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L'unité technique des industries à burins du Raysse dans leur contexte diachronique. Réflexions sur la variabilité culturelle au Gravettien à partir des exemples de la Picardie, d'Arcy-sur-Cure, de Brassempouy et du Cirque de la Patrie.

Klaric, Laurent 19 December 2003 (has links) (PDF)
Le Gravettien est une culture qui s'est étendue sur toute l'Europe pendant près de huit millénaires. Les industries lithiques qui ont permis sa caractérisation présentent, en général, des traits culturels partagés qui étayent une vision paneuropéenne de cette civilisation. Pourtant, certaines séries ne présentent pas toujours ces mêmes traits culturels. Cela signifie-t-il qu'elles ne sont pas gravettiennes ? Dans ce cas, d'où proviennent-elles ? Peut-on les interpréter en terme humain et paléohistorique ? A partir de l'exemple des industries du Gravettien moyen (à « burins » du Raysse), ce travail tente d'apporter de nouveaux éléments de réflexion quant à ces questions. Le premier chapitre est consacré à la caractérisation technologique d'une série provenant d'un gisement de la région Centre : la Picardie (Indre-et-Loire). Les résultats sont ensuite comparés, dans le second chapitre, à ceux de l'analyse de l'industrie de la couche V de la Grotte du Renne (Yonne). Les différences mises en exergue sont alors envisagées à la lueur d'une évaluation taphonomique de la séquence gravettienne de la Grotte du Renne. Le troisième chapitre consiste en une recension de l'ensemble des gisements à « burins » du Raysse connus. L'objectif est de déterminer les sites qui disposent des conditions qualitatives requises pour participer aux discussions amorcées dans les parties précédentes. Le dernier chapitre permet une mise en perspective diachronique de la phase à Raysse. Les données rassemblées dans les chapitres antérieurs y sont confrontées à celles issues de l'analyse technologique d'une série du Gravettien moyen à burins de Noailles (Brassempouy, Landes) et d'une série du Gravettien (le Cirque de la Patrie, Seine-et-Marne). Les différences évoquées conduisent alors à envisager l'existence d'un épisode paléohistorique et de proposer que le Gravettien puisse aussi être envisagé comme une mosaïque de traditions techniques régionales.
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L’estampe dans la littérature artistique en France et en Angleterre : sa redéfinition dans la Presse à l’arrivée de la lithographie / Print in Artistic Literature in France and England : Redefinition in Press at the Arrival of Lithography

Brouwers, Gervaise 12 December 2011 (has links)
Cette thèse a pour objet d’étudier l’impact qu’a eu l’arrivée de la lithographie sur la vision de l’estampe en France et en Angleterre au début du XIXe siècle. Elle s’appuie sur la critique d’art que l’on trouve dans la presse des deux pays. Elle propose tout d’abord une revue de la littérature sur l’estampe depuis son apparition, afin de mettre en évidence les grands types d’écrits qui existent à son sujet et de mettre en lumière les différentes problématiques qui apparaissent au XVIIIe siècle. Dans cette optique, on étudie particulièrement les relations entre l’estampe et les institutions artistiques : l’impact des questionnements académiques en France et la recherche d’une légitimité officielle en Angleterre. La lithographie gagne les deux pays dans des conditions semblables. Mais, malgré quelques développements en Angleterre, elle ne parvient à s’implanter dans aucune des deux capitales. C’est un rapport français de l’Institut en 1817 qui réveille la curiosité à son égard et lui ouvre le champ d’une vraie popularité. Dans les années qui suivent, avant 1824, la situation est déséquilibrée entre les deux pays. En France, la pierre se diffuse mais rencontre des réticences politiques et idéologiques. Au contraire, alors qu’elle avait soulevé l’enthousiasme de ce pays, elle est freinée par d’importantes difficultés techniques en Angleterre. A partir de 1825 environ, sa situation se normalise de part et d’autre de la Manche et le nombre d’articles à son sujet augmente. En France, elle devient un enjeu artistique et est souvent rapprochée de l’estampe anglaise : toutes deux contribuent au développement de l’esthétique romantique. Au contraire, l’Angleterre regarde plutôt la gravure institutionnelle française et aspire à être reconnue pour ses grands formats : elle se montre alors plutôt indifférente à la lithographie. On constate donc que la France et l’Angleterre ne cessent d’observer leurs productions mutuelles et de s’influencer mais, tout en se prêtant aux mêmes modes et en vivant des avancées techniques comparables, elles suivent des problématiques tout à fait différentes ; leurs visions de l’art ne font que se croiser sans se rejoindre durant cette décennie. / This thesis is about the invention of lithography and its impact on prints theory at the beginning of 19th century. Press articles dealing with artistic prints in France and in England are studied. Firstly, literature on engraving from its beginning to 18th century is perused, in order to classify the existing types of texts. This analysis offers an opportunity to see the issues emerging around print during the second half of 18th century : France deals with academic controversies whereas English engraving is seeking for public recognition. After its invention, lithography is introduced in similar conditions in both countries. A few development occurs in England, but the new technology does not find its way in neither capitals. It is finally a French report of the Institute, in 1817, which offers a new start : information about it is broadly spread in French and British press. But during the next few years, the situation is very different in Paris and London. In France, the technique meets success in the street but official critic is reluctant to write about it because of political and ideological pressures. On the contrary, England is enthusiastic but cannot develop her production because she encounters with technical difficulties. After 1825, the amount of articles about lithography is growing in press. In Paris, it is considered as a new aesthetic, as well as imported English prints which meet a real success and are benchmarks for the world of prints : both contribute to the development of romanticism. On the contrary, England is envious of “grand genre” institutional French Engraving and rather focuses on large scale techniques : interest on mezzotinto on steel is awaken and a new interest on burin emerges. Therefore, Paris and London exchange their vision on engraving and this has a dynamic impact on their individual conceptions, but their visions never meet.

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