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La parole parlée dans l'oeuvre de Jacques Brault 1954-1965 /

Gadbois, Pauline January 1990 (has links)
Often designated as "le poete de la parole parlee", Jacques Brault, author of a substantial and rigourous work dealing with poetry, language, writing and art, is one of the most significant modern writers of Quebec. In our literature, rare are the figurative expressions inventing their own trajectory and rarer still is the emblematic used to evoke simultaneously the essence of a generation, a work, a writer, a style. The expression "la parole parlee" says it all. / This figure of speech, intimately linked to though and writing, has progressed from a rhetorical to a living expression throughout the eleven years on which our study focuses. In the analysis of this period, "la parole parlee" stands out as the obscure leitmotiv which favours a dialogue between the critical and the creative in the act of writing. Finding its own way, the work discovers a refrangible and versatile universe and the unique voice of Jacques Brault.
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La parole parlée dans l'oeuvre de Jacques Brault 1954-1965 /

Gadbois, Pauline January 1990 (has links)
No description available.
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De la fiction de soi à l'oubli de soi : stratégies de l'essai contemporain chez Roland Barthes, Milan Kundera et Jacques Brault

Riendeau, Pascal January 2000 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Seuils et effacements dans les essais de Jacques Brault

Bernier, Frédérique January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'analyse des personnages dans la poésie de Jacques Brault

Bouvier, Luc. 10 May 2024 (has links)
L'analyse des personnages dans la poésie de Jacques Brault, soit dans Mémoire, la Poésie ce matin, Poèmes des quatre côtés et 11 En dessous l'admirable vise à retrouver la structure "profonde" de l'ensemble de l'œuvre. L'utilisation du système quinaire permet de rétablir la logique du récit de "je", le principal personnage. Puisque l'auteur code, sur l'axe paradigmatique, les grandes séquences narratives, soit les séquences nuit, naissance, vie, mort et jour, à l'aide de thèmes, d'images, de symboles, de mouvements, etc. le décodage fait apparaître les trois grandes étapes de l'itinéraire de "je" » "Le voyage dans le jour", le premier chapitre, décrit le cheminement de "je", de l'origine de l'univers au soir de la journée. Ayant connu dans l'enfance du monde un moment de plénitude que sa naissance, au printemps, a détruit, "je" le recrée dans son enfance. Mais la disjonction d'avec l'autre, père, frère, amis, mère et tout spécialement femme, qui marque son arrivée à la vie réelle, alors qu'enfance, été et matin s'évanouissent, entraîne sa désidentification. Aliéné, dépossédé, seul, hors du temps et sans lieu, "je" parcourt les rues de la ville dans une totale inconscience. Sa difficulté à être et à vivre lui fait souhaiter la rencontre de "tu" qui serait source de guérison, de désaliénation. Grâce à l'autre, "je" s'adjugerait une identité; un temps et un espace nouveaux se feraient jour. Au soir tombant, à l'automne déclinant, il entrevoit la possibilité de concrétiser cette rencontre, s'il accepte de quitter l'ici pour !'ailleurs, pour l'en dessous. [Alors que "je" poursuit son chemin, le "nous" collectif attend. Etre stationnaire, en suspens entre le jour et la nuit, entre l'automne et l'hiver, il refuse de mourir tout autant que de vivre; il espère que l'utopie, son mirage, devienne réalité.]"Le voyage dans la nuit", le deuxième chapitre, retrace le trajet de "je", du soir qui tombe à l'aube. Sur le coin de rue où il s'est arrêté, "je" hésite entre continuer sa marche dans l'en dessus, soit probablement mourir, et descendre vers l'en bas, et peut-être vivre. Il choisit finalement de se laisser couler dans l'en dessous, d'autant plus qu'à son appel l'hiver est enfin arrivé et qu'un son ou une lumière, provenant de l'en bas, lui confirme la promesse d'une vie possible. Mais les sirènes des "puissances trompeuses" que sont le sommeil, le rêve et l'oubli l'assaillent et l'incitent à succomber à son désir, à faire perdurer inconscience, névrose et aliénation, propres au jour. La plupart du temps, il évite le piège tendu et préfère se risquer consciemment dans les chemins de 1'ailleurs, là où s'opère sa transformation. Tous les recueils de Jacques Brault, chacun à sa manière, illustrent la transformation de "je", qui, perdu à travers le temps, découvre l'autre, son lieu futur, son centre. L'espace ainsi délimité, le temps peut s'arrêter et l'instant, naître. C'est pourquoi "je" en "Vivre", le troisième chapitre, présente le parcours de "je", appelle à l'en haut pour revenir de l'en bas. de l'aube à la chute du matin, du printemps à la fin de l'été. Les naissances respectives du soleil, de "je" et de "tu", qui s'engendrent l'une l'autre, créent l'instant parfait. A "je" échoient un temps et un espace enfin siens, qui lui permettent d'atteindre une verticalité et une transcendance, donc de guérir sa névrose, de se désaliéner et de s'octroyer une identité. Malheureusement, l'instant ne dure pas; la scission de "je" d'avec "tu" se répète chaque fois que le matin tombe et qu'il laisse la place au jour. "Je" recommence alors le même itinéraire. A chaque journée, il explore à nouveau l'envers et l'endroit, la vie et la mort, afin de connaître encore une fois et toujours la plénitude de l'instant.
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L'image et le chemin : Il n'y a plus de chemin : genèse d'une transécriture ; suivi de L'imaginant imaginé : réflexion autour de l'image transécrite

