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La conception du Jihad : entre la doctrine classique et les jihadistes d'Al-Qaïda

Asso, Racha January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur la conception du jihad offensif telle que développée à partir des années 1980 par Abdallah Azzam, Ayman Al-Zawahiri et Oussama ben Laden. L'importance considérable que revêt le phénomène jihadiste et l'impact sur la gouverne qu'on lui attribue, surtout depuis les attentats de septembre 2001, nous ont amenée à y consacrer cette recherche. Le choix de concentrer notre attention sur les trois principaux idéologues d'Al-Qaïda a été motivé par le fait que leur système doctrinal représente l'élément le plus tangible de la mouvance salafiste jihadiste contemporaine. Nous avons tenté de comprendre leur justification de la violence en comparant leur discours à la conception du jihad dans la doctrine classique, les règles théologico-juridiques établies durant les premiers siècles de l'islam. À partir de thèmes que nous avons identifiés dans la littérature sur la doctrine classique, nous avons déterminé trois catégories descriptives qui ont servi de base de comparaison: 1) la vision conceptuelle du monde, 2) les objectifs du jihad armé, et 3) sa mise en oeuvre. Nous supposions que le discours d'Azzam, Al-Zawahiri et ben Laden trouvait sa légitimation dans la doctrine classique, mais que leur jihad n'était pas conçu selon les mêmes modalités. Pour vérifier notre hypothèse, nous avons soumis les déclarations et écrits de ces trois idéologues à une analyse de contenu, et ce, à la lumière de la grille de comparaison que nous avions déterminée. Cette analyse nous a permis de constater qu'Azzam, AI-Zawahiri et ben Laden emploient les catégories juridiques classiques en les détextualisant et en les appliquant à une réalité et des problèmes contemporains bien éloignés de ceux des premiers temps de l'islam. Même si nous avons observé quelques différences, nous avons noté que, globalement, le jihad qu'ils prônent s'inscrit plus ou moins dans les limites établies par la doctrine classique: le plus souvent, ces idéologues adoptent des règles définies par les textes classiques comme des cas d'exception, les assemblent et les mettent de l'avant. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Jihad, Discours, Doctrine classique, Al-Qaïda, Abdallah Azzam, Ayman Al-Zawahiri, Oussama ben Laden.
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Le conflit touareg et ses enjeux géopolitiques au Mali. / The Tuareg conflict and its geopolitical stakes in Mali

Tamboura, Abdoulaye 08 September 2015 (has links)
Depuis 2012, le Mali est confronté à une rébellion des minorités touarègues menée par les insurgés du MNLA (mouvement national pour la libération de l’Azawad) et leurs alliées du MAA (Mouvement arabe de l’Azawad) et du HCUA (Haut conseil pour l’unicité de l’Azawad) ; tous, regoupés au sein de la CMA (Coordination des mouvements de l’Azawad). Ainsi, les parties nord du pays (Azawad : objet de revendication pour une autonomie ou pour une indépendance) ont servi de lieux d’affrontements les plus meurtriers entre l’armée malienne et les insurgés. Grâce à une coalition MNLA-AQMI (Al Qaïda au Maghreb islamique) et alliés (narcotrafiquants, An Sar Dine, etc.), ils ont défait l’armée malienne et occupé les territoires revendiqués avant d’être chassé à leur tour les terroristes. Cependant, si, les interventions française (de l’Opération Serval) et africaine depuis janvier 2012 ont mis un frein à l’offensive des terroristes et libérer les grandes villes du Nord, elles n’ont pas mis fin à la guerre qui oppose rebelles et soldats maliens qui continuent jusqu’au mois de mai 2015. Malgré les pourparlers d’Alger (entamés depuis début 2015), les insurgés qui occupent toujours la ville de Kidal, poursuivent leur revendication d’un statut juridique et politique pour l’Azawad. De manière générale, la présente rébellion est une suite logique des précédentes (des années 60, 90 et 2000). Elles émanent d’un malaise de certaines communautés arabo-touarègues manifesté par la mauvaise gouvernance et la marginalisation dont celles-ci pensent avoir subi. Ce mal être des insurgés résulte aussi de la part de l’héritage des rapports difficiles et conflictuels entre nomades et sédentaires, entre « noirs » et « blancs », entre maîtres et esclaves, entre assujettis et « seigneurs ». Aussi, la crise du Sahel a aggravé l’enclavement et l’isolement du Mali-Nord, notamment de l’Azawad, et accentué le sentiment d’être oublié. Elle a desserré et distendu les liens d’avec le reste du Mali « utile ». Toutefois, le soulèvement de 2012 n’a pas entraîné toutes les communautés de l’Azawad dont les rebelles supposent défendre ou parler en leur nom. Il intervient également dans un contexte de soulèvements populaires dans certains Etats arabo-berbères (« printemps arabe » pour les médias), notamment en Libye (guerre civile, puis, la chute de Kadafi). De nombreux combattants touaregs de l’armée libyenne ont ainsi rejoint (avec armes) les rangs du MNLA. / Since 2012, Mali ha been facing a rebellion of the Tuareg minority-led insurgents MNLA (National Movement for the Liberation of Azawad) and allied MAA (Arab Movement of Azawad) and HCUA (High Council for the Uniqueness of Azawad); all together within the CMA (Coordination of movements of Azawad). Thus, the northern parts of the country (Azawad claim object for autonomy or independence) have served as scene of the deadliest clashes between the Malian army and the insurgents. Through MNLA-AQIM coalition (Al Qaeda in Islamic Magrheb) and allies (drug traffickers, An Sar Dine, etc.), they defeated the Malian army and have occupied territories claimed before have being chased in turn terrorists. However, if the French and African’s intervention (Operation Serval) since January 2012 have curbed the terrorist offensive and freed the major cities of the North but, they have not ended the war between rebels and Malian soldiers continue until May 2015. Despite the Algiers talks (started since early 2015), the insurgents who still occupy the city of Kidal, continue to claim a legal and political status for Azawad. In general, this rebellion is a logical continuation of insurrections (1960, 1990 and 2000). These rebellions erupted because certain Arab and Tuareg communities feel discontented and they have suffered from poor governance and marginalization. The insurgent unrest also results from the legacy of difficult and conflicting relations between nomads and settled, between "black" and "white", between masters and slaves, and between subjects and "lords". Also, the Sahel crisis have aggravated the isolation of North Mali (particularly Azawad) and accentuated the feeling of being forgotten. It has stretched and distended the bonds of the rest of "useful" Mali. However, all the communities’ Azawad didn’t participate in the 2012 uprising therefore rebels cannot defend or speak for them. It also comes amid popular uprisings in some Arab-Berber States ("Arab Spring" for the media), especially in Libya (civil war, then the fall of Kadafi). Many Tuareg fighters of the Libyan army joined (with then weapons) the ranks of the MNLA.
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Libéralisme et exception : l'état de droit et le système onusien de sécurité collective à l'épreuve du jihadisme international / Liberalism and exception : the rule of law and the united nations collective security system to the test of the international jihadism

