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La Politique étrangère de la République de Zambie /Rham, Gérard de. January 1977 (has links)
Thèse--Sc. pol.--Lausanne, 1976. / Bibliogr. p.251-269.
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La démocratie en Afrique subsaharienne le cas du CamerounDemers-Labrousse, Nicolas January 2012 (has links)
La démocratie est actuellement perçue comme le mode de gouvernance par excellence à travers le monde. En Afrique, les années 1990 furent marquées par un élan de démocratisation traversant presque tout le continent. Ce changement politique entraîna dans bien des pays du continent noir la naissance du multipartisme, des modifications aux constitutions, des élections plus justes et mieux encadrées, bref, une meilleure qualité démocratique. Toutefois, cette démocratie est loin d'être parfaite et bien des problèmes subsistent notamment au niveau de la passation de pouvoir ainsi qu'au niveau du caractère occidental du développement de ces démocraties. Pour étudier cette situation, nous concentrerons notre recherche sur l'analyse de la démocratie dans l'État camerounais. Partant de la question à savoir quels sont les facteurs qui influencent la pratique de la démocratie au Cameroun, nous chercherons à dresser un bilan politique de cet État et de tirer des conclusions qui pourraient tout aussi bien s'appliquer à d'autres pays d'Afrique subsaharienne. L'incursion dans l'historique liée à l'émergence des différentes formes et manifestations de processus démocratique en Afrique nous démontre que chacune des périodes a contribué au développement d'un aspect de la situation politique actuelle. Nous voyons aussi que le poids des facteurs extérieurs tels que les puissances occidentales et les institutions économiques (FMI et BM) a un impact direct sur l'exercice de la démocratie dans ces États africains. Au Cameroun, notre pays à l'étude, il nous apparaît clairement que malgré des progrès considérables dans les domaines de l'ouverture au multipartisme, à la liberté de presse et d'association, des entraves majeures entachent encore le processus démocratique. De celles-ci, nous pouvons penser au manque d'alternance au pouvoir et aux fraudes électorales. Notre analyse nous permet aussi de croire qu'une démocratie plus directe, moins représentative, davantage basée sur la tradition et sur les valeurs traditionnelles africaines permettrait une meilleure intégration du système politique de ces États. Finalement, ce travail propose une piste de réflexion sur l'avenir politique du Cameroun, en y reconnaissant les tenants et aboutissants.
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Étude de la dégradation des sols due à la dynamique agricole au Sud du MaliLoyer, Cyrielle January 2011 (has links)
La présente recherche répond au besoin actuel d'évaluer l'impact des activités humaines sur les ressources naturelles de manière à encourager une exploitation durable de ces ressources. On s'intéresse précisément ici à une centaine de parcelles situées autour du terroir d'Umarbugu au Sud du Mali, une région particulièrement sensible au phénomène de dégradation des sols. L'application du modèle SLEMSA aux données caractérisant les parcelles agricoles mentionnées précédemment a permis d'obtenir des estimations annuelles des taux de pertes en sols. Celles-ci reflètent la grande variabilité et l'intensité du climat avec des années de sécheresse et très peu de pertes en sols mais aussi des années dans la moyenne, 850 mm de précipitations répartis sur environ quatre mois, ou davantage, avec des épisodes de pluies beaucoup plus intenses et de fait des pertes beaucoup plus alarmantes pouvant dépasser les 35 t/ha/année. L'analyse des estimations obtenues a également permis d'identifier certains facteurs aggravant tels que la culture du coton ou les champs ayant une grande superficie. Le modèle choisi permet de tenir compte d'éventuelles pratiques de conservation et l'on sait que certains propriétaires des champs d'Umarbugu commencent à utiliser la culture en courbes de niveau, ce qui réduit l'écoulement et favorise la rétention de l'eau. On a donc effectué quelques simulations afin d'évaluer l'impact de telles pratiques et l'on a abouti à une diminution d'environ 60 % des taux de pertes de sols.
