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Contribution à une étude de l'institutionnalisation de la gouvernance des organisations: approche par une analyse de la perception du discours / Contribution to a study of the institutionalization of governance organization: approach through the analysis of discurses perception

Ndengutse, Pie 09 January 2013 (has links)
Comme le titre l’indique, cette recherche contribue à une étude de l’institutionnalisation de la gouvernance des organisations, celles-ci pouvant être perçues comme des institutions ou des entreprises. Deux parties sont développées au cours de cette étude :une partie qui explore les concepts, les notions, les théories et les méthodes ;une deuxième qui concerne différentes études empiriques au travers d’une analyse de contenu, d’analyses factorielles, typologiques et binaires classiques.<p><p>Dans la première partie, le premier chapitre est consacré, après une introduction particulièrement réservée à la définition du concept d’institutionnalisation, à la description de ce que l’on entend par « organisation ». Le deuxième chapitre rassemble une bibliographie sur le concept de pouvoir ;tandis que le troisième interroge les finalités des organisations (et du pouvoir de celles-ci). Le quatrième chapitre, qui présente un statut particulier, explore la littérature sur le concept de gouvernance (des organisations). C’est au cours de ce chapitre que l’on analyse la relation qui existe entre les notions de pouvoir et de gouvernance. Le cinquième et dernier chapitre de cette première partie est consacré à la méthodologie. Il constitue un trait d’union entre la première partie dite théorique et la deuxième partie dite empirique, dans le sens où il mobilise et décrit les méthodes et techniques d’analyse empruntées lors des différentes études menées. <p><p>Cette deuxième partie se fonde sur une analyse de la perception du discours sur la gouvernance au travers d’une analyse de contenu de certains documents (textes) de référence en matière de gouvernance (dont le discours contribue à l’institutionnalisation de la gouvernance) et des analyses statistiques à l’aide d’un questionnaire. Quatre études sont principalement menées. La première consiste en une analyse de contenu des chartes de gouvernance des entreprises du Bel 20, l’objectif étant de voir comment se structure le discours porté par ces documents :les résultats montrent qu’il existe un lien d’ancrage entre le contenu du discours de ces chartes et celui du code belge de gouvernance auquel ces entreprises déclarent adhérer. Lors de la deuxième étude, des interviews sont menées pour comprendre comment se sont déroulées la rédaction et la publication de ces documents de référence. Dans le but de vérifier s’il existe (ou non) une institutionnalisation de la gouvernance (et du discours sur celle-ci), une autre analyse de contenu des chartes et codes belges de gouvernance est réalisée (troisième étude). Elle consiste en une analyse de traces, d’indices et d’indicateurs (de cette institutionnalisation) dans deux chartes (de l’entreprise Befimmo) et deux codes belges de gouvernance (ceux de 2004 et 2009). Les résultats montrent qu’il existe une tendance d’institutionnalisation de la gouvernance et du discours sur celle-ci au travers de l’évolution des facteurs psychologiques repérés dans ces documents. Parallèlement, cette étude révèle qu’il y a institutionnalisation de ce discours par la loi (notamment les lois récentes qui règlent certaines matières relevant de la gouvernance). <p><p>Pour clore cette recherche, une quatrième étude est réalisée sur la base d’un questionnaire (analyses statistiques). Elle vise à comprendre la structuration de la perception de ce discours sur la gouvernance au sein d’une catégorie d’acteurs, à savoir les étudiants de l’Université Libre de Bruxelles, futurs acteurs des organisations. Il s’agit d’une étude de cas :six cas en l’occurrence. L’objectif est de tenter de récolter des types de perceptions possibles et observer comment se structurent celles-ci. L’analyse des résultats montre in fine que le discours sur la gouvernance est davantage perçu (par une grande partie d’étudiants) comme un mode de gestion qui privilégie les mécanismes informels sous-tendant la négociation, la coopération, le dialogue… Par ailleurs, dans l’ensemble, les résultats de l’étude suggèrent l’existence d’une institutionnalisation de la gouvernance à travers le discours sur la gouvernance (lois, chartes, codes de gouvernance…) et la perception de celle-ci. Ce discours prône moins de mécanismes formels et plus de mécanismes informels ;d’où le pouvoir institutionnel sous-tendu par les premiers doit être redéfini ou réinventé. Cette institutionnalisation présente alors un impact sur le pouvoir (des organisations) ;d’où elle doit être mieux étudiée et mieux gérée afin de favoriser leur adaptation. <p><p>Summary :<p><p>As suggested by the title, this research contributes to a study of the institutionalization of the governance of organizations, institutions or enterprises. Two parts are developed :the first one explores the concepts, notions, theories and methods ;the second one concerns various studies through content analysis, factor analysis, typological analysis and classic binary analysis. <p><p>In the first part, the first chapter, after an introduction dedicated to the definition of the concept of institutionalization, is concerned with the description of what ‘organization’ meant. A second chapter contains literature about the concept of power, while the third one questions the goals or finalities of the organizations (and their power). The fourth chapter, which has a particular status, explores the literature covering the concept of governance (of organizations). We analyze in this chapter the relationship between the notions of power and governance. The fifth and last chapter of this first part is devoted to the methodology. It is a hyphen between the first part called theoretical and the second part called empirical, in the sense that it mobilizes and describes the methods and analytical techniques used in the various realized studies. <p><p>The second part is based on an analysis of the perception of discourse on governance through a content analysis of some reference’documents (texts) for governance (including the discourse that contributes to the institutionalization of governance) and a statistical analysis displaying a questionnaire. Four studies are carried out. The first one consists in a content analysis of corporate charters of the enterprises of Bel 20. The aim is to see how is structured the discourse supported by these documents. The results show an ‘anchorage’ link between the content discourse of these charters and the content discourse of belgian corporate governance to which these companies declare their allegiance. In the second study, interviews are conducted to understand how the writing and publication of these reference’documents were realized. In order to check if the institutionalization of governance (and discourse about it) exists (or not), another content analysis of charters and belgian governance codes is achieved (third study). It consists in the study of the trace, indices and indicators analysis (about this institutionalization) in two charters (company Befimmo) and two belgian governance codes (those of 2004 and 2009). The results show a tendency to institutionalize governance and discourse on it through the development of psychological factors identified in these documents. At the same time, this study reveals the institutionalization of this discourse by the law (including recent laws that regulate certain matters of governance). <p><p>To close this research, a fourth study is proposed on the basis of a questionnaire (statistical analysis). It aims to understand the structure of the perception of the discourse on governance within a category of actors, namely students at Free University of Brussels (ULB), future organizations’actors. It is takes the form of a case study :six cases. The goal of this study is to try to collect the possible perceptions and observe how they are structured. The analysis shows that ultimately the discourse on governance is more perceived (by a majority of students) as a management approach that focuses on informal mechanisms underlying the negociation, cooperation, dialogue… Moreover, in the overall, the results of this study suggest the existence of an institutionalization of governance through the discourse on governance (laws, charters, governance codes…) and the perception of it. This discourse advocates less formal and more informal mechanisms ;hence the institutional power underpined by the formal mechanisms must be redefined or reinvented. This institutionalization presents then an impact on the power of organizations ;hence it must be better investigated and managed to promote their adaptation. <p><p><p><p><p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Parler politique : potentiel et limites des pratiques encadrant le partage de la parole à l'Association pour une solidarité syndicale étudiante

