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PKCbêta1 intervient dans l'action d'une concentration élevée en glucose sur l'expression de l'angiotensinogène et l'hypertrophie des IRPTCCalvé, Annie January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Clonage et caractérisation des protéines liant l'élément de réponse à l'insuline (IREBP) du gène de l'angiotensinogène chez le ratWei, Chih-Chang January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Cloning and characterization of a new cAMP responsive element binding protein on rat angiotensinogen geneWu, Jie 08 1900 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Angiotensinogen (ANG) is a single peptide glycoprotein that contains 452 amino
acids in human (453 amino acids in rodents). ANG releases a 10-amino acids peptide known
as angiotensin l (Ang I) from it's N-terminal when acted by renin, a acidic protease. Ang I
can be fiirther converted into angiotensin II (Ang II) by angiotensin converting enzyme
(ACE). Ang II is one of the most potent vasoconstrictors known. Ang II also acts on the
brain to mcrease blood pressure. Ang II acts on the adrenal cortex to increase the secretion
of aldosterone. The levels of ANG in plasma or local tissues diïectly contribute to the
levels ofAng II. Therefore the studies of regulation ofANG gene expression is important to
understand the molecular mechanisms of some related diseases, such as hypertension.
Previous studies m which the transfection of the fusion genes that were generated
with various lengths of 5'-flanking region of the rat ANG gene linked to a bacterial
chloramphenicol acetyl transferase (CAT) gene as a reporter into mouse hepatoma (Hepa 1-
6) ceUs and opossum kidney (OK) cells, identified a putative cyclic AMP responsive
element (CRE) in the rat ANG gene 5'-regulatory region (N-806/-779). Compared with
palindromic CRE octamer (TGACGTCA), the putative CRE of the ANG gene (ANG-CRE)
is almost identical except the last two bases were in reversed order (TGACGTAC).
In the present study, we isolated a fuU-length cDNA of 1345 base pairs from mouse
liver cDNA library, which encodes a nuclear DNA-binding protein consisting of 436 amino
acids with an apparent molecular weight of 52 kilodalton (kDa). This protein binds to the
ANG-CRE, and was designated as 52-kDa protein. Southwestern blot revealed that this 52
kDa protein was present in the following tissues, such as liver, kidney, testis, brain, but not
in spleen.
Analysis of the deduced amino acid sequence shows no apparent basic regionleucine
zipper (bZIP) stmcture, indicatmg ANG-CREB is structurally distinct fi-om bZIP
family members. The antiserum against 43-kDa-CREB or ATF-2 can not interact with this
52-kDa protein, further supporting that the 52-kDa protem is immunologically different fi-om the bZIP family. The 52-kDa protein may represent a new group of CRE-binding
proteins.
Competitive gel mobility shift assays and Southwestern blot analysis revealed that
the ANG-CREB binds to ANG-CRE, and this bindmg is not displaceable by excess amounts
of CREs fi-om somatostatin (SOM), phosphoenopymvate carboxyl kmase PEPCK), and
tyrosine ammo transferase (TAT) genes in vitro. These data suggest that the 52-kDa
protein binds specifically to ANG-CRE and may regulate the ANG gene expression.