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Les organisations bureaucratiques dans une "cité éducative" : le cas de l'Afrique noireLoueke, Basile 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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The burdens of a world power : the Eisenhower administration and decolonisation in Sub-Saharan Africa, 1955-1960DesRoches, Christian 25 April 2018 (has links)
À la fin des années cinquante, une vague nationaliste déferle sur l'Afrique sub-saharienne. L'administration Eisenhower (1953-1961) se trouve soudainement déchirée entre ses obligations envers l'Europe occidentale et les aspirations autonomistes des États africains nouvellement émancipés. Ces derniers reprochent à Washington ses liens privilégiés avec les métropoles et sa vision manichéenne du monde, dominée par la Guerre froide. Soucieuse de ménager l'appui de ces nouvelles nations, mais réticente à l'idée de sacrifier ses bonnes relations avec l'Europe, l'administration Eisenhower se lance prudemment dans l'aventure africaine, élaborant des programmes d'aide aux nouveaux États et adoptant une politique plus flexible envers le nationalisme et le neutralisme africains. L'année 1960, qui voit l'émancipation de dix-sept pays africains et l'irruption du problème congolais, va amener Washington à remettre en question certains aspects de sa politique eurocentrique et l'inciter à entamer des mesures plus dynamiques afin d'attirer la faveur de ces nouveaux États africains. / At the end of the 1950s, the African continent was overwhelmed by a torrent of nationalism, amidst an already tense international situation. The Eisenhower Administration (1953-1961) soon found itself torn along the lines of the colonial debate, caught between its traditional obligations to America's Western European allies and the political aspirations of the nascent African countries. These new states were often critical of Washington's close ties to the metropolitan powers and were suspicious of U.S. Cold War priorities. In an effort to sway the new African nations, the Eisenhower Administration cautiously elaborated an African policy, establishing a basic diplomatic framework, devising foreign aid programs and adopting a more flexible stance toward African nationalism and neutralism. The year 1960, which witnessed the independence of seventeen African states and the eruption of the Congo quagmire, induced Washington to question its Eurocentric policies and to undertake a more dynamic approach to African nationalism in the hope of preserving Western influence over the continent. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Comprendre les (non) interventions militaires de la France en Afrique subsaharienne à l'aide de la théorie cohabitationnisteZoungni, Fiacre 13 December 2024 (has links)
Malgré la fin de la colonisation dans les années 1960 en Afrique, la France est demeurée présente sur le continent par le biais de plusieurs accords et conventions signés avec ses anciennes colonies afin d’établir des coopérations dans plusieurs domaines (économique, monétaire, politique, culturel, défense). Grâce à une politique militaire particulière, la France intervient militairement dans plusieurs conflits civils en Afrique subsaharienne. Dans le même temps, elle se refuse parfois à intervenir dans d’autres. La problématique de cette recherche est d’expliquer les raisons pour lesquelles la France intervient militairement dans certains conflits civils en Afrique subsaharienne et pourquoi elle se refuse à intervenir dans d’autres. Pour résoudre cette énigme, cette thèse développe la théorie de la cohabitation ou la théorie cohabitationniste basée sur le principe transactionnel de la délégation du pouvoir développé par les néo-institutionnalistes du choix rationnel qui vise à évaluer la performance démocratique des régimes politiques. Cette théorie, composée de deux modèles, affirme qu’à cause des contraintes institutionnelles et politiques qui naissent durant les périodes de cohabitation, il est difficile pour un gouvernement français d’initier une intervention militaire en Afrique subsaharienne. Cette situation, propre aux régimes semi-présidentiels, explique certains refus de la France à intervenir militairement dans certains conflits civils. Par contre, en période de gouvernement unifié, il est plus aisé de déclencher une intervention militaire puisqu’il y a une cohérence et une concordance des politiques gouvernementale et présidentielle. De façon empirique, nous avons démontré que le refus de la France à intervenir en Côte d’Ivoire en 1999 après le coup d’État militaire, en République Centrafricaine après les mutineries de 1998 et 2001, était en substance lié au conflit institutionnel engendré par la troisième cohabitation (1997 – 2002). Durant cette période, nous avons noté qu’en dépit du fait que plusieurs questions écrites aient été envoyées au gouvernement par des parlementaires français pour connaitre l’attitude de la France par rapport à ces instabilités politiques, l’option d’une intervention militaire n’a pas été retenue. En revanche, après les élections présidentielles des 21 avril et 5 mai 2002 et les élections législatives des 9 et 16 juin 2002, la France a amorcé une nouvelle ère de gouvernement unifié. C’est durant cette période que le gouvernement français a pu initier l’Opération Licorne en envoyant des troupes armées en Côte d’Ivoire en 2002 et l’Opération Boali en 2003 en République Centrafricaine. / Despite the end of colonization