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Pouvoir et mise en récit : une analyse sémio-narrative du discours de François DuvalierPierre, Serge Philippe January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La lettre de voyage au XVIIIe siècle : éléments de poétiqueBadet, Valérie January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Estrategias de proximización del noticiario televisivo chileno para vincularse con su público/Stratégies de proximisation du journal télévisé chilien pour établir des liens avec son publicAntezana-Barrios, Lorena 05 May 2008 (has links)
Actuellement, le JT central est constitué dans un espace privilégié, dans un rite social où, les spectateurs se donnent quotidiennement rendez-vous pour « s'informer » de tous ces événements qui dans leur ensemble, leur offrent les pistes pour opérer en société. Ces événements sont ordonnés et structurés sous une logique fondamentalement narrative, celle qu'est utilisée de manière particulière par chacun des chaînes télévisuels. Cette façon de former les récits est posée comme une stratégie de proximization dévoilée par la chaîne pour séduire et retenir à son public objectif.
La recherche, à partir de l'étude des trois JT Chiliens de plus haut rating, pendant les 2005 et 2006, c’est demande par les stratégies de proximización qu'utilise chaque chaîne en particulier pour se raprocher à son téléspectateur objectif. Nous partons de la base que bien que chacun des chaînes considérés compte avec un type de propriétaire différent, les trois doivent s'autofinancer, c'est-à-dire sa survie dépend de la vente d'espaces publicitaires ce pourquoi, le captage de spectateurs pour eux s'avère d'importance vitale.
La méthodologie utilisée tant pour la récolte comme pour l'analyse de l'information s'inscrit principalement dans le paradigme qualitatif. Toutefois, la première partie incorpore un travail de catégorisation et reconnaissance du type de notes journalistiques présente dans chacun des JT considérés qu'elle est de nature quantitative mais, dont la fin est simplement descriptive et il nous a permis de dégager les critères de sélection des notes qui ont été analysé dans une plus grande profondeur. / En la actualidad, el noticiero televisivo central se constituye en un espacio privilegiado, en un rito social donde cotidianamente, los telespectadores se dan cita para “informarse” de todos aquellos acontecimientos que en su conjunto, les brindan las pistas para operar en sociedad. Estos eventos están ordenados y estructurados bajo una lógica fundamentalmente narrativa, la que es utilizada de manera particular por cada uno de los canales televisivos. Esta forma de configurar los relatos se plantea como una estrategia de proximización desplegada por el canal para seducir y retener a su público objetivo.
La investigación, a partir del estudio de los tres noticieros televisivos chilenos de más alto rating, durante el 2005 y 2006, se pregunta por las estrategias de proximización que utiliza cada canal en particular para vincularse con su telespectador objetivo. Partimos de la base de que a pesar de que cada uno de los canales considerados cuenta con un tipo de propietario distinto, los tres deben autofinanciarse, es decir su supervivencia depende de la venta de espacios publicitarios por lo cual, la captación de telespectadores para ellos resulta de vital importancia.
La metodología utilizada tanto para la recolección como para el análisis de la información se inscribe principalmente en el paradigma cualitativo. Sin embargo, la primera parte incorpora un trabajo de categorización y reconocimiento del tipo de notas periodísticas presente en cada uno de los noticieros televisivos considerados que es de naturaleza cuantitativa pero, cuyo fin es meramente descriptivo y nos permitió rescatar los criterios de selección de las notas que fueron analizadas en mayor profundidad.
