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Rôle du partage social des émotions dans la régulation émotionnelle / Role of the social sharing of emotions in the emotion regulation

Duprez, Christelle 25 September 2013 (has links)
La quasi-totalité des expériences émotionnelles font l’objet d’un partage social, qui se met en place rapidement après leur survenue et se fait majoritairement à destination des proches. Si, indépendamment de leurs caractéristiques (âge, sexe, culture,...) et de celles de l’événement en question (valence émotionnelle, type d’émotion,…), les individus sont si enclins à parler de leurs émotions à autrui, ce serait notamment parce que cela peut les aider à gérer leurs états émotionnels. Verbaliser ses émotions permettrait en effet à l’individu de mobiliser son entourage lorsqu’il est sous le coup de l’émotion et peu en état de gérer seul son état émotionnel. Cette mobilisation de l’entourage social permettrait de combler à la fois les besoins socio-affectifs et les besoins cognitifs suscités par l’émotion, via la mise en place de stratégies intrapersonnelles et interpersonnelles de régulation émotionnelle. Qu’il s’agisse de stresseurs de la vie quotidienne ou de stresseurs de forte intensité et négatifs comme dans le cadre de la pathologie cancéreuse, lorsque les individus parlent de leurs expériences émotionnelles, ce serait notamment parce qu’ils éprouvent des difficultés à les gérer et cherchent auprès d’autrui une aide pour les réguler. Parler de ses émotions ne serait toutefois pas bénéfique pour tous dans la même mesure. L’efficacité de ces stratégies serait notamment déterminée par le style d’attachement et les attentes qui lui sont liées quant à la façon dont autrui peut nous aider à gérer nos états émotionnels. La contribution du partage social des émotions dans la régulation émotionnelle est donc au centre de cette thèse, et a été abordée au moyen de trois études. La première étude a permis de mieux cerner le rôle de la verbalisation émotionnelle dans la gestion des expériences émotionnelles à travers la création d’une échelle d’évaluation des motifs allégués de partage social (Article 1). Cet outil, qui permet d’identifier les stratégies intrapersonnelles et interpersonnelles instaurées via le partage social, a été utilisé dans une seconde étude, visant à tester l’hypothèse selon laquelle les patients atteints de cancer partagent socialement leurs états émotionnels dans le but de mettre en place des stratégies de gestion des émotions, qui contribueraient à pallier leurs difficultés de régulation émotionnelle et favoriseraient à terme leur ajustement à la maladie (Article 2). Enfin, l’objectif de la dernière étude était de déterminer si les stratégies initiées via le partage social médiatisent le lien entre le style d’attachement et les difficultés de régulation émotionnelle (Article 3). Nos résultats sont discutés, et des pistes de recherches ainsi que des pistes d’application dans le domaine de la santé sont proposées. / Nearly all emotional experiences are socially shared, rapidly after their occurrence and mainly with close relatives. If, whatever their characteristics (age, gender, culture,…) and those of the event (emotional valence, type of emotion,…), individuals are so prone to talk about their emotions with the others, it would particularly be because it can help them to manage their emotional states. Verbalizing one’s emotions would indeed permit the subject to catch his/her relatives’ interest when he/she is under the impact of the emotion and hardly able to manage his/her emotional state alone. This mobilization of the close circle would permit to fit not only the socio-affective needs but also the cognitive needs the emotion gives rise to, through the initiation of intrapersonal and interpersonal emotion regulation strategies. May it concern current life stressors or high intensity and negative stressors, as it is the case in cancer, when the individuals talk about their emotional experiences, it would notably be because they have difficulties in managing them and as a consequence seek help to the others in order to regulate these experiences. However, talking about one’s emotions would not be beneficial for everybody in the same way. The efficacy of those strategies would notably be determined by the attachment style and the expectancies it creates about the way the others can help us to manage our emotions. So, the contribution of the social sharing of emotions in the emotion regulation is at the heart of this thesis, and was investigated by three studies. The first study has permit to better understand the role of the emotional verbalization in the emotion regulation by creating an evaluation scale of the alleged motives for social sharing (Article 1). This scale, which permits to identify the intrapersonal and interpersonal emotion regulation strategies initiated through the social sharing, was used in a second study, whose goal was to test the hypothesis that the cancer patients socially share their emotional states in order to initiate emotion regulation strategies, which would contribute to diminish their difficulties in emotion regulation and, as a consequence, to ameliorate the way they face the disease (Article 2). Finally, the last study aimed at determining if the emotion regulation strategies initiated via the social sharing mediate the link between attachment style and difficulties in emotion regulation (Article 3). Our results are discussed and research perspectives and clinical applications are proposed.
