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Transcending spaceCole, Carli. January 2008 (has links)
Thesis (M.Arch.)--University of Detroit Mercy, 2008. / "April 28, 2008". Includes bibliographical references (p. 122-123).
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Implacing the bodyWehri, Jonathan. January 2005 (has links)
Thesis (M.Arch.)--University of Detroit Mercy, 2005. / Includes bibliographical references (p. 201-203).
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The "art of building" (BAUKUNST) of Mies van der RoheKim, Ransoo. January 2006 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Architecture, Georgia Institute of Technology, 2007. / Lewcock, Ronald B., Committee Chair ; Gamble, Michael E., Committee Member ; Bafna, Sonit, Committee Member ; Trubiano, Franca, Committee Member ; Mical, Thomas, Committee Member.
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Nomadology in architecture : ephemerality, movement and collaborationCowan, Gregory John. January 2002 (has links) (PDF)
Bibliography: leaves 138-149. This thesis investigates the theoretical and practical importance of nomadic ways of life for architecture. Nomadology is a construction of Deleuze and Gattari's 'counter-philosophy' challenging authenticity and propriety, in this case, in the context of architecture. It describes how nomadology may challenge static, permanent, heroically solitary ways of working and dwelling, and suggests strategies - diagramming, ephemerality, movement, and collaboration - as ways of reconciling nomadism and architecture.
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Urban collage and the tectonic landscape /Rossmann, Erik, January 1900 (has links)
Thesis (M.Arch.) - Carleton University, 2008. / Includes bibliographical references (p. 62-63). Also available in electronic format on the Internet.
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Techtonic space out of placeJohansen, Hans January 2008 (has links)
Thesis (M.Arch.)--University of Detroit Mercy, / "28 April, 2008". Includes bibliographical references (p. 105).
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Concevoir le contexte de l'architecture: réalité habitée et réalité projetée dans trois doctrines du 20e siècleMarbehant, Sylvain 21 October 2014 (has links)
Cette thèse de doctorat développe un questionnement de nature épistémologique à propos du domaine architectural et des connaissances qui lui sont associées. La théorie architecturale se distingue par la grande diversité de ses formes, par la multiplicité des acteurs qui la mobilisent et surtout par la grande complexité de l'objet qu'elle vise :l'œuvre architecturale. Pour pouvoir aborder de manière lucide ces différents filtres, nous proposons d'en décoder les origines pour une notion théorique particulière: le contexte de l'œuvre architecturale.<p>Le contexte d'une œuvre rassemble l'ensemble des conditions matérielles, sociocognitives et culturelles qui contribuent à sa signification. Cependant l'interprétation d'un contexte est souvent faite de manière équivoque tant les sources du sens sont multiples et variées pour l'architecture. <p>Un examen rapide de l'évolution de la culture architecturale dans le courant du 20e siècle permet de situer la grande popularité de la question du contexte dans la seconde moitié de ce siècle. L'importance du contexte y apparaissait comme une force effective pour endiguer la crise du sens que connaissait l'architecture. Une sensibilité commune émergea au sein de trois courants architecturaux – appelés dans cette étude la Team 10, les Italiens et les Américains. Tous fondaient leurs interprétations sur l'idée que les conditions matérielles et historiques d'une situation donnée participent à la signification que prend l'œuvre architecturale chez ses habitants. Ils en déduisirent une série de notions originales qui constituent l'objet de cette étude.