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The construction of the Roman legionary fortress at Inchtuthil /

Shirley, Elizabeth A. M. January 2000 (has links)
Texte remanié de: PhD th.--University of Reading, 1998. / Glossaire. Bibliogr. p. 228-234.
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Análisis de la cartografía de Guipúzcoa en el Archivo general de Simancas siglos XVI, XVII y XVIII /

Saez Garcia, Juan Antonio. January 1999 (has links)
Tesis doct.--Bilbao--Universidad de Deusto, 1998. / Bibliogr. p. 1054-1072. Index.
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Les murs d'enceinte et les fortifications à Chypre au deuxième millénaire

Fortin, Michel 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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La fortezza e la città : Buonaiuto Lorini, Giulio Savorgnan e Marcantonio Martinengo a Palma (1592-1600) /

La Penna, Pierlorenzo, January 1997 (has links)
Extrait de: Tesi di laurea--Architettura--Firenze--Università degli studi, 1988. / Bibliogr. p. 189-191. Notes bibliogr. Index.
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Formation et premiers développements de la commanderie de Dunhuang sous les Han occidentaux (IIème et Ier siècle av. J.-C.) / First steps to office of the Western Han commandery of Dunhuang (2nd – 1st century BCE)

Bertrand, Arnaud 20 December 2017 (has links)
Cette thèse concerne l’histoire, l’archéologie et la géographie historique de la Chine ancienne. Elle porte sur les formations des commanderies impériales formées aux frontières de la dynastie des Han occidentaux (206 av. J.-C. – 9 apr. J.-C.). À la charnière des IIe et Ier siècles av. J.-C., le maintien des territoires conquis passait par une stratégie impériale complexe allant d’une phase d’occupation militaire jusqu’à la mise en place d’une politique migratoire de populations civiles issues du centre de l’empire. En nous concentrant sur Dunhuang (province du Gansu), la plus lointaine des commanderies formées aux marches occidentales du territoire, nous suivons localement ces stratégies d’acquisition et d’occupation. L’analyse se fonde sur les missions de terrain menées par l’auteur, sur la relecture des Histoires dynastiques, la prise en compte des données matérielles issues des fouilles et prospections archéologiques et l’exploitation de sources épigraphiques inédites. Par le biais d’une nouvelle méthodologie, nous parvenons à individualiser son développement au sein d’un territoire situé au carrefour commercial et diplomatique avec les royaumes et cultures centre-asiatiques. De la mise à jour de sa cartographie antique et de sa chronologie, il résulte une révision complète des premières phases de développements des principaux centres administratifs militaires et civils de Dunhuang. / This dissertation centers on the history, archeology and historical geography of Early China. It examines the steps of establishment of the imperial commanderies founded in the vicinity of the Western Han dynasty boundaries (206 BCE – 9 AD). At the turn of the second and the first centuries BCE, the imperial strategical efforts made to stabilize of newly conquered territories passed through a complex system. Starting from the military occupation il lead to the migration of populations from the center of the empire. Focusing on Dunhuang (Gansu Province) – the westernmost commandery established with the Empire borders – we follow at regional scale those strategies of conquest and occupation. In addition of various fieldwork performed by the author, this research is based on a different approach of the Dynastic Histories, the use of archaeological data and the exploitation of untrodden epigraphic material. By using a new methodology, we have managed to individualize its development within a territory located at the crossroads of commercial and diplomatic highways with the Central-Asian kingdoms and cultures. As a result of its cartography and chronology being put up to date, we have obtained a complete revision of the first steps of organization of the main military and civilian centers of Dunhuang.
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Le système défensif de Pétra (Jordanie) et de ses environs à l'époque nabatéenne à travers les sources archéologiques, littéraires et épigraphiques / The defensive system of Petra (Jordan) and its surroundings in the Nabatean period through the archaeological, literary and epigraphic sources

