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La triade vitruvienne revisitée à travers l'exemple de l'architecture d'Hervé Tordjman : la place de l'art et de la technique dans le processus de conception / Vitruvian triad revisited through the example of the architecture of Hervé Tordjman : the place of art and technique in the design process

Benzineb, Baya 04 March 2016 (has links)
La triade de Vitruve revisitée à travers l’exemple de l’architecture d’Hervé Tordjman. La place de l’art et de la technique dans le processus de conception. Aujourd’hui, la conception de l’architecture demeure comme à son origine, dépendante de l’interaction des trois qualités indissociables de Vitruve : firmitas, utilitas et venustas, considérées autrefois indispensables à l’acte de concevoir. L’incarnation de cette triade dans le processus créatif des concepteurs contemporains que nous avons étudiés dans le cadre de cette thèse, qu’ils soient architectes-ingénieurs-artistes, architectes-artistes ou architectes-ingénieurs, est assujettie d’une part, aux mécanismes cognitifs : le modèle et la pensée analogique ; et d’autre part aux compétences et postures de chacun.Toutefois, en dépit de ce caractère personnel du processus conceptuel, ces trois qualités qui jadis devaient être articulées par une seule personne (l’architecte), se trouvent aujourd’hui menées à l’unisson selon un processus collectif.En effet, grâce aux nouvelles technologies numériques actuelles, l’architecte et les ingénieurs sont mobilisés dans un processus dit collaboratif abolissant ainsi les frontières entre « parti » architectural et « idée constructive », architecture et construction. A travers l’analyse de l’œuvre de l’architecte parisien Hervé Tordjman (1975), il faut souligner l’importance qu’acquiert la « firmitas » dans le processus de création en s’intégrant harmonieusement avec les autres composantes (utilitas et venustas). Ainsi, le point de vue de l’auteur et de chaque acteur de la chaine de conception devient partie intégrante dans le processus. Une telle articulation collective de la trinité vitruvienne dans la pratique contemporaine du projet marque une évolution dans la façon de concevoir l’acte architectural et non une rupture. / Vitruvian triad revisited through the example of the architecture of Hervé Tordjman. The place of art and technique in the design process. Today, the design of architecture remains as to its origin, dependent on the interaction of three inseparable qualities stated by Vitruvius: firmitas, utilitas and venustas, once considered essential to the act of conceiving. The embodiment of this triad in the creative process of contemporary designers that is the concern of this thesis, both artists-architects-engineers, architects or artists-architects-engineers, is subject on the one hand, to cognitive mechanisms: the model and analogical thinking; and secondly to individual skills and postures.However, despite this personal character of the design process, these three qualities which once had to be articulated by one person (i.e. the architect), are now conducted in unison as a collective process.Indeed, thanks to new existing digital technologies, the architect and engineers are mobilized in a process said collaborative that abolishes the boundaries between the architectural part and the constructive system that is architecture and construction. Through the analysis of the work of the Parisian architect Hervé Tordjman (1975), we must emphasize the importance acquired by the "firmitas" in the creation process by being harmoniously integrated with other components (utilitas and venustas). Thus, the author’s view as well as that of each player in the design chain becomes part in the process. Such a collective articulation of the Vitruvian trinity in the contemporary practice project marks an evolution in how to design the architectural act, not a rupture.
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Le dépassement du portrait . Visage [et] rencontre / The surpassing of portrait : face and encounter