in the 1960s in Africa, France remained present on the continent through several agreements and conventions signed with its former colonies in order to establish cooperation in several fields (economic, monetary, political, cultural, defense). Thanks to a particular military policy, France intervenes militarily in several civil conflicts in sub-Saharan Africa. At the same time, it sometimes refuses to intervene in others. The problematic of this research is to explain the reasons why France intervenes militarily in certain civil conflicts in sub-Saharan Africa and why it refuses to intervene in others. To solve this enigma, this thesis develops the theory of cohabitation or cohabitationist theory based on the transactional principle of the delegation of power developed by the neoinstitutionalist rational choice that aims to assess the democratic performance of political regimes. This theory, composed of two models, states that because of the institutional and political constraints that arise during periods of cohabitation, it is difficult for a French government to initiate a military intervention in sub-Saharan Africa. This situation, peculiar to the semi-presidential regimes, explains France's refusal to intervene militarily in certain civil conflicts. On the other hand, in times of unified government, it is easier to trigger a military intervention since there is a coherence and a concordance of government and presidential policies. Empirically, we have shown that the refusal of France to intervene in Côte d'Ivoire in 1999 after the military coup and in the Central African Republic after the mutinies of 1998 and 2001, was in essence linked to the institutional conflict engendered by the third cohabitation (1997 - 2002). During this period, we noted that despite the fact that several written questions were sent to the government by French parliamentarians to know the attitude of France with regard to these political instabilities, the option of a military intervention was not selected. On the other hand, after the presidential elections of 21 April and 5 May 2002 and the legislative elections of 9 and 16 June 2002, France has entered a new era of unified government. It was during this period that the French government was able to initiate Operation Licorne by sending armed troops to Côte d'Ivoire in 2002 and Operation Boali in 2003 to the Central African Republic.
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Célébrer des passages dans les Églises de l'Afrique subsaharienneShamvu, Jean-Pierre Mulago 27 February 2021 (has links)
En Afrique, comme partout dans le monde, les moments de passage dans la vie sont célébrés de façon particulière. Le christianisme, par la nouveauté de l’Évangile apporté par les missionnaires occidentaux et forcément teinté de leur propre culture, a été perçu par les Africains comme apportant une proposition de nouvelles manières de célébrer les passages. Pour avoir la paix avec ces hommes qui avaient avec eux «l'argent et l'arme à feu», les peuples ont adopté ces «nouveautés», mais en privé ils n'ont pas moins continué à pratiquer selon leurs propres traditions. Le mouvement d'émancipation politique et culturelle aura aussi des répercussions religieuses avec la revendication d'une expression chrétienne africaine. Ce travail entend contribuer à cette expression africaine du christianisme dans la célébration des grands moments de la vie. Pour l'Africain, vivre c'est célébrer les joies et les peines de l'existence. Pour le christianisme en Afrique, une liturgie inculturée sera le meilleur moyen pour montrer au peuple que la foi n’est pas une étrangère sur le continent.
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Les défis de gouvernance dans la mise en oeuvre des politiques d'éducation en Afrique : le cas de la GuinéeBarry, Mamadou Billo January 2012 (has links)
Cette recherche aborde les défis de gouvernance en Guinée, un pays de l'Afrique subsaharienne bénéficiant de l'aide internationale pour réformer son système éducatif. Lors de cette réforme, l'approche préconisée par les grandes institutions économiques mondiales donnera l'occasion aux différents acteurs (traditionnels et non traditionnels) de jouer de nouveaux rôles en éducation. Cette orientation ayant remis en cause les relations de pouvoir établies dans ce secteur où l'État guinéen jouait un rôle de premier plan jusqu'au tournant des années 1990, quelle est aujourd'hui la nature des défis et des enjeux? Une approche qualitative a permis d'explorer cette question et de documenter les expériences vécues par les nombreux acteurs impliqués, selon leurs rôles et leurs niveaux d'intervention. L'exploitation de ces données fait ressortir que : • la réforme de l'éducation de la Guinée a été fortement influencée par les forums internationaux (Jomtien, 1990; Dakar, 2000) et par les bailleurs de fonds par le biais de leurs conditionnantes; • l'approche privilégiée pour la mise en oeuvre de la réforme a été souvent de sous-traiter l'exécution des projets avec des acteurs relais membres de la société civile (des ONG originaires des pays bailleurs de fonds) et des médiateurs locaux; • la présence d'une diversité d'intervenants a posé la problématique du leadership entre les nombreux acteurs dans l'identification des priorités et des stratégies; • l'État a opté pour un accommodement pragmatique pour bénéficier des différents financements. Comme conséquence, rarement dans le secteur de l'éducation des priorités autres que celles soutenues