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Des îles-gigognes ; suivi de, Vers des espaces d'inconfortHuyghebaert, Céline 01 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire, tant dans l'écriture romanesque que dans la réflexion critique qui l'accompagne, s'articule autour d'une tension entre l'excès et le silence. Excès qui définit notre société actuelle, dans tout ce qu'elle a de démesuré et de multiple, et dans lequel, pourtant, continue de s'infiltrer des silences, pluriels, imposés par une censure pernicieuse. Un équilibre que cherche à atteindre l'écrivain entre un excès de paroles que notre époque permet et la démission par le silence. La première partie du mémoire se présente comme un récit de voyage dans les îles des Caraïbes. Le titre, Des îles gigognes, fait écho à la structure d'ensemble enchâssée de l'œuvre, le récit linéaire étant entrecoupé de nouvelles, mais aussi d'articles de journaux, de citations, d'extraits et d'images qui dialoguent entre eux. Le thème, les îles, est ce qui relie entre elles ces parties d'un point de vue géographique, toutes les narrations y prenant place, mais aussi d'un point de vue plus symbolique. Chaque voix exploite la charge symbolique et idéologique d'îles avec lesquelles elle entretient un rapport émotif. Mais aucune ne l'exprime de la même façon. L'ambivalence des voix émises émerge alors des confrontations d'opinions entre les personnages, des ruptures fréquentes de style, des glissements de focalisation, et de l'enchâssement des récits les uns dans les autres. Le volet réflexif, Vers des espaces d'inconfort, explore la place, inconfortable, que peut occuper l'écrivain, et plus particulièrement l'écrivain voyageur, dans une société définie par l'excès. La réflexion prend la forme d'un essai subjectif qui défend une éthique de la parrêsia en partant de l'étude que le philosophe Michel Foucault a consacrée à ce concept. La parrêsia, traduite par le « dire-vrai », désigne une parole courageuse professée dans le souci de l'autre, malgré le risque qu'elle comporte, de par sa nature vraie, de briser la communication si l'interlocuteur n'est pas prêt à entendre cette vérité. Dans une époque où les valeurs libérales et les progrès technologiques permettent de dire constamment, immédiatement et à tout le monde, à peu prêt tout et n'importe quoi, discours bons et néfastes, utiles et superflus, l'écrivain parresiastique cherche à débusquer les lâchetés, les lieux communs et les silences qui perdurent sous le bruit ambiant. Il continue de chercher à dire ce qui ne se pense pas, autant du point de vue de l'impossibilité que de l'amoralité de cette pensée. Ainsi, au travers d'un inconfort qu'il poursuit comme ligne directrice, cherche-t-il à transmettre au lecteur cette pensée qui ne se pense pas pour aiguiser son sens critique. Il propose une pluralité de ses perceptions, mais sans tomber dans une logorrhée de phrases superflues. Il cherche l'essentiel dans le brouhaha.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Récit de voyage, fiction, dire-vrai, inconfort, discontinuité
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César et Méloé ; suivi de De l'image au récitDescent, Pascale January 2000 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Lorsque des jeunes filles affiliées aux gangs racontent leur expérience : ce qu'elles en disentGrégoire, Céline January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La machine à broyer les petites filles de Tonino Benacquista : de la mécanique nouvellière à l'hybridité du sous-genre criminelCharland, Anne-Marie January 2012 (has links)
Le présent mémoire porte sur un recueil de nouvelles de Tonino Benacquista, La machine à broyer les petites filles paru en 1993. Ces textes appartiennent à un genre doublement marginalisé : les nouvelles policières. Nous avons tenté de comprendre de quelle manière les trois principaux sous-genres criminels s'entremêlent dans les textes de Benacquista, ainsi que les effets de cette hybridité. Nous avons d'abord dégagé les principales constantes théoriques du récit criminel et de ses trois principaux sous-genres, soit le récit à énigme, le récit à suspense et le récit noir. Puis, avant même de nous consacrer à l'analyse proprement dite des nouvelles, nous avons tenté de mieux comprendre les traits de la nouvelle et les influences qu'ils peuvent avoir sur les récits criminels de Benacquista. Dans la seconde partie, nous avons analysé les treize nouvelles criminelles du recueil de Benacquista. Le premier constat fut que les textes de La machine à broyer les petites filles présentent presque tous une forte coloration noire, entre autres parce que l'auteur s'amuse à transgresser les frontières entre les catégories, entre autres à travers les natures des crimes et de l'énigme. Cela transparait également à travers l'étrangeté des personnages et des lieux, le ton distant des narrateurs ainsi que la focalisation. Par ailleurs, l'ironie et la subversion, traits appartenant autant à la nouvelle qu'au récit noir, teintent toutes les nouvelles. Mais, plus que tout, ces récits incitent à réfléchir aux notions complexes que sont l'impunité et la culpabilité.
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L'historien, la parole des gens et l'écriture de l'histoire. L'exemple d'un fonds de témoignages audiovisuels de survivants des camps nazis.Wallenborn, Hélène 23 September 2004 (has links)
Cette étude analyse le contexte d’élaboration et le contenu d’un corpus de témoignages de rescapés des camps nazis composé de récits de résistants et de Juifs enregistrés dans les années 1990 par la Fondation Auschwitz de Bruxelles, dont un des buts est de prévenir la résurgence de toute forme de fascisme.
Plutôt que d’expliquer l’émergence de ce type d’archives par un retour du traumatisme après son refoulement, ou par la filiation avec la mémoire juive, cette question est élucidée d’une part par la mise en relation avec certaines inquiétudes qui secouent la discipline historienne depuis une trentaine d’années et d’autre part, par un état de la question du traitement de ce qu’on peut appeler “la parole des gens” dans différentes disciplines des sciences humaines : l’histoire, la linguistique, la sociologie, ou la psychanalyse.
