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Ces jeunes filles parlent trop suivi de Transformations et déviances corporelles chez Anne-Marie Albiach et Lautréamont

Bouchard, Geneviève January 2017 (has links)
Cette thèse en création littéraire contient trois parties. La première partie est constituée du texte de création littéraire : Ces jeunes filles parlent trop. Le texte est divisé en trois parties afin de rendre compte d'une parole multiple, comme le titre du texte le laisse penser. La création littéraire est constituée de poèmes en prose et en vers, ainsi que de fragments poétiques. Ce texte de création avait pour objectif d'expliciter la problématique suivante : Comment rendre compte de situations traumatisantes et du corps à travers différents objets? Ainsi le texte présente plusieurs objets dont le miroir, la bouteille et des tresses capillaires. La deuxième partie est divisée en trois chapitres. Le premier chapitre présente une analyse du corps poétique chez Anne-Marie Albiach dans son recueil Mezza Voce. Il s'agit ici de voir de quelle manière Albiach transforme le corps afin de permettre à celui-ci de devenir un objet d'écriture. Le deuxième chapitre aborde Les chants de Maldoror du comte de Lautréamont. Dans ce chapitre, un passage en particulier est analysé. Celui-ci nous servira à présenter de quelle façon le corps chez Lautréamont permet, malgré ses nombreuses mutilations, d'être un outil de transmission et de communication. La dernière partie ajoute une composante réflexive à la thèse. Il s'agira de présenter et d'expliquer la problématique et la thématique choisies. Le dernier chapitre, Création et corps, sert aussi à mettre en lien le texte de création et les auteurs abordés.
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Poésie et visuel : domaines américain et européen : Myung Mi Kim, Susan Howe et Anne-Marie Albiach / The visual use of the page in American and European poetry : Myung Mi Kim, Susan Howe and Anne-Marie Albiach

Dick, Jennifer Kay 04 June 2009 (has links)
Notre thèse explore les multiples voies proposées par Anne-Marie Albiach, Myung Mi Kim et Susan Howe pour organiser visuellement l’espace de la page. L’usage de la dimension visuelle en poésie ouvre des possibilités que le Verbe a toujours eues : dépeindre, se dédoubler, et produire un écho visuel et sonore. La dimension du voir permet également la création de paradoxes par des juxtapositions d’éléments. Tout cela met en question le statut du langage et du langage poétique. Cette thèse étudie les moyens par lesquels des poésies interpellent leurs lecteurs et continuent à produire des significations qui dépassent par leur multiplicité la formation traditionnelle du sens. Ces œuvres créent des significations que l’on doit voir, et non comprendre, par le biais d’une lecture plurielle de composants [iconographiques, linguistiques, abstraits, sériels]. On prend comme point de départ l’étude des typologies du fragment et illustre comment la discrétion visuelle du fragment est intimement liée au développement de chaque poète. On interroge le rapport du mot à l’image afin de dégager des antécédents des procédés utilisés sur la page. On confirme que ces œuvres emploient des techniques « iconiques », comme le faisaient les calligrammes d’Apollinaire, mais y associent les techniques mallarméennes en étendant la lecture sur plusieurs pages. Les poésies de Howe, d’Albiach et de Kim présentent une synesthésie totale des correspondances entre des formes jusqu’à-là exploitées séparément. Par conséquent, ces œuvres radicalisent la notion de possible poétique en assimilant les techniques de la publicité, de la pop culture, du collage et du montage. / This dissertation explores the diverse ways in which the work of Anne-Marie Albiach, Myung Mi Kim and Susan Howe visually organise the space of the page. The use of poetry’s visual dimension enlarges the traditional possibilities of the Word: to depict, multiply and produce an echo which is simultaneously resonant and visual. Exploiting the gaze also creates paradoxes through the juxtaposition of various elements. All of this calls into question the status of language, and poetic language in particular. This dissertation studies the ways these poets engage their readers as they produce a plurality of meanings which extend far beyond traditional sense-making. These works have significations which need to be seen rather than understood, via a reading process of its multifarious components [iconographic, linguistic, abstract, in series]. This study’s point of departure is the consideration of various types of fragments which illustrate how the fragment’s visual subtlety is intimately linked to each poet’s development. Connections between word and image are closely examined in order to locate the antecedents for the procedures being applied to the page. These works use “iconographic” techniques much as Apollinaire did in his calligrammes, while associating with these Mallarmé’s methods of drawing a poem’s reading out over numerous pages. The poetries of Howe, Albiach and Kim present a synesthesia of correspondences between all the forms which had heretofore been used separately. Consequently, these works radicalize the notion of what is possible in poetry by assimilating advertising, pop culture, collage and montage techniques.
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La littérature aux limites du lisible : singularités de l’expérience littéraire dans le champ poétique français contemporain