par les bailleurs de fonds ont été réalisées. L'essentiel des investissements sera consacré à l'enseignement élémentaire, dont la croissance rapide se répercute négativement sur les autres ordres d'enseignement. Les indicateurs d'accès ont fortement augmenté à tous les niveaux d'enseignement, mais la qualité reste un problème préoccupant. La réforme fut l'occasion d'expérimenter de nouveaux modes de collaboration et de régulation dans la gouvernance éducative du pays. La discontinuité du pilotage par l'État favorisera la concurrence entre acteurs traditionnels et acteurs relais pour des zones d'intervention éducative. Cette implication de plusieurs intervenants aura pour effets la promotion de stratégies divergentes et la recherche constante de mécanismes de régulation. Des stratégies de régulation changeantes couplées à un État fragile, d'une part, et le conflit d'intérêts entre de nombreux acteurs, d'autre part, ont été des facteurs qui ont permis d'améliorer qualitativement très peu la gouvernance du secteur. L'absence d'une vision systémique dans la formulation des projets sectoriels pendant longtemps, malgré l'avènement du programme sectoriel de l'éducation en 2008, explique les défis et les enjeux actuels auxquels le système fait face, car la transformation de l'éducation exige une vision stratégique et systémique, mais également un travail de développement continu. Si la pertinence du rôle de l'autorité publique en matière d'éducation est ressortie, cette recherche pose le problème de la mise en oeuvre de l'aide publique au développement du secteur de l'éducation des États fragiles en particulier. En Guinée, l'étude démontre que ce secteur exige une nouvelle approche obligeant l'État à jouer un nouveau rôle de régulation. L'enjeu est comment promouvoir une éducation de qualité à l'abri des conflits entre les organisations pourvoyeuses de ressources. Désormais, quels rôles respectifs reviennent aux acteurs traditionnels et aux autres parties prenantes de plus en plus nombreuses clans la réforme de l'éducation?
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Essays on development and biodiversity conservation in Sub-Saharan Africa / Essais sur le développement et la conservation de la biodiversité en Afrique sub-saharienneAmin, Ariane Manuela 03 December 2014 (has links)
La présente thèse est composée d’un ensemble de travaux de recherche en économie appliquée qui s’inscrivent dans le champ contemporain de l’économie de la biodiversité. La thèse s’intéresse spécifiquement aux liens entre développement économique, bien-être local et conservation de la biodiversité avec comme zone d’étude l’Afrique subsaharienne. Un chapitre introductif présente les questions de recherche débattues dans cette thèse et situe notre contribution dans la littérature.Le reste de la thèse est composé de deux parties regroupées en études macroéconomiques et en études de terrain. La partie 1 (composé du chapitre 2 et du chapitre 3) aborde le lien biodiversité-développement sous un angle macroéconomique en considérant les interactions spatiales entre pays. Le chapitre 2 examine l’impact du développement en Afrique Subsaharienne sur la biodiversité mesuré à partir d’indicateurs récents sur les espèces menacés. Le chapitre 3 s’intéresse aux mécanismes qui soutiennent les politiques publiques de conservation en Afrique Subsaharienne et teste l’effet du tourisme, de l’aide environnementale et des effets transfrontaliers sur l’effort de conservation. La partie 2 (composé du chapitre 4 et du chapitre 5) présente deux études de cas en Côte d’Ivoire. Le chapitre 4 évalue monétairement les coûts et les bénéfices de la conservation pour les populations locales. Le chapitre 5 examine les préférences des populations pour la conservation et identifie les facteurs clés qui déterminent ces préférences locales. Le chapitre 6 fait une synthèse des résultats en tire les implications en termes de recommandations de politiques et présente de potentielles extensions de la thèse. / This thesis is composed of a set of research in applied economics that enroll in the contemporary field of economics of biodiversity. The thesis focuses specifically on the links between economic development, local welfare and biodiversity conservation in sub-Saharan Africa region. An introductory chapter presents the subject of the thesis as well as the research field and situates our contribution.The rest of the thesis is composed of two parts divided into macroeconomic studies and case studies. Part 1 (composed of chapter 2 and chapter 3) addresses the link biodiversity and development under a macroeconomic perspective by taking into account spatial interactions between countries. In chapter 2, we examine the impact of development in sub-Saharan Africa on biodiversity using recent indicators on threatened species. In chapter 3, we focus on the mechanisms that support public conservation policies in Sub-Saharan Africa and tested the effect of tourism, environmental aid and spillover effects on conservation effort. Part 2 (composed of chapter 4 and chapter 5) presents two case studies in Ivory Coast. Chapter 4 presents a cost benefit analysis using contingent valuation and market price method. It evaluates the costs and benefits of conservation for local populations. In chapter 5 we examine people's preferences for conservation and identify key factors that determine local preferences. In the last chapter we draw implications of results and present potential extensions of this thesis.