Leclerc, Typhaine 24 April 2018 (has links)
Malgré leurs bonnes intentions, les groupes progressistes reproduisent des inégalités sociales dans leur structure interne. Même dans les groupes qui ont intégré des pratiques (pro)féministes à leur fonctionnement, on observe une inégalité parfois flagrante dans les prises de parole des hommes et des femmes et en fonction d’autres facteurs socioéconomiques. L’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) utilise plusieurs mesures visant à rééquilibrer le partage de la parole, notamment l’alternance homme-femme, la garde du senti, les caucus non mixtes et les instances non mixtes. J’ai réalisé douze entretiens semi-directifs avec des personnes ayant milité à l’ASSÉ afin de mieux comprendre comment elles jugent la pertinence et l’efficacité de ces pratiques. Si toutes estiment qu’elles facilitent la prise de parole des femmes sur le plan individuel, hommes et femmes ont toutefois des opinions divergentes par rapport à leur potentiel transformateur et émancipateur. Les hommes tendent à souligner les effets de resocialisation ou de contre-socialisation de ces mesures alors que les femmes abordent davantage leurs limites. Elles estiment que les mesures utilisées à l’ASSÉ ne suffisent pas à remettre en question la division genrée du travail militant qui y prévaut. À partir des données recueillies, il est possible d’affirmer que les coûts et les bénéfices liés à ces pratiques sont différenciés selon le genre. Bien qu’elles soient conçues pour favoriser la prise de parole des femmes, elles offrent des bénéfices symboliques et matériels aux hommes. Les femmes, responsables du travail de justification de ces pratiques, de leur application et, plus largement, des revendications et analyses féministes dans l’organisation, déplorent que ce travail invisibilisé et sous-valorisé les empêche de se concentrer sur des tâches « politiques ». J’explore le potentiel des pratiques encadrant le partage de la parole pour éclairer la nature politique du travail d’écoute, de care et d’organisation accompli par les femmes, à l’ASSÉ et ailleurs. / Despite their best intentions, progressive groups contribute to the reproduction of social inequalities within their internal structure. Even in groups using pro-feminist practices intended to manage how speech is shared among participants, there sometimes are blatant inequalities in the voices being heard – or not – depending on gender and other socioeconomic factors. ASSÉ (Association for Solidarity among Student Unions) implements a number of measures to rebalance how speech and power are being shared, including alternating speaking rights between men and women, using a “moodwatcher” during meetings, allowing for non-mixed caucuses, and holding Women’s congresses. I have conducted twelve semi-structured interviews with people who are or have been involved in ASSÉ to better understand how they judge the relevance and effectiveness of these practices. While all of them believe that these measures help amplify women’s voices on an individual level, men and women have different opinions about the transformative and emancipatory potential of these practices. Men tend to highlight these measures’ re-socialization or counter-socialization effects, while women are more likely to point out their limitations. They argue that these measures fail question the gendered division of activist labor that prevails in ASSÉ. Furthermore, the interview data suggest that the costs and benefits associated with these practices are gender differentiated. Although they are designed to promote women's voices, they tend to symbolically and materially benefit to men. Meanwhile, women are responsible for the labor involved in justifying and applying these practices, and, more broadly, for providing feminist analyses within the organization. Women participants lament the fact that this invisible and undervalued work prevents them from concentrating on "political" tasks. I sketch the potential of (pro)feminist speech-sharing practices to demonstrate how conversation is indeed "political" and to hightlight the political nature of the gendered labor of listening, caring and organizing.

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