The biological function of the 52-kDa protein is not known at present. The primary
data from transient gene transfection assays showed that this protein has represser activity
on the ANG gene promoter when ANG gene was stimulated by isoproterenol, but showed
no effect on the ANG basal level (without any stimulation). Further experiments will be
needed to study the biological function of the 52-kDa protein. / L'angiotensinogène (ANG) est une glycoprotéine fonnée de 452 acide aminés chez
l'humain (453 acide aminés chez les rongeurs). Une protéase acide, la rénine, clive l'ANG de
son côté N-tenninal en libérant un peptide de 10 acide aminés connu sous le nom de
l'angiotensine I (Angl). Ce dernier, peut être converti en angiotensine II (AngII) sous
Faction d'une enzyme de conversion dite ACE. L'Ang II est un puissant vasocoiisticteur. Il
agit au niveau du cerveau en augmentant la pression sanguine et au niveau du cortex rénal
en augmentant la sécrétion de l'aldostérone. Les niveaux de l'ANG daiis le plasma ou dans
les tissus locaux sont directement proportionnels aux niveaux de Ang II. Ainsi les études de
regulation de l'expression du gène d'Ang II sont importantes pour comprendre les
mécanismes moléculaires de certames maladies, comme l'hypertension. Des études
antérieiu-es par transfection en utilisant des gènes de fusion générés avec différentes
longueurs de région flanquées en 5' du gène ANG de rat lié au gène rapporteur de bactérie,
le chloramphénicol acetyl transférase (CAT), dans les ceUules hépatome (Hepa 1-6) de
souris et dans les ceUules rénales de sarigue, ont permis d'identifier un présumé élément
réponse (CRE) d'AMP cyclique dans la région régulatrice en 5' du gène ANG de rat (N-
806/-779). En comparant l'octamère palindromique de CRE (TGACGTCA) avec le
présumé CRE du gène ANG (ANG-CRE), il semble qu'ils sont identiques à l'exception des
deux dernières bases qui sont dans un ordre inversé (TGACGTAC). Dans cette étude, nous
avons isolé à partir d'une banque de cDNA du foie de souris, une cDNA de 1345 paire de
bases qui code pour une protéine de liaison à l'ADN nucléaire. Cette protéine est fonnée de
436 acide aminés avec un poids moléculaire apparent de 52 kilodalton (kDa). En se liant à
ANG-CER, cette protéme est désignée comme la 52-kDa protéine. Le "Southwestern blot"
a révélé que la 52-kDa protéine de 52 kDa est présente dans les tissus suivants: foie, rein,
testicule et cerveau; mais absente dans la rate. L'analyse de cette séquence déduite d'acide
aminés ne montre pas du stmcture apparent à la région basique de la fermeture éclaire à
leucine, bzip (basic region-leucme zipper), indiquant que la 52-kDa protéine est structurellement distincte des membres de la famille bzip. L'antisérum dérigé contre le 43-
kDa-CREB ou contre ATF-2 n'intéragit pas avec la 52-kDa protéme confermant amsi que la
52-kDa protéine est immunologiquenient dififérente des membres de famille bzip. La 52-kDa
protéine représente donc, un nouveau groupe des protéines de liaison à CRE. Les essais sur
gel à mobilité compétitive et les analyses de "southwestern blot" ont révélé que la 52-kDa
protéine lié ANG-CRE et que cette liaison n'était pas déplaçable par un excès du gène CRE
de somatostatin (SOM), phosphoenopymvate carboxy kmase (PEPCK) et tyrosme ammo
transférase (TAT) m vitro, suggérant que la 52-kDa protéine se lié spésifiquement à ANGCRE
et qu'il peut réguler l'expression du gène ANG. Les fonctioiis biologiques de la 52-
kDa protéine ne sont pas encore connus. Les premiers résultats obtenus à partir des essais
de transfections des gènes transitoirs montrent que cette protéine a une activité represseur
sur le promoteur du gène d'ANG quand ce dernier est stimulé par l'isoprotérénol, et que,
sans stimulation, elle a aucun effet sur le niveau basai d'ANG. Les expériences futures
seront nécessaires poiir étudier les
fonctions biologiques d'AND.
