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Ambivalence et énantiosémie / Ambivalence and "énantiosémie"

Larue-Tondeur, Josette 18 June 2009 (has links)
L’ambivalence psychique, ou coprésence de tendances ou de désirs opposés, se reflète dans la langue par l’énantiosémie, qui est la coprésence des contraires. Freud en avait eu l’intuition en prenant connaissance des travaux du linguiste Abel. L’apprentissage du langage s’opère au moment de l’ambivalence entre fusion et séparation d’avec la mère et la langue en porte la marque profonde. Le désir est ambivalent et la sublimation s’effectue sur le mode ambivalent. L’énantiosémie de la langue s’avance masquée, comme l’Inconscient, mais reste sous-jacente dans le lexique, la syntaxe et la sémantique -en particulier dans le domaine de la négation- , dans la prosodie et la phonologie, ainsi que dans les figures de style. Elle est liée à la plasticité de la langue qui peut dire à la fois quelque chose et son inverse. Enfin, elle est au fondement de la pensée et de l’imaginaire. La poésie la magnifie dans l’harmonie des contraires, ce que révèlent quelques analyses textuelles. / Psychological ambivalence, in other words the simultaneous presence of opposite desires or tendencies, is reflected in language through « énantiosémie », which is the combination of two opposite meanings in one word. Freud perceived it when acquainting himself with the linguist Abel’s work. Language is learnt at the time when the ambivalence between fusion with and separation from the mother is taking place and it is deeply marked by this experience. Desire is ambivalent and so is the process of sublimation. The « énantiosémie » flows concealed in language, as well as the subconscious. But it underlies lexicon, syntax and semantics –most particularly as far as negation is concerned-, prosody, phonology and figures of speech. It is linked to the malleability of language which may mean both one thing and its opposite. Finally, it lies at the core of mind and imagination. It is magnified by poetry through the harmony of opposites, as it is revealed by a few text analysis.
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Aspects structuraux des attitudes : antécédents et conséquences de l'ambivalence ressentie

Leygue, Caroline 11 December 2009 (has links)
Dans les recherches sur l'ambivalence, on distingue l'ambivalence structurale (la présence d'évaluations positives et négatives), de l'ambivalence ressentie (l'impression subjective que son attitude est ambivalente). Une série de cinq études, appliquées au domaine de la santé, examine les antécédents et les conséquences de l'ambivalence ressentie. Dans la première étude, la composition de l'attitude, sur des bases cognitives ou affectives, modère la relation entre ambivalences structurale et ressentie. Dans la deuxième étude, les résultats montrent un biais de négativité : les informations négatives ont plus de poids que les positives dans le ressenti d'ambivalence. Les trois études suivantes portent sur les conséquences de l'ambivalence sur l'intention comportementale. L'étude 2a suggère que les attitudes ambivalentes, si elles sont accessibles, peuvent être predictrices de comportement. L'étude 2b indique que l'ambivalence ressentie modère les effets de l'information reçue sur l'intention comportementale, de telle sorte que les participants ambivalents sont plus influencés par cette information. Enfin, dans une dernière étude, l'ambivalence ressentie médiatise les effets des attitudes sur l'intention comportementale. Cette médiation est modérée par l'implication des participants dans le problème. Dans leur ensemble, les recherches présentées ici permettent de conclure que l'ambivalence ressentie est sans doute un meilleur indicateur de l'ambivalence que l'ambivalence structurale. / In ambivalence research, structural ambivalence (the co-existence of positive and negative evaluations) is distinguished from felt ambivalence (the subjective feeling that one's attitude is ambivalent). In a series of five studies, applied to risk behaviors, we examined the antecedents and consequences of felt ambivalence. In study 1a, the attitude's affective and cognitive components moderated the effects of structural ambivalence on felt ambivalence. In Study 1b, reults show a negativity bias : negative evaluations weigh more than positive evaluations on felt ambivalence. The three other studies involve the consequences of ambivalence on behavioral intention. Study 2a suggests that ambivalent attitudes, if accessible can predict behavioral intention. Study 2b indicates that felt ambivalence moderates the effects of information on behavior intention : ambivalent people are more affected by information than non-ambivalent people. Finally in Study 2c, felt ambivalence mediates the effects of attitudes on behavioral intention. This mediation is moderated by participants' implication in the issue. Overall, this body of research suggests that felt ambivalence is a better indicator than structural ambivalence.
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Development of a scale for intense ambivalence

Raulin, Michael Louis. January 1900 (has links)
Thesis--Wisconsin. / Vita. Includes bibliographical references (leaves 44-47).
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Ambivalence in the Poetry of Robert Frost

