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La duplicité de l’apparaître : recherches sur la phénoménologie matérielle de M. Henry / The Duplicity of Appearing : studies for the material Phenomenology of M. Henry

Hattori, Yukihiro 17 September 2013 (has links)
La duplicité de l’apparaître consiste à distinguer tout ce qui apparaît conformément à son mode d’apparaître : immanence et transcendance. Notre travail a pour objectif d’élucider par l’analyse des lectures henryennes de l’histoire de la philosophie une présupposition fondamentale qui conditionne cette doctrine de la duplicité de l’apparaître, présupposition qui joue un rôle fondamental dans la phénoménologie de Michel Henry. Notre problématique consiste donc à nous demander comment comprendre l’essence d’une telle duplicité qui ne peut que rendre difficile à penser ce qu’il y a de commun entre la transcendance, comme déploiement de l’horizon phénoménologique, et l’immanence, comme épreuve immédiate de soi dans l’affectivité. Afin de donner une réponse à cette question fondamentale, nous avons centré notre étude sur les deux ouvrages majeurs de M. Henry : Philosophie et Phénoménologie du corps et L’essence de la manifestation. Conformément à nos analyses qui suivent les lectures henryennes de Maine de Biran, Kant, Fichte, et Heidegger, nous nous sommes demandé si une distinction kantienne entre la logique formelle et la logique transcendantale ne fonctionnait pas comme une présupposition qui, d’une part détermine la duplicité de l’apparaître et, d’autre part entraîne une purification radicale de l’immanence en dehors de la transcendance, au point d’anéantir la possibilité qu’elles auraient de se rapporter l’une à l’autre. Une telle analyse nous a conduit à saisir l’enjeu de l’attachement exclusif de la doctrine henryenne de l’immanence au principe des jugements analytiques ; attachement qui conférera un caractère paradoxal à la duplicité de l’apparaître / The duplicity of appearing phenomenologically classifies appearances according to their modes of appearance: immanence and transcendence. By analyzing Michel Henry’s analysis of the history of philosophy, this study examines the fundamental presupposition that conditions this doctrine of duplicity of appearing and plays an important role in Henry’s material philosophy. The following question arises: how can we understand the essence of duplicity, which makes it difficult to comprehend the relationship between transcendence and immanence? To answer this question, we focus on Henry’s two major works: Philosophy and Phenomenology of Body and The Essence of Manifestation. By analyzing Henry’s interpretation of the works of Maine de Biran, Kant, Fichte, and Heidegger, we inquire whether the Kantian distinction between formal and transcendental logic serves as the condition that determines the duplicity of appearing and leads to the distinction of immanence from transcendence to eliminate the possibility of a relationship between them. This analysis leads to an understanding of a fundamental issue regarding the exclusive commitment of immanence to the principle of analytic judgments, with the commitment lending a paradoxical character to the duplicity of appearing.
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Ipséité et transcendance : esthétique et phénoménologie transcendantale dans l’oeuvre de Michel Henry / ipseity and transcendance : aesthetic and transcendantal phenomenology in Michel Henrys ' artwork