Beye, Pape Moussa 02 June 2016 (has links)
Évènement exceptionnel, les attentats du 11 septembre ont marqué l'entrée de la politique mondiale dans l'ère de la crise du jihadisme international. Si l'apparition de la menace jihadiste est antérieure à 2001, l'attaque qaidiste perpétrée à l'encontre des États-Unis a en effet représenté un saut qualitatif d'envergure, en ce qu'elle a été synonyme d'agression commise par des acteurs privés aucœur de l'hyperpuissance d'après-Guerre froide, et en ce qu'elle a constitué le point de départ d'un essor considérable du péril jihadiste. De la destruction du World Trade Center aux attentats du 13 novembre, en passant par le rapt des lycéennes de Chibok ou l'érection de l'État islamique, le jihadisme en est ainsi arrivé à représenter un défi protéiforme et véritablement global. Ciblesprivilégiées des forces jihadistes, les démocraties libérales occidentales ont dès lors répondu à ce challenge en s'engageant dans une « guerre contre le terrorisme » aux facettes multiples (interventions armées, mesures antiterroristes, etc.). Si plusieurs intellectuels d'extrême gauche, inscrits dans une perspective de critique du libéralisme politique, ont considéré, en s'inspirant de la réflexion de Carl Schmitt, que les États occidentaux contemporains sont plongés dans un étatd'exception permanent, dont la lutte contre le jihadisme a constitué soit le déclencheur, soit le révélateur, nous estimons pour notre part, que cette thèse ne permet tout simplement pas de se faire une idée exacte des retombées juridico-politiques de l'anti-jihadisme post-11 septembre. D'où la nécessité de la discuter en procédant à l'étude approfondie des éléments contextuels et principiels auxquels elle renvoie. / Outstanding event, September 11 attacks marked the entrance of the world politics to the era of the threat of the international jihadism. If the appearance of this threat is previous in 2001, the qaidiste attack committed against the United States indeed represented a large-scale qualitative jump, in the fact that it was synonymic of aggression committed by private actors at the heart of the cold postwar hyperpower, and in the fact that it constitued the starting point of a considerable development of the jihadist danger. From the spectacular destruction of the World Trade Center to the attacks of November 13th, via the kidnapping of the high school students of Chibok or the erection of the Islamic State, the jihadism came to represent a really global challenge, in the forms as diverse asvaried. Privileged targets of the Jihadist strengths, the western liberal democracies have then answered this challenge by making a commitment in a multifaceted ''war against the terrorism'' (military interventions, antiterrorist measures, etc.). If several extreme left-wing intellectuals, registered in a perspective of critic of the political liberalism, considered, by being inspired by Carl Schmitt's reflection, that the contemporary western States are plunged into a permanent state of exception, which the fight against the jihadism constitued either the trigger, or the revelation, we consider for our part, that this thesis does not simply allow to be made an exact idea of the legal and political effects of the post-September 11's anti-jihadism. Where from the necessity of discussing it by proceeding to the in-depth study of the context and the principles to which refers.

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