Thesis (Ed.D.)--Liberty University, 2010. / Includes bibliographical references.

Thesis (Ed.D.)--Liberty University, 2010. / Includes bibliographical references.

Attrition rates among applied music students accelerate as young people progress through adolescence. Once disengaged from music participation in the teenage years, disinterest tends to persist throughout adulthood. The aim of this qualitative study was to investigate the teaching practices of applied music teachers as they worked with teenagers at a talent development level referred to as second phase (Bloom, 1985), which is typically reached in adolescence. The study investigated teaching and learning behaviors in the lessons, teachers’ management of para-instructional decisions (such as monitoring students’ progress and recommending students for collegiate-level study), and teachers’ strategies for influencing, motivating, and nurturing students. Purposeful sampling was used to recruit six classical guitar, harp, and piano teachers. Data collected from music lesson observations, semi-structured interviews, and documents were analyzed typologically for occurrences of predetermined categories of instructional behaviors and inductively for emergent themes. The study revealed several findings. Verbal directives and questions, positive approbations, and playing models dominated the teachers’ behavior. The teachers accommodated individual learning styles and empowered their students by providing them with decision-making opportunities. The teachers’ pedagogies were systematic and goal driven, with refined tone and strategies for lifelong music making among the pedagogical foci. Musical analysis was integral to the teaching, as it served to deepen students’ intellectual understanding of the music and support their memorization during performances. The teachers prescribed exact practice routines, which most of them provided in written form. The findings suggest that in light of the voluntary nature of applied music study in adolescence and the many activities competing for students’ time, a chief concern of the teachers was to influence and motivate their students to continue their participation in music lessons. The teachers accomplished this by utilizing six categories of teaching strategies, some of which could involve decisions contrary to their own musical preferences and pedagogical inclinations. The strategies’ synergy maximized the facilitation of positive student experiences, particularly those associated with public performance. These experiences seemed to fulfill students’ drive for independence, satisfy their need for recognition, and boosted their motivation to work towards achieving higher proficiency levels. / 2024-03-31T00:00:00Z

This study describes the developmental movement of kindergarten children from oral language toward written communication. The study describes and documents evidence of a sample of kindergarten children as they interact with print concepts in a kindergarten environment. The subjects were thirty kindergarten students randomly selected from three specific kindergartens identified as implementing the Key Vocabulary approach of Sylvia Ashton-Warner. The classrooms were public school kindergartens located in a suburban area of North Central Texas. From the findings several conclusions can be drawn. The learning of kindergarten children can be documented and a profile of that learning can be developed that will have possible future use in the learning career of the child. Kindergarten children may perceive the reading of a story to the group differently from the teacher. The perception of the process of writing by kindergarten children may be different from that of adults. There was evidence of children's writing in their movement from oral language toward print.

The problem of this study was to investigate the effect of an in-service program utilizing Benjamin S. Bloom (Ed.) and others' Taxonomy of Educational Objectives, Handbook I: Cognitive Domain (Bloom's Taxonomy) on (1) the self-concept of experienced secondary English teachers and social studies teachers, (2) the cognitive level of test items on teacher-made examinations, and (3) the attitude changes toward school subjects as rated b students.

Le but de cette étude a été de vérifier la relation entre le concept de soi scolaire et la pédagogie pour la maîtrise de l'apprentissage (PMA). Si la recension des écrits a dénombré plusieurs études s'attardant aux conséquences cognitives du modèle PMA, elle a aussi confirmé le nombre très restreint de celles qui se sont intéressées â ses conséquences affectives. Leurs résultats d'ailleurs limités ont encouragé à entreprendre cette recherche. Le modèle PMA ne donnant pas d'explication du concept de soi c'est le béhaviorisme social de Staats qui fut choisi en tant que cadre théorique. Ce dernier présente le concept de soi comme un répertoire d'étiquettes verbales auto-descriptives réparties en sous-catégories, dont celle du concept de soi négatif et réaliste retenue comme variable dépendante. L'hypothèse qu'il y a une relation entre le fait d'appartenir au groupe expérimental, bénéficiant de la PMA et l'augmentation des scores au post-test sur le concept de soi scolaire spécifique a été adoptée. Une intervention PMA en français d'une durée de six semaines fut ensuite planifiée. Les élèves (N = 367) de première secondaire étaient répartis dans 16 classes régulières, hétérogènes, sous la responsabilité de quatre enseignants volontaires, de formation et de compétence jugées équivalentes. Ces élèves formaient deux groupes de huit classes dont un groupe expérimental et un groupe de contrôle soumis au devis prétest/post-test. Un échantillon extrême (n = 65) sur la base des scores faibles au prétest fut sélectionné. Ces sujets devaient manifester également une réussite plutôt faible en français d'après le rendement global de l'année précédente dans cette matière afin d'attester, comme le stipulait le cadre théorique, le caractère réaliste de leur concept de soi scolaire peu positif en français. Les élèves du groupe expérimental (n = 25) fréquentaient les huit classes appliquant les six composantes qui définissent la PMA (variable indépendante) et les élèves du groupe de contrôle (n = 4 0) fréquentaient les huit classes qui recevaient l'enseignement collectif habituel. Le questionnaire Self Concept of Academic Ability de Brookover et al. (1962) fut utilisé pour mesurer la variable dépendante. Les problèmes posés par l'emploi d'un devis classique en psychologie et en éducation pour la mesure du changement ont conduit à une approche relativement nouvelle pour l'analyse des résultats qui s'est inspirée de Tukey (1977) et de Valiquette (1981). Les techniques d'analyse de la variance et de la covariance de même que de la régression multiple ne s'appliquant pas aux données recueillies, l'effet de traitement fut confirmé au moyen de la corrélation semi-partielle qui fut estimée â .40 (p<.01) expliquant environ 16% de la variance commune. Une correction pour l'atténuation de la corrélation fut envisagée mais certaines considérations algébriques et psychologiques, liées aux caractéristiques de l'échantillon, en limitaient l'application. Il a cependant été possible d'affirmer que .40 est la limite inférieure du coefficient de corrélation sans pouvoir se prononcer catégoriquement sur sa limite supérieure. Cette recherche a donc permis d'établir qu'il existe une relation entre la PMA et le concept de soi scolaire. Son originalité réside dans le fait qu'il s'agit de la première analyse béhavioriste sociale du concept de soi scolaire et de la première association entre ce cadre théorique et la pédagogie pour la maîtrise de l'apprentissage. Ce projet paraît être également, au Québec du moins, le premier essai de la PMA de Bloom au secondaire, en français langue maternelle. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2015