Renoult, Bénédicte 13 December 2014 (has links)
Depuis les premières recherches archéologiques sur le site de Pétra au début du XXe s., certaines questions concernant la défense de la ville n'ont pas véritablement été abordées : il n’y a pas consensus sur l'existence et la datation de fortifications, notamment pour l'époque nabatéenne. Cette étude a pour objectif de vérifier l’existence d’un éventuel système défensif reposant sur un réseau de fortifications et de postes de guet au travers d'un relevé des vestiges archéologiques visibles en surface et de pouvoir en préciser la chronologie grâce à l’observation des techniques de construction et l’analyse de la céramique de surface. D’après la répartition des vestiges défensifs répertoriés, la défense de la ville semble avoir été assurée par un système contrôlant des points stratégiques sur un territoire incluant les secteurs périphériques de la ville. Le volume I replace tout d’abord Pétra dans son milieu naturel, décrit son espace urbain et présente le contexte géopolitique de la Nabatène. Il est ensuite consacré à l'étude archéologique du système défensif des Nabatéens de Pétra : l'histoire de la recherche sur ce sujet, l'organisation et l’architecture militaires des Nabatéens, l’analyse de la répartition des vestiges défensifs par type, accompagnée de datations et d'interprétations sur la fonction de chacun d'eux. Il se termine par une étude comparative avec d'autres systèmes défensifs développés en d'autres temps à Pétra et en d'autres lieux, nabatéens ou hasmonéens. Le volume II est consacré au catalogue décrivant les différents secteurs où des vestiges défensifs ont été enregistrés. Enfin, les volumes III et III bis sont dédiés à l'illustration. / Since the first archaeological researches were carried out at Petra in the early 20th century, some questions regarding the defense of the city haven’t been tackled: there is still no consensus on the existence of fortifications and their dating, especially when it comes to the Nabatean period. The purpose of the present study is to determine, thanks to an inventory of archaeological site surface remains, the existence of a possible defense system relying on a network of fortifications and observation posts, and specify its chronology through the survey of building techniques and surface pottery analysis. According to the distribution of the listed defensive remains, the defense of the city seems to have been ensured by a system which controls strategic locations in a territory including the peripheral areas of the city. Volume I first puts Petra in its natural environment, describes its urban space and presents the geopolitical context of Nabataea. It is then focused on the archaeological study of the defensive system of the Nabataeans from Petra: the history of research on this subject, the military organization and architecture of the Nabateans, the analysis of the distribution of the defensive remains according to their type, complemented with datings and interpretations on the function of each remain. It ends by a comparative study with other defensive systems developed in other times in Petra and in other places, Nabataeans or Hasmoneans. The volume II is dedicated to the catalog which describes the various areas where defensive remains were recorded. Finally, the volumes III and III bis are specifically dedicated to illustrations.
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Les fortifications de Québec du XVIIe au XIXe siècle

Charbonneau, André 25 April 2018 (has links)
Québec, une ville fortifiée du XVIIe au XIXe siècle. Si le lieu et la trame temporelle s'identifient facilement, l'expression "ville fortifiée" recouvre en contrepartie plusieurs facettes méconnues de l'ancienne capitale coloniale. Les fortifications ceignant le vieux quartier deviennent de nos jours des symboles de marketing touristique; et pourtant les Québécois les regardent jour après jour sans trop les apercevoir. Les fortifications font partie du décor urbain; mais qu'en était-il de ce décor aux XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles? Si Québec devient une place-forte, il est évident qu'une volonté politique se manifeste et intervient pour prendre position face à une situation, voire même dans le cas d'une pensée stratégique. Qu'il y ait volonté politique autant en Europe que dans la colonie, rien ne vient bouleverser le paysage urbain tant qu'un personnage ne se mette à la planche à dessin. L'ingénieur militaire, tributaire de ses connaissances théoriques et pratiques, conçoit le meilleur tracé à adopter en fonction du site. La réalisation physique ne saurait toutefois démarrer sans le concours d'une panoplie d'artisans et journaliers, engagés tantôt par un entrepreneur concupiscent, tantôt par l'État qui cherche à minimiser les coûts. L'été, la ville vibre au diapason des efforts déployés et au son des écus qui se déboursent. Mais la ville et ses habitants n'en retirent pas seulement des bénéfices; elle en subit également les conséquences: expropriations, corvées se font monnaie courante. La ville devient un objet militaire; son réseau de rues se constitue et s'axe autour de cette nouvelle réalité. Les pierres et la terre disposées le long de la rue d'Auteuil et de la rue des Remparts ou même au sommet de la côte de la Citadelle masquent cette réalité d'autrefois. C'est de cet arrière-plan dont veulent témoigner les pages suivantes. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Évolution du dessin militaire à l'âge classique : esthétique et système de codification académique du dessin militaire vus à travers l'oeuvre des ingénieurs militaires royaux envoyés en Nouvelle-France à l'époque coloniale (1608-1759)

