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Analyse critique d'un processus de cartographie participative en Amazonie Colombienne

Díaz Perdomo, Hernán Javier 17 April 2018 (has links)
Historiquement, l'utilisation de la terre dans la région de l'Amazonie est caractérisée par une surexploitation des ressources naturelles par des personnes et organisations exogènes. Les communautés amérindiennes de l'Amazonie colombienne ont tenté de limiter ces activités et leurs impacts, efforts et revendications qu'elles continuent de faire encore aujourd'hui. Les réclamations de ces peuples sont basées sur la reconnaissance de leurs droits, accordés par la Constitution colombienne, afin de protéger et de gérer ce territoire. C'est dans ce contexte que la communauté Tikuna de San-Martin-de-Amacayacu a démarré un projet de cartographie communautaire en 2006, projet auquel nous avons été conviés. Le présent article décrit la réalisation d'un exercice de cartographie participative au cours duquel nous avons pu travailler avec la communauté, en nous basant tout d'abord sur leurs connaissances préalables du territoire et recourant à leurs méthodes traditionnelles de représentation spatiale. À l'aide d'observations de terrain, nous avons mené une analyse critique. Cette démarche nous a permis d'acquérir, de formaliser et d'intégrer les savoirs locaux traditionnels au coeur de solutions géospatiales modernes. Mais, nous avons également considéré les entités de l'État impliquées dans le processus de conservation et d'utilisation de la biodiversité du territoire ancestral de San Martin, de même que les initiatives locales de gestion des ressources et de conservation du milieu, engagées par un organisme non gouvernemental (ONG) communautaire. Ce mémoire nous permet de dresser une synthèse de ces travaux et de présenter l'utilité des technologies géomatiques dans un contexte participatif, dans lequel se mélangent la connaissance locale et la technologie en tant que générateur de propositions de recherche au sein de la communauté, et de moyens de communication avec le monde extérieur.
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"De totumas y Estantillos". Procesos migratorios, dinámicas de pertenencia y de diferenciación entre la Gente de Centro (Amazonia colombiana) / De totumas y estantillos. Migration, belonging and differentiation dynamics of People of the Center / "De totumas y Estantillos". Processus migratoires, dynamiques d’appartenance et de différenciation entre les Gens du Centre (Amazonie colombienne)

Sanchez Silva, Luisa Fernanda 20 December 2012 (has links)
Au cours des années 80, le gouvernement colombien a rendu le Predio Putumayo à ses habitants ancestraux, les Gens du Centre, donnant ainsi naissance à la réserve indienne la plus grande de la Colombie. Cet acte décisif marque la fin d‘une longue dispute entre les indiens, les entreprises extractives et les institutions de l‘Etat. Il a été alors interprété comme une véritable révolution dans les représentations traditionnelles de la citoyenneté. Toutefois, si l‘on observe avec attention ce processus de reconnaissance politique et territoriale, on s‘apercevra qu‘une autre réalité émerge simultanément: la migration d‘une centaine de femmes indiennes vers les villes du pays ; un chemin sans retour depuis leurs petites villages vers la métropole inconnue. Cette expérience pionnière constitue la base d‘un solide réseau migratoire qui s‘étend aujourd‘hui à la plus part de villes colombiennes. Pourquoi sont-elles parties de leur territoire alors qu‘elles profitaient –au moins formellement- d‘une autonomie politique et culturelle ? Leur décision migratoire a-t-elle signifié le rejet de la "différence généralisée" proclamée par le discours multiculturel ? Le projet migratoire de celles et ceux qui sont partis dans ce premier moment est-il différent de celui des hommes et des femmes qui partent aujourd‘hui ? Ce travail de recherche tente de répondre à ces questions en reconstruisant d‘abord les processus de mobilité des Gens du Centre à Leticia et Bogotá au long des 30 dernières années. Il analyse ensuite les différentes stratégies d‘insertion urbaine des migrants indiens dans le contexte du multiculturalisme comme mode de gestion privilégié entre cette population et les sociétés d‘origine et de réception. / During the years 80, Colombian government returns the Predio Putumayo to its early inhabitants, The People of the Center, giving form to the biggest indigenous reservation of the country. This crucial act was not only the end of a long dispute between the indigenous people, the extractive enterprises and the state. It was also interpreted as a revolution in the traditional citizenship representations. However, if we look carefully to this process of territorial and politic recognition we will notice a simultaneous reality: the migration of hundreds of women to the cities of the country. This was a non-return trip from the little towns of the rain-forest‘s rivers to the unknown national cities. The experience of these pioneers‘ women built the bases of a solid migration network that today spreads out to the main cities of Colombia. Why did they leave their territory now that she counted –at least formally- with a political and cultural autonomy? Was their migratory decision a renunciation to the ―generalized difference‖ proclaimed by the multicultural discourse? The migrations project of those who left their region in that first time is it similar from the one of those who leaves today? This dissertation tries to answer to these questions through a reconstruction of the migration processes of The People of the Center to Leticia and Bogotá during the last 30 years. Then, it analyses the different strategies of migrant‘s urban insertion in the context of multiculturalism as the privileged administration mode between the indigenous people and the societies of departure and destination.