Cavallo, Valérie 19 November 2014 (has links)
Cette recherche aborde l’image du visage à l’aune de sa prise en charge par la photographie comme de ses corrélats techniques et esthétiques. On interroge ainsi le portrait, dans le champ de l’art et du sans-Art, en ce qu’il dépasse les codes d’une catégorie générique attachée à la représentation des personnes. On s’intéresse notamment à la situation sur laquelle il repose, dont il semble non seulement traduire et étendre le vis-À-Vis paradigmatique, mais également, l’intensifier.Parallèlement, en s’appuyant sur les mythes qui questionnent l’homme en son apparaître et son imaginaire ainsi que sa nécessité à expérimenter et à créer, on interroge les raisons pour lesquelles, à défaut de cerner occasionnellement l’ipséité d’un visage en échappée, le portrait est en mesure de générer une expérience de l’identité comme connaissance de soi et d’un autre que soi, à la fois pour l’auteur qui imprègne une image, pour un acteur qui y joue son être imageant, et pour un récepteur qui en traverse la figurance. Dans cet entrelacs, entre le visible et ce qui ne l’est pas, semble se tisser la moire d’une rencontre impalpable, rencontre de vies incarnées par des affects, rencontre en laquelle se risque le souffle d’une poétique et où s’entrevoit, de visage à visage, un élan, un geste, un aller vers, engageant l’humain en son être au monde, par le regard et par la main, et en vertu d’un rapport et d’un déplacement. Si alors, au point de contact avec un autre visage se fige une possible fascination hypnotique, le mouvement du sensible, à travers l’espace et le temps, nous amène à considérer, entre apparition et disparition, un en deçà et un au-Delà de la rencontre, c’est-À-Dire, autant le moteur d’une érotique arrimée à la question du désir, qu’une traversée de l’éther de la psyché par une dynamique qui, de personne en personne, d’être en être, se renouvelle à l’infini. La rencontre que nous tentons d’approcher ici relève ainsi d’une expérience du visage, telle qu’elle en creuse parfois l’énigme métaphysique ou en découvre le charme, mais aussi, et surtout, telle que l’imageant, dans le vivre ensemble ou la solitude, elle entame une réflexion qui s’avère être aussi une voie, et peut-Être en ce sens, un voyage de la pensée pour un discernement, pour un envisagement. Au fil d’un temps décousu et recousu qui, de la naissance à la maturité et à la vieillesse, est celui de l’existence humaine et de sa traversée, au fil d’un temps, donc, qui impose le dépassement d’une condition arbitraire et inéluctable qui, de génération en génération, est intensément tissée de valeurs impressives toujours reconduites et toujours revécues, au fil d’un temps voué à l’ultime, mais aussi à un recommencement, chaque chapitre de cette thèse est ainsi une occasion d’exploration de visages en rencontre, de visages en chemin. / The subject of the present study focuses on the technical and aesthetic correlates of the facial image in photographic representation. Hence, the analysis undertakes to examine the notion of the portrait as such, both with respect to the scope of its artistic and non-Artistic aspects, and the extent to which it transcends the codes of a generically human form of representation. It envisages, moreover, the concept of the portrait in view of its place in representing and extending the paradigmatic expression of the self. By the same token, in drawing on the kind of myths that question man’s apparent self-Image and imagination, as these are linked to his inherent drive to experiment and to create, an explanation is advanced as to why, by only occasionally achieving the ipseity of a face « en échappée », the portrait succeeds in generating man’s identity as a way of knowing self and other, namely, how the author suffuses an image with significance, how an actor who plays his part as an imaginative agent, and the ways in which a recipient penetrates the notion of « figurance » .This concept that links the visible and the invisible, harbours the shimmering, impalpable encounter of affect-Embodied lives — an encounter during which a poetics appears to manifest itself and in which the human agent is capable of discerning an outburst, a gesture, a forward movement thereby compelling man’s inner being to visualize the world through his own eyes – and hands made palpable by displacement. Where this occurs, a hypnotic fascination begins to make itself felt at an inter-Facial nexus. Here, we note the gravitation of sensible essence in space and time oscillating between an apparition – at once visualized and invisible – , between an en deçà and an au delà as this essence proceeds from an erotic encounter, issuing as much from desire as from psyche, and which dynamically traverses the ether, ad infinitum, from one being to another. Our approach to this encounter accounts as much for the experience of facial representation as it does, occasionally, for the deepening of its enigmatically metaphysical point of departure, or else discloses its charm and its mode of « image » representation, either in cohabitation or in solitude – the overture to a journey towards discernment, towards a new perception. The experience of this passing of time defines man’s fate from birth through to maturity and on to old age. It reaches beyond the arbitrary and inescapable condition of man from one generation to the next, and is intimately woven into our forever reconstituted, affective values. Every chapter engages in an analysis of this temporal transition, a course ultimately leading to extinction, but also to a Renaissance. This enables the reader to thus explore the different faces he encounters throughout the course of his journey.
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L'utilisation des oeuvres d'art dans la publicité