Thonel D'Orgeix, Émilie de 24 April 2018 (has links)
L'ambition générale de cette recherche est d'éclairer les modes de production et les fonctions du dessin militaire durant l'époque moderne. L'analyse s'étend de la naissance du dessin militaire propre à l'architecture moderne à partir du début du XVIe siècle jusqu'à l'instauration normative de son enseignement par le biais d'écoles militaires au milieu du XVIIIe siècle. Les types de représentations graphiques (de l'esquisse au dessin de présentation) utilisés par les ingénieurs du roy sont analysés à travers, d'une part, les publications spécialisées (textes théoriques & iconographies des traités) et, d'autre part, les réalisations a mano des ingénieurs (cartes et plans). Pour mener à bien cette analyse, un plan bipartite a été adopté. La première partie de notre étude est consacrée à l'analyse des modèles (discours et iconographie) proposés aux ingénieurs militaires pour les aider à réaliser leurs dessins. Les traités de fortification et les ouvrages techniques sur le dessin publiés durant l'époque moderne sont étudiés afin de comprendre la naissance, la mise en place et l'évolution des codes académiques du dessin militaire. A partir de quelle époque une littérature spécialisée enseignant le dessin paraît-elle et quels principes divulgue- t-elle ? Quels conseils pouvaient aider efficacement les ingénieurs dans la réalisation effective de leurs plans ? Pouvait-il trouver des recettes dans les textes pour fabriquer leurs lavis, des méthodes pour construire leurs perspectives ? Quelles sont les lois qui réglementaient leurs cartes et plans, leurs tonalités de lavis pour exprimer les ouvrages militaires? La deuxième partie de notre étude concerne l'application effective des principes du dessin par les ingénieurs militaires. Pour illustrer ce travail un fonds iconographique précis a été isolé : le fonds Amérique Septentrionale du Département des Fortifications des Colonies qui se compose de 333 documents iconographiques réalisés par les ingénieurs militaires royaux envoyés en Nouvelle-France durant l'époque coloniale française (1608-1759). L'étude est organisée autour de la lecture de leurs cartes et plans qui permet de mettre à jour les différentes facettes du dessin militaire et la façon dont les ingénieurs ont appliqué pratiquement les codes théoriques du dessin étudiés dans la première partie. Les différents types de dessin et leurs fonctions au sein de la production générale des projets d'architecture militaire sont analysés. Ce volet de notre étude permet de conforter textes théoriques et applications pratiques du dessin militaire. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Les fortifications de la Grèce du Nord : catalogue raisonné