White, Patricia F. 08 1900 (has links)
In this thesis an attempt will be made to demonstrate the existence and significance of some of the opposite pulls evidenced in Frost's poetry and to delineate some of the important areas in which they occur.
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Symptoms of democracy : ambivalence and its limits in modern liberal conceptions of the liberal democratic bond /

Blackell, Mark, January 1900 (has links)
Thesis (Ph.D.)--York University, 20uu. Graduate Programme in Social and Political Thought. / Typescript. Includes bibliographical references (leaves 419-434). Also available on the Internet. MODE OF ACCESS via web browser by entering the following URL: http://wwwlib.umi.com/cr/yorku/fullcit?pNQ99144
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Preliminary studies in the adjustment of institutionalised children inHong Kong: exploring ambivalence towardsparents

Li, Kam-wah January 1977 (has links)
published_or_final_version / abstract / toc / Clinical Psychology / Master / Master of Social Sciences
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Angrenzende Rede : Ambivalenzbildung und Metonymisierung in Ludwig Tiecks späten Novellen /

Ottmann, Dagmar. January 1900 (has links)
Diss.--Amsterdam--Universität, 1988.
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Nietzsches Philosophie als Logik der Ambivalenz /

Zitko, Hans. January 1900 (has links)
Diss.--Frankfurt am Main--Universität, 1989.
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The correlations among ambivalence, one's concept of God, and spiritual well-being as measured on two diverse religious groups

Lewis, Gregory G. January 1986 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Western Conservative Baptist Seminary, 1986. / Typescript. Includes bibliographical references (leaves 121-129).
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Cynisme et amoralité dans la comédie de Dancourt à Marivaux / Cynicism and amorality in the comedy from Dancourt to Marivaux

Dhraief, Beya 21 June 2011 (has links)
Malgré l’inversion de la signification du cynisme, ses deux acceptions principalesconservent de troublantes similitudes. Tout cynisme se montre : il s’exhibe par le dénuementexemplaire des ascètes comme par les possessions des parvenus. Le cynisme est doncontologiquement théâtral. Par son association à la dérision des valeurs ou à celle de leurabsence, il se rapproche plus spécifiquement de la comédie. Cynisme et comédie ont unemême ambivalence en partage.La relation des dramaturges à l’utile dulci s’est rarement révélée aussi complexe etévolutive qu’entre 1685 et 1750. Leurs postures par rapport à la place du rire et de la moraleau théâtre influent sur leurs manières de représenter le cynisme et l’amoralité. Mais leurappréciation des arcanes des subversions morale et amorale détermine réciproquement lapoétique de leurs comédies.Dancourt, Lesage, Regnard et autres joyeux drilles couvrent de leurs sarcasmes uneamoralité collective qu’ils dédaignent de corriger. En réaction à leurs provocations, leurscenseurs ligués dénoncèrent la corruption du théâtre et entreprirent sa réforme. La comédie setransforme notamment en chaire publique, grâce à l’action de Destouches qui substitue lamoralisation au rire. C’est en moralistes que Dufresny et Marivaux envisagent, en revanche,la genèse, les causes et les implications des travers moraux. Ils découvrent que, au siècle desLumières, les ténèbres prévalent : le Mal gangrène société, individus et langage. Sublimantleur pessimisme, leur désir d’y remédier les incite alors à évaluer, avec Delisle, la possibilitéde restaurer le cynisme antique pour réenchanter leur monde / Inspite of the inversion of the meaning of cynicism, its two variants do preserve somedisquieting affinities. All cynicism must make itself visible: it exhibits itself in the ascetic’soustanding privation as much as in the parvenu’s gallery of possessions. Cynicism is thenontologically theatrical. Through its association with the mocking of values or with theirabsence, it shares closer ties with comedy. Both partake of the same ambivalence.The dramatists’ relationship to the utile dulci has rarely shown itself to be a complex andevolving as in the period between 1685 and 1750. Their stances in connection with the placeof laughter and morality in theatre bears strongly on the way cynicism and amorality arerepresented. Yet, their appreciation of the well-guarded secrets of subversions, wether moralor amoral, determines in turn their own comic poetics.Dancourt, Lesage, Regnard and other wanton libertines screen with their sarcasm acollective amorality they are loath to redress. In response to their provocations, their consorsunited to denounce the theatre’s corruption and brace up for reform. Comedy, steps then intothe pulpit owing to Destouche’s contribution substituting moralization for laughter. It is asmoralists, however, that Dufresny and Marivaux conceive the genesis, causes, andimplications of moral defects. They came to realize that in the Age of Enlightenment,darkness still prevailed: Evil corrupt society, the individual and language. The call forredemption, with the sublimation of pessimism it breeds steers them forth to evaluate, alongwith Delisle, the possibility of restoring classical cynicism in the aim of bringing enchantmentback to their worlds

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