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1

La définition des noms d'arbres dans Le Petit Larousse (éditions 1997 et 1998) : analyse de la pratique lexicographique et de son évolution

Héroux, Pascale, January 2002 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2002. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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Le traitement définitoire des noms de plantes herbacées dans le Petit Robert

Thiffault, Ginette. January 2002 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2002. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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On comprehending sentences syntactic parsing strategies /

Frazier, Lyn. January 1979 (has links)
Originally presented as the author's thesis. / Bibliography: 159-165.
4

Le proverbe: vers une théorie de la parole évocative

Michaux, Christine January 1998 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
5

Een multifactoriële studie over metaforiek in de financieel-economische pers

Nicaise, Laurent 28 March 2012 (has links)
Quels facteurs déterminent la présence et le choix de métaphores dans la presse financière et économique? Présentation d’un modèle explicatif. <p><p>Ces 20 dernières années, les publications en sémantique cognitive traitant de la relation entre la métaphore et l’idéologie dans la presse financière se sont multipliées. Grâce notamment à Boers (1997, 1999, 2000), Koller (2002) et Charteris-Black (2000), la plupart des mécanismes rhétoriques accompagnant les métaphores sont relativement bien connus. <p><p>Toutefois, jusqu’à présent, l’effet de l’idéologie sur les choix métaphoriques n’a pas pu être prouvé, et à fortiori mesuré. Le but de cette étude est de développer un modèle explicatif des facteurs influençant la présence et le choix de métaphores dans la presse financière, afin de fournir un instrument méthodologique et statistique fiable pour l’analyse critique du discours. Une telle analyse pourrait s’avérer également utile dans le domaine de la traduction et de l’apprentissage de la langue spécialisée dans le domaine économique.<p><p>Le cadre théorique est constitué par une version modernisée de la Conceptual Metaphor Theory. L’approche est cognitive et onomasiologique. Le point de départ est un ensemble de concepts élémentaires du monde financier et sélectionnés sur la base des résultats d’un échantillon randomisé de 10.000 mots dans 2 quotidiens de la presse belge. Les concepts sont ensuite rassemblés sur base de critères pragmatiques et statistiques dans un ensemble qui reflète la composition du monde des finances et de la bourse. <p><p>Pour chaque réalisation de ces concepts, on décide si oui ou non il s’agit d’une métaphore, en appliquant la méthode d’identification proposée par le « Pragglejaz Group » (2007). Ensuite, dans le cas d’une métaphore, on tente d’identifier le domaine source.<p><p>Le corpus bilingue couvre une période de 12 mois en 2005 et comprend 450.000 mots, répartis dans 6 publications belges :De Standaard, De Morgen, Trends Cash, La Libre Belgique, Le Soir et L’Investisseur.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Linguistiche analysis van neurogeen stotteren

Bijleveld, Henny January 1999 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La formule et l'autopanégyrique dans les traditions orales africaines: étude structurelle

Kabuta, N. S. January 1995 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Naming and contingency: towards an internalist theory of direct reference / Sens des noms et contingence: vers une théorie internaliste de la référence directe