Sabourin, Thomas 04 December 2017 (has links)
L’œuvre de Michel Henry introduit l’idée d’une phénoménologie non-intentionnelle, fondée sur le concept d’auto-affection comme mode de la phénoménalité plus fondamental que l’intentionalité qui révèle le monde, le visible. La vie est l’être qui se révèle à soi dans l’immanence de l’auto-affection, dans l’invisible. C’est sur ce dualisme onto-phénoménologique que repose l’esthétique que Henry développe dans Voir l’invisible. Il y définit l’art comme accomplissement de la vie, c’est-à-dire comme Rappel pathétique de la vie. L’art est donc conçu, selon le paradoxe qu’énonce le titre de l’ouvrage, comme une manifestation de l’invisible dans le monde visible. L’art, pour Michel Henry ne vaut donc pas en tant qu’il révèle le « phénomène phénoménologique », mais en tant que, ce faisant, il accomplit la vie : il n’est pas contemplation, mais action. Il constitue l’accomplissement pratique d’une éthique de la vie. Cependant, la définition de la vie comme auto-affection, et l’affirmation fondamentale selon laquelle l’art constitue l’accomplissement de celle-ci, expose l’entreprise de Henry à un certain nombre de difficultés : sous-détermination de l’art, impossibilité de rendre compte d’une réalité objective de l’œuvre d’art, exclusion de la littérature hors du champ de l’esthétique. La décision d’édifier une esthétique fidèle à l’affirmation fondamentale de Henry, qui soit aussi un discours capable de rendre compte au plus près des pratiques artistiques dans leur diversité, et leur réalité concrète, conduit ici à interroger les fondements théoriques de l’esthétique henrienne : ses conceptions de la transcendance et de la subjectivité. La réinterprétation de l’impression comme intentionnalité fondamentale, et du sens de l’auto-affection comme plurivoque vise ainsi à préciser la définition de l’art comme Rappel, d’une manière assez concrète pour en édifier une théorie générale, qui permette de le concevoir dans ses déterminations concrètes, et comme moment de la culture.Mots-clés : Michel Henry, Art, Esthétique, Phénoménologie, Intentionnalité, Affectivité, Auto-affection, Subjectivité, Invisible. / Michel Henry’s work has brought about the idea of a non-intentional phenomenology, based on the analysis of self-affection, as a phenomenological process allegedly more fundamental than intentionality. Whereas the latter reveals the visibility of the world, self-affection reveals, for its part, the invisibility of affective life. The theory of aesthetics that Henry develops in Voir l’invisible is based on this onto-phenomenological dualism. In this book, Henry defines art as the accomplishment of life, as its pathetical « emotional Recall ». Consequently, art is conceived accordingly to the paradoxical statement implied in the title of his book, since “voir l’invisible” means seeing what is invisible. So, to Henry’s opinion, art doesn’t bring forth the ‘phenomenological phenomenon’, but is the practical fulfilment of the ethics of life. Nevertheless, determining life as the invisibility of self-affection, and art as the accomplishment of life, urges him to face a certain number of difficulties : what about the risk of underestimating the complex structure of the work of art ? What about its actual reality ? And how is one supposed to understand, in such an aesthetical context, the possibility and structure of literature ? The purpose of settling a new theoretical basis for aesthetics, grounded on Michel Henry’s fundamental concept of the “Recall”, but at the same time able to solve these problems, and to actually take into account the wide variety of art practices, leads to investigate here the ontological foundations of Henry’s aesthetics : the way he conceives transcendence and subjectivity. Reinterpreting ‘impression’ as the fundamental intentionality, and showing self-affection as equivocal, enables to shape a more accurate and balanced characterization of art, viewed as ‘Recall’, in a much more realistic and concrete way, which brings about the conditions for a general theory of art and its relation to culture.Key words : Michel Henry, Art, Aesthetics, Phenomenology, Intentionality, Affectivity, Self-affection, Subjectivity, Invisible.
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Déconstruction de l'auto-affection pure : étude sur les notions de répétition et d'auto-affection pure à l'époque de Sein und Zeit / Deconstruction of pure self-affection : an study on the notions of repetition and self-affection in the epoch of Sein und Zeit