Trahan, Michaël 11 1900 (has links)
Cette thèse s’intéresse à la lisibilité de la littérature — à la lisibilité d’une certaine littérature : française, contemporaine, une littérature qu’on classe plus souvent qu’autrement du côté du champ poétique. Au départ, un simple constat : certains livres sont difficiles à lire. Parfois, on va même jusqu’à dire qu’ils sont illisibles; si ce jugement ne saurait fournir un concept rigoureux pour décrire les textes, il soulève toutefois un certain nombre de questions qui, elles, sont au cœur de cette thèse. Car il n’y a rien d’illisible en soi : l’illisible n’est pas une propriété, mais un jugement qui traduit une impasse de lecture. Ainsi, les verdicts d’illisibilités ont des causes et des conséquences très variées. L’illisible est situé : on peut difficilement l’aborder hors de ses circonstances, puisqu’il renvoie moins à un contenu spécifique qu’à une expérience. Il ne s’agit donc pas, ici, de lever l’incompréhension que l’on peut ressentir devant certains textes, mais bien d’interroger la place qu’elle occupe dans nos façons de lire et dans notre rapport à la littérature. Cette thèse se propose de réfléchir à ces questions en abordant, sous le mode du dialogue, les œuvres de Jean-Michel Reynard, Christophe Tarkos, Denis Roche, Anne-Marie Albiach, Jean-Marie Gleize, Christian Prigent, Valère Novarina et Pierre Guyotat. Ces œuvres n’occupent pas toutes la même place dans cette thèse. En ce sens, l’objectif n’est pas de les épuiser mais de soulever un certain nombre de questions à travers elles. Des questions différentes selon les œuvres, selon les écrivains, mais qui sont traversées par un même fil conducteur : l’expérience littéraire. À partir de situations chaque fois singulières, il s’agit ainsi d’éclairer certains aspects, certaines modalités de l’expérience littéraire. Les deux pôles de cette expérience sont ici l’écriture et la lecture, auxquelles il faut associer les figures de l’écrivain et du lecteur, qui occupent dans cette thèse une place centrale. La perspective est donc généraliste, qui soulève des questions tantôt poïétiques, axées sur la façon dont les écrivains vivent la genèse de leurs œuvres, et tantôt plus poétiques, voire politiques, qui renvoient plutôt à la façon dont les lecteurs font à leur tour l’expérience de ces textes à la singularité parfois radicale. En somme, les objectifs de cette thèse sont : 1) d’éclairer sous un nouvel angle les œuvres étudiées; 2) à travers leur exemple problématique, de poser les bases d’une réflexion sur la lisibilité, qui accorde une large place à la posture des écrivains et à la façon dont ils vivent la genèse de leurs œuvres; et 3) de contribuer aux études sur la genèse, la réception et la médiation des œuvres littéraires en réfléchissant à nos façons de vivre (avec) la littérature. / This dissertation focuses on the readability of literature—on the readability of a certain literature: French, contemporary, a literature that is more often than not classified in the poetic field. At first, a simple observation: some books are difficult to read. Sometimes we even get so far as to say they are unreadable; if this judgment cannot provide a rigorous concept to describe the texts, it nevertheless raises a number of questions which are at the heart of this dissertation. For there is nothing unreadable in itself: the unreadable is not a property, but a judgment that translates an impasse in reading. Thus, the verdicts of unreadability have varied causes and consequences. The unreadable is situated: it is difficult to approach it outside of its circumstances, since it refers less to a specific content than to an experience. The objective here is not to alleviate the misunderstanding that can be felt in front of certain texts, but rather to question the place it occupies in our ways of reading and our relation to literature. This dissertation proposes to reflect on these questions by approaching the works of Jean-Michel Reynard, Christophe Tarkos, Denis Roche, Anne-Marie Albiach, Christian Prigent, Valère Novarina and Pierre Guyotat. These works do not all have the same place in this dissertation. In this sense, the aim is not to exhaust them but to raise a number of questions through them. Different questions according to the works, according to the writers, but which are crossed by a common thread: the literary experience. From singular situations, the goal is thus to understand certain aspects, certain modalities of the literary experience. The two poles of this experience are writing and reading—related to those are the figures of the writer and the reader, which occupy an important place in this dissertation. Therefore, the perspective is broad, which raises questions sometimes of poietic, centred on the way writers live the creation of their works, and sometimes more of poetic, even politic, which rather refer to the ways in which readers, on their side, experience these radically singular texts. In short, the objectives of this dissertation are: 1) to study these works from a new angle; 2) through their problematic example, to lay the foundations for a reflection on readability that gives a large place to the writers’ posture and the way they live the creation of their works; and 3) to contribute to studies on creation, reception and mediation of literary works by reflecting on our ways of living (with) literature.

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