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Créer le multiple : la Réunion des fabricants de bronze (1839‐1870) / Réunion des fabricants de bronze : the Multiple’s Creation (1839-1870)

Voillot, Élodie 29 January 2014 (has links)
Au début du XIXe siècle, plusieurs fabricants de bronzes parisiens décident de s’allier et de fonder une société : la Réunion des fabricants de bronze. Héritière de l’ancienne corporation des fondeurs, la Réunion propose un nouveau modèle de groupement professionnel pour accompagner les transformations contemporaines et le développement sans précédent que connaît l’industrie du bronze entre 1839 et 1870. Portées par des innovations techniques, telle que l’invention de la machine à réduire, de nouvelles questions commerciales, juridiques et esthétiques, se posent alors aux acteurs de cette industrie. Comment promouvoir les productions parisiennes sur un marché de plus en plus international ? Comment lutter activement contre la contrefaçon des modèles qui sévit ? Comment faire reconnaître la valeur esthétique d’ouvrages relevant tant de l’art que l’industrie ? Dans une société marquée par la multiplication des images et des objets, à un moment où le souci de la démocratisation de l’art devient un enjeu politique, l’édition de sculptures participe à la constitution d’une culture visuelle tout en posant les prémisses d’une conception du multiple comme œuvre d’art. À travers l’étude de la Réunion, de son fonctionnement et, plus spécifiquement, de son rôle de tribunal arbitral, l’enjeu de cette thèse est de comprendre comment les actions pour la reconnaissance juridique du caractère artistique de productions industrielles s’articulent avec une conception spécifique de la reproduction comme création. / In the early nineteenth century, several Parisians bronze’s manufacturers decided to join their forces and based a society: the Bronze Manufacturers Union. Heir to the old guild founders, the Union offers a new model of professional association to accompany the contemporary transformations and the important development of the bronze industry between 1839 and 1870. Supported by technological innovations such as the invention of the sculptures’ reducing machine, new commercial, juridical and aesthetical issues arise to industry protagonists. How to promote the Parisian productions in an internationalized market? How efficiently fight against models counterfeit? How to recognize the aesthetic value of works involved in both art and industry? When democratization of art becomes a political issue, sculptures edition take part of the creation of a visual culture and establishes principles of multiple in art. Through the study of the Union organization and, more specifically, its role of arbitral court, the goal of this thesis is to understand how the actions for the legal recognition of industrial productions as artworks is relate to the idea that reproduction could be a creation.
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Du japonisme à l’asiatisme : une céramique de demi-luxe pour tous (France, 1861-1939) / From Japonisme to Asiatisme : semi-luxury earthenware for all (France, 1861-1939)