<p>Au moment du repli théorique amorcé au moment du postmodernisme, ces interprétations furent formalisées au sein de trois doctrines :le structuralisme, le rationalisme et le contextualisme. Dans ce cadre doctrinal, à chaque situation donnée pouvaient correspondre plusieurs contextes élaborés a priori et conditionnant sans détour l'œuvre architecturale qui y prenait place. Ainsi, alors que la signification d'un contexte est liée à sa spécificité, ces interprétations formalisées encourageaient la reproduction de stratégies d'interventions architecturales abstraites de toute contingence. <p>La critique du postmodernisme expliqua ces pratiques caricaturales par l'oubli du rôle actif des auteurs architectes dans le travail d'interprétation du contexte d'une œuvre. Un contexte ne doit pas être interprété seulement en tant que réalité habitée – trouvant son sens chez les habitants de l'œuvre – mais aussi en tant que réalité projetée. – trouvant son sens dans la conception de l'œuvre. <p>La première hypothèse de cette recherche avance qu'au sein des trois courants à l'origine des doctrines du structuralisme, du rationalisme et du contextualisme s'exprimait consciemment cette différence entre réalité habitée et réalité projetée. Si les formalisations doctrinales écartèrent l'importance de l'engagement créatif des architectes dans l'interprétation d'un contexte n'avait pas été oubliée chez les principaux auteurs de ces trois courants. La seconde hypothèse de cette recherche avance que l'interprétation d'un contexte en tant que réalité projetée est nécessaire pour renouveler le sens de l'œuvre qui y est associée. Par l'engagement de l'auteur architecte, peut naître une relation spécifique entre l'œuvre architecturale et son contexte, spécificité garante de la signification.<p>Ces deux hypothèses s'appuient sur deux développements. D'abord un double inventaire des principales notions relatives à la compréhension du contexte de l'œuvre architecturale en tant que réalité habitée et en tant que réalité projetée. Ces inventaires sont illustrés par quelques projets exemplaires traduisant l'impact de ces interprétations sur l'architecture construite. Ensuite par une réflexion théorique plus générale développant la relation possible entre la connaissance architecturale et l'œuvre au sein d'une réalité projetée. A la suite de ce second développement de nature épistémologique, nous avançons que par la nature intermédiaire que prennent les connaissances dans le cadre d'une réalité projetée, il s'instaure une relation de réciprocité – et non pas d'autorité - entre le théorique et le pratique.<p> / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le plan libre, syncrétisme de la modernité corbuséenne: essai de clarification du concept de plan libre dans l'oeuvre architectural de Le CorbusierBurniat, Patrick 11 June 2008 (has links)
Le sujet de la thèse —la clarification du concept de plan libre dans l’œuvre architectural de Le Corbusier— s’inscrit dans un cadre général de recherches portant sur les modes de conception architecturale en contexte de modernité. Cette préoccupation prend comme horizon la compréhension des processus qui servent l’architecture comme construction d’idées et qui permettent d’en articuler les différentes phases, depuis l’amont des intentions exprimées par le concepteur, jusqu’à l’aval des expressions prises par la solution, en passant par les moyens qui, précisément, permettent d’articuler une pensée abstraite à un objet concret. C’est un champ d’interrogation qui s’appuie sur le constat d’un double déficit disciplinaire :l’intérêt général porté aux formes de l’architecture plutôt qu’aux processus qui les ont fait naître ;l’absence de vocabulaire réellement partagé des concepts utilisés par la discipline, ce qui forme, dans l’un et l’autre cas, “obstacles” à la connaissance de l’architecture et à son enseignement.<p><p>A cet égard, le concept de plan libre occupe une position de choix. Célèbre « mot-force » du manifeste corbuséen de 1927 —« Les Cinq points d’une nouvelle architecture »—, devenu un concept central —mais aussi “nomade”— de l’historiographie de l’architecture moderne, il se trouve donc à l’articulation des questions relatives à la modernité et à la conception. De plus, une simple confrontation de sa définition originale, tant à l’œuvre de Le Corbusier qu’à l’historiographie du Mouvement Moderne, révèle la polysémie du concept et, en particulier, les ambiguïtés et paradoxes que suscitent sa double interprétation :comme “modèle d’organisation spatiale” d’une part et comme “intention libératoire” de l’autre, au point qu’elle laisse le chercheur perplexe à l’égard de ce qu’en l’état, un tel concept peut bien apporter à la connaissance de l’architecture. <p><p>Pour surmonter ces difficultés d’interprétations, deux hypothèses sont proposées. <p>La première envisage le plan libre comme mode opératoire de “libre” conception propre à Le Corbusier. La seconde renvoie à la construction discursive du plan libre comme oxymore, c’est-à-dire comme figure de rhétorique qui, en associant deux termes de sens contraires, construit un ou plusieurs