• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 5
  • 1
  • Tagged with
  • 6
  • 4
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

La constitution de la scotticité dans l'oeuvre de Walter Scott, James Hogg et Robert Louis Stevenson / The Constitution of Otherness in the Novels of Walter Scott, James Hogg and Robert Louis Stevenson

Besson, Cyril 26 November 2011 (has links)
L'œuvre de Walter Scott (1771–1832), James Hogg (1770–1835) et Robert Louis Stevenson (1850–1894) est traversée par une tension qui dénaturalise l'Écosse historique et politique pour la recréer en fiction, posant la scotticité comme une construction problématique qui appelle sans cesse de nouvelles définitions, afin d'en retrouver le sens ou d'en faire son domaine à soi. La figuration des enjeux nationaux se fait à travers le thème des diverses rébellions jacobites au cours du XVIIIème siècle, mais l'Histoire est subordonnée aux enjeux littéraires et politiques du présent des auteurs. Walter Scott pose en littérature les bases d'une conciliation viable de "l'être" écossais avec la domination du pouvoir britannique, là où Hogg réagit en cherchant dans un passé plus lointain la source inépuisable (et au premier chef, fictionnelle) d'une Écosse mythique insaisissable. Stevenson, quant à lui, hérite de ce dilemme et choisit, en fiction comme dans la réalité, la fuite et l'exil pour pouvoir exister librement dans un monde dégagé du poids d'un passé par trop lourd à porter. / A tension runs through the Scottish-themed novels of Walter Scott (1771–1832), James Hogg (1770–1835) and Robert Louis Stevenson (1850–1894), denaturalizing historical and political Scotland to recreate it fictionally, as a problematic construct constantly calling for new definitions, so as to find new meaning for it, or to reappropriate it as one's own. The representation of national interests is effected through the running theme of the various Jacobite rebellions during the eighteenth century and their not-so-immediate consequences, but history is subordinated to the literary and political stakes of the authors' present. W. Scott literarily posits the basis for a viable conciliation of the "Scottish self" with the rule of the British state. Hogg responds to this by looking for the source of an inexhaustible, evanescent and, primarily, fictional Scotland in a more distant past. Stevenson, as for him, inherits this quandary and ultimately chooses, in fiction as in real life, to escape and exile himself so as to live freely in a world detached of an all-too-heavy past.
2

La constitution de la scotticité dans l'oeuvre de Walter Scott, James Hogg et Robert Louis Stevenson

Besson, Cyril 26 November 2011 (has links) (PDF)
L'œuvre de Walter Scott (1771-1832), James Hogg (1770-1835) et Robert Louis Stevenson (1850-1894) est traversée par une tension qui dénaturalise l'Écosse historique et politique pour la recréer en fiction, posant la scotticité comme une construction problématique qui appelle sans cesse de nouvelles définitions, afin d'en retrouver le sens ou d'en faire son domaine à soi. La figuration des enjeux nationaux se fait à travers le thème des diverses rébellions jacobites au cours du XVIIIème siècle, mais l'Histoire est subordonnée aux enjeux littéraires et politiques du présent des auteurs. Walter Scott pose en littérature les bases d'une conciliation viable de "l'être" écossais avec la domination du pouvoir britannique, là où Hogg réagit en cherchant dans un passé plus lointain la source inépuisable (et au premier chef, fictionnelle) d'une Écosse mythique insaisissable. Stevenson, quant à lui, hérite de ce dilemme et choisit, en fiction comme dans la réalité, la fuite et l'exil pour pouvoir exister librement dans un monde dégagé du poids d'un passé par trop lourd à porter.
3

L'identité Britannique dans les films Bristish-Asian de 1997-2007 / British identity in British-Asians films, 1997-2007