Pasdelou, Sabine 19 November 2016 (has links)
L'épanouissement économique des manufactures de céramiques françaises tout au long du XIXe siècle et au début du XXe siècle est propice à la revalorisation des valeurs industrielles au sein des arts décoratifs. Les industriels s’appliquent à fournir des produits de qualité à moindre coût, à toutes les classes, grâce aux améliorations techniques et à l'abaissement des coûts des techniques décoratives. À partir des années 1860, les productions japonisantes participant à ce phénomène se diffusent dans les intérieurs bourgeois et entrent dans un cadre plus général : celui des productions céramiques reproduites à grande échelle, mises en œuvre par des fabriques à Paris et en province tout au long de la période concernée, y compris durant l'entre deux-guerres. En privilégiant dans un même mouvement collectif tel style, telle forme et tel décor, les différents milieux fournissaient aux fabricants et aux créateurs de modèles une direction à suivre dans la production du japonisme en céramique. Les artistes industriels ont dès lors cherché à surmonter la fracture entre art d'élite et goût populaire. Ces nouveaux objets peu coûteux devaient correspondre à des critères esthétiques et pratiques très hétérogènes. La stratégie commerciale des manufactures de céramiques et des centres de distribution a de fait été façonnée en conséquence. Le bibelot en céramique, facilement manipulable, illustre par ailleurs les représentations d’un pays imaginé et appréhendé de manière collective grâce aux expositions, au cinéma, au théâtre et à la littérature. Ces images contribuent à l’émergence d’une culture populaire urbaine dont le caractère commercial est assumé ; en ce sens, cette céramique fait partie de l’univers du « kitsch » en tant que communication de masse utilisée par la classe moyenne. / The economic growth of manufacturing earthenware and porcelain in the province triggered a flourishing industrial standard in the decorative arts. The Beautiful and Industry are the two new values inseparable, celebrated by the production of French ceramics until the end of the first half of the twentieth century. Manufacturers want to provide quality products at lower costs to all classes. Improvements in ceramic materials and technical casting, as well as lowering the cost of decorative techniques, have encouraged the opening up the hierarchy of decorative arts. These new technical processes took part in the improvement of living conditions of the bourgeoisie and smaller classes. Japanese style productions were large-scale diffused in bourgeois interiors since 1860’s. These works fall into a broader context: the large-scale pottery production, implemented by factories in Paris and the provinces throughout the period, including during the interwar period. Industrialization brings to market products that must seek the attention of all classes. These inexpensive items had to correspond to aesthetic and practical heterogeneous criterion. By focusing on the same style as collective motion, such as shape and decoration, the different environments provided producers a direction to follow in models making. Business strategy of manufacturing has been designed accordingly. The ceramics “curio”, easy to handle, illustrates the representations of an imagined and apprehended country in a collective way thanks to exhibitions, movies, plays and literature. These representations contribute to the emergence of an urban popular culture whose commercial character is clearly assumed. This ceramics is part of the universe of “kitsch” as mass communications used by the middle class.
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Le musée céramique de la manufacture de Sèvres : progrès techniques, enjeux artistiques et pratiques savantes en France (1800-1914) / The Musée céramique of the Sèvres manufactory : technical progress, artistic stakes and learned practices in France (1800-1914)

Auffret, Anne-Lise 29 November 2014 (has links)
L’administrateur de la manufacture de Sèvres, Alexandre Brongniart, ouvrait au public en 1824 le musée royal céramique et vitrique, envisagé dès 1802, et qui se voulait d’un genre nouveau. À vocation encyclopédique, dans l’esprit des Lumières, il ambitionnait de présenter les céramiques de tous les lieux et de tous les temps afin de former les ouvriers et les artistes. L’histoire de l’institution, que nous avons souhaité retracer et analyser sur plus d’un siècle, n’est pas linéaire et son évolution se dessine au gré des changements économiques, esthétiques ou des bouleversements politiques. Dès lors, notre étude entreprend de montrer de quelle manière se construit le passage d’un musée technique créé par un naturaliste évoluant au sein du Muséum, vers une construction vouée entièrement à l’art, à la mise en patrimoine de la céramique, au monde du collectionnisme. Les nombreux legs et donations d’amateurs, la nomination du collectionneur Champfleury à sa direction, le développement de recherches historiques sur ce domaine artistique, sont autant de facteurs qui vont contribuer à façonner le musée en ce XIXe siècle fasciné par l’objet manufacturé. À travers ces pistes de recherche, notre approche consiste à étudier le rôle de cet établissement dans un contexte d’essor industriel et d’un intérêt nouveau pour les « arts mineurs ». Ainsi, nous proposons, par le biais de ce travail, de contribuer aux réflexions, toujours actuelles, sur les interactions entre l’art et l’industrie. / The Musée Céramique et Vitrique was opened to the public in 1824 by Alexandre Brongniart, the administrator of the Sèvres manufactory. The museum was conceptualized in 1802, and aimed to be of a new sort. In the spirit of the Age of Enlightenment Brongniart aimed to create an encyclopaedia of ceramic education and skills for future ceramics workers and artists. We have attempted to redraw and analyze the history of the institution for over a century, and we have discovered that it does not follow a linear path. The evolution of the institution was influenced by economic, aesthetic, and political upheavals. Our current study attempts to show how a museum, created by a naturalist and dedicated to technical knowledge, evolved to what it is now, an institution focused on the art and history of ceramics, with a lesser emphasis on collectibles. Many factors shape the museum in this XIXth century, including; the legacy and donations of amateurs, the management of collector Champfleury, and historical research on the art of ceramics. Our approach will be to study the role of the museum in the context of industrial development, and a renewed interest in the “minor arts”. Through this study, we aim to show the interactions between art and the industry.

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