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Buddhist art of Bengal : from the 3rd century B.C. to the 13th century A.D. /Sengupta, Anusua, January 1993 (has links)
Texte remanié de: Ph.D.--Department of ancient Indian history and culture--Calcutta--University of Calcutta, 1980. Titre de soutenance : A survey of Buddhist art of Bengal from the third century B.C. to the thirteenth century A.D. / Bibliogr. p. 195-204. Index.
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Der Stupa als Repräsentation des buddhistischen Heilsweges : Untersuchungen zur Entstehung und Entwicklung architektonischer Symbolik /Kottkamp, Heino. January 1992 (has links)
Dissertation--Philosophische Fakultät--Bonn--Rheinische-Wilhelms-Universität. / Bibliogr. p. 472-598.
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Der Tempel der drei Pagoden von Dali : zur buddhistischen Kunst des Nanzhao- und Dali-Königreichs in Yunnan, China /Lutz, Albert. January 1991 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät I--Zürich--Universität, 1990. / Bibliogr. p. 157-163. Index.
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Etude des cultes populaires en Birmanie dans l'art et les textes birmansRaymond, Catherine, January 1989 (has links)
Th. 3e cycle--Etud. indiennes--Paris 3, 1987.
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Printing the faith in Southeast Asia : the Buddhist production of seals and stūpas (7th–13th century CE) / Imprimer la foi en Asie du Sud-Est : la production bouddhique de sceaux et de stūpas (VIIème – XIIIème siècle EC)Desoutter, Delphine 25 November 2017 (has links)
L’impression répétée d’une image – sceau – ou d’un stūpa en trois dimensions sur un morceau d’argile est une pratique bouddhique pour obtenir du mérite, dont en témoigne la quantité importante retrouvée en Asie du Sud-Est. Ces objets comportent des images représentant un ou plusieurs dieux et stūpas, parfois accompagnées d’un texte, ou bien un texte seul. Jusqu’à présent, seules des études régionales se sont intéressées à ce sujet et aucune n’a prêté attention aux moules utilisés pour leur production. La présence de moules en terre-cuite et en bronze est attestée entre le VIIème et le XIIIème siècle, ces derniers présentant une iconographie raffinée et une technique élaborée. Nous postulons que leur utilisation était propre à certaines cultures et nous mettons en avant trois groupes de moules en bronze, correspondant aux régions du centre du Myanmar, à la Thaïlande et au Cambodge, ainsi qu’à l’Indonésie occidentale et à la péninsule malaise.Centrée sur le catalogue des moules en bronze, cette étude explore leurs liens avec les objets imprimés sous les angles de la production, de l’archéologie, de l’iconographie et de la stylistique, fournissant ainsi une vue d’ensemble synthétique des sceaux et stūpas. Premièrement, la constitution d’une typologie, à la fois des produits et des outils de reproduction, permet de comprendre quelles techniques étaient utilisées pour leur fabrication, et conduit à distinguer l’existence de différents ateliers et usages. Deuxièmement, le recensement des contextes archéologiques connus clarifie les intentions de la production au-delà de l’obtention de mérite, et questionne la valeur religieuse des moules. Finalement, l’analyse des images examine leurs caractéristiques locales, régionales ou inter-régionales, ainsi que leur degré de correspondance avec le répertoire connu des impressions. La nature petite et mobile des sceaux, stūpas et de leurs moules a permis leur diffusion, mais est aussi probablement responsable de leur disparition, à cause de leur fragilité ou de la réutilisation du métal. Cette étude ne sera donc jamais complète. Toutefois, l’approche transversale de ces témoignages de l’art bouddhique apporte un éclairage nouveau sur les différents liens culturels, politiques et religieux qui prévalaient en Asie du Sud-Est. / The repeated impression of an image or of a three-dimensional stūpa on a piece of clay is a Buddhist practice to obtain merit, well attested in Southeast Asia by the vast amount of seals and stūpas discovered. The images depict a single or several deities and stūpas, sometimes accompanied by a text, or they bear text alone. Until now, only regional studies have focused on these artefacts and none have looked at the moulds used for their production. During the 7th to the 13th century CE, we find evidence of terracotta and bronze moulds, the latter demonstrating a refined iconography and an elaborate technical expertise. We postulate that their use was specific to some cultures and bring forward three groups of bronze moulds, corresponding to the areas of central Myanmar, Thailand and Cambodia, and western Indonesia and the Malay Peninsula. Centred on the catalogue of the bronze moulds, this study explores their connection to the printed objects through their production, archaeology, iconography and stylistics; thereby, also providing a selective overview of the seals and stūpas. First, the establishment of a typology, both of the products and of the reproduction tools, helps to understand which techniques were resorted to during the manufacture, and lead to distinguish the existence of different workshops and developments. Secondly, the survey of the known archaeological contexts clarifies the intentions of the production beyond merit making, and questions the religious value of the mould. Finally, the analysis of the images examines their local, regional or inter-regional features, and the extent of their match with the repertoire of known imprints. The small and movable nature of the seals, stūpas and their moulds resulted in their diffusion but also most probably in their disappearance because of their fragility or due to the reutilization of the metal. This study will hence never be complete. Nevertheless, the transverse approach to these evidences of Buddhist art sheds new light on the different connections—cultural, political and religious—that prevailed in Southeast Asia.