Bochner, Gregory 15 December 2011 (has links)
This work is an essay on the reference of names in language and thought. According to the Theory of Direct Reference, nowadays dominant in philosophy of language, the semantic content of a proper name is directly its referent (Chapter 1).<p>Nevertheless, despite its current fame, this theory must face two major difficulties, familiar since Frege and Russell: the Co-Reference and the No-Reference Problems. The traditional response to these problems consisted precisely in abandoning Referentialism in favour of a version of Descriptivism according to which the semantic content of a proper name would be, not its referent, but a descriptive condition (Chapter 2).<p>However, it is also this traditional version of Descriptivism that the arguments offered by the pioneers of modern Referentialism—including Kripke, Putnam, and Kaplan—have largely discredited (Chapter 3).<p>The theoretical tools developed within the framework of possible worlds semantics enable to restate the problems generated by Referentialism in terms of the opacity of linguistic intensions and Modal Illusions (Chapter 4).<p>At this stage, our semantic theory of names seems to have reached a dead end: on the one hand, modern Referentialism recreates the problems which classical Descriptivism was meant to solve, but, on the other hand, this kind of Descriptivism appears to be refuted by the argumentation of new Referentialists. A common reaction, then, has been to devise more complex semantic theories purporting to combine Referentialism with crucial features from Descriptivism. However, a careful examination reveals that the various versions of this strategy fail (Chapter 5).<p>Another type of reaction, also ecumenical, has been to draw a distinction between two kinds of contents which would be associated with names and the sentences in which these occur: while the first kind of content would be descriptive, the second would be referential. The Two-Dimensionalist framework has received several interpretations (pragmatic, semantic, metasemantic); but a new construal, metasyntactic, is defended in this work (Chapter 6).<p>The metasyntactic interpretation of Two-Dimensionalism allows for a radical gap between language and thought: while the thoughts of their users can remain descriptive, names are supposed to achieve direct reference by themselves, and independently of the mental states of their users. Hence, names must be regarded as objects living in the external world, on a par with other ordinary objects like trees or chairs, and not as mental objects. An Externalist metaphysics of names is then submitted, as well as a corresponding epistemology, according to which external names are described in the mind through a description of their reference (Chapter 7).<p>The general strategy pursued in this work amounts to combining a Theory of Direct Reference in language with a Descriptivist (hence, Internalist) account of thought. Also, certain influential arguments — notably devised by Burge — intended to support Mental Referentialism (hence, Externalism) beyond Linguistic Referentialism, are rejected; it is moreover argued that a Non-Descriptivist conception of the mental is incapable of securing the introspective transparency of thoughts, which, however, seems indispensable, among other things in order to solve and even pose the Co-Reference and the No-Reference Problems (Chapter 8).<p><p>----------<p><p>Ce travail est un essai sur la référence des noms dans le langage et la pensée. Selon la Théorie de la Référence Directe, aujourd'hui dominante en philosophie du langage, le contenu sémantique d'un nom propre est directement son référent (Chapitre 1).<p>Or, malgré son succès récent, cette théorie Référentialiste se heurte à deux obstacles majeurs, reconnus depuis Frege et Russell : les Problèmes de la Co-référence et de la Non-Référence. La réponse traditionnelle à ces problèmes consistait précisément à abandonner la conception Référentialiste en faveur d'un Descriptivisme selon lequel le contenu sémantique d'un nom propre serait, non pas son référent, mais une condition descriptive (Chapitre 2).<p>Toutefois, c'est aussi ce Descriptivisme traditionnel que les arguments formulés par les hérauts du Référentialisme moderne—dont Kripke, Putnam, et Kaplan—ont largement discrédité (Chapitre 3).<p>Les outils théoriques développés dans le cadre de la sémantique des mondes possibles permettent de reformuler les problèmes générés par le Référentialisme en termes d'opacité des intensions linguistiques et d'Illusions Modales (Chapitre 4).<p>A ce stade, la théorie sémantique des noms semble dans une impasse : d'une part, le Référentialisme moderne recrée des problèmes que le Descriptivisme classique devait résoudre, mais d'autre part, ce Descriptivisme paraît bel et bien réfuté par l'argumentation des Référentialistes. Aussi, une réaction commune a été de chercher à concilier le Référentialisme et une forme de Descriptivisme au sein d'une même théorie sémantique. Cependant, un examen approfondi révèle que les différentes versions de cette stratégie échouent (Chapitre 5).<p>Une autre réaction, elle aussi œcuménique, a été d'opérér une distinction entre deux types de contenus qui seraient associés avec les noms et les phrases dans lesquels ceux-ci figurent : le premier contenu serait descriptif, tandis que le second serait référentiel. Le cadre offert par un tel Bi-Dimensionnalisme a reçu plusieurs interprétations très différentes (pragmatique, sémantique, métasémantique) ; mais c'est une nouvelle version, métasyntaxique, qui est défendue dans ce travail (Chapitre 6).<p>Le Bi-Dimensionalisme métasyntaxique autorise une séparation radicale entre langage et pensée : tandis que les pensées de leurs utilisateurs peuvent rester descriptives, les noms sont censés référer directement par eux-mêmes, indépendamment des états mentaux de leurs utilisateurs. Dès lors, les noms doivent être considérés comme des objets appartenant au monde extérieur, au même titre que des objets ordinaires tels que les arbres ou les chaises, et non comme des objets mentaux. Une métaphysique externaliste des noms est proposée, ainsi qu'une épistémologie assortie, selon laquelle les noms externes sont décrits dans l'esprit à travers une description de leur référence (Chapitre 7).<p>La stratégie générale qui est défendue dans ce travail revient à combiner une Théorie de la Référence Directe dans le langage avec une conception Descriptiviste (et donc, Internaliste) de la pensée. Aussi, certains arguments influents — émis par notamment Burge — censés établir un Référentialisme non seulement linguistique mais aussi mental (et donc, un Externalisme) sont rejetés ; il est en outre défendu qu'une vision Non-Descriptiviste du mental apparaît incapable de garantir la transparence introspective des pensées, cependant indispensable, notamment pour résoudre et même poser les Problèmes de Co-Référence et de Non-Référence (Chapitre 8). / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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De l'appartenance générique à la dynamique de l'échange: une analyse linguistique de témoignages recueillis par la Fondation Auschwitz