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La selva de concreto : procesos de urbanización y planificación urbana en Florencia (Caquetá, Colombia)

Duque Fonseca, Claudia Alexandra 05 February 2021 (has links)
Cette thèse porte sur les processus d’urbanisation et de planification urbaine qui ont lieu dans le nord-ouest de l’Amazonie colombienne depuis le XIXe siècle. La métaphore de la « jungle de béton » propose une image ambivalente qui synthétise un processus de transformation spatiale, celui de l’urbanisation de la jungle, à partir de deux signes opposés, montrant que les imaginaires mêmes de la « jungle » et de l’« urbain » contribuent à occulter ce processus. Dans la région étudiée, les recherches sur l’urbanisation et la planification urbaine sont encore rares et n'ont pas été menées de manière systématique, dans la discipline anthropologique. De plus, les études urbaines se sont intéressées presque exclusivement à la dynamique qui prévaut dans les grandes villes et les mégalopoles, alors que la majorité de la population humaine vit dans des villes petites ou moyennes, comme Florencia, où j'ai mené mon travail de terrain. Dans les sciences sociales, ces villes sont devenues « invisibles ». Partant de la notion de ville invisible, cette thèse développe une proposition démétropolisante et dé-coloniale qui s'éloigne de l’habituel occidentalo-centrisme des études urbaines. Cela implique de cesser de considérer l’urbanisation comme un processus inévitable et lié au « développement » démographique et économique. En outre, une distinction analytique est proposée entre deux modes de planification urbaine : la planification « d’en haut » et la planification « d’en bas ». La planification « d’en haut » est une pratique rationnelle et politique découlant du projet urbain hégémonique issu de l’État nation. La planification « d’en bas », qui n’est actuellement pas reconnue, positionne les habitants comme sujets individuels et collectifs, agents transformateurs et créateurs d’espace urbain. La thèse montre comment, dans la planification urbaine « d’en haut » et « d’en bas », la volonté de modernisation, le désir de préservation des écosystèmes, la nécessité de stimuler l’économie locale et les particularités socio-économiques des habitants de la ville s’entrecroisent. Cependant, les différentes façons dont ces éléments sont conçus et valorisés aboutissent à des visions et des actions qui, dans certains cas, coïncident et dans d’autres s’opposent et qui, finalement, produisent socialement l’espace urbain. v La planification urbaine est également considérée, dans la thèse, comme un « site de recherche stratégique » car elle touche toute la ville. Dans cette perspective, une approche multi-échelle est utilisée pour montrer les interrelations entre dynamiques « globales » et « locales ». Deux quartiers aux histoires et temporalités distinctes, Yapurá Sur et Paloquemao, ont été sélectionnés pour approfondir les manières dont la planification « d’en bas » peut émerger et s’exprimer. Par ailleurs, la cartographie sociale s’avère constituer un outil pertinent pour saisir les visions que les habitants de Florencia ont du présent, du passé et du futur de leur ville. Les résultats du travail ethnographique et de cartographie sociale réalisés dans le cadre de mes recherches montrent que la ville est une coproduction qui combine différentes formes de gouvernement et de rapports sociaux. Sur la base des cartes représentant la ville dans le futur, il est possible de conclure que les habitants de Florencia invitent à (re)penser le modèle urbain hégémonique et démontrent qu’une planification participative est non seulement possible mais nécessaire. / This thesis addresses the processes of urbanization and urban planning that have occurred in the northwestern Colombian Amazon since the nineteenth century. The metaphor of the « concrete jungle » proposes an ambivalent image that synthesizes a process of spatial transformation, that of the urbanization of the jungle, starting from two contrasting signs, showing that imaginaries that oppose spatialities called the « jungle » and the « city » facilitate the concealment of this same process. In the region studied, research on urbanization and urban planning is still scarce and has not been systematic within the anthropological discipline. Moreover, urban studies have been interested almost exclusively in the dynamics that prevail in large cities and megalopolises, while the majority of the human population lives in small or medium-sized cities, such as Florencia, where I did my fieldwork. In the social sciences, these cities have become « invisible ». Starting from the notion of the invisible city, in this thesis, a de-metropolizing and decolonizing proposal is developed that distances itself from the usual western-centrism of urban studies. This implies stopping to consider urbanization as an inevitable process, linked to demographic and economic « development ». In addition, an analytical distinction is proposed between two modes of urban planning: « top-down » planning and « bottomup » planning. Planning « from above » is a rational and politically powerful