sens nouveaux. <p><p>En conclusion, leur vérification conduit à interpréter le plan libre comme mode spécifique de conception —qui assure tout autant l’autonomie du créateur que la fertilité du processus de création—, lui-même basé sur un processus récurrent de “mises en tension” et de recherches de nouveaux “équilibres” :du regard dialogique que Le Corbusier porte sur le monde —en particulier sur le processus de modernisation— à l’expression duale qu’il donne à ses compositions. Au final, cette double optique fonde notre interprétation du plan libre comme syncrétisme de la modernité corbuséenne. Elle se valide également comme clés de lecture particulièrement riches pour la compréhension de l’oeuvre corbuséenne et des processus de conception qui l’animent.<p><p>x x x<p>Développement<p><p>Tout au long des chapitres de l’étude, nous nous sommes attaché à interroger le concept de plan libre au-delà des compréhensions conventionnelles et “familières” qu’on pouvait en avoir de prime abord, à savoir :d’une part, le plan libre comme “modèle d’organisation spatiale” —défini par opposition au “plan paralysé”—et, d’autre part, le plan libre comme “intention libératoire”, lequel marque un large désir d’émancipation, en particulier —sans y être restreint— à l’égard des pratiques académiques. Dès le premier chapitre en effet, nous avions montré que ces premières définitions “communes” du plan libre —clairement identifiables tant dans l’œuvre corbuséenne que dans les instrumentalisations dont il fut l’objet par la critique spécialisée— formaient “obstacles”, dans ces deux champs, à une claire compréhension de ce qu’il pouvait signifier.<p><p>Bien que l’on ne puisse douter de la validité des définitions proposées par Le Corbusier lui-même, nous avons dû relever à leur égard un certain nombre d’ambiguïtés ou de contresens qui nous obligeaient à questionner ces termes au-delà de ce qu’on y voit habituellement. De la sorte, nous mettions aussi en évidence qu’il n’y avait pas, dans le concept de plan libre, un, mais bien deux “niveaux de libération” à identifier :d’une part, un mouvement d’émancipation de la nouvelle architecture à l’égard de tout ce qui pouvait, de manière hétéronome, “préformer” sa conception ;d’autre part, une liberté interne au système mis en place, assurant à l’auteur de projet la mise à disposition de moyens innovants et permettant la « permanente mise à l’épreuve » (A. Rivkin) de l’architecture face aux conditions changeantes du projet. <p><p>Ces différentes observations nous invitaient à approfondir la réflexion et, surtout, à la déplacer vers ce processus qui, justement, permettait de lier la “virtualité” de l’intention à la “matérialité” d’une solution, soit le propre de la conception architecturale. En effet, entre ces premières définitions du plan libre qui, déjà, le situaient aux “extrêmes” de la conception architecturale — intention versus expression— il semblait opportun d’en revenir là aussi à l’investigation de cette problématique “intermédiaire” :par quels moyens Le Corbusier passait-il du plan libre comme intention au plan libre comme expression ?<p><p>L’hypothèse fut alors posée de considérer le plan libre corbuséen comme “méta-opérateur” d’une libre conception du projet, le terme désignant selon Robert Prost « l’ensemble des modes opératoires que réclame toute formulation de solution ». Dans ce sens, on pouvait aisément présumer que ce mode de conception était lui-même animé par le regard doctrinal porté par Le Corbusier sur cette même modernité au service de laquelle il avait précisément défini la « nouvelle architecture » et les « Cinq points » qui en étaient « les moyens ». <p><p>L’objectif de nos développements ultérieurs fut dès lors, tout à la fois, de montrer ce “statut” opératoire du plan libre comme libre conception; de déterminer les moyens —procéduraux et substantiels— qui l’organisaient ;de montrer ce qu’ils construisaient dans l’œuvre en termes d’innovation ;de relever, en parallèle, en quoi et comment ils étaient révélateurs du point de vue de Le Corbusier sur la modernité. <p><p>Les hypothèses et l’intérêt des questions soulevées furent définitivement fondés après l’exposé des cadres généraux à l’intérieur desquels elles devaient être discutées :les champs de la conception d’une part et de la modernité de l’autre. C’est l’objet du chapitre 2. <p><p>L’étude s’est alors développée en quatre parties, basées sur des temporalités et/ou des corpus spécifiques et orientées vers des questions particulières. <p><p>Dans un