Trech, Caroline 21 June 2012 (has links)
Le cinéma mettant en scène des anglais d'origines indienne ou pakistanaise, se déroulant sur le territoire britannique et traitant de relations avec les habitants qu'ils soient anglais dits de souche, anglais issus de l'immigration ou de familles métissées est appelé British-Asian cinema. Quelle image moderne de la britannicité les films British-Asians propagent-ils? L'identité anglaise n'est pas liée à la couleur de la peau ou aux origines ethniques mais au sentiment d'être anglais et de partager une culture commune. Beaucoup de personnes issues de l'immigration se disent aujourd'hui anglaises comme cela a pu être expliqué dans le très surprenant documentaire "100% English". Ces diverses représentations transparaissent dans les médias et de façon claire et accessible dans les films. Le cinéma agit comme un moyen de propager dans le monde entier une image de la britannicité. C'est dans ce contexte de redéfinition identitaire britannique que le gouvernement de Tony Blair a misé sur le cinéma britannique et son développement dans toute sa diversité. Nous pouvons nous interroger sur ce qu'est cette représentation britannique, mais aussi anglaise, vu sous cet angle particulier du mélange culturel au cinéma. L'intégration, réussie ou non, les mariages forcés, la religion, les stéréotypes culturels britanniques et Asians sont autant d'obstacles à franchir pour affirmer une identité britannique. Certains anglais ne savent plus qui ils sont réellement, on en vient à faire des tests ADN pour évaluer son niveau d'anglicité et toute légitimité à être anglais. Il est étonnant d'observer qu'à l'inverse, ces nouveaux britanniques issus de parents indiens ou pakistanais, affichent souvent une identité britannique et anglaise claire, peut être même exacerbée et mieux définie. / Cinema staging English people of Indian or Pakistani origins, taking place in Britain, is called "British-Asian cinema". What is the modern image of Britishness that British-Asian films convey? In this respect, English identity is not linked to the color of the skin or to ethnic origins but to a common culture. Various representations appear in media and in a clear ans approachable manner in films. The cinema acts as a means to spread an image of Britishness worldwide. It is in this context of British self-defining or redefing that the government of Tony Blair gave support to the British cinema and its development in all its diversity. Analysing British representation through the lens of cinema seems quite interesting. Whether it is represented as successful integration or forced mariages, religious fanaticism, the Asian cultural stereotypes are obstacles to overcome to assert a British identity. Moreover, some English people do not know who they are, indeed they ended up making DNA tests to assess their level of Englishness and any legitimacy to be English, as it is explained in the TV documentary "100% English". It is striking to notice that on the opposite, these new British people of Indian or Pakistani parents, often show a clear British and English identity, which can sometimes be exacerbated and very accurately defined.
4

Ruptures et continuités dans les politiques d'intégration au Royaume-Uni (1997-2014) / Change and continuity in British policies of integration (1997-2014)

Touihri-Mebarek, Donia 12 December 2014 (has links)
Au Royaume-Uni, les politiques d’intégration ont fait l’objet de redéfinitions successives depuis les émeutes urbaines de 2001 en Angleterre. Ces événements et les attaques terroristes de Londres de 2005, qui ont largement été décrits comme les résultats de la ségrégation ethnique de la société britannique, ont conduit à une remise en question des politiques multiculturalistes mises en œuvre depuis les années 1980, et à un réexamen des politiques d’intégration. L’objet de cette recherche est de déterminer les ruptures et les continuités dans les nouvelles définitions des politiques d’intégration, tant au niveau du discours politique que dans les modalités de mise en œuvre des politiques publiques, et de déterminer dans quelle mesure une véritable rupture avec le multiculturalisme s’est opérée entre 2001 et 2014. L’analyse des discours, des rapports officiels ainsi que notre enquête de terrain sur les réformes et les nouvelles modalités de la procédure de naturalisation ont abouti à plusieurs conclusions : d’un côté, on observe la cristallisation progressive d’une approche assimilationniste de l’intégration, particulièrement visible avec l’arrivée des conservateurs au pouvoir depuis 2010 ; de l’autre, on s’aperçoit que le discours et les politiques multiculturalistes persistent sous diverses formes. Ainsi, une vision nouvelle de l’intégration comme la « community cohesion » peut être interprétée comme ayant reconduit ce paradigme sous diverses formes. Quant à la reconnaissance continue du pluralisme religieux dans l’action publique, elle procède de ce que nous pouvons appeler une « confessionnalisation » du multiculturalisme britannique. / In the United Kingdom, integration policies have undergone a constant process of redefinition since the urban riots in northern England in 2001. These events, and the London bombings of 2005, which were widely described as resulting from the ethnic segregation of British society, have led to a questioning of the multiculturalist policies implemented since the 1980s and to a review of integration policies. The objective of this research is to determine the ruptures and the continuities in the new political definitions of integration, both at the level of political discourse and of the actual implementation of policy guidelines, and to determine whether there has been indeed a break with multiculturalism between 2001 and 2014. Analysis of speeches and official reports, as well as a field survey on the reforms and on the new arrangements for naturalization lead to several conclusions: On the one hand, it is possible to observe the gradual crystallization of an assimilationist approach to integration that has become more visible since the Conservatives came to power in 2010. On the other hand, however, multiculturalist discourses and policies subsist in various guises; in fact, innovative visions of integration such as ‘community cohesion’ can be understood to have renewed this paradigm in new ways. Likewise, the increasing recognition of religious pluralism in public action suggests what we call a ‘confessionalisation’ of British multiculturalism.
5

