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L'infini en poids, nombre et mesure : la comparaison des incomparables dans l'œuvre de Blaise Pascal / Infinity in weight, number and measure : the comparison of incomparables in the works of Blaise Pascal

Figueiredo Nobre Cortese, João 30 October 2017 (has links)
Ce travail montre l'unité de l'œuvre de Pascal dans ce qui concerne la « comparabilité des incomparables » : la comparaison, langagière ou mathématique, qui se fait entre des choses qui ne pourraient pas en principe être rapprochées. Il s'agit de faire une approche historique et linguistique pour poser des questions philosophiques par rapport à la comparaison, notamment sur le rôle de principe que l'infini y joue selon Pascal. Nous identifions la comparaison des incomparables sous trois formes.La première partie de ce travail est consacrée à formuler une forme rhétorique d'analogie que nous nommons l'« analogie de disproportion » (nous inspirant de Secretan 1998). Si l'analogie est généralement dite faire une comparaison entre deux rapports, chacun desquels existe entre des choses homogènes, l'analogie de disproportion permet en revanche de montrer une ressemblance entre des rapports d'hétérogénéité, entre des disproportions ou entre des distances infinies: deux choses sont aussi différentes entre elles que deux autres. Pascal étant un auteur qui souligne surtout les disproportions, nous montrons qu'il compare ces disproportions, notamment pour délimiter à l'homme ce qu'il ne peut pas connaître parfaitement.La deuxième partie analyse la pratique mathématique de Pascal « en poids, nombre et mesure » : il s'agit de montrer que dans la méthode des indivisibles des Lettres de A. Dettonville, dans le Traité du triangle arithmétique et dans la comparaison du courbe et du droit, toujours l'infini (ou plutôt l'indéfini) intervient comme un facteur qui permet la comparabilité de ce qui semblait être incomparable. La troisième partie fait une discussion proprement philosophique sur l'infiniment petit et l'infiniment grand, prenant en compte la pratique mathématique de Pascal analysée dans la deuxième partie. Il est question de discuter sur la nature des « indivisibles », des « différences » et des « distances infinies ». Nous proposons que l'« infini » dans la pratique mathématique de Pascal relève plutôt de l'« indéfini », reliant cela à une distinction entre le sens absolu et le sens relatif des mots. Une exception dans la pratique mathématique de Pascal est la géométrie projective, où il faut accepter des éléments à distance infinie. La « rencontre » des deux infinis, finalement, permet de montrer la réciprocité de l'infini de grandeur et de l'infini de petitesse. Une discussion est faite à ce propos, reliant la proportion inverse entre les deux infinis à la grandeur et la petitesse de l'homme et au caractère paradoxal de certaines vérités selon Pascal, lesquelles sont résolues dans la personne du Christ. On conclut que Pascal propose non pas une connaissance directe de l'infini, mais plutôt une approche à la relation que l'homme, être fini, possède avec l'infini / This thesis shows the unity of Pascal's work in what concerns the "comparability of incomparables'': the comparison, either in mathematics our natural language, between things which could not in principle be brought together. The approach is both a historical and a linguistic one, and it aims to recovery some important questions regarding the philosophical nature of comparisons, more specifically, the role of the infinite in Pascal's thought. The comparison of incomparables may be identified in three different formsIn the first part, we formulate a rhetorical form of analogy that we call an "analogy of disproportion'' (inspired by Secretan 1998). If the analogy is generally said to make a comparison between two relations, each of which exists between homogeneous things, the analogy of disproportion, on the other hand, shows a resemblance between relations of heterogeneity, between disproportions or between infinite distances: two things may be as different from each other as any two other things. Even if disproportions are a central theme to Pascal, he did not shy away of comparing such disproportions -- in particular to delimit what man cannot know perfectly.The second part analyzes the mathematical practice of Pascal "in weight, number and measure'': it is necessary to show that in the method of indivisibles of the Lettres de A. Dettonville, in the Traité du Triangle Arithmétique and in the comparison of the curved and the straight lines, always the infinite (or rather the indefinite) intervenes as a factor that allows the comparability of what would seem to be incomparable. The third part makes a philosophical discussion on the infinitely small and the infinitely large, taking into account Pascal's mathematical practice, which was analyzed in the second part. We discuss the nature of "indivisibles'', "differences'' and "infinite distances''. We suggest that the "infinite'' in Pascal's mathematical practice is rather an "indefinite'', linking it to a distinction between the absolute and the relative meaning of words. An exception in Pascal's mathematical practice is his projective geometry, where it is necessary to accept elements at an infinite distance. The "encounter'' of the two infinites makes it possible to show the reciprocity of the infinity of greatness and the infinity of smallness. Finally, we analyze the inverse proportionality between the two infinites with regard to the greatness and the wretchedness of man and to the paradoxical nature of certain truths according to Pascal, which are concealed in the person of the Christ. The conclusion is that Pascal arrives not at a direct knowledge of the infinite, but to an approach to the relation that man, a finite being, has with the infinite
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L'abêtissement chez Pascal