practice related to the hegemonic urban project of the nation-state. Planning « from below », which is not currently recognised, positions inhabitants as individual and collective active subjects, transforming agents and creators of urban space. The thesis demonstrates how, in urban planning « from above » and « from below », the desire for modernization, the search for ecosystem preservation, the need to stimulate the local economy and the socioeconomic particularities of the city's inhabitants are intertwined. However, the different ways in which these elements are conceived and valued result in visions and actions that in some cases coincide and in others are opposed and that ultimately socially produce the urban space. vii Urban planning is also considered, in the thesis, as a « strategic research site » because it becomes an element that touches the whole city. Consequently, a multi-scale approach is used to show how global and local dynamics interact. Two districts of the city, Yapurá Sur and Paloquemao, were selected to explore in greater detail how planning « from below » is produced and expressed. Also, social cartography proved to be a relevant tool for capturing the visions of the present, past and future of the city from Florencia’s inhabitants. The results of the ethnographic and social cartography work carried out during my research show that the city is a co-production that combines different forms of government and social relations. Based on the maps representing the future of the city, it is possible to conclude that the inhabitants of Florencia invite us to (re)think about the hegemonic urban model and demonstrate that participatory planning is not only possible but necessary. / Esta tesis aborda los procesos de urbanización y planificación urbana que se han dado en la Amazonia noroccidental colombiana a partir del siglo XIX. La metáfora de la selva de concreto, propone una imagen ambivalente que sintetiza un proceso de transformación espacial, el de la urbanización de la selva, a partir de dos signos con significantes opuestos, poniendo en evidencia que los imaginarios que contraponen espacialidades denominadas « selva » y « urbana » facilitan el ocultamiento de este mismo proceso. En la región estudiada, las investigaciones sobre urbanización y planificación urbana son todavía escasas y no han sido sistemáticas dentro de la disciplina antropológica. Además, los estudios urbanos se han interesado casi exclusivamente en las dinámicas que imperan en las grandes ciudades y megalópolis, mientras la mayoría de la población humana habita en ciudades pequeñas o medianas, como es el caso de Florencia, donde realicé mi trabajo de campo. En las ciencias sociales, estas ciudades se han vuelto « invisibles ». A partir de la noción de ciudad invisible, en esta tesis, se desarrolla una propuesta desmetropolizadora y descolonizante que se distancia del occidentalocentrismo usual de los estudios urbanos. Esto implica desnaturalizar la urbanización vista como un proceso inevitable, ligada al « desarrollo » demográfico y económico. Además, se propone una distinción analítica entre dos modalidades de planificación urbana: la planificación « desde arriba » y la planificación « desde abajo ». La planificación « desde arriba » es una práctica racional y de poder político que tiene nexos con el proyecto urbano hegemónico vinculado al Estado-nación. La planificación « desde abajo », la cual no tiene reconocimiento en la actualidad, posiciona a los habitantes como sujetos individuales y colectivos activos, agentes transformadores y creadores del espacio urbano. En la tesis, se demuestra cómo, en la planificación urbana « desde arriba » y « desde abajo », se entrecruzan el deseo de modernización, la búsqueda por la preservación ecosistémica, la necesidad de incentivar la economía local y las particularidades socio-económicas de los habitantes de la ciudad. Sin embargo, las distintas maneras en que se conciben y se valoran estos elementos dan como resultado visiones y acciones que en algunos casos coinciden y en otros se contraponen y que finalmente producen socialmente el espacio urbano. iii La planificación urbana es también considerada, en la tesis, como « sitio estratégico de investigación » al constituirse en un elemento que toca al conjunto de la ciudad. Se utiliza un enfoque multiescalar para mostrar las interrelaciones globales y locales. La cartografía social es una herramienta pertinente para captar las visiones sobre el presente, pasado y futuro que tienen los habitantes de Florencia. Dos barrios de la ciudad, Yapurá Sur y Paloquemao, se seleccionaron para conocer con mayor detalle cómo se produce y expresa la planificación « desde abajo ». Los resultados del trabajo etnográfico y de cartografía social realizados en el marco de mi investigación permiten mostrar que la ciudad es una co-producción que ensambla diferente formas de gobierno y relaciones sociales. Con base en los mapas sobre el futuro de la ciudad, es posible concluir que los habitantes de Florencia invitan a (re)pensar el modelo urbano hegemónico y demuestran que una planificación participativa no sólo es posible sino necesaria.