premier temps —chapitre 3—, nous avons pris comme cadre d’interrogation l’exposition du Weissenhof à Stuttgart en 1927, moment de la publication du célèbre manifeste corbuséen des « Cinq points d’une nouvelle architecture » et lieu de la construction de ces maisons par lesquelles Le Corbusier exposa concrètement ses points de vue théoriques. <p><p>Le concept de plan libre y a été évalué à l’aune :des Cinq points dans le cadre desquels il a été énoncé; de l’ossature Dom-Ino qui en fonde l’émergence et la nature particulière; des maisons du Weissenhof qui en concrétisent la portée et les ambitions. Bien que cette matière ait déjà été abondamment retournée par les labours de la critique architecturale, un exposé exhaustif se devait d’être fait pour fonder notre propre compréhension des événements, construire nos propres observations et conclusions, eu égard à nos hypothèses. Par ailleurs, ce chapitre a permis d’éclaircir le mode de fonctionnement des Cinq points et de l’ossature Dom-Ino quant à leurs rôles et objectifs dans le processus de conception corbuséen.<p><p>Dans le 4e chapitre, nous nous sommes plus particulièrement interrogé sur ce qui fondait le choix et la définition de ces moyens particuliers. Il fut donc consacré à l’étude du plan libre comme édification d’une “théorie” du projet. Jamais Le Corbusier n’a produit un discours coordonné sur sa pratique —à la manière du traité d’Alberti— et les nombreux textes par lesquels il commente son œuvre et justifie les Cinq points comme « Eléments objectifs de discussion sur le phénomène architectural » présentent ces questions selon des points de vue fragmentaires :seul l’enchaînement des sources a permis d’extraire des thèmes dont la récurrence, voire la redondance, fait sens. La variation des énoncés des Cinq points que nous avons pu relever invitait par ailleurs à voir là une pensée en “construction” plutôt qu’une doctrine “arrêtée”, le manifeste étant dès lors compris comme un “arrêt sur images” ponctuant le parcours d’une pensée elle-même en permanente évolution. <p><p>Le corpus de cette analyse fut constitué de conférences, articles et livres rédigés par Le Corbusier, pour l’essentiel entre 1918 et la fin des années 20. Sur base de ce matériel, un certain nombre de thèmes récurrents ont été identifiés qui étayent la compréhension de ce que peuvent être les éléments de doctrine qui sous-tendent la conception du projet corbuséen et la manière dont il construit la validation de son propos. L’intérêt de cet examen fut aussi de permettre l’identification de quelques-unes de ces références procédurales qui font partie du fond culturel du concepteur et par lesquelles Le Corbusier organise ses processus de conception à l’égard de ce qui constitue l’architecture comme « problème en soi ». Dans un second temps, la comparaison de ces observations avec ce qui fait, selon Françoise Choay, théorie chez Alberti, a conforté l’idée de ce que cette construction doctrinale était propre à sous-tendre et qualifier un mode de conception et d’en confirmer, pour une part, les moyens de son ambition “émancipatrice”.<p><p>Dans le chapitre 5, nous avons procédé à l’examen de quatre références procédurales de conception que nous avions précédemment identifiées :la re-programmation, la dissociation, l’inversion et la réconciliation des contraires. L’intérêt était double. Il s’agissait, d’une part, de comprendre —et de vérifier— en quoi et comment ces procédures permettaient de rencontrer les objectifs d’une libre conception du projet —ce que nous avons traduit là par leur capacité à innover sur le plan formel et spatial et à assurer une relative autonomie du concepteur— et, d’autre part, de saisir —et montrer— en quoi et comment ils servaient le point de vue de Le Corbusier sur la modernité. Le corpus considéré ici était constitué d’une sélection de réalisations architecturales des années 20. Leur examen permit de saisir concrètement ce vers quoi les procédures conduisaient en examinant ce qu’elles construisaient dans l’œuvre. Bien que non exemptes d’observations personnelles, ces analyses se sont appuyées sur divers travaux antérieurs menés par les exégètes de l’œuvre corbuséenne dont, en particulier, Alan Colquhoun, Colin Rowe, Jacques Lucan, etc, auprès desquels nous avons trouvé matière à étayer nos hypothèses par l’articulation de leurs points de vue au nôtre, réduisant également quelques-unes des fractures de compréhension énoncées dès l’introduction.