Darveau-St-Pierre, Vincent 08 1900 (has links)
Ce mémoire a pour objectif de préciser le sens du verbe « abêtir » dans les Pensées de Blaise Pascal. Le sort ayant voulu que l’Apologie de la religion chrétienne demeure à jamais inachevée, le philosophe a emporté un secret épineux dans sa tombe : Qu’a-t-il bien pu vouloir signifier en écrivant que le remède à l’incroyance – répéter les gestes et les paroles liés au culte chrétien – abêtit ? Nous montrons à titre préliminaire que s’abêtir signifie devenir-bête, et que ce changement d’état entretient des liens étroits, tant par le contexte de son énonciation que par son champ lexical, avec le « discours de la Machine » et la notion d’« automate ». Notre analyse permet d’inférer que d’un point de vue strictement formel, s’abêtir renvoie à la préparation des habitudes humaines en vue de la foi. Nous montrons dans les chapitres suivants que le vocabulaire de la Machine/automate/bête est susceptible d’éclaircir trois dimensions de cette préparation. En distinguant les perspectives psycho-physiologique, morale et gnoséologique sur le problème de la conversion religieuse, nous montrons que l’abêtissement peut renvoyer simultanément 1) à l’acquisition d’habitudes corporelles et intellectuelles qui conduisent à la foi ; 2) au renforcement de la vertu d’humilité contre l’orgueil hérité du péché originel et qui fait obstacle à la croyance ; 3) et à l’acquisition passive d’une panoplie de connaissances factuelles tirées des Écritures et de l’histoire, nécessaires à une bonne entente des preuves de la vérité du christianisme. Chacune de ces perspectives fait l’objet d’un chapitre. / This Master’s thesis aims to clarify the meaning of “s’abêtir” in Blaise Pascal’s Pensées. As the Apologie de la religion chrétienne was left unfinished, the French philosopher took his secret to the grave: What did he mean by the idea that the cure for unbelief – repeating actions and words related to Christian worship – results in “s’abêtir” ? I argue that “s’abêtir” means becoming-beast, and that the context in which the notion is uttered as well as the lexical field it covers relate to the “discours de la Machine” and the notion of “automate”. My analysis allows me to say that, formally, “s'abêtir” refers to the preparation of human habits to faith. In the following chapters, I show that the vocabulary of Machine/automate/bête is likely to clarify three dimensions for such a preparation. Depending on the position we adopt with respect to the problem of belief, that is, from a psycho-physiological, moral or epistemological perspective, “s’abêtir” can simultaneously mean 1) acquiring corporeal and intellectual habits that lead to faith ; 2) strengthening the virtue of humility against pride, inherited from original sin ; 3) passively acquiring a range of factual knowledge from Scripture and history necessary to understand the evidence of the truth of Christianity. Each one of these perspectives is the topic of one of the successive chapters of this thesis.
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O MAL NA LITERATURA MACHADIANA: UMA LEITURA TEOLÓGICA E FILOSÓFICA DA OBRA QUINCAS BORBA, DE MACHADO DE ASSIS / Evilin the machadean literature: a theological and philosophical Reading of Quincas Borba book, by Machado de Assis

Fuchigami, Ivna Maia 24 February 2014 (has links)
Made available in DSpace on 2016-08-03T12:19:33Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Ivna 2014docx.pdf: 727686 bytes, checksum: a425a1fcb71cc2b58960eb09fefef5d7 (MD5) Previous issue date: 2014-02-24 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / The present research conducts a study about evil based on the book Quincas Borba, by Machado de Assis, under the theological and philosophical viewpoint as the subject has raised several questions in both fields of knowledge. At one time, we intend to indicate that it is possible that a literary work may inspire a theological and philosophical thought without being necessary to prove the religious faith or to unveil a philosophical theory established by the writer. For that purpose, we suggest as authors the theologians Andrés Torres Queiruga, Juan Antonio Estrada, and Ivone Gebara, as well as the philosophers Paul Ric ur, Blaise Pascal and Arthur Schopenhauer. At the same time, we emphasize the Book of Ecclesiastes, of which the carioca writer was a constant reader. Therefore we aim at highlighting and understanding more deeply in the above mentioned book the presence of evil in its most varied aspects in human relations. / A presente pesquisa apresenta um estudo sobre o mal a partir da leitura da obra Quincas Borba, de Machado de Assis, tendo como referência um viés da teologia e da filosofia uma vez que este problema historicamente suscitou questionamentos em ambos os campos do conhecimento. Concomitantemente, pretendemos apontar para a possibilidade de uma obra literária fazer surgir uma reflexão teológica e filosófica, sem contanto, ser necessário provar a religiosidade do escritor ou desvelar uma doutrina filosófica criada pelo mesmo. Para tanto, propomos como autores de base os teólogos Andrés Torres Queiruga, Juan Antonio Estrada, e a teóloga Ivone Gebara, e os filósofos Paul Ric ur, Blaise Pascal e Arthur Schopenhauer. Ao mesmo tempo, damos uma relevância ao livro do Eclesiastes, do qual o escritor carioca era leitor assíduo. Com isso, pretendemos evidenciar e compreender mais profundamente na já mencionada obra machadiana a presença do mal em suas mais facetadas manifestações nas relações humanas.

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