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Impact du cancer de la prostate sur la vie quotidienne du couple âgé

Petit, Sylvie 03 December 2009 (has links)
Les recherches récentes menées sur le cancer s’accordent sur le fait que l’âge serait un des principaux facteurs de risque (Tubiana, 2002). C’est notamment le cas du cancer de la prostate, la plupart des cas étant constatés entre 60 et 90 ans (âge moyen de détection : 73 ans). Les personnes âgées se trouvent alors confrontées à différentes problématiques afférentes à la vieillesse, dont le cancer fait partie. Faire face à cette maladie n’est pas le seul défi du patient âgé, le cancer perturbant sa vie au niveau de tout son environnement affectif et social. Nous nous intéressons dans cette thèse à connaître l’impact psychologique du cancer de la prostate sur la vie quotidienne des patients âgés et de leurs épouses. Nous présentons les résultats menés auprès de 96 patients atteints du cancer de la prostate et de leur conjointe recrutés sur deux centres régionaux de lutte contre le cancer. Nous mettrons en place une nouvelle méthodologie : la méthode écologique d’échantillonnage des expériences qui se déroule sur 3 cycles d’évaluations durant 4 jours (en début de traitement, en milieu de traitement et en fin de traitement). Cette méthode nous permet d’établir les liens entre variables (/heure, /jour, /sujet, entre sujets et au sein du couple), et d’observer et de comparer l’ajustement des patients et de leur conjointe suivant différents âges (Swendsen, 1997 ; Czikszentmihalyi, 1984). Nos résultats mettent en évidence trois points essentiels : Tout d’abord il s’agit de distinguer les différences de ressentis et de stratégies de coping selon l’âge des couples pris en charge. Ensuite, le second point important de cette recherche est la notion d’inter individualité. Cette étude discrimine tout à fait les attitudes et les émotions que peuvent vivre au quotidien les patients des épouses. Enfin, le troisième point concerne le temps de la prise en charge. Il existe une réelle progression des ressentis et de l’ajustement psychologique des couples tout au long du traitement. Cette étude permet d’affiner nos connaissances sur le couple âgé confronté à la maladie et, plus spécifiquement, sur son ajustement émotionnel et sa qualité de vie lorsqu’il lui faut faire face au cancer de la prostate. Cette recherche est financée par la Ligue Nationale de Lutte Contre le Cancer, France. / Recent research consistently indicates that age is a major risk factor for cancer (Tubiana, 2002). Such is the case of prostate cancer, which is typically detected between the ages of 60 and 90 (average age of detection: 73 years). Coping with the physical effects of cancer is not the only challenge for elderly patients; cancer may also affect patient’s emotional and social lives as well. The current study presents results of an experience sampling study on the psychological impact of prostate cancer on the daily lives of elderly patients and their wives. We present data on 96 patients with prostate cancer and their spouse who were recruited from two Regional Center for the Fight Against Cancer in Bordeaux, France. Participants completed 3 daily assessments for 4 days (at the beginning of treatment, in the middle of treatment and at the end of treatment). The methodology has a number of advantages, including that it allows us to establish the relationship between variables (coping, quality of life, anxiety and depression), between subjects, and within the couple. The methodology also allows us to observe and compare the adjustment of patients and their partner following different ages (Swendsen, 1997, Czikszentmihalyi, 1984). Our results schowing three key points: First, we distinguiging the differences of feeling and coping strategies by spouses’age. The second point concern the concept of interindividual. This study discriminate behavior and emotions in everyday life of couples. The third important point concerns time management. There is an increased in feeling and psychosocial adjustement on the treatment. This study will help us to refine our knowledge and understanding of emotional adjustment and quality of life of patients with prostate cancer and their spouses. We will thus be able to realize the importance of taking into account the couple and not just patients in psychological interventions. This research is being funded by the National League for the Fight against Cancer, France.