La première partie explique l’engouement pour les archives de la parole, et particulièrement pour les témoignages de la Shoah des années 1990 par trois larges perspectives liées entre elles : les changements de la conception de la temporalité, l’un survenu à la fin du XVIIIe siècle, l’autre, autour des années 1980; la deuxième, la manière dont les historiens ont pensé leur rôle social et ont noué des relations avec la société civile depuis les débuts du métier d’historien; et la troisième comment, depuis cette même époque, ils ont justifié pouvoir atteindre leur intention de reconstruction vraie du passé. En fait, cette partie expose les débats entre historiens et société civile qui se cristallisent autour de la notion de témoignage.
La seconde partie est une manière de prendre position dans ces débats. Dans cette partie, les témoignages sont considérés comme des sources. Elle montre que l’on a souvent réfléchi aux sources comme devant à elles seules faire la vérité du récit historique et discute des différentes caractéristiques des sources orales par la mise en oeuvre d’autres domaines du savoir que l’histoire, à savoir la psychanalyse, la sociologie, la linguistique, l’anthropologie à l’aune du fonds enregistré par la Fondation Auschwitz. Après avoir écarté la notion d’oralité comme centrale, discuté de différents systèmes de mémoire individuelle (Bergson , Freud, et Edelman), et celui de la mémoire collective de Halbwachs, de celle de témoignage, il est montré que ce qui définit le contenu de ces témoignages, de ces récits, est la volonté de dire qui l’on est, c’est-à-dire la construction de l’identité, définie comme ce par quoi les gens se sentent déterminés.
Parce que livrer son témoignage, raconter sa vie a un effet sur le témoin, celui de construire un récit de vie par lequel il dit qui il est, -acte de langage grâce auquel il construit son identité-, cet acte est utilisé parfois comme outil émancipateur. Dans les années 1970-1980, l’histoire orale s’intéresse aux acteurs du bas de l’échelle sociale; mais après la fin de la lecture du monde en termes de classes, la fin des marxismes, le témoignage devient un outil de reconstruction de l’identité pour les victimes, et les campagnes d’enregistrement de la “parole des gens” font toujours l’objet d’un enjeu social, qui souvent prime sur la construction d’un véritable objet de recherche.
Et les protagonistes d’enregistrements de prendre position, de manière pas toujours explicite, sur le rôle social de l’historien et de poser la question de ce qui garantit l’objectivité du récit de l’historien jusqu’à remettre en cause sa capacité d’atteindre son intention de reconstruction vraie du passé. Il s’agit alors de prendre en compte l’idéologie de la mémoire au nom de laquelle les témoins sont conviés à parler (dans un but émancipateur, ou encore pour empêcher le retour du fascisme, dans le cadre d’une pédagogie de la Shoah, par exemple), mais aussi la tension entre la vérité du témoin et la vérité de l’historien (au nom de quel principe supérieur l’historien aurait-il le droit de trahir les propos du témoin, alors que lui-même proposerait un récit toujours soumis à réélaboration?).
Cette remise en cause du métier d’historien amène certains à revendiquer l’équivalence de statut entre le témoin et l’historien, jugé de toute façon incapable de dire le vrai sur le passé.
Par l’affirmation “j’y étais”, le témoin s’institue trace de l’événement et demande à être cru sur parole, alors qu’un récit demande toujours vérification. Et plus encore. En disant “j’y étais”, le témoin veut amener l’auditeur à l’action parce qu’il se pense vecteur du sens à donner à l’avenir depuis la mise en place d’un nouveau rapport au temps, conçu comme un éternel passé, qui a entraîné notamment la nécessité de gérer les passés dans nos sociétés contemporaines.
Cette étude peut donc se lire à deux niveaux. Le premier consiste en la mise à jour de nouveaux liens entre sciences humaines et société civile depuis sa redéfinition, qui débute dans les années 1970. Le second propose une grille d’analyse, pour faire la critique de ce type particulier de sources que sont les témoignages, qui doit prendre en compte l’importance sociale de la connaissance du passé pour les protagonistes d’enregistrements, ainsi que leur position par rapport à la possibilité d’atteindre l’objectivité en histoire.
La structure interne des témoignages s’organise en trois registres de discours, qui sont fonction de l’identité du témoin. A une époque où la notion d’identité semble être devenue une notion indépassable, poser la question de la source orale, du témoignage conduit à se demander comment les sciences humaines pensent le monde, avec quels outils d’analyse et comment elles y participent.
Avec cette conscience que l’outil est déterminé par l’histoire-même des sciences humaines, la mise en dialogue de la littérature théorique issue de différentes disciplines, des questions qu’elle pose au métier d’historien et l’analyse d’un fonds particulier d’archives orales par la citation d’extraits, ce travail porte l’espoir de contribuer à clore certains débats au profit de meilleures recherches empiriques. En effet, les témoignages constituent un outil essentiel pour saisir l’histoire des institutions, des organisations dans lesquelles les relations humaines sont fondamentales, mais aussi pour faire l’histoire des mentalités en comprenant comment et par quoi, des gens pensent, à un moment donné, que leur identité est déterminée.
