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Whistler's etchings and the sources of his etching style, 1855-1880

Lochnan, Katharine Jordan. January 1988 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of London, 1982. / Includes bibliographical references (p. [331]-405).
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Baudelaire et les estampes / Baudelaire and Prints

Chagniot, Claire 26 November 2010 (has links)
L'invention de la photographie bouleverse le monde de l'estampe entre 1850 et 1865. Le burin et la lithographie, pourtant récente, ne sont plus les seuls moyens de reproduire les tableaux, et l'eau-forte renaît. Dès ses premiers Salons, Baudelaire est attentif aux différents procédés. Vers 1859-1862, son action et ses articles en faveur de Charles Meryon et de la Société des aquafortistes font de lui un des principaux défenseurs de l'eau-forte originale. Après avoir acheté dans sa jeunesse des tableaux anciens, Baudelaire constitue alors une collection importante d'estampes, en rapport avec son activité de critique d'art. D'un autre côté, l'essai sur le rire, ceux sur les caricaturistes français et sur les caricaturistes étrangers, ainsi que les projets d'articles sur « L'Art philosophique » et les « Peintres de mœurs » sont entièrement ou en partie inspirés par des estampes. Ces textes donnent à Baudelaire l'occasion de poser des questions de poétique et d'esthétique, – le statut de l'artiste comique, la beauté de l'éphémère et la trivialité en art, par exemple. Comme les poèmes inspirés d'estampes, ils montrent aussi la façon dont le poète met à l'épreuve le sens des images. La dernière partie de notre travail est consacrée à l'histoire des frontispices dont Baudelaire voulut faire orner plusieurs de ses œuvres, et en particulier à celui qu'il projetait de donner à la deuxième édition des Fleurs du mal. / The invention of photography drastically changed the world of printing between 1850 and 1865. Lithography – though recent – and engraving were no longer the only means to reproduce paintings – etching came back to life. Since his first Salons, Baudelaire had been interested in these different techniques. Around 1859-1862, he became one of the key figures in the defense of original etching through his action and his articles in favour of Charles Meryon and the Société des Aquafortistes. After having bought antique paintings in his youth, Baudelaire built up a large collection of prints – in relation to his activity of art critic. Besides, his essay on laughter, the ones on French caricaturists and on foreign caricaturists, as well as his drafts of articles on “L’Art philosophique” and the “Peintres de mœurs” are entirely or partly inspired by prints. These texts gave Baudelaire the opportunity to raise issues of poetics and aesthetics, such as the position of the comic artist, the beauty of transience and triviality in art. Like his poems inspired by prints, they also show how the poet questions the meaning of images. The final part of this work is devoted to the history of frontispieces which Baudelaire wanted to use to illustrate several of his works with, and more particularly the one he planned to illustrate the second edition of Les Fleurs du mal with.
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"Sculpsit et delineavit : Léopold Flameng (1831-1911) ou le métier de "graveur-illustrateur" dans la seconde moitié du XIXe siècle / Sculpsit and delineavit : Léopold Flameng (1831-1911) or the profession of « engraver-illustrator » in the second half of the 19th century