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Polymorphismes génétiques et variations interindividuelles de la réponse aux agents antihypertenseursLefebvre, Jean 13 April 2018 (has links)
L'arsenal thérapeutique utilisé dans le traitement de l'hypertension artérielle est vaste, généralement efficace et sécuritaire. Pourtant, les études populationnelles démontrent que les médicaments antihypertenseurs permettent une maîtrise adéquate de la tension artérielle dans moins de 50% des patients hypertendus. Parmi les causes pouvant expliquer ce phénomène, on note l'existence d'une grande variabilité interindividuelle dans la réponse aux agents antihypertenseurs. L'identification des facteurs responsables de cette variabilité permettrait de personnaliser davantage les approches thérapeutiques actuelles afin d'en améliorer les bénéfices cliniques. Les travaux de recherche présentés dans cette thèse de doctorat se rapportent aux déterminants génétiques de la réponse aux agents antihypertenseurs. Trois études cliniques ont ainsi été réalisées afin d'évaluer l'impact de polymorphismes génétiques sur l'efficacité et l'innocuité d'agents de classes pharmacologiques différentes. La première étude a mis en évidence le rôle joué par le polymorphisme Met235Thr du gène de l'angiotensinogène dans le taux de réponse au losartan, un agent antihypertenseur de la classe des antagonistes des récepteurs à l'angiotensine Il. Les résultats de cette étude ont également démontré l'influence qu'exerce ce polymorphisme sur la tension artérielle de base, notamment chez les femmes homozygotes DO pour le polymorphisme de délétion / insertion de l'intron 16 du gène de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ECA). La deuxième étude clinique a permis d'identifier un groupe de patients présentant une susceptibilité accrue pour la toux sèche secondaire aux inhibiteurs de l'ECA. Les patients doubles homozygotes pour le polymorphisme d'insertion / délétion de l'intron 1 du gène du récepteur de type 2 à la bradykinine (+9/+9) et pour celui d'insertion / délétion de l'intron 16 du gène de l'ECA (DD), ont développé la toux caractéristique de cette classe de médicaments dans près de 80% des cas. Enfin, la troisième étude a démontré que les variations génétiques du cytochrome P450 206 étaient associées à d'importants changements dans le métabolisme du nébivolol, un bêta-bloqueur de 3ième génération fortement hydroxylé par cette enzyme. L'étude n'a néanmoins révélé aucune variation significative dans les effets antihypertenseurs de ce médicament. En conclusion, les résultats de ces trois études apportent des éléments nouveaux dans la compréhension des déterminants génétiques de la réponse aux agents antihypertenseurs. La poursuite de ces études pourra éventuellement aider les cliniciens à personnaliser davantage l'utilisation des agents antihypertenseurs chez leurs patients.
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Hypertension et régulation de l'expression moléculaire de l'angiotensinogène par la ribonucléoprotéine hétérogène nucléaire KAbdo, Shaaban 06 1900 (has links)
Le diabète est une maladie chronique dont la principale
caractéristique est un niveau plasmatique élevé de glucose, qui est causé
soit par un défaut dans la production d’insuline, l’action de l’insuline, ou
les deux à la fois. Plusieurs études ont démontré que l’hyperglycémie
chronique peut mener à la dysfonction et même la défaillance de
plusieurs organes, dont le coeur, le système vasculaire, les yeux et les
reins, se traduisant par des infarctus du myocarde, des accidents
cérébro-vasculaires et des complications rétinales et rénales,
respectivement. La néphropathie diabétique (DN) est la principale cause
de déficience rénale et affecte près de 25-40% des patients diabétiques.
La DN est invariablement associée à un risque élevé d’accident cérébrovasculaire
et de dysfonction cardivasculaire. L’angiotensinogène (Agt) est
l’unique précurseur de tous les types d’angiotensines. En plus du
système rénine-angiotensine (RAS) sytémique, le rein possède son
propre système intrarénal et exprime tous les composants du RAS. L’Agt
est fortement exprimé dans les cellules du tubule proximal rénal (RPTC)
et y est converti en angiotensine II (AngII), le peptide biologiquement actif
du RAS. Les patients diabétiques présentent de hauts niveaux d’AngII et
une augmentation de l’expression des gènes du RAS, suggérant que
l’activation du RAS intrarénal joue un rôle important dans la progression
de la DN. Les mécanismes qui contrôlent la régulation du niveau rénal
d’Agt par l’hyperglycémie et l’insuline demeurent mal compris.