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Ressources naturelles et développement durable dans les économies subsahariennes : le rôle de l'Union Européenne / Natural Resources and Sustainable development in the Subsaharian Economics : the Role of European UnionTomo, Gisèle 02 February 2012 (has links)
Les ressources naturelles sont des actifs prélevées dans la nature pour, dans la plupart des cas améliorer les conditions d'existence de la population. En Afrique Subsaharienne, les économies sont dominées par l'exploitation de ces ressources naturelles qui contribuent à la formation de la richesse nationale. Cette exploitation des ressources naturelles devrait donc permettre l'amélioration du bien-être des générations présentes sans compromettre la possibilité pour les générations futuresd'améliorer le leur. Ainsi, les ressources naturelles devraient être exploitées de telle sorte que le patrimoine représenté par l'environnement ne soit pas altéré et que les populations vivant grâce aux ressources naturelles voient leurs conditions d'existence s'améliorer aujourd'hui et dans le futur. Le développement durable est donc la voie qui doit guider les stratégies de développement des pays de l'Afrique Subsaharienne qui sont généreusement dotées en ressources naturelles. Celui-ci en effet revêt une triple dimension, à savoir économique, sociale et écologique. Il est donc important d'examiner la relation entre ressources naturelles et développement durable, car en effet les ressources naturelles doivent permettre aux populations de connaître un développement durable. Si certains pays, bien que pourvus en ressources naturelles n'ont pas apporté des conditions d'existence meilleures à la population par le passé, de par l'observation des indicateurs de développement qui sont faibles, pour le futur, il est important de renverser la tendance. C'est à ce titre que les stratégies doivent être mobilisées en Afrique Subsaharienne. L'examen du cas de certains pays généreusement dotés en ressources naturelles montre que celles-ci devraient être une source de croissanceendogène pour envisager un développement durable. Dès lors, la bonne gouvernance, la meilleure répartition des recettes issues des ressources naturelles et l'apport de partenaires extérieurs sont importants. L'Union Européenne en tant que partenaire et bailleur de fonds a un rôle à jouer pour que les économies de l'Afrique au sud du Sahara se mettent sur le sentier du développement durable, à partir de leur atout qui réside en la possession de ressources naturelles. A ce titre la coopération financière entre autre doit donner de meilleurs résultats, afin que l'on puisse établir une relation entre financement et développement durable en Afrique Subsaharienne. / Natural resources are taken in the nature for, in the most of cases to improve the conditions of existence of the population. In Sub-Saharan Africa, economics are often dominated by the exploitation of these natural resources which contribute to the formation of the national wealth. This exploitation of natural resources should thus allow the improvement of the welfare of the present generations without compromising the possibility for the future generations to improve theirs. So natural resources should be exploited so that the heritage represented by the environment is not altered and so that the populations living thanks to these naturalresources see theirs conditions of existence improving today and in the future.The sustainable development is thus the way which must to guide the strategies ofdevelopment in Sub-Saharan economics which are generously endowed in natural resources. This one dresses a triple dimension, namely economic, social and ecological. It is thus important to examine the relation between natural resources and sustainable development because, indeed natural resources have to allow the populations to know a sustainable development. If certain countries indeed, although provided in natural resources did not bring, on examination of the indicators of development which are at the lowest, elements of sustainable development in the past and today, it is important to reverse the trend. It is as such that the strategies must be mobilized in Sub-Saharan Africa. The examination of the case of certain countries generously endowed in natural resources shows that these should be a source of endogenous growth to envisage a sustainabledevelopment. From then on the good governance, the best distribution of receipts stemming from natural resources and the contribution of the foreign partners are important. The European Union as partner and financer has a role so that the economics of Africa in the south of Sahara put themselves on the path of the sustainable development from their asset which lies in possession of natural resources. As such the financial cooperation among other has to give better results so that we can establish a relation between financing and sustainable development in Sub-Sahara Africa.
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