L'identité Britannique dans les films Bristish-Asian de 1997-2007

Trech, Caroline 21 June 2012 (has links) (PDF)
Le cinéma mettant en scène des anglais d'origines indienne ou pakistanaise, se déroulant sur le territoire britannique et traitant de relations avec les habitants qu'ils soient anglais dits de souche, anglais issus de l'immigration ou de familles métissées est appelé British-Asian cinema. Quelle image moderne de la britannicité les films British-Asians propagent-ils? L'identité anglaise n'est pas liée à la couleur de la peau ou aux origines ethniques mais au sentiment d'être anglais et de partager une culture commune. Beaucoup de personnes issues de l'immigration se disent aujourd'hui anglaises comme cela a pu être expliqué dans le très surprenant documentaire "100% English". Ces diverses représentations transparaissent dans les médias et de façon claire et accessible dans les films. Le cinéma agit comme un moyen de propager dans le monde entier une image de la britannicité. C'est dans ce contexte de redéfinition identitaire britannique que le gouvernement de Tony Blair a misé sur le cinéma britannique et son développement dans toute sa diversité. Nous pouvons nous interroger sur ce qu'est cette représentation britannique, mais aussi anglaise, vu sous cet angle particulier du mélange culturel au cinéma. L'intégration, réussie ou non, les mariages forcés, la religion, les stéréotypes culturels britanniques et Asians sont autant d'obstacles à franchir pour affirmer une identité britannique. Certains anglais ne savent plus qui ils sont réellement, on en vient à faire des tests ADN pour évaluer son niveau d'anglicité et toute légitimité à être anglais. Il est étonnant d'observer qu'à l'inverse, ces nouveaux britanniques issus de parents indiens ou pakistanais, affichent souvent une identité britannique et anglaise claire, peut être même exacerbée et mieux définie.
6

Ecritures photographiques des identités collectives : classe, ethnicité, nation dans la photographie en Grande-Bretagne entre 1990 et 2010 / Photographic narratives of collective identities : class, ethnicity and nation in British photography from the 1990-2010 period

Chambefort, Karine 14 November 2014 (has links)
Cette thèse étudie un corpus de livres et d’expositions de photographies qui abordent les questions d’identité sociale, ethnique et nationale [en Grande-Bretagne]. Elle procède à une historicisation du champ photographique en s’intéressant au contexte social et politique de production et de diffusion des images, et en particulier aux politiques culturelles. Elle considère photographies et expositions comme des discours et pratiques qui contribuent à la formation des identités collectives. Le genre des photographies, et notamment le documentaire, est discuté au fil de l’étude, en lien avec la problématique de l’identification. En s’attachant aux rapports entre représentations, identités collectives, culture et pouvoir, l’analyse s’inscrit dans la lignée des cultural studies, dont quelques auteurs, comme Stuart Hall ou Paul Gilroy sont régulièrement évoqués. Il ressort que la photographie se fait le témoin et l’agent d’une dissolution des identités collectives dans les années 1990, en interrogeant l’identité nationale et ses vecteurs et en revendiquant un plus grand pluralisme culturel. Pour aborder la question sociale, devenue moins centrale, elle rompt avec le documentaire classique et la figure du photographe engagé. Par ailleurs, une photographie noire se structure autour d’Autograph-ABP. Lorsqu’une New Britain (jeune, créative et multiethnique) est promue par les travaillistes, la photographie en révèle les dissonances. Néanmoins, en entrant dans le domaine de l’art contemporain, le médium devient aussi l’objet des politiques culturelles multiculturalistes et se fait parfois source d’ethnicisation et d’essentialisation des identités. Après 2001, lorsque le multiculturalisme est critiqué, la photographie enregistre la diversité de la société britannique et démonte les stéréotypes qui visent particulièrement musulmans et réfugiés. Elle est aussi force de proposition dans la recherche de nouvelles formes de cohésion. Des pratiques documentaires collaboratives sont expérimentées pour un renouveau de la citoyenneté. La capacité de la photographie à explorer le rapport entre territoire et citoyens lui permet aussi d’inventer d’autres modes d’identification collective ancrés dans l’expérience quotidienne. / This thesis is based on a corpus of photography books and exhibitions dealing with social, ethnic, and national identities in Britain. It adopts a historicizing perspective by analysing the political and social contexts for the production and circulation of photographs, with special attention to cultural policies. Photographs and exhibitions are studied as narratives and practices that contribute to the formation of collective identities. The genre of photographs, and especially the notion of documentary, is discussed throughout the work, as a corollary to the question of identification. With a focus on representations, collective identities, culture and politics, this study lies in the field of cultural studies and regularly summons some of its prominent figures like Stuart Hall or Paul Gilroy. It shows that photography both documented and helped the dissolution of collective identities at the end of the 1990s, by questioning national identity and its representations, and by advocating greater cultural pluralism. As the social question became less prominent, photography departed from traditional social documentary forms and from the figure of the committed photographer. Parallel to this, in the wake of Black Arts, Black Photography was institutionalized with the creation of Autograph-ABP. It is also argued that when the New Labour party promoted a New Britain, some photographs acted as a magic mirror, revealing dissonances in the brand new narrative of a young, creative, multi-ethnic Britain. However, as photography entered the realm of contemporary art, it also became subject to the multiculturalist policies of the period and sometimes turned into a source of ethnicisation and essentialization. After 2001, as multiculturalism was questioned, photography kept documenting the diversity of British society and helped debunk stereotypes, especially those associated with Muslims and refugees in Britain. Finally, the late 2000s are analysed as a period when new modes of social cohesion are explored through photographic practices. Collaborative documentary projects are experimented to re-engage citizens. New photographs documenting the relation between people and territory in Britain seem to suggest that collective identification may rather be found in shared everyday experience.

Page generated in 0.0923 seconds