<p><p>Le chapitre 6 a, quant à lui, été plus particulièrement réservé à l’observation des références substantielles présentes dans le système de conception corbuséen au moment des Cinq points, que ce soit sur un plan concret ou à un horizon théorique. Dès l’exposé introductif de nos hypothèses, nous avions en effet relevé la relative incompatibilité que l’on pouvait discerner dans la mise au point d’un système de conception dont on attendait, d’un côté, qu’il puisse en permanence apporter des réponses innovantes en l’appuyant, de l’autre, sur des références de formes —celles des Cinq points— qui ne pouvaient qu’en restreindre l’ordre des possibilités. Deux discussions nous ont permis, sur le plan théorique au moins, de saisir les raisons de cette incompatibilité :celle de l’autoréférentialité du système d’une part et celle du miroir de l’inversion d’autre part, toutes deux conduisant nécessairement à restreindre le champ de la création à l’ordre d’une forme d’imitation. <p><p>Le chapitre 7, de conclusion, est revenu plus spécifiquement sur la discussion de l’objectif —et des conditions— dans lesquelles Le Corbusier poursuit cette volonté d’autonomie propre à la posture de l’artiste moderne, et l’objective. Si l’on s’accorde à reconnaître que le processus de modernisation à conduit à l’effritement des traditions stabilisatrices sur lesquelles se fondait ce qui faisait “sens commun”, la question est posée, entre autres, de savoir comment créer et objectiver ce “sens commun” à partir d’une vision subjective du “moi” créateur. La démonstration porte là sur la mise en exergue des invariants sur lesquels Le Corbusier fonde ses discours de validation :les principes pérennes qu’il “reconnaît” dans l’histoire, tout autant que les invariants de “l’homme”, qu’ils soient de nature socio-anthropologique, anthropomorphique ou psycho-physiologique. De la sorte, la posture émancipatrice de Le Corbusier se révèle fondée sur le respect d’un cadre normatif, intemporel, par lequel il tente d’objectiver sa propre subjectivité.<p><p>Cette approche duale nous est finalement apparue récurrente à tous niveaux de son processus de conception, et donc comme forgeant l’une de ses spécificités. Quel que soit le niveau auquel on l’envisage, Le Corbusier fonde son approche sur la mise en tension de termes, d’idées ou de figures qu’il oppose et entre lesquels il semble tout à la fois réfléchir, résoudre et exprimer les questions particulières de la conception, visant au final un nouvel équilibre entre les pôles identifiés, ce qu’énonce de manière métaphorique l’oxymore “plan libre”.<p><p><p> / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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A Productive Misunderstanding? Architecture Theory and French Philosophy 1965 to 1990Berankova, Jana January 2023 (has links)
In this dissertation, I investigate connections between French philosophy and the theory of architecture from the mid-1960s to the early 1990s. In the mid-1960s, many architects became acutely aware of the crisis of modern architecture embodied in the failings of social housing, the routinized corporate modernism of the postwar period, and the commodification of design. They questioned the principles of the Modern Movement and emphasized the “arbitrary” nature of the relationship between form and function while turning to French structuralism, semiology, and post-structuralism for potential answers. My period of study spans from the the period of political uprisings of the 1960s to the advent of digital design in the early 1990s.To date, little in-depth research has been done on the close relation between French philosophy and architecture in this period and its role in foreshadowing postmodern developments.
My dissertation addresses this gap by presenting case studies of the theoretical work of six different architects: Aldo Rossi, Alan Colquhoun, Mario Gandelsonas and Diana Agrest, Bernard Tschumi, and Peter Eisenman. These case studies share a common thread: a preoccupation with structuralist and poststructuralist concerns with language. However, concepts such as “structure,” “event,” and “meaning” often have different meanings for each of these architects. Thus, my project could be described as a history and criticism of architectural theory—one that focuses specifically on the dissonances and contradictions present within the theoretical writings of these architects, while examining the polemics and discussions between them. I consider their built work only to the extent that it helps to elucidate or challenge theoretical concepts.