Desautels, Claudine 18 April 2018 (has links)
Le présent mémoire explore l'utilisation des oeuvres d'art par la publicité afin de mettre en relief la contradiction entre la gratuité de l'oeuvre d'art et l'intérêt marchand. Ce mémoire tente d'expliquer, à partir de la théorie de la médiation du désir de René Girard, l'instrumentalisation, et par là, la "dé-définition" des oeuvres d'art intégrées à la publicité dans un contexte capitaliste. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Improving and enhancing art education and multicultural education using technology as a vehicle

Delay, Vincent Ray 01 January 1998 (has links)
No description available.
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ZERO et le devenir immatériel de l’art à l’épreuve de la technique, 1958-1964 / ZERO and the dematerialization of art through the prism of technology, 1958-1964

Joly, Noémi 28 April 2017 (has links)
ZERO apparaît le 24 avril 1958 à l’occasion de la septième « exposition d’un soir » qui a lieu à Düsseldorf, dans l’atelier d’Otto Piene et de Heinz Mack. La thématique de cette exposition, « Le tableau rouge », rejoint celle du premier numéro de cette nouvelle revue d’artistes, ZERO. S’ensuivent deux autres numéros, respectivement sortis en octobre 1958 (« Vibration ») et en juillet 1961 (« Dynamo »). Autour de la revue pilotée par Mack et Piene se nouent alors différents projets collaboratifs et expositions collectives, à partir desquels ZERO devient une sorte d’échangeur entre plusieurs tendances nées au tournant des années 1950-1960. Cette recherche monographique a pour ambition première de renouveler les perspectives sur une revue et une mouvance artistique peu étudiées en France, et ce à partir de la question de l’immatériel réfractée au prisme de la technique. L’optimisme technologique présumé de ZERO est réexaminé à l’aune du « discours autorisé », de la poïétique des œuvres, de l’expérience esthétique et de leur réception critique. Dès lors, les œuvres et les discours dévoilent une image bien moins nette du passé, tissée de contradictions, qui traduit d’une part la difficile négociation d’un tournant sociétal marqué par la mécanisation et l’automation, l’information, l’accélération et la menace nucléaire et, d’autre part, l’ambition pour l’art dynamique (vitaliste) et « idéaliste » de ZERO de jouer un rôle actif dans la définition de l’époque, en s’adressant aux imaginaires et en occupant les territoires de l’expérience sensible. / ZERO was created on the 24th of April 1958, on the occasion of the seventh « Night Exhibition », which took place in Otto Piene’s and Heinz Mack’s studio in Düsseldorf. The theme of this exhibition, « The Red Painting » was the same as the inaugural edition of ZERO, a new artist magazine. Following this initiative, two other issues were published, one dedicated to “Vibration” (October 1958), the other to “Dynamo” (July 1961). Various collaborative projects and collective exhibitions revolved around the magazine edited by Mack and Piene, from which ZERO became a platform between several tendencies which had come into being by the early 1960s. This study aims at renewing and enriching knowledge of both a magazine and a movement that have not been the subject of any extensive examination so far. For this purpose, this research focuses on the immaterial art of ZERO as refracted through the prism of technology. ZERO’s alleged technological optimism is explored by the light of the “authorized discourses”, the poietic of the works of art, their aesthetic experience and their critical reception. Therefore, the works of art and the discourses reveal a far less clear picture of the past, which is not free of discrepancies. On the one hand, this reflects the complex issue of dealing with societal shifts characterized by mechanization and automation, information, acceleration, nuclear threat; and, on the other hand, this demonstrates the ambition for ZERO’s both dynamic (vitalist) and “idealistic” art to play an active role in defining the spirit of the era by addressing imaginaries and by occupying territories of sensitive experience.

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