Au-delà de la place du témoin dans nos sociétés contemporaines, cette étude pose la question, qui n’est pas neuve, de la place du passé dans celles-ci et de la légitimité d’y chercher un sens pour nos actions politiques, dont la pédagogie de la Shoah apparaît comme paradigmatique.
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De l'appartenance générique à la dynamique de l'échange. Une analyse linguistique de témoignages recueillis par la Fondation Auschwitz.Pirlot, Barbara 27 April 2007 (has links)
Notre propos consiste à décrire et à analyser certains témoignages recueillis par la Fondation Auschwitz en nous inspirant des recherches menées, notamment, en sociolinguistique, en ethnographie de la communication, en pragmatique, en Analyse des Conversations et en Analyse du Discours. Il s’agit, en d’autres termes, d’évaluer l’incidence que revêt, au niveau linguistique, l’inscription de la parole des témoins dans des matrices socio-discursives et interactionnelles particulières (discours oral, témoignage, entretien filmé, récit de l’expérience concentrationnaire). Pour cette étude, nous avons donc privilégié une approche transversale des données qui consiste à observer de manière circonstanciée, et à recenser statistiquement, un ensemble bien cerné de phénomènes microdiscursifs de surface : certains mots du discours (connecteurs et autres marqueurs discursifs) et certaines séquences discursives spécifiques (interventions des interviewers, gloses, séquences justificatives, etc.). Bien qu’elle se veuille principalement inductive et descriptive, notre démarche consistera à pratiquer un va-et-vient incessant entre une observation micro-analytique et une mise en perspective macro-analytique. En somme, partant de phénomènes très fins, nous aimerions décrire ce qui fait, globalement, la particularité de nos données, caractériser le comportement interactionnel et discursif de nos témoins et, ainsi, mettre en évidence certaines des régularités qui relient entre eux les divers objets de notre corpus. En d’autres mots, nous aimerions montrer comment l’examen des phénomènes microlinguistiques permet d’appréhender des mécanismes plus généraux. Les niveaux d’analyse micro- et macro-discursifs, loin de fonctionner de manière dichotomique comme c’est habituellement le cas, seront donc envisagés de manière interdépendante.
Notre dissertation s’articule en cinq grandes parties, qui abordent toutes, peu ou prou, la notion de genre. Nous commençons (partie I) par envisager cette question de manière frontale, en essayant de définir le concept de genre en termes théoriques. Il s’agit d’expliquer clairement en quoi la problématique de l’appartenance générique peut s’avérer pertinente pour l’appréhension et la description de nos données. Dans la deuxième partie de ce travail, nous offrons une caractérisation très générale et succincte des récits sur la Shoah. Nous soulignons, notamment, les particularités nées du contexte politique et socioculturel où ces textes ont été produits. Ces précisions nous permettent de présenter plus en détail nos propres données, et de les comparer aux autres témoignages relatifs au phénomène concentrationnaire. Entrant ensuite dans le vif du sujet, nous consacrons notre troisième partie à la dimension testimoniale des données. Dans un premier temps, nous essayons de définir la notion même de témoignage, en cernant le plus précisément possible les contraintes définitoires propres à l’énonciation testimoniale et les questions épistémologiques qu’elles peuvent engendrer. Dans un second temps, et en accord avec notre projet méthodologique, nous relevons et analysons un certain nombre d’indices linguistiques qui nous paraissent spécifiques du discours testimonial. Dans la quatrième partie, qui se veut plus personnelle, nous nous attardons sur la dimension interactionnelle de notre corpus. Nous commençons par décrire les aspects liés à l’organisation structuro-séquentielle des interactions, en présentant deux modèles d’analyse élaborés à cet effet : le système de prise de tour et le modèle des paires adjacentes. Nous décrivons ensuite, dans ce cadre, les traits caractéristiques propres au format de l’interview. Enfin, grâce à l’analyse – qualitative et quantitative – à la fois des interventions produites par les interviewers et de certains marqueurs microdiscursifs utilisés par les interviewés, nous nous efforçons non seulement de cerner les phénomènes microdiscursifs propres au mode interactionnel de l’entretien, mais aussi de souligner, de façon peut-être paradoxale, les transgressions qui s’observent par rapport à ce format prédéterminé. Ce faisant, nous rejoignons nos réflexions antérieures sur l’instabilité inhérente à la notion de genre. Pour boucler la boucle, nous revenons sur cette question dans notre cinquième partie, où nous illustrons les réussites et les échecs discursifs de nos témoins par l’analyse détaillée de trois extraits qui mettent en évidence les défis rhétoriques liés à la complexité générique des discours envisagés.
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Les cahiers rouges suivi de : Écrire : dialogue fictif avec Marguerite DurasForeste, Julia Farrah January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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