dans le développement des politiques de conservation. Afin de stimuler et de valoriser le concept des systèmes phytogéographiques, cette étude dont le thème est «Analyse des structures spatiales des données de distribution phytogéographique des Acanthaceae en Afrique centrale» s’est donnée pour but (1) d’analyser la distribution spatiale de la famille des Acanthaceae en Afrique Centrale (R.D. Congo, Rwanda, Burundi) ;(2) de comparer cette distribution avec les théories phytogéographiques de Robyns (1948), White (1979, 1986) et Ndjele (1988); (3) d’utiliser les modèles de distribution spatiale comme support (outil) pour évaluer l'impact humain sur le paysage et la diversité; (4) d’identifier les espèces indicatrices potentielles des territoires phytogéographiques; (5) de mettre en évidence le phénomène de vicariance; et (6) de quantifier l’impact de la fragmentation du paysage forestier en Afrique centrale. Dans cette étude, deux niveaux de résolution spatiale ont été considérés: les systèmes phytogéographiques et les systèmes de maillage. Un système d’information géographique a été utilisé pour réaliser des cartes de distribution spatiale de chaque espèce. Le choix des Acanthaceae de l’herbier du Jardin Botanique National de Belgique (BR), a été dicté par le faite qu’elle a subit une révision systématique et par le nombre important de ses échantillons. L’aspect floristique a révélé 9181 échantillons, récoltés de 1888 à 2001 par environ 427 collecteurs en R.D. Congo, au Rwanda et au Burundi représentant 48 genres, 310 espèces et 6362 localités. La carte de distribution spatiale de l’ensemble des échantillons a mis en évidence les niveaux de prospection. Certains territoires phytogéographiques ont été plus explorés que d’autres. Les entités phytogéographiques les plus explorées et donc les plus diversifiées sont le centre régional d’endémisme Afromontagnard, incluant la Mosaïque régional du lac Victoria, et le centre régional d’endémisme Zambézien. Les cartes de distribution de chaque espèce mettent en évidence les patrons de distribution spatiale. Certaines espèces ont une large distribution alors que d’autres sont inféodées à certaines zones spécifiques. Ces dernières, qualifiées « d’espèces uniques » ou « espèces caractéristiques » peuvent être utilisées comme des bio-indicateurs pour stimuler et valoriser le concept de systèmes phytogéographiques dans la politique de la conservation. En utilisant uniquement la famille des Acanthaceae, il a été montré que l’impact de la fragmentation du paysage forestier est très important. Les espèces inféodées à une région phytogéographique sont des espèces vulnérables. Elles peuvent disparaître si leur biotope est détruit. La distribution potentielle, basées sur les localités de récolte et les variables environnementales, ont été réalisées afin de mieux déterminer les niches écologiques des espèces et les cas de vicariance. Deux types de vicariance ont été mis en évidence à travers les systèmes phytogéographiques de Robyns (1948) et de White (1979, 1986), au niveau générique et spécifique: la vicariance écologique et la vicariance géographique. La vicariance écologique s’applique aux espèces ou sous-espèces récoltées dans les mêmes territoires phytogéographiques tandis que la vicariance géographique concerne les espèces ou sous-espèces récoltées dans des territoires phytogéographiques séparés. L’analyse des cas de vicariance a mis en relief les zones de spéciation. L'analyse de classification hiérarchique a montré que les Acanthaceae suivent mieux le système phytogéographique de White (1979, 1986) que ceux proposés par Robyns (1948) et Ndjele (1988). Pour mieux valoriser cette approche, cette méthodologie doit être appliquée à d’autres familles largement récoltée en R.D. Congo, au Rwanda et au Burundi comme la famille des Rubiaceae, des Mimosoideae, afin de (1) synchroniser toutes les bases de données pour mieux mettre en évidence le degré d’exploration, les espèces à amplitude écologique restreinte (espèces uniques) et (2) de permettre d’identifier des zones prioritaires pour la conservation. <p><p><p>Phytogeographic data reflect the spatial variability of plant diversity and constitute consequently a potential tool for conservation policy development. In order to stimulate and valorise the concept of phytogeographic systems, this dissertation entitled “Analysis of the spatial pattern of phytogeographic data of Acanthaceae in Central Africa” aims (1) to analyse the spatial distribution of the Acanthaceae family in Central Africa (Democratic Republic of the Congo, Rwanda, Burundi); (2) to compare this distribution with the known phytogeographic theories of Robyns (1948), White (1979, 1986) and Ndjele (1988); (3) to use the spatial distribution models as a tool for evaluating the human impact on landscapes and diversity; (4) to identify potential indicator species of the phytogeographic territories; (5) to evidence the phenomenon of vicariance; and (6) to quantify the impact of the fragmentation of forested landscapes in central Africa. In this study, two levels of spatial resolution have been considered: the phytogeographic systems themselves and a system of grid cells. A geographic information system has been used to draw maps of the spatial distribution of every species. The choice to analyse the Acanthaceae family of the herbarium of the National Botanical Garden of Belgium (BR) has been justified by the systematic revision of this collection and by its huge number of samples. The data set contained 9181 samples, collected between 1888 and 2001 by about 427 collectors in the Democratic Republic of the Congo, Rwanda and Burundi ;the samples represented 48 genera, 310 species and 6362 geographic positions. The maps showing the spatial distribution of all samples pooled evidenced the different levels of exploration of the study area. Certain phytogeographic territories have been explored more intensely than others. The mostly explored zones, consequently also denoted as the most diverse ones, were the Afromontane regional centre of endemism, including the regional mosaic of Lake Victoria, and the Zambezian regional center of endemism. Species distribution maps evidenced the spatial patterns of species presence. Certain species showed an overall distribution while others were clearly bound to particular territories. The latter species, denoted as “unique species” or “characteristic species” could be used as bio-indicators to stimulate and valorise the concept of the phytogeographic systems in the framework of conservation policy development. By means of the Acanthaceae family, it has been shown that the impact of forest fragmentation will be considerable; species bound to a specific phytogeographic zone are assumed vulnerable; they will disappear when their biotopes are destroyed. The potential distribution of the species, based on the geographic position of the samples and on environmental data, have been generated in order to describe more precisely the ecological niches of the species involved and to detect cases of vicariance. Two types of vicariance have been found using the phytogeographic territories of Robyns (1948) and White (1979, 1986) at the genus and the species levels: ecological vicariance and geographic vicariance; the former type involves species or subspecies observed in the same phytogeographic region while the latter type involves species and subspecies not found in the same territory. This analysis enabled us to identify zones of speciation. A cluster analyses showed that the spatial distribution of the Acanthaceae data corresponded more closely to the phytogeographic system of White (1979, 1986), than to those proposed by Robyns (1948) or Ndjele (1988). In order to valorise our approach, the current methodology should also be applied to other families widely collected in the Democratic Republic of the Congo, Rwanda and Burundi, such as the Rubiaceae or Mimosoideae families, this (1) to synchronise all data bases for a more profound understanding of the degree of exploration and of the existence of species with a limited ecological amplitude (unique species), and (2) to enable the identification of zones that should be prioritised for conservation. <p> / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
|
28 |
The relationship between disclosed audit committee effectiveness variables and the external audit opinion expressed in South African Central government departmentsManamela, Dipakiso Clara 02 1900 (has links)
Corporate governance failures raise questions by stakeholders seeking explanations why audit committees are failing to play their agency role effectively. The objective of this study was to determine the relation between 49 disclosed audit committee effectiveness variables based on King III Code recommended practices and the external audit opinion expressed in South African central government departments. Descriptive statistics highlighted variances in 14 variables across 93 departments. Categorical principal component analysis categorised the 14 variables into four factor variables and hypotheses. Multivariate ordinal logistic regression tested the hypotheses. Results suggest that disclosure of a higher number of variables was generally associated with a clean audit report, while the association between a higher number of disclosures regarding audit committee structure and profile variables and a clean audit report was significant. Improvements to National Treasury’s disclosure templates and review of departmental managers’ disclosures about audit committees in annual reports are recommended. / Gevalle van korporatiewe beheer mislukking laat vrae by belanghebbers ontstaan waarom ouditkomitees versuim om hul oorsigrol doeltreffend te vervul. Die doel van hierdie studie was om te bepaal watter verband daar bestaan tussen 49 vasgestelde ouditkomiteedoeltreffendheidsveranderlikes vervat in die aanbevole