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The Enthroned Buddha in Majesty : an Iconological Study / Le Bouddha trônant en majesté : étude iconologiqueRevire, Nicolas 10 December 2016 (has links)
Cette thèse étudie en détail un type particulier de représentation du Bouddha où il est représenté assis sur un trône prééminent, le bhadrapīṭha ou bhadrāsana, dans une posture majestueuse avec les deux jambes pendantes, c’est-à-dire assis en bhadrāsana ou dans l’attitude « de bon augure ». Cette iconographie, étroitement associée à l’imagerie du trône, se retrouve largement représentée dans l’art de l’Asie du Sud, de l’Est et du Sud-Est, et est, en règle générale, intimement liée aux modèles de la royauté, de la fertilité, et même du divin. Plusieurs implications notables ressortent de cet examen iconologique concernant les origines, la diffusion, et le développement de l’art bouddhique dans ces contrées, particulièrement au cours du premier millénaire de notre ère. / This dissertation provides a detailed study of a particular representation of the Buddha, in which he sits on a prominent throne, i.e. a bhadrapīṭha or bhadrāsana, in a majestic posture with two legs pendant, that is, in bhadrāsana or the “auspicious pose.” This pendant-legged imagery, generally associated with the throne, has been found widely depicted in South, East, and Southeast Asian art and is, as a rule, mostly associated with kingship, fertility, and even divinity. The results of this iconological examination have wide implications for understanding the origins, spread, and development of Buddhist art in those lands, particularly during the first millennium CE.
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Figurer, voir et lire l’insaisissable : la peinture manaw maheikdi dat de Bagyi Aung Soe (1923/24–1990) / The Making, Reading and Seeing of the Formless : the Manaw Maheikdi Dat Painting of Bagyi Aung Soe (1923/24–1990)Ker, Yin 10 December 2013 (has links)
Héritier de l’universalisme humaniste de Rabindranath Tagore par sa formation à Śāntiniketan en Inde, le ditpère de l’art moderne birman Bagyi Aung Soe (1923/24–1990) se consacra à figurer les réalités ultimes enfonction des enseignements bouddhiques. Pour ce faire, il mit au point un langage pictural qu’il baptisa lapeinture « manaw maheikdi dat » qui signifie la création artistique par la culture mentale. Ses référencesvisuelles, variant de la physique à l’ésotérisme bouddhique, de la culture populaire à la poésie, comprennent toutce qui fut à sa portée intellectuelle et spirituelle dans la Birmanie socialiste militaire de 1962 à 1988. Soninsistance sur la somme des héritages propres à cet espace-temps, de même que son dépassement descloisonnements conceptuels selon les disciplines, les frontières nationales ou les divisions chronologiques, exigeun récit conçu au regard des significations contextuelles, un récit adapté et affranchi du modèle prétendumentinternational de l’art euraméricain. Afin de proposer un récit sur comment il compta rendre manifestel’insaisissable selon les circonstances propres au contexte de sa vie, nous mettons l’accent sur les conditionsaccueillant la genèse et la diffusion de cette production artistique dite « la plus moderne de l’art moderne » enraison de sa dimension transnationale et transhistorique. À partir d’une sélection parmi plus de quatre milleoeuvres et de centaines de témoignages écrits et oraux recueillis, nous examinons non seulement la fabrication decette peinture qui reste aussi non étudiée en Birmanie qu’inconnue de la scène internationale, mais aussi lesmanières dont nous pouvons la lire et la voir. / A student at Rabindranath Tagore’s ashram in Śāntiniketan, India, Myanmar’s “father of modern art” BagyiAung Soe (1923/24–1990) embraced his Indian gurus’ concept of art and the artist. In the spirit of the laureate’shumanist universalism, he strove to picture Buddhist teachings. His signature idiom christened “manawmaheikdi dat”, which has yet to be studied in Myanmar and is virtually unknown at the international level, reliedon meditation to achieve advanced mental power in order to picture the most elemental components of allphenomena, and its visual references included all that was possibly accessible under socialist rule in Burma(1962–1988). With little regard for artistic conventions and categorisations according to discipline, nation andchronology, Aung Soe drew from the sum of artistic, intellectual and spiritual traditions defining his space andtime, varying from quantum physics to esoteric Buddhism, from popular culture to poetry. The nature of hisapproach, method and subject matter, coupled with his country’s exceptional circumstances, demands a newnarrative of art that is unfettered by the assumptions inherent to the purportedly international framework ofEuramerican modern art. Focusing on the contextual significances of the genesis and reception of manawmaheikdi dat painting, this dissertation examines the making, the reading and the seeing of this pictoriallanguage whose transnational and transhistorical dimension renders it “the most modern of modern art”. Basedon a selection of the artist’s works and writings, as well as witnesses of his life and practice, we attempt a storyof how he pictured and made manifest the formless on his own terms.
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