Le but global de cette thèse est de mieux comprendre les
mécanismes moléculaires qui contrôlent l’expression du gène Agt chez la
souris Akita (un modèle murin de diabète de type 1). Dans cette optique,
la première partie de la thèse se concentre sur deux facteurs de
transcription de la famille des ribonucléoprotéines nucléaires hétérogènes
(hnRNP). Chan et collaborateurs ont déjà identifié 2 protéines nucléaires
hnRNP F et hnRNP K, de 48kD et 70kD respectivement. HnRNP F et
hnRNP K forment un hétérodimère et se lient à l’élément de réponse à
l’insuline (IRE) présent dans le promoteur du gène Agt du rat et inhibent
la transcription du gène Agt in vitro. Afin de déterminer si hnRNP F / K
sont responsables de l’inhibition de l’expression rénale de Agt par
l’insuline in vivo, nous avons étudié des souris Akita males traités ou non
avec des implants d’insuline pour une période de 4 semaines. Des souris
non-Akita males ont été employées comme contrôles. Les souris Akita
développent de l’hypertension et de l’hypertrophie rénale. Le traitement à
l’insuline rétablit les niveaux de glucose plasmatiques et la pression
systolique (SBP), et atténue l’hypertrophie rénale, l’albuminurie (ratio
albumine/créatinine urinaire, ACR) et les niveaux urinaires d’Agt et AngII
chez les souris Akita. De plus, le traitement à l’insuline inhibe l’expression
rénale du gène Agt, tout en augmentant l’expression des gènes hnRNP
F, hnRNP K et ACE2 (enzyme de conversion de l’angiotensine-2). Dans
des RPTC in vitro, l’insuline inhibe Agt, mais stimule l’expression de
hnRNP F et hnRNP K en présence de hautes concentrations de glucose,
et ce via la voie de signalisation MAPK p44/42 (protéine kinase activée
par un mitogène). La transfection avec des petits ARN interférents
(siRNA) contre hnRNP F et hnRNP K prévient l’inhibition de l’expression
d’Agt par l’insuline dans les RPTC. Cette étude démontre bien que
l’insuline prévient l’hypertension et atténue les dommages rénaux
observés chez les souris Akita diabétiques, en partie grâce à la
suppression de la transcription rénale de Agt, via une augmentation de
l’expression de hnRNP F et hnRNP K.
La seconde partie de cette thèse change de focus et se tourne
vers le facteur Nrf2 (nuclear factor erythroid 2-related factor 2). Nrf2 est
un facteur de transcription qui contrôle les gènes de la réponse
antioxydante cellulaire en réponse au stress oxydant ou aux
électrophiles. Le but de cette étude est d’examiner l’impact de la
surexpression de la catalase (Cat) dans les RPTC sur l’expression du
gène Agt via Nrf2 et sur le développement de l’hypertension et des
dommages rénaux résultants chez les souris diabétiques Akita
transgéniques (Tg). Nos études ont démontré que la surexpression de
Cat dans les souris Akita Cat-Tg normalise la SBP, atténue les
dommages rénaux et inhibe l’expression des gènes Nrf2 et Agt dans les
RPTC. In vitro, le glucose élevé (HG) et l’oltipraz (un activateur de Nrf2)
stimulent l’expression de Nrf2 et Agt, et cet effet peut être bloqué par la
trigonelline (inhibiteur de Nrf2), des siRNA contre Nrf2, des antioxydants
ou des inhibiteurs pharmacologiques NF-κB et MAPK p38. La
suppression de sites de réponse à Nrf2 présents dans le promoteur du
gène Agt du rat abolit la stimulation par l’oltipraz. Finalement, des souris
males adultes non-transgéniques traitées avec l’oltipraz montrent une
augmentation de l’expression de Nrf2 et Agt dans leurs RPTC et cette
augmentation peut être normalisée par la trigonelline. Ces données
permettent d’identifier un nouveau mécanisme d’action de Nrf2, par la
stimulation du gène Agt intrarénal et l’activation du RAS, qui induisent
l’hypertension et les dommages rénaux par le glucose élevé et les
espèces réactives de l’oxygène chez les souris diabétiques. Nos
conclusions permettent de démontrer que l’insuline induit l’expression de
hnRNP F et hnRNP K, qui jouent ensuite un rôle protecteur en prévenant
l’hypertension. La surexpression de la catalase dans les RPTC vient
quant à elle atténuer l’activation de Nrf2 et ainsi réduit la SBP chez les
souris Akita. / Diabetes mellitus is a chronic metabolic disorder characterized by
high plasma glucose caused by an impairment of insulin production,
insulin action or both. Accumulating evidence has shown that chronic
hyperglycemia can lead to dysfunction and failure of multiple organs
including the heart, vascular system, eyes, and kidneys resulting in
myocardial infarction, stroke, and retinal and renal complications,
respectively. Diabetic nephropathy (DN) is the leading cause of end-stage