Roy, Katy 11 April 2018 (has links)
Le cinéma constitue un langage qui témoigne du réel et de l'imaginaire. Et l'image est une forme d'écriture de ce langage. L'expérience qui sera ici relatée est celle de la genèse d'une transécriture cinématographique du recueil de poésie II n'y a plus de chemin, de Jacques Brault. Par ce processus de transécriture, les images mentales générées par la lecture deviennent images cinématographiques et témoignent d'une nouvelle forme d'écriture des poèmes. La transécriture ne s'effectue cependant pas uniquement par la réalisation d'images cinématographiques. Chaque lecteur, tout comme chaque spectateur, est aussi transécrivain. Utilisant les fragments d'images proposées par le poème et comblant les vides de l'univers décrit, le lecteur imagine le poème, crée des images mentales, réalisant pour lui-même un film intérieur. Par conséquent, plus il s'engage dans cette aventure, plus il se voit forcé d'adopter le parcours intrinsèque des images qui le manipulent.
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Négativité et dynamique du sujet lyrique dans la poésie de Jacques Brault, de Michel Beaulieu et d'Hélène Dorion

Gagnon, Evelyne 10 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse porte sur la négativité dynamique du sujet lyrique dans la poésie de Jacques Brault, de Michel Beaulieu et d'Hélène Dorion. Les travaux récents sur le sujet lyrique, l'énonciation poétique et le lyrisme contemporain constituent la pierre d'assise de cette étude. Le sujet lyrique, depuis la modernité européenne, se donne à lire à travers divers glissements pronominaux et postures énonciatives mouvantes. Les théories de la poétique des œuvres comme forme-sens et du rythme (Henri Meschonnic) complètent la conception du sujet d'énonciation poétique qui sera ici utilisée. Or, Jean-Michel Maulpoix a montré comment le lyrisme contemporain se fonde sur un rapport à une transcendance perdue, dépassant les anciennes considérations formelles qui alliaient systématiquement la lyre au chant emphatique et à la musicalité. Cette défaite (ou cette inquiétude) favorise de nouvelles formes d'énonciation aux registres discordants, qui n'excluent pas - bien qu'on refuse désormais de déifier la poésie - une nostalgie du Chant et de l'élévation. Car le lyrisme critique européen s'élabore à partir d'une forte tradition, une riche histoire des formes lyriques. Nous croyons que cela se présente différemment chez les auteurs québécois qui tirent de leur tradition défaillante une inventivité certaine, sous-tendue par ailleurs par un discours critique sur la pauvreté essentielle. Si Saint-Denys Garneau découvre l'écriture, dans les années 1930, à l'ombre d'une tradition poétique quasi désertique, Jacques Brault, Michel Beaulieu et Hélène Dorion écrivent, pour leur part, à la suite de Garneau ou de Miron - et devant une tradition, certes - mais en ayant pour horizon cette valorisation de la pauvreté. Pauvreté du sujet, de sa langue, qui sont donnés d'emblée comme manquants ou manqués, déterminés par une négativité fondamentale. C'est pourquoi on s'attachera ici à définir le concept de négativité dynamique qui, sur le plan littéraire, devient une véritable force structurante et un facteur de relance de l'entreprise poétique. La négativité relève de cette propension à définir