Castellanos, Rafael 04 February 2011 (has links)
Si la déconstruction devait commencer quelque part, si son principe n'était pas d'emblée celui de lamultiplication originaire du principe, il faudrait alors dire que c'est comme déconstruction de l'autoaffectionpure qu'elle commence. En effet, l'interrogation du concept d'auto-affection pure estl'interrogation d'une dernière tentative pour penser encore la subjectivité en termes de principe (c'est-àdireen termes aussi de « subjectivité »). L'« auto-affection pure » est un concept qui renvoiecouramment au livre de 1929 de Heidegger sur Kant, Kant et le problème de la métaphysique. Or, dansce contexte, il renvoie déjà de manière essentielle à la répétition comme dispositif de sa production etcomme ce à partir de quoi sa déconstruction a concrètement lieu. La question de la répétition est en faitinséparable de la déconstruction de l'auto-affection pure. Si celle-ci est un autre nom de la temporalité,il faut alors démontrer en droit ce qui est un fait : c'est à partir de la répétition que la temporalité peutseulement être dévoilée. En ce sens, la répétition est déjà répétition de la question de l'être (Sein undZeit) mais aussi répétition de Kant (Kant et le problème de la métaphysique). Or, la détermination de latemporalité comme auto-affection pure, dans la répétition heideggerienne de Kant, n'est elle-mêmepossible que d'après la compréhension essentielle de la temporalité phénoménologique à partir duconcept de Husserl d'impression originaire. En ce sens, comme déconstruction de l'auto-affection pure,la répétition – en-deçà de toute identité constituée – doit aussi se trouver déjà à la racine de touteimpression originaire. / If deconstruction begins somewhere, if its starting point is not already the original multiplication ofprinciple and origin, then it is necessary to say that it begins first as the deconstruction of pure selfaffection.The interrogation of the concept of pure self-affection is the interrogation of probably the lastattempt to think about subjectivity in the terms of a principle (which are of course the terms of“subjectivity”). The pure self-affection concept widely refers to the 1929 book by Heidegger on Kanttitled Kant and the Problem of Metaphysics. In this context, the concept of pure self-affection refersalready to repetition as the essential “device” for its production. The question of repetition is in factinseparable from pure self-affection deconstruction. If pure self-affection can work as another name fortemporality, then we have to show the reason for a well established fact : it is just through repetitionthat temporality can be disclosed. In this sense, repetition is already the repetition of the question onbeing (Sein und Zeit), but also the repetition of Kant (Kant and the Problem of Metaphysics). Now, thedetermination of temporality as pure self-affection, through Heidegger's repetition of Kant, supposesthe essential understanding of phenomenological temporality on the basis of Husserl's concept oforiginary impression. In this sense, as leading pure self-affection deconstruction, repetition – before theconstitution of identity – is to be found on the grounds of the originary impression itself.
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La chair, entre immanence et transcendance : lecture du corps chez J.-K. Huysmans et Georges Bernanos

Desmeules-Doan, Virginie 07 1900 (has links)
Le présent mémoire explore la problématique du corps où s’articule la phénoménologie de la chair de Michel Henry et le concept d’angoisse de Kierkegaard par une analyse d’En Route (1895) de J.-K. Huysmans et de Sous le soleil de Satan (1926) de Georges Bernanos. D’ailleurs, le choix de l’écriture romanesque pour « rendre sensible » le mystère de Dieu, lui prêter figure et contours, chair et matière dans des personnages fictifs s’inscrit de plein pied dans la pensée chrétienne de l’Incarnation, puisque le christianisme est justement une religion de l’incarnation des réalités éternelles et absolues dans le relatif et le contingent. D’abord, le cadre théorique d’une philosophie de le la chair conceptualisée dans Incarnation (2000) de Michel Henry nous servira de cadre théorique principal pour penser le rapport qu’entretient le corps avec l’immanence et la transcendance, c’est-à-dire les régimes d’auto-affection et d’hétéro-affection. Ensuite, dans le deuxième chapitre, nous prendrons la mesure de la récupération du concept d’angoisse de Kierkegaard par Henry dans Incarnation. Outre le dialogue entre ces deux philosophes de la subjectivité pathétique, les pensées phénoménologiques respectives de Merleau-Ponty et de Jean- François Lavigne nous permettront de mettre à l’épreuve la thèse principale henryenne d’une immanence absolue. Ce travail s’inscrit au carrefour de la littérature, de la philosophie et de la théologie. / This thesis explores the question of the body, where Michel Henry’s phenomenology of the flesh and Kierkegaard's concept of anxiety are articulated by an analysis of J.K. Huysmans’ En Route (1895) and George Bernanos’ Sous le soleil de Satan (1926). The choice of fiction to render the mystery of God "perceptible"- to give God shape and form, flesh and substance - through fictional characters is fully in line with the Christian belief in the Incarnation, as Christianity is indeed a religion characterized by the incarnation of eternal and absolute realities in the relative and the contingent. The theoretical framework of the philosophy of the flesh conceptualized in Michel Henry’s Incarnation (2000) will serve as our principal theoretical framework for thinking about the relationship that the body maintains with immanence and transcendence; that is to say, the institutions of self-affection and hetero-affection. In the second chapter, we will evaluate Henry’s reclaiming of Kierkegaard's concept of anxiety in Incarnation. In addition to the dialogue between these two philosophers of pathetic subjectivity, the phenomenological thought of Merleau-Ponty and Jean-François Lavigne will allow us to test Henry’s principal thesis of absolute immanence. This research is at the crossroads of literature, philosophy, and theology.

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