Thus, in my case study on Aldo Rossi’s writings, I interrogate the analogy between the structuralist concern for articulating discrete and finite linguistic units and the latter’s notion of “type” and urban morphology. In the chapter on Alan Colquhoun, I discuss the influence that the work of Roland Barthes, Claude Lévi-Strauss, and Ferdinand de Saussure had on his reflections about “meaning” and “convention” in architecture. In the case study on the work of Diana Agrest and Mario Gandelsonas, I examine the extent to which their understanding of “theory” and of “ideology” is indebted to the work of Louis Althusser and trace the influence of Roland Barthes, whose seminar on S/Z they attended in Paris before moving to New York in 1971. Likewise, I analyze the role that thinkers such as Henri Lefebvre, Roland Barthes, and the Tel Quel circle in the late 1970s, and Jacques Derrida in the early 1980s had on Bernard Tschumi’s writings on the “polysemy of meaning” and on the “event.” Finally, I examine Peter Eisenman’s collaboration with Jacques Derrida in the 1980s questioning Eisenman’s eclectic appropriation of Derrida’s philosophical concepts.
Besides elucidating this significant period of architecture in which many of the fundamental principles of modern architecture were overturned, in the conclusion of this study, I discuss briefly the “post-critical turn” in the architectural scholarship of the past two decades with the hope of challenging its basic assumptions. My hope is to contribute, through its critical reevaluation, to theory’s renewal.
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Territoires entre-deux: agencements, biopolitique et junkspace / In-between territories: assemblages, biopolitics and junkspaceFinichiu, Ana-Alice 05 November 2014 (has links)
(résumé en français)<p><p>Le diagnostic de Rem Koolhaas sur les métropoles actuelles montre une ville générique, sans fin, sans identité, sans passé, sans rues, la seule activité qui reste est le shopping et la condition « in-transit » devient universelle. À cette analyse manque une partie très importante, la condition biopolitique de la métropole, qui expliquerait plusieurs des caractéristiques de ce Junkspace, comme le fait qu’il contient la possibilité de résistance face au générique.<p>À la lumière de ce constat et suivant les directions de pensée que Gilles Deleuze et Félix Guattari ouvrent dans Mille Plateaux, cette thèse propose d’identifier les intervalles témoignant de la dimension biopolitique du Junkspace au travers d’une mobilisation de la théorie des agencements comme hypothèse pour la théorie architecturale et urbaine. Le postulat général est que ces intervalles seraient des territoires entre-deux qui fonctionneraient comme des laboratoires d’agencements témoignant d’une pratique architecturale politique redéfinissant le rôle même de l’architecte. <p>Trois axes de recherche sont déployés. Le premier interroge la pertinence d’une pensée architecturale en termes d’agencements dans le contexte des transformations actuelles des territoires. À la suite d’un croisement avec la pensée de Deleuze et Guattari l’architecture se comprend dans son processus d’agencement et réagencement. Le second axe interroge la dimension biopolitique du Junkspace identifiant les points critiques de ses agencements et évaluant le paradoxe de l’entre-deux. Le troisième axe met à l’épreuve le potentiel des territoires entre-deux de créer des opportunités pour de nouvelles configurations spatiales.<p><p><p>(english abstract)<p><p>Rem Koolhaas’s diagnostic of the modern metropolis shows a generic city with no end, no identity, no past, no streets where the only activity remaining is shopping and the « in-transit » condition is becoming universal. An important part is missing from this analysis: the biopolitical condition of the metropolis, that could explain a number of Junkspace’s characteristics, like the fact that it contains the possibility to resist the generic condition. <p>In the light of this review and in accordance with the philosophical directions that Gilles Deleuze and Félix Guattari draw in A Thousand Plateaus, this research intends to identify the intervals witnessing the biopolitical dimension of Junkspace by rallying the assemblage theory as hypothesis for the architectural and urban theory. The general postulate is that these intervals are in-between territories functioning as laboratories of assemblages that show a political and resistant architectural practice redefining the very part of the architect. <p>Three lines of research are deployed. The first one questions the relevance of an architectural assemblage thinking in the context of the current territorial transformations. Operating a crossing with Deleuze and Guattari’s thought, architecture is understood as a process of assembling and re-assembling. The second line of research is questioning the biopolitical dimension of Junkspace identifying the critical points of its assemblages and evaluating the in-between paradox. The third research line is testing the in-between territories potential to create opportunities for new spatial configurations. <p> / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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