Pirlot, Barbara 27 April 2007 (has links)
Notre propos consiste à décrire et à analyser certains témoignages recueillis par la Fondation Auschwitz en nous inspirant des recherches menées, notamment, en sociolinguistique, en ethnographie de la communication, en pragmatique, en Analyse des Conversations et en Analyse du Discours. Il s’agit, en d’autres termes, d’évaluer l’incidence que revêt, au niveau linguistique, l’inscription de la parole des témoins dans des matrices socio-discursives et interactionnelles particulières (discours oral, témoignage, entretien filmé, récit de l’expérience concentrationnaire). Pour cette étude, nous avons donc privilégié une approche transversale des données qui consiste à observer de manière circonstanciée, et à recenser statistiquement, un ensemble bien cerné de phénomènes microdiscursifs de surface :certains mots du discours (connecteurs et autres marqueurs discursifs) et certaines séquences discursives spécifiques (interventions des interviewers, gloses, séquences justificatives, etc.). Bien qu’elle se veuille principalement inductive et descriptive, notre démarche consistera à pratiquer un va-et-vient incessant entre une observation micro-analytique et une mise en perspective macro-analytique. En somme, partant de phénomènes très fins, nous aimerions décrire ce qui fait, globalement, la particularité de nos données, caractériser le comportement interactionnel et discursif de nos témoins et, ainsi, mettre en évidence certaines des régularités qui relient entre eux les divers objets de notre corpus. En d’autres mots, nous aimerions montrer comment l’examen des phénomènes microlinguistiques permet d’appréhender des mécanismes plus généraux. Les niveaux d’analyse micro- et macro-discursifs, loin de fonctionner de manière dichotomique comme c’est habituellement le cas, seront donc envisagés de manière interdépendante. <p>Notre dissertation s’articule en cinq grandes parties, qui abordent toutes, peu ou prou, la notion de genre. Nous commençons (partie I) par envisager cette question de manière frontale, en essayant de définir le concept de genre en termes théoriques. Il s’agit d’expliquer clairement en quoi la problématique de l’appartenance générique peut s’avérer pertinente pour l’appréhension et la description de nos données. Dans la deuxième partie de ce travail, nous offrons une caractérisation très générale et succincte des récits sur la Shoah. Nous soulignons, notamment, les particularités nées du contexte politique et socioculturel où ces textes ont été produits. Ces précisions nous permettent de présenter plus en détail nos propres données, et de les comparer aux autres témoignages relatifs au phénomène concentrationnaire. Entrant ensuite dans le vif du sujet, nous consacrons notre troisième partie à la dimension testimoniale des données. Dans un premier temps, nous essayons de définir la notion même de témoignage, en cernant le plus précisément possible les contraintes définitoires propres à l’énonciation testimoniale et les questions épistémologiques qu’elles peuvent engendrer. Dans un second temps, et en accord avec notre projet méthodologique, nous relevons et analysons un certain nombre d’indices linguistiques qui nous paraissent spécifiques du discours testimonial. Dans la quatrième partie, qui se veut plus personnelle, nous nous attardons sur la dimension interactionnelle de notre corpus. Nous commençons par décrire les aspects liés à l’organisation structuro-séquentielle des interactions, en présentant deux modèles d’analyse élaborés à cet effet :le système de prise de tour et le modèle des paires adjacentes. Nous décrivons ensuite, dans ce cadre, les traits caractéristiques propres au format de l’interview. Enfin, grâce à l’analyse – qualitative et quantitative – à la fois des interventions produites par les interviewers et de certains marqueurs microdiscursifs utilisés par les interviewés, nous nous efforçons non seulement de cerner les phénomènes microdiscursifs propres au mode interactionnel de l’entretien, mais aussi de souligner, de façon peut-être paradoxale, les transgressions qui s’observent par rapport à ce format prédéterminé. Ce faisant, nous rejoignons nos réflexions antérieures sur l’instabilité inhérente à la notion de genre. Pour boucler la boucle, nous revenons sur cette question dans notre cinquième partie, où nous illustrons les réussites et les échecs discursifs de nos témoins par l’analyse détaillée de trois extraits qui mettent en évidence les défis rhétoriques liés à la complexité générique des discours envisagés. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation linguistique / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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