renal disease affecting approximately 25–40% of diabetic patients. DN is
invariably associated with an increased risk of stroke and cardiovascular
dysfunction. Angiotensinogen (Agt) is the sole precursor for all types of
angiotensins. In addition to systemic renin-angiotensin system (RAS), all
the components of the intrarenal RAS are expressed in the kidney. Agt is
highly expressed in the renal proximal tubular cells (RPTCs) and
converted into biologically active angiotensin II (Ang II). In Diabetics,
intrarenal Ang II level and RAS gene expression are upregulated,
suggesting that intrarenal RAS activation plays an important role in the
progression of DN. The mechanism (s) underlying the regulation of renal
Agt by hyperglycemia and insulin are not completely understood. The
overall aim of this thesis is to understand the molecular mechanism(s)
that regulate renal Agt gene expression in an Akita mouse (a mouse
model of type 1 diabetes). For this purpose, the first part of this thesis
focuses on two transcription factors from the heterogenous nuclear
ribonucleoprotein (hnRNPs) family. Previously, Chan’s group identified
two nuclear proteins hnRNP F and hnRNP K of 48kD and 70kD,
respectively. hnRNP F and hnRNP K form a heterodimer and bind to the
insulin-responsive element (IRE) in the rat Agt gene promoter inhibiting
Agt gene transcription in vitro. To determine whether hnRNP F / K
mediate insulin inhibition of renal Agt expression in vivo, we used adult
male Akita mice treated ± insulin implants for 4 weeks. Non-Akita mice
served as controls. The Akita mice developed hypertension and exhibited
renal hypertrophy. Insulin treatment normalized plasma glucose levels
and systolic blood pressure (SBP), attenuated renal hypertrophy,
decreased urinary albumin/creatinine ratio (ACR) and urinary Agt and
Ang II levels in Akita mice. Furthermore, insulin treatment inhibited renal
Agt expression but enhanced hnRNP F, hnRNP K and angiotensinconverting
enzyme-2 (ACE2) expression. In vitro, insulin inhibited Agt but
stimulated hnRNP F and hnRNP K expression in high-glucose media via
p44/42 mitogen-activated protein kinase signaling in RPTCs. Transfection
with hnRNP F and hnRNP K small interfering RNAs (siRNA) prevented
the insulin inhibition of Agt expression in RPTCs. This study
demonstrates that insulin prevents hypertension and attenuates kidney
injury, at least in part, through suppressing renal Agt transcription via
upregulation of hnRNP F and hnRNP K expression in diabetic Akita mice.
In the second part of the thesis we focused on the nuclear factor
erythroid 2-related factor 2 (Nrf2). Nrf2 is a transcription factor that
regulates cellular antioxidant gene defense against oxidative stress or
electrophiles. The purpose of this study is to investigate the impact of the
overexpressing catalase (Cat) in RPTCs on Agt gene expression via
Nrf2and the resulting effects on the development of hypertension and
renal injury in diabetic Akita transgenic (Tg) mice. Our studies
demonstrate that Cat overexpression normalizes SBP, attenuates renal
injury, and inhibits RPTC Nrf2 and Agt gene expression in the Akita Cat-
Tg compared to Akita mice. In vitro, high glucose (HG) and Oltipraz
stimulated Nrf2 and Agt gene expression; these changes were blocked by
Trigonelline (an inhibitor of Nrf2), siRNA against Nrf2, antioxidants, or
pharmacological inhibitors of NF-kB and p38 mitogen-activated protein
kinase. Moreover, deletion of Nrf2-responsive elements in the rat Agt
gene promoter abolishes the stimulatory effect of Oltipraz. Finally,non
transgenic adult male mice treated with the Nrf2 activator Oltipraz,
upregulated Nrf2 and Agt expression in mouse RPTs, an effect that was
normalized by Trigonelline. These data identify a novel mechanism via
which Nrf2 mediates the stimulation of intrarenal Agt gene expression and
activates the RAS through whichHG/reactive oxygen species (ROS)
induce hypertension and renal injury in diabetic mice. Our findings
demonstrate that the insulin induced hnRNP F and hnRNP K gene
expression play a protective role in the preventing hypertension. Catalase
overexpression, in RPT's, attenuates Nrf2 activation and lowers the SBP
in Akita mice.
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Mécanisme(s) d'action de l'insuline dans la prévention de l'hypertension et la progression de la tubulopathie dans le diabète : rôle de hnRNP F, Nrf2 et BmfGhosh, Anindya 08 1900 (has links)
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