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Le pilotage aux confins mouvants de la gouvernance. Économie, écologie, politique et régulation en Amazonie Colombienne, 1975-1990

van Vliet, Geert 17 February 1997 (has links) (PDF)
Le pilotage aux confins mouvants de la gouvernance. Économie, écologie, politique et régulation en Amazonie Colombienne, 1975-1990. Geert van Vliet, Paris I Panthéon-Sorbonne, Février 1997. Cette thèse se situe sur un terrain essentiellement théorique et méthodologique (essai de modélisation de la problématique de gouvernance) et analyse les possibilités de rétablir une capacité de pilotage (public) légitime dans des situations complexes et adverses extrêmes. A l'aide de diverses approches systémiques (l'apport de l'économie multidimensionelle, la gestion de l'environnement, les théories de régulation socio-politique et économique, et l'économie des organisations) nous caractérisons les éléments constitutifs du "terroir de la gouvernance" (première partie). Trois mécanismes vitaux de la gouvernance (régulation par la commande, par l'autonomie -et par sa variante- l'autopoièse) coexistent dans toute organisation. Ces mécanismes contribuent à la nature hétérogène des structures et des limites organisationnelles. Leur analyse permet, en mettant en évidence les paradoxes des processus d'apprentissage et d'innovation, d'expliquer l'efficacité décroissante des politiques publiques (deuxième partie). La caractérisation des systèmes de micro, macro et méga-régulation permet ensuite d'établir un lien entre les réflexions sur le thème de l'autonomie relative - et donc l'espace de ce qui peut être gouverné - avec celles sur les "confins" de cet espace, notamment en introduisant la théorie de l'autopoièse. En effet, pour les organisations autopoiètiques la notion "de limite" ne se pose pas, ce qui réduit sérieusement la validité des approches standard de pilotage stratégique. Ces réflexions alimentent une relecture de la situation de gouvernance en Amazonie Colombienne, où l'on distinguera trois périodes selon la prédominance de la régulation par la commande, l'autonomie ou l'autopoièse (troisième partie). En conclusion : la modélisation de la problématique de la gouvernance semble utile; par contre, il est difficile d'aller au delà de la phase de l'intelligibilité. Bien que quelques pistes soient proposées, la persistance des nombreux problèmes théoriques et méthodologiques signalés et l'existence de risques considérables associés à des tentatives de manipulation déplacées, constituent une invitation à la prudence. Gouverner aux confins exige un travail patient de la part de nombreux artisans, notamment à partir d'une meilleure connaissance des limites de nos propres systèmes de pilotage et d'organisation. MOTS-CLES SUGGÉRÉS : COMPLEXITE, AUTOPOIESE, AMAZONIE COLOMBIENNE, REGULATION, PILOTAGE STRATEGIQUE, GOUVERNANCE THEORIE DES SYSTEMES, THEORIE DES ORGANISATIONS, THEORIE DE LA NEGOCIATION, GESTION DE L'ENVIRONNEMENT, GESTION DE CONFLITS, ECONOMIE DES ORGANISATIONS, ECONOMIE MULTIDIMENSIONNELLE, GÉOPOLITIQUE

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