le sujet et le monde sur le mode du manque, de la souffrance, de la perte. Dépassant les considérations strictement thématiques, ces œuvres poétiques explorent la pauvreté, les failles, la difficulté, le dénuement, pour y trouver cependant leur inventivité, leur élan, leur espace de jeu. Cela détermine la construction des représentations, le choix des motifs et figures, le travail de la forme ainsi que l'organisation de l'énonciation. On s'intéressera de fait au lieu d'énonciation ainsi qu'à l'énonciation des lieux qui architecturent ces poétiques. Dans la poésie de Jacques Brault, une subjectivité clocharde se met en jeu au sein d'une poétique de la pauvreté volontaire. Cette poétique s'accorde à une motion incessante : avancer en pauvreté. Du côté de Michel Beaulieu, on retrouve une subjectivité-kaléidoscope qui perpétue, à même son souffle haletant, une poétique de la déchéance tranquille, alors que son mouvement dynamique consiste à tresser dans l'ouverture. Chez Hélène Dorion, on observe une subjectivité-toile. Tributaire d'une discordance fertile, cette écriture construit une poétique de la faille et du lien, traçant les intervalles entre les choses et les êtres, cherchant ce qui permettra de sillonner la spirale qui se déploie graduellement dans l'Univers. Ces trois œuvres accompagnent l'évolution de la poésie québécoise de la poésie du pays, aux avant-gardes des années 1970 jusqu'à l'intimisme des années 1980 à aujourd'hui. Leur relecture permettra de mieux comprendre les fondements du lyrisme, au Québec, un lyrisme critique, mais aux tonalités familières, axé sur la sobriété. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Jacques Brault, Michel Beaulieu, Hélène Dorion, Poésie québécoise, Sujet lyrjque, Négativité, Lyrisme contemporain.
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Le bruit des chaînes : recueil de poèmes ; suivi de La poésie de Jean-Noël Pontbriand comme lieu métaphorique de transcendance du langage plus paticulièrement dans Lieux-passages

Lapitre, Huguette Éna. 23 April 2018 (has links)
Ce travail est composé de deux parties : une partie création et une partie essai réflexif. La première comprend un recueil de poèmes intitulé Le bruit des chaînes reflétant un imaginaire féminin. Les thèmes de la négritude, de l’esclavage, de la misère, de l’amour et de la spiritualité s’y trouvent convoqués pour illustrer la quête d’un sujet révolté et résigné en marche vers lui-même. Ces principaux thèmes se veulent gestes de signifiance infinie et persistance du phénomène de transcendance métaphorique du langage. L’essai réflexif intitulé La poésie de Jean-Noël Ponbriand comme lieu de transcendance du langage, plus particulièrement dans Lieux-passages, traite du phénomène de transcendance en deux temps. Nous considérons, dans un premier temps, ce phénomène transcendantal par rapport au langage de Lieux-passages de Jean-Noël Pontbriand, avant de faire des incursions dans les recueils des trois poètes suivants : Rina Lasnier, Présence de l ’absence et Les signes, Gaston Miron, L ’homme rapaillé et Jacques Brault, Il n ’y a plus de chemin. Nous montrons comment la transcendance apparaît dans le poème et s’inscrit dans les mots et, plus particulièrement, dans les expressions métaphoriques

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