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Les déterminants d'une grappe, définis par le modèle de Michael Porter, sont-ils présents dans la région de Montréal? : « cas des entreprises spécialisées en biotechnologie en santé humaine situées dans la région de Montréal »

Ackah Kangah Miezan, Toyo January 2010 (has links) (PDF)
En établissant des plans d'action stratégiques, le Québec établit ses priorités selon des secteurs économiques. La région de Montréal fait partie de cette stratégie et veut imposer sa marque dans le secteur des technologies et de l'innovation. Elle mise donc sur un des secteurs prometteurs de son économie en favorisant le développement du secteur des biotechnologies. Ce mémoire repose sur le modèle élaboré par Porter (1990) dans lequel il expose les déterminants qui favorisent l'émergence et la croissance des grappes et permet à une région ou un pays d'être compétitif sur le plan international. La revue de littérature définit et explique les fondements du concept de grappe. Elle offre aussi différentes visions qui sont soient complémentaires, soient contradictoires à l'approche de Porter (1990). ce qui nous permet de comprendre comment des facteurs de l'environnement interne influence la compétitivité internationale d'un secteur déterminé. Le secteur des biotechnologies dans la région de Montréal touche divers domaines et c'est la santé humaine que notre modèle aura pour objectif d'évaluer. Les hypothèses sont basées sur la présence effective de certains déterminants dans la région de Montréal et sur la relation entre la situation géographique des entreprises et la collaboration existante entre les acteurs du secteur. Afin de recueillir des données nous permettant de confirmer ou d'infirmer ces hypothèses. un questionnaire été élaboré et proposé à la soixantaine d'entreprises spécialisées en biotechnologie en santé humaine que compte la région de Montréal. Les résultats obtenus nous montrent que la majorité des déterminants cités par Porter (1990) sont présents dans la région de Montréal. Il s'agit de la base scientifique, de chercheurs spécialisés, d'institutions de financement spécialisées, de fournisseurs en équipements spécialisées et de l'aide gouvernementale. Toutefois, nous relevons que, contrairement au modèle de référence, la demande et la concurrence ne sont pas développées à l'intérieur de la région de Montréal. L'analyse des relations entre l'utilisation des infrastructures et la situation géographique nous apprend qu'il n'existe pas de relation entre ces deux variables. Nous estimions qu'une analyse objective qui va au delà des concepts théoriques devait être réalisée et nous espérons qu'elle sera utile aux acteurs du secteur des biotechnologies dans la réalisation de leurs activités. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Grappe, Biotechnologie, Santé humaine, Région de Montréal, Organismes sectoriels.
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La disparition des entreprises canadiennes dédiées à la biotechnologie

Moustakbal, Ayoub 10 1900 (has links) (PDF)
Certes la littérature scientifique est très riche en termes de publications abordant la création et la croissance des entreprises de biotechnologie. En revanche les études ayant déjà examiné la disparition de ce genre d'entreprises sont très rares à notre connaissance. Nous avons donc mené la présente étude pour jeter plus de lumière sur le phénomène de la disparition des entreprises dédiées à la biotechnologie (EDB), en se fixant comme objectifs de recherche la distinction entre les différentes formes de disparition ainsi que la détermination des facteurs qui peuvent être à l'origine de ce phénomène. Vu la complexité et l'aspect multidimensionnel de la problématique en question, nous énonçons un nombre considérable d'hypothèses de recherche en se basant sur trois grandes écoles de la pensée théorique, notamment la théorie de l'écologie des populations organisationnelles, les théories institutionnelles ainsi que la théorie des ressources internes. Autrement dit nous faisons appel à une revue de la littérature assez exhaustive pour sélectionner un certain nombre de variables explicatives correspondant aux réalités internes des EDB telles que l'âge, la taille, la présence de dirigeants expérimentés et de chercheurs étoiles, les stratégies de brevetage et l'intensité des activités de R-D ainsi que les alliances stratégiques pour l'exploration et/ou l'exploitation des projets. De plus nous avons retenu d'autres variables explicatives découlant de l'environnement externe des EDB telles que : les conditions macroéconomiques, les crédits d'impôt, l'implantation géographique dans les grandes zones urbaines et le support des sociétés de capital de risque. Pour mettre à l'épreuve les différentes hypothèses de recherche, nous avons mené une étude longitudinale unique suite à laquelle nous avons pu constituer une base de données de plus de 500 EDB ayant été en activité entre 1996 et 2010. Au niveau des résultats empiriques, notre recherche affirme que les formes de disparition des EDB ne se limitent pas à des faillites économiques, mais il y a aussi les transactions des fusions et acquisitions (F&A) qui représentent un pourcentage important. De plus, nos différents tests statistiques révèlent que les facteurs explicatifs varient en fonction de la forme de disparition (les faillites versus les fusions et acquisitions). Ainsi les EDB en faillites se distinguent surtout par la petite taille (moins de 50 employés), par l'absence du support du capital de risque et par le manque des ressources humaines qualifiées, notamment les chercheurs étoiles et les dirigeants expérimentés. Par ailleurs les EDB ayant disparu via les transactions de F&A se caractérisent principalement par la présence du support de capital de risque, par l'implantation géographique dans les grandes métropoles canadiennes (Montréal, Toronto et Vancouver) et par la présence des dirigeants expérimentés dans l'industrie biopharmaceutique et/ou de capital de risque. En dépit de la mise en relief des contributions théoriques, la conclusion de la présente thèse soulève d'autres tentatives d'explication du phénomène de disparition des EDB et propose quelques recommandations en termes de politiques publiques afin de maximiser les retombées socioéconomiques de la biotechnologie canadienne. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : entreprise dédiée à la biotechnologie, faillite, fusion et acquisition, capital de risque, brevet de qualité, alliances stratégiques, scientifiques étoiles.
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La fuite de connaissance comme un risque associé aux alliances et aux collaborations pour les jeunes firmes de biotechnologie