Ouellet, Keven 12 1900 (has links)
Les fortifications de la Grèce du Nord des époques archaïque, classique et hellénistique n’avaient à ce jour jamais fait l’objet d’une étude de synthèse permettant d’identifier, de décrire et de comparer l’ensemble des remparts de cette région. Mises à part les fortifications des grandes cités bien connues grâce aux fouilles archéologiques et à la bonne préservation des structures, telles Amphipolis, Philippi et Thasos, les autres murailles ou systèmes défensifs du Nord de l’Égée sont pratiquement inconnus, d’où l’intérêt d’une telle recherche. Les seuls ouvrages collectifs en lien avec les fortifications du Nord sont ceux de D. Lazaridis qui, en s’intéressant aux peraia de Thasos et Samothrace, nous laissa les plans topographiques de nombreux établissements fortifiés, sans toutefois en faire la description. Ce mémoire propose donc un catalogue raisonné de l’architecture militaire du Nord de la Grèce, complété par un commentaire exhaustif où les vestiges défensifs seront comparés de façon régionale et, lorsque possible, avec l’ensemble du monde grec. Au total, 37 établissements de plusieurs types (cité, phrourion et emporion) font l’objet de cette étude. Cependant, contrairement aux grandes études sur le sujet qui présentent de magnifiques remparts, cet ouvrage est souvent confronté à des vestiges fragmentaires qui certes, laissent place à l’interprétation et à la discussion, mais provoquent aussi une certaine frustration, puisque parfois, l’état des ruines restreint notre travail. Bien que le développement des fortifications grecques pose encore de nombreux problèmes, on constate une évolution architecturale aux périodes archaïque, classique et hellénistique, également attestée en Grèce du Nord. Mais comme le démontre notre étude, les Grecs établis dans ce territoire colonial provenaient de plusieurs régions et ils ont apporté avec eux leurs traditions et des techniques particulières qui ont largement influencées les ouvrages défensifs de leurs nouvelles cités. / The fortifications of Northern Greece from the Archaic, Classical, and Hellenistic periods have so far never been collaboratively studied to identify, describe, and compare the walls of this region. In addition to the larger cities that are well known owing to archaeology and the preservations of the walls found in areas such as Amphipolis, Philippi, and Thasos, other walls and defenses to the north of the Aegean are virtually unknown or briefly mentioned, hence the interest of such an undertaking. The only collective works related with the fortifications of the north are those of D. Lazaridis that, by focusing on the peraia on Thasos and Samothrace, left the topographical plans of many fortified settlements, without giving a description of them. This thesis then proposes a descriptive and analytical catalogue of the military architecture of Northern Greece, as well as an “observation” part where defensive remnants will be compared regionally and, if possible, throughout the Greek world. A total of 37 settlements of all types (city, phrourion, and emporion) will be subject to this study. However, unlike the major studies on the subject that present magnificent ramparts, this work is often confronted with fragmentary remains that certainly leave room for interpretation and discussion, and moreover to desolation, for occasionally, very little can be said on the ruins of a short segment of wall. Although the general history of Greek fortifications is still unclear we can still note that a certain architectural evolution occurs in the Greek ramparts during the Archaic, Classical, and Hellenistic periods. It would be normal to find this same phenomenon in Northern Greece particularly. However, we also know that many people from cities all over the Greek world converged on the Thracian coast. Therefore, these colonists arrived with customs and techniques that could characterize the walls of the northern region and even create new regional phenomena.
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Recherches sur les fortifications d'Anatolie occidentale et centrale au début du premier millénaire av. J.-C. (Xe-VIe s.)

Vergnaud, Baptiste 22 June 2012 (has links) (PDF)
La présente thèse vise à apporter des éclaircissements sur la réapparition du souci défensif, sa matérialisation et son évolution en Anatolie occidentale et centrale au début du premier millénaire av. J.-C. (Xe-VIe s.). Le territoire soumis à l'examen comprend la Phrygie, la boucle de l'Halys, la Carie, la Lydie, l'Ionie, l'Eolide et la Troade. Cette étude s'intéresse en premier lieu aux différentes méthodes de fortification utilisées au cours de cette période. Par l'examen des principales caractéristiques architecturales des murs de défense (techniques de construction, dispositifs défensifs), cette étude cherche à déterminer de quelle manière ces nouvelles constructions s'inscrivent dans la tradition architecturale anatolienne et dans quelle mesure leurs concepteurs contribuèrent à l'évolution de celle-ci en adoptant et en transformant les méthodes de fortification qui en sont issues. La construction d'un rempart, parce qu'elle impliquait de nombreux acteurs, était un fait de société majeur. Par leur conception, les techniques utilisées pour leur construction, leur emprise dans le paysage, les murailles sont des monuments chargés de symboles et des témoins privilégiés de l'histoire des sociétés qui les ont construites et perfectionnées. Au-delà des considérations archéologiques, cette étude s'attache donc aussi à replacer la construction de fortifications dans le contexte militaire mouvementé de l'Anatolie préclassique et tente également d'évaluer l'impact d'un tel projet de construction dans l'histoire politique et sociale des populations anatoliennes de l'âge du fer.

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