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Impact d’une prise en charge par la relaxation psychothérapique sur l’ajustement émotionnel, la qualité de vie et l’image du corps de patients atteints d’un cancer hématologique, hospitalisés en secteur stérile pour une greffe de moelle osseuse / Impact of psychotherapeutic relaxation interventions on emotional adjustment, quality of life and body image in hematologic cancer patients hospitalized in a sterile hospital's area for a bone marrow transplantation

Kostopoulou-Grolleau, Panagiota 14 December 2015 (has links)
Introduction : La prise en charge psychologique de patients pendant le processus de greffe demoelle osseuse pour un cancer hématologique fait partie intégrante du parcoursthérapeutique. Cette étude a deux objectifs : (1) tester l’impact d’une prise en charge par larelaxation psychothérapique, Méthode Sapir à court et à moyen terme, auprès de cettepopulation (2) savoir si des variables dispositionnelles (alexithymie, optimisme) et desvariables transactionnelles (stratégies de coping, soutien social perçu) peuvent influencer cetimpact.Méthode : 39 patients ont été inclus. Le groupé expérimental (N=20) a bénéficié d’une priseen charge par la relaxation psychothérapique tandis que le groupe contrôle (N = 19) a eu unsuivi psychologique traditionnel. Les patients ont été évalués 4 jours avant la greffe (T1),puis 45 jours (T2) et 100 jours (T3) après la greffe. Les variables dispositionnelles(alexithymie, optimisme), les variables transactionnelles (coping, soutien social perçu) et lesissues à prédire (état émotionnel, image du corps et qualité de vie) ont été mesurées.Résultats : A T3, les patients du groupe expérimental sont significativement moins anxieux(p<0,001), éprouvent une meilleure satisfaction corporelle (p<0,01) et ont une meilleureQDV physique (p≤0,001) qu’à T1. Chez les patients du groupe contrôle aucun changementsignificatif n’est observé avec le temps. Par ailleurs, aucune différence significative entre lesdeux groupes n’a été trouvée aux trois temps de l’étude. A T3, les patients alexithymiques dugroupe expérimental sont significativement moins dépressifs (p<0,05), ont une meilleureQDV cognitive (p<0,01) et émotionnelle (p<0,01) qu’à T1.A T3, les patients les plusoptimistes du groupe expérimental rapportent une meilleure QDV physique (p<0,05) etémotionnelle (p<0,05) qu’à T1.Chez les patients du groupe contrôle aucune modération del’alexithymie et de l’optimisme sur l’ajustement au cancer n’est observée. Enfin, l’effet demédiation du coping et du soutien social perçu n’a pas été démontré dans cette étude.Conclusion : La prise en charge par la relaxation psychothérapique a une place auprès decette population. L’illustration de deux cas cliniques vient confirmer ces propos. Cependant,au regard du faible nombre de sujets, il convient de contre-valider ces résultats auprès d’unepopulation plus large. / Introduction: The psychological care of patients during the process of bone marrowtransplantation for a hematological cancer is part of the therapeutic process. This study hastwo objectives: (1) to test at a short and medium term the impact of psychotherapeuticrelaxation, Sapir’s method, on the psychological adjustment of patients with hematologiccancer hospitalized at a sterile hospital’s room for bone marrow transplantation; (2) toexamine weather dispositional variables (alexithymia, optimism) and transactional variables(coping, perceived social support) can influence this impact.Method: 39 patients were included. The experimental group (N=20) received a care ofpsychotherapeutic relaxation while the control group received a traditional psychologicalfollow-up. Patients were evaluated 4 days before transplantation (T1), 45 days aftertransplantation (T2) and 100 days post-transplantation (T3), respectively. Personalityvariables (alexithymia, optimism), adjustment of cancer variables (emotional state, bodyimage, quality of life) and transactional variables (coping, perceived social support) weremeasured.Results: The patients in the experimental group at T3 are significantly less anxious(p<0.001), experienced a better body satisfaction (p<0.01) and a better physical quality oflife (p≤0.001) than at T1. In patients of the group control, no significant positive or negativemovements are observed by the time on studied variables. Moreover, no significantdifferences are found between two groups on three times of study. The alexithymic patientsof the experimental group are significantly less depressed at T3 (p<0.01) and experienced abetter cognitive (0.01) and emotional (p<0.01) quality of life. The most optimistic patients ofthe experimental group have a better physical (p<0.05) and emotional (p<0.05) quality oflife. In patients of the control group, no moderation of alexithymia and optimism is observedon cancer adjustment. Finally, the mediating effect of coping and perceived social support isnot demonstrated in this study.Conclusion: The psychotherapeutic relaxation has an important place to this population. Thisis confirmed by the illustration of two cases. Finally, due to the small number of subjectsincluded, these results require validation on a larger population.

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