Guedda, Chiraz January 2008 (has links) (PDF)
Les études sur les alliances et sur les entreprises en réseaux font ressortir, d'une part les avantages ultimes qui se rattachent en l'accès aux compétences complémentaires, la capacité de renouveler les ressources et l'innovation continue, et d'autre part les risques que courent les firmes. Dans ce sens, les firmes doivent déterminer les compétences à protéger et celles à partager dans le cadre de la collaboration pour maintenir leur avantage concurrentiel et parfois même leur survie. Le présent travail s'inscrit dans cette perspective et vise à explorer les risques de la collaboration, plus spécifiquement le risque de la fuite de connaissance. Il s'agit alors d'approfondir l'étude sur la conscience des dirigeants quant aux risques de la fuite des connaissances stratégiques et les mesures à prendre pour réduire ces risques. Le choix du secteur de la biotechnologie est guidé par le fait que les firmes de biotechnologie demeurent un bon exemple de celles qui se basent sur des technologies de recherches innovantes et leurs dépenses en R&D sont de plus en plus en hausse. De même, vu les problèmes de financement que rencontrent ces jeunes firmes, ces dernières ne sont pas, toutes et toujours, en mesure de faire des poursuites judiciaires en cas d'appropriation de leurs résultats par les compétiteurs. Pour aboutir à l'objectif de l'étude, la démarche théorique se base sur la présentation de différents concepts pertinents pour l'étude. Les principales théories étudiées sont les alliances, la théorie de ressources et compétences, la théorie de capacités dynamiques, les réseaux organisationnels et l'innovation. Ces différentes théories ont permis de mettre l'accent sur l'importance de la connaissance et les risques que courent les firmes dans le cadre des ententes de coopération. La démarche méthodologique se base sur une étude qualitative de type exploratoire. La méthode de collecte de données, étant les entrevues individuelles semi-dirigées a permis de fournir des résultats pertinents. Ainsi, de l'analyse des résultats, il ressort que la conscience des dirigeants du risque de la fuite de connaissance est influencée par trois principales variables à savoir: la taille de la firme, son expérience et son vécu, et la culture des partenaires. De même, il découle des résultats que l'efficacité de la protection par les brevets est discutable, ainsi que l'apport des organismes d'aide aux firmes de biotechnologie demeure contestable. D'autres mesures de protection et des outils plus stratégiques doivent être pris par les firmes pour réduire le risque de la fuite de connaissance. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Les alliances, Les compétences, Les ressources, La connaissance, Gestion de connaissance, Risque, L'innovation, Entreprises en réseau, Biotechnologie.
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Responsabilité et bio-ingénierie : de la responsabilité sociale des entreprises au problème public