praktyke volgens die King III-kode en die eksterne ouditmening wat in sentrale staatsdepartemente in Suid-Afrika uitgepreek is. Beskrywende statistiek het variasies in 14 veranderlikes oor 93 departemente uitgewys. Kategoriesebeginsel-komponentontleding het die 14 veranderlikes in vier faktorveranderlikes en hipoteses gekategoriseer. Meerveranderlike ordinale logistieke regressie het die hipoteses getoets. Resultate toon dat openbaarmaking van ʼn groter getal veranderlikes oor die algemeen verband hou met ʼn skoon ouditverslag; en die verband tussen ʼn groter getal openbaarmakings betreffende ouditkomiteestruktuur- en profielveranderlikes en ʼn skoon ouditverslag was beduidend. Verbeteringe aan Nasionale Tesourie se openbaarmakingstemplet en nasiening van departementele bestuurders se openbaarmakings rakende ouditkomitees in jaarverslae word aanbeveel. / Go palelwa ga ditshepedišo tšeo di latelwago go laola khamphani go dirile gore bengdithoto ba ipotšiše dipotšišo tše di nyakago ditlhalošo tša gore gobaneng dikomiti tša tlhakišo di šitwa go kgatha tema ya tšona ya bodiredi ka bokgoni. Maikemišetšo a thutelo ye e be e le go šupa tswalano gare ga mabaka ao a ka fetogago a go tliša katlego a 49 ao a utollotšwego a komiti ya tlhakišo go ya ka ditlwaelo tše di šišintšwego tša King III Code le maikutlo a tlhakišo ya ka ntle ao a filwego ke dikgoro tša mmušo wa gare tša Afrika Borwa. Dipalopalo tšeo di fago tlhalošo ya popego ya datha di bontšhitše phetogo go mabaka ao a ka fetogago a 14 ka go dikgoro tše 93. Tshekatsheko ya karolo ye kgolo ya tlhopho e hlophile mabaka ao a ka fetogago a 14 go ya ka mabaka ao a ka fetogago le ditlhalošo tše di šišintšwego tše nne. Mokgwa wa tshekatsheko ya go fetogafetoga ga didatha go ya ka tatelano goba kgetho o dirišitšwe go leka ditlhalošo tše di šišintšwego. Dipoelo di šišintše gore kutollo ya palo ya godingwna ya mabaka ao a ka fetogago ka kakaretšo e tswalane le maikutlo a tlhakišo ao a se nago bosodi, gomme tswalano gare ga palo ya godingwana ya dikutollo tša mabaka ao a ka fetogago a popego ya komiti ya tlhakišo le profaele le maikutlo ao a se nago bosodi e bile bohlokwa. Dikaonafatšo go mokgwatshepedišo wa kutollo wa Polokelo ya Bosetšhaba le tekolo ya dikutollo tša bolaodi ka ga dikomiti tša tlhakišo ka go dipego tša ngwaga ka ngwaga di a eletšwa / Centre for Accounting Studies / M. Phil. (Accounting Sciences)
|
29 |
The economic value of Albertine Rift Forests : applications in policy and programmingBush, Glenn K. January 2009 (has links)
The objective of this thesis is to quantitatively understand the economic performance of protected area management strategies for forest and biodiversity conservation. Examples such as integrated conservation and development and eco tourism are assessed in terms of their ability to deliver on welfare benefits to local communities, and an assessment of the opportunity costs of forest conservation as a land use strategy. In addition the contribution of forest conservation in protected areas can make to poverty alleviation and economic development is also examined. The geographical focus of this study is the Albertine Rift region of East and Central Africa, stretching north from the southern end of Lake Tanganyika through the spine of Africa to the northern end of Lake Albert. The Albertine Rift is one of Africa’s most important landscapes for the conservation of forests and biodiversity. The overarching objective is addressed using a series of case studies empirically valuing the opportunity costs of conserving forests in a selection of sites in the central part of the Albertine Rift. The success of conservation is most often measured against progress in reducing habitat or species loss and not often in terms of the contribution of the protected area to poverty alleviation and local economic development. Achieving improvements of conservation strategies in the social dimension requires objective evidence on their effects. Economic valuation of protected area resources provides a quantitative means of assessing the promise and performance of conservation policies in achieving welfare benefits to local communities. This thesis provides three case studies each addressing current valuation and social issues in conservation and sets them in a context of managing protected areas in the broad dynamic setting of poverty alleviation and economic growth from a developing economy perspective. In addition two of the empirical studies are as concerned with methodological enquiry and the performance of novel environmental economic valuation techniques, such as the contingent valuation and choice modelling approaches, as the application of results to conservation questions. The empirical studies show that the benefits to local households and communities from their local forests may be greater than at first perceived. Across all protected area categories, biomes and income groups, households derived significant amounts of their overall