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Des faubourgs de Bruxelles aux boulevards de Verviers: conditions et jalons itinéraires d'un voyer - Victor Besme - au XIXe siècle

d'Huart, Thierry 11 June 2014 (has links)
Faubourgs de Bruxelles. Boulevards de Verviers. Quelle(s) réalité(s) ?Quelle(s) relation(s) ?<p>Pour les deux villes industrielles, le XIXe siècle a notamment été celui de l’expansion urbaine, au-delà des limites séculaires. Ce développement s’est matérialisé par des nouvelles voies de communication et des nouvelles bâtisses, dont les autorités publiques ont vu la nécessité de planifier l’organisation. Elles ont alors mis en place les moyens législatifs, humains et financiers pour maîtriser cette extension.<p>En partant de la fonction administrative appelée « inspecteur voyer des faubourgs de Bruxelles », une première partie de l’étude montre qu’à Bruxelles, capitale de la jeune Belgique, le service, le territoire, la mission de cet agent public, constituent une réelle particularité dans l’appareil administratif de la Province de Brabant. <p>En s’intéressant à l’évolution de cette fonction depuis son institution jusqu’à sa suppression, on découvre, non seulement un renforcement de cette originalité, mais on trouve aussi les rôle(s) et influence(s) qu’ont pu avoir les titulaires successifs. Parmi ceux-ci, il en est un qui a œuvré sur une longue période, de 1858 à 1904 :c’est Victor Besme. Il est bien connu des urbanistes comme auteur d’un plan d’ensemble qui a structuré le tissu urbain de la première couronne bruxelloise. Il est moins connu comme « électron libre » du « système voyer » qui s’est installé et confirmé dans la seconde moitié du XIXe siècle. Il est quasi inconnu comme ayant contribué à l’agrandissement de Verviers, à son « âge d’or ».<p>La notoriété acquise par l’inspecteur Besme à Bruxelles a conduit les autorités verviétoises à faire appel à ses services pour débloquer une situation devenue inextricable dans la cité lainière. En peu de temps, son analyse et le projet qu’il dépose font taire les dissensions et ouvrent la voie à la réalisation des rues d’un premier quartier, celui de l’Immobilière. Les relations qu’il noue à Verviers, la connaissance qu’il a des arcanes administratifs belges, permettent à Besme de déployer ses compétences également dans d’autres quartiers (Hanlet-Peltzer, Ile Adam) et de porter plusieurs casquettes, le plaçant parfois en équilibre entre la défense de l’intérêt général et celle de l’intérêt particulier, si pas de son intérêt personnel. C’est ainsi que le dossier des tramways verviétois fait en quelque sorte la synthèse de ces multiples postures.<p>Au final, on aura découvert deux villes différentes mais néanmoins comparables et même à rapprocher à certains égards, notamment pour ce qui est des préoccupations publiques de l’époque (assainissement, communication, extension). En examinant plus attentivement les éléments factuels, on aura appris à mieux connaître un homme multi-facettes, un « célèbre inconnu », dont l’itinéraire dans ces deux villes nous instruit sur la complexité qui se cache derrière des raccourcis. On aura aussi confirmé combien les mises en contexte, les liens et enchaînements, combien les particularités et les influences sont importants à étudier en urbanisme (et en architecture) car ils révèlent non seulement les lieux et les faits, mais font apparaître les systèmes, les structures et donnent un éclairage aux hommes qui les établissent, les occupent et les manœuvrent. / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme / Une publication de la seconde partie de la thèse a été faite en 2016 par le Comité Scientifique d'Histoire de Verviers sous la référence suivante: D’HUART Th. Victor Besme et les extensions de Verviers sous Léopold II :genèse d’un patrimoine urbain, Comité scientifique d’histoire de Verviers (CSHV), Verviers, Mars 2016, 444p. / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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De la définition du lieu théâtral populaire : spectacles de boulevard et police dans la seconde moitié du XVIIIe siècle à Paris

Turcot, Laurent 25 April 2018 (has links)
À l'aide des archives de police des commissaires du Châtelet de Paris, nous avons posé notre regard sur les théâtres de boulevard de la seconde moitié du XVIIIe siècle à Paris. Plutôt que de considérer ces établissements comme des lieux de contestations, la notion de « spécificité théâtrale » a servi à comprendre comment ces théâtres vont peu à peu passer d'une fonction de lieux de passage à celle d'institution théâtrale. Cette transformation est perceptible par les trois acteurs sociaux qui prennent place dans ce type de théâtre, à savoir la police, les artisans de la scène et les spectateurs. Ces personnages permettent d'évaluer ce que nous avons appelé des facteurs de définition du lieu théâtral. En analysant les rapports que ces acteurs sociaux entretiennent avec l'espace théâtral et entre eux, on peut déterminer trois facteurs qui permettent d'affirmer que le lieu théâtral est de plus en plus défini au XVIIT siècle. Dans un premier temps, la police, en affirmant une présence plus constante au fil des ans, permet de comprendre les mécanismes de contrôle social qui prennent place autour du lieu théâtral. Dans un deuxième temps, les relations entretenues entre le directeur et ses acteurs permettent d'affirmer qu'il se dessine un rapport employeur-employé entre ces individus. En agissant de la sorte, les artisans de la scène vont mettre en place une réglementation propre à l'établissement théâtral. Finalement, les agissements des spectateurs, en relation de plus en plus étroite avec l'événement théâtral, démontrent la formation d'une conception de la salle de spectacle qui est détachée de la rue. Cette idée est démontrée par la nature de la délinquance qui se rapporte de plus en plus à la représentation théâtrale au fil des ans. Ainsi donc, ces trois facteurs de définition permettent de mettre en place de nouvelles relations entre les acteurs sociaux. La nature de ces relations définit le lieu théâtral et le consacre comme un établissement détaché de la rue. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014

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