Marchildon, Allison 09 1900 (has links) (PDF)
La présente thèse a pour but de contribuer à une meilleure compréhension de la nature et des conflits sous-jacents aux différences d'attributions de responsabilités en matière de bio-ingénierie, telles que formulées par 39 acteurs sociaux sur le terrain. Pour ce faire, une démarche d'inspiration pragmatiste a été adoptée. Celle-ci s'est déroulée en deux temps. Dans un premier temps, les attributions de responsabilités identifiées sur le terrain ont été confrontées aux théories de la responsabilité sociale des entreprises (RSE), théories actuellement mobilisées dans les milieux académiques lorsqu'il est question de responsabilité en matière d'activité économique. Cette mise en relation a permis d'interpréter une partie des différences d'attributions de responsabilités en matière de bio-ingénierie relevées sur le terrain, c'est-à-dire les différences de contenu de ces responsabilités et les conflits de valeurs et de visions du monde sur lesquelles elles reposent. Mais elle a aussi mené au constat des limites des théories de la RSE pour offrir une interprétation d'une autre part importante de ces attributions, soit les différences quant à la forme de ces responsabilités. Face à ces limites, et toujours dans un esprit pragmatiste, le deuxième temps de cette thèse a consisté à proposer une nouvelle interprétation des observations du terrain. Un cadre d'analyse alternatif a ainsi été construit en vue de fournir une interprétation plus porteuse des différences constatées sur le terrain quant à la forme des responsabilités attribuées en matière de bio-ingénierie, et, de façon corollaire, des conflits qui les sous-tendent. Mobilisant à la fois la sociologie de l'éthique, la philosophie pragmatiste et la sociologie de l'action publique, ce cadre d'analyse a permis de mettre en lumière que les différences d'attributions de responsabilités reposaient aussi sur des différences, voire des conflits de conceptions sociopolitiques entre les acteurs les exprimant. De l'interprétation des résultats du terrain à travers ce cadre d'analyse alternatif a émergé une typologie de sept configurations d'attributions de responsabilités en matière de bio-ingénierie : une responsabilité étatique, une responsabilité naturelle, une responsabilité communautaire, une responsabilité corporatiste, une responsabilité-gouvernance, une responsabilité individuelle de type marchand et une responsabilité scientifique. Mettant en lumière les différentes conceptions sociopolitiques qui sous-tendent les attributions de responsabilités observées sur le terrain, cette typologie a permis une interprétation socio-éthique du « problème public » de la bio-ingénierie. À travers celle-ci, ce sont non seulement les conflits de valeurs et de visions du monde entre les acteurs sociaux interpellés par la bio-ingénierie qui ont pu être éclairés, mais aussi les importants conflits de nature sociopolitiques qui les séparent. Cette interprétation socio-éthique a ainsi permis de constater qu'en s'imposant comme « la » solution au problème public de la bio-ingénierie, la responsabilité sociale des entreprises (RSE), malgré ses apparences progressistes, a contribué à occulter plusieurs visions alternatives de ce problème et de ses solutions, et par conséquent à occulter les importants conflits sociopolitiques qu'elles sous-tendent. Cette interprétation alternative du problème public de la bio-ingénierie a par conséquent permis de constater que devant la pluralité de visions quant à la façon d'envisager ce problème public et ses solutions et l'importance des conflits qu'elles sous-tendent, l'imposition d'« une » vision ou d'« une » solution à ce problème public s'avère difficilement justifiable. L'analyse menée dans la présente thèse renvoie au contraire à la nécessité de penser les « problèmes publics » comme celui de la bio-ingénierie aux niveaux à la fois éthique et politique. Et plutôt que de tendre à surmonter, voire occulter, les conflits qui traversent l'espace social à la recherche d'une solution consensuelle ou d'un compromis favorisant une relative paix sociale, cette avenue doit contribuer à mettre en lumière et à comprendre ces conflits, ouvrant ainsi la voie à un approfondissement démocratique considérable. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Responsabilité, responsabilité sociale des entreprises (RSE), bio-ingénierie (OGM), éthique, sociologie, pragmatisme.
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Secrets et vulnérabilité : le rôle des ententes de confidentialité : une étude exploratoire des entreprises de la biotechnologie

Komah, Fatoumata 09 1900 (has links) (PDF)
Les entreprises sont vulnérables lorsqu'elles cherchent à développer des relations inter-organisationnelles, notamment lors des phases de sélection des partenaires et de négociation des accords de R&D. Lors des phases de pré-formation de l'alliance, les entreprises sont amenées à échanger des informations confidentielles et elles signent alors des ententes de confidentialité qui apparaissent à la fois comme des mécanismes de réduction de l'incertitude, mais aussi comme des indicateurs de vulnérabilité. L'objectif de cette recherche est de comprendre dans quelle mesure une entreprise est vulnérable face aux problèmes que soulève la protection des informations confidentielles et des secrets commerciaux. En d'autres termes, quels sont les facteurs qui accroissent la vulnérabilité de l'entreprise au regard des problèmes de secret et de confidentialité et quelles en sont les conséquences? La démarche adoptée est qualitative et inductive. Des entretiens ont été menés auprès de dirigeants d'entreprise de biotechnologie en vue d'analyser et de comprendre le rôle et les conséquences des ententes de confidentialité. Ces entretiens ont été analysés à partir de la méthode de la cartographie cognitive. Ces analyses ont conduit à émettre des propositions. Nos résultats suggèrent que certains facteurs accroissent la vulnérabilité de l'entreprise, en l'occurrence : (1) une entreprise serait d'autant plus vulnérable lorsqu'elle signe un nombre important d'entente de confidentialité, (2) une entreprise serait d'autant plus vulnérable que sa technologie n'ait pas attrayante, (3) une entreprise serait vulnérable lorsque son pouvoir de négociation (au regard de sa situation financière, par exemple) est faible et (4) une entreprise serait d'autant plus vulnérable que le partenaire est un concurrent. Il serait important également de rajouter que la vulnérabilité liée à la signature des ententes de confidentialité favorise la réduction du délai d'innovation et accentue la course aux brevets. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : secret commercial, brevet, alliance en R&D, entente de confidentialité, phase de sélection du partenaire, phase de négociation, innovation

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