income from their local protected area with large proportions of the value of goods harvested from forests being consumed in the home. Amongst income groups high income households often appropriated a greater share of the value of forest goods. There was no significant difference found between the household consumption and the sale of protected area products between income groups. The findings indicate that imposing reductions in forest use may increase poverty amongst local people whilst increasing household income will not necessarily reduce forest exploitation. This indicates that community conservation and integrated conservation and development programmes must target the poor forest adjacent households more actively to ensure poverty alleviation, whilst providing improved protection and law enforcement for effective conservation. It is also shown that biodiversity conservation can have an economic return through mountain gorilla eco-tourism. Findings show a disparity between what constitutes eco-tourism and the real values of tourists towards biodiversity conservation and local social benefits from protected areas. Despite showing a high marginal utility for biodiversity conservation, consumers are unwilling to pay for local community benefits from tourism as part of the permit price to view gorillas. Clearly the link between successful conservation and the welfare status of local communities is not sufficiently established in the minds of consumers to influence their spending decisions. The challenges of effectively mobilising communities to protect biodiversity are discussed in the context of the variable impacts of integrated conservation and development programs over the last three decades. Direct payment payments for conservation services schemes are discussed as an innovative tool to add to the gamut of community approaches currently on offer. Payments for conservation schemes are viewed with cautious optimism in terms of their possibility for success. Despite their allure of being more economically and socially efficient at achieving welfare and conservation objectives, given the complex nature of any society, no less research in to social and economic dynamics of protected area use by local communities would be needed to ensure success of such schemes. However, the overwhelming majority of benefits form protected areas are tied up in ecosystem services values. Mechanisms to generate funding and distribute payments for these benefits in terms of offsetting the local opportunity costs are essential to change local behavior and reduce forest degradation and destruction.
|
30 |
The suitability of the CISG and OHADA for small and medium-sized enterprises engaging in international trade in west and central AfricaDonfack, Narcisse Gaetan Zebaze 19 July 2016 (has links)
It is universally acknowledged that international trade and cooperation have become key drivers of SMEs. Indeed, the success of SMEs in the sales sector depends upon their capacity to conquer the foreign market and compete with larger companies. Many SMEs today, in particular those in Central and West Africa, are very much aware of this reality. However, because of differences between domestic laws and their maladjustment, many African SMEs still struggle to enter the international market and compete with larger companies. It is therefore obvious that any SMEs that want to succeed in international commerce today will be called upon to confront different regulations, whether domestic, regional or international, which are often shaped according to the realities and expectations of a particular environment. The challenge today is to regulate and harmonise these different legal systems, in order to render the law identical in numerous jurisdictions. This process of unifying the law internationally, in particular the law of sale, started in 1920 and culminated in 1988, with the implementation of the CISG. This Convention, which has become the primary law for international sales contracts, endeavours to deal with this problem of differences in law between states on a global scale, by attempting to achieve a synthesis between different legislations, such as civil law, common law, socialist law, and the law regarding industrialised and Third World countries.
Even though the CISG appears to be a compromise between different legal systems, the fact remains that it is not yet applicable in many countries, especially those in Central and West Africa, which are mostly still ruled by domestic and regional law, namely the OHADA. The purpose of this study is to attempt to analyse and compare the OHADA’s Uniform Act Relating to Commercial Law to the CISG, in order to identify similarities and differences between the two, and to determine, with regard to the operating mode and structure of SMEs in West and Central Africa, which one of the two legislations is more appropriate. / Private Law / LL. M.
|
Page generated in 0.0636 seconds