Page, Alexandre 07 July 2017 (has links)
« Graveur-illustrateur », Léopold Flameng incarne dans la seconde moitié du xixe siècle un rapprochement entre les activités de graveur de reproduction et d’illustrateur original. Formé à la gravure « classique » par Luigi Calamatta, à l’Ecole des beaux-arts de Bruxelles, il devint un aquafortiste et buriniste de grande réputation à partir des années 1860, traduisant les maîtres et spécialement Rembrandt. Œuvrant à la Gazette des beaux-arts, à L’Artiste, à L’Art, il collabora aussi avec des revues étrangères et travailla pour des éditeurs d’estampes comme Goupil. Néanmoins, Léopold Flameng ne délaissa pas une activité de créateur, qu’il cultiva en pratiquant l’illustration originale. Dessinant pour Ducrocq, Jouaust ou Hetzel, Flameng est un des rares graveurs de métier à réussir, dans la seconde moitié du xixe siècle, une carrière d’illustrateur à succès face à la dominance des peintres.Cette thèse qui s’appuie sur un ample corpus d’œuvres et sur une correspondance et des archives en grande partie inédites, cherche à définir le « graveur-illustrateur », type particulier d’illustrateur venu non de la peinture mais de la gravure. Tandis qu’une première partie s’attache à présenter le graveur de reproduction, en s’attardant notamment sur son rôle dans la dynamique de l’eau-forte à partir des années 1850 en France, une deuxième partie vise à montrer le glissement de l’artiste vers l’illustration originale. Il s’agit d’en expliciter les raisons et de comprendre un paradoxe : comment Léopold Flameng a pu trouver dans l’illustration originale un terrain de liberté créative, compte tenu des nombreuses contraintes qui pèsent sur l’artiste ? Enfin, une dernière partie explore les réseaux personnels et professionnels de Flameng, cherchant à étudier sa relation avec les divers intermédiaires et collègues entourant le graveur et l’illustrateur, et à analyser la distribution et la réception de son œuvre auprès du public. L’objectif de cette thèse est donc de faire émerger une typologie particulière d’illustrateur, en s’appuyant à la fois sur Léopold Flameng et sur les évolutions notables qui touchent le monde de l’estampe au milieu du xixe siècle et qui impliquent, chez la plupart des graveurs, de nécessaires adaptations à un nouveau contexte. / "Engraver-illustrator", Leopold Flameng embodies in the second half of the nineteenth century a reconciliation between the activities of reproductive engraver and of original illustrator.Trained in "classical" engraving by Luigi Calamatta at the Ecole des Beaux-Arts in Brussels, he became a renowned etcher and engraver from the 1860s, translating the masters, especially Rembrandt. Working in the Gazette des Beaux-Arts, L'Artiste, L’Art, he also collaborated with foreign magazines and worked for prints publishers like Goupil.Nevertheless, Leopold Flameng did not abandon a creative activity, which he cultivated by practicing the original illustration.Drawing for Ducrocq, Jouaust or Hetzel, Flameng is one of the few professional engraver to succeed in the second half of the nineteenth century, a successful illustrator career in the face of the dominance of painters.This thesis, which is based on a large corpus of works and a correspondence and archives largely unpublished, seeks to define the "engraver-illustrator", a particular type of illustrator who came not from painting but from engraving.While the first part is devoted to presenting the reproductive engraver, focusing in particular on its role in the dynamics of etching from the 1850s in France, a second part aims to show the shift of the artist to the original illustration. It is a matter of explaining the reasons for this, and of understanding a paradox : How could Leopold Flameng find in the original illustration a field of creative freedom, given the many constraints that weigh on the artist ?Finally, the last part explores the personal and professional networks of Flameng, seeking to study his relationship with the various intermediaries and colleagues surrounding the engraver and the illustrator, and to analyze the distribution and reception of his work among the public.The objective of this thesis is thus to bring out a particular typology of illustrator, relying both on Leopold Flameng and on the significant evolutions that affect the world of printmaking in the middle of the nineteenth century and which imply, in most of the engravers, of necessary adaptations to a new context
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L’estampe dans la littérature artistique en France et en Angleterre : sa redéfinition dans la Presse à l’arrivée de la lithographie / Print in Artistic Literature in France and England : Redefinition in Press at the Arrival of Lithography

Brouwers, Gervaise 12 December 2011 (has links)
Cette thèse a pour objet d’étudier l’impact qu’a eu l’arrivée de la lithographie sur la vision de l’estampe en France et en Angleterre au début du XIXe siècle. Elle s’appuie sur la critique d’art que l’on trouve dans la presse des deux pays. Elle propose tout d’abord une revue de la littérature sur l’estampe depuis son apparition, afin de mettre en évidence les grands types d’écrits qui existent à son sujet et de mettre en lumière les différentes problématiques qui apparaissent au XVIIIe siècle. Dans cette optique, on étudie particulièrement les relations entre l’estampe et les institutions artistiques : l’impact des questionnements académiques en France et la recherche d’une légitimité officielle en Angleterre. La lithographie gagne les deux pays dans des conditions semblables. Mais, malgré quelques développements en Angleterre, elle ne parvient à s’implanter dans aucune des deux capitales. C’est un rapport français de l’Institut en 1817 qui réveille la curiosité à son égard et lui ouvre le champ d’une vraie popularité. Dans les années qui suivent, avant 1824, la situation est déséquilibrée entre les deux pays. En France, la pierre se diffuse mais rencontre des réticences politiques et idéologiques. Au contraire, alors qu’elle avait soulevé l’enthousiasme de ce pays, elle est freinée par d’importantes difficultés techniques en Angleterre. A partir de 1825 environ, sa situation se normalise de part et d’autre de la Manche et le nombre d’articles à son sujet augmente. En France, elle devient un enjeu artistique et est souvent rapprochée de l’estampe anglaise : toutes deux contribuent au développement de l’esthétique romantique. Au contraire, l’Angleterre regarde plutôt la gravure institutionnelle française et aspire à être reconnue pour ses grands formats : elle se montre alors plutôt indifférente à la lithographie. On constate donc que la France et l’Angleterre ne cessent d’observer leurs productions mutuelles et de s’influencer mais, tout en se prêtant aux mêmes modes et en vivant des avancées techniques comparables, elles suivent des problématiques tout à fait différentes ; leurs visions de l’art ne font que se croiser sans se rejoindre durant cette décennie. / This thesis is about the invention of lithography and its impact on prints theory at the beginning of 19th century. Press articles dealing with artistic prints in France and in England are studied. Firstly, literature on engraving from its beginning to 18th century is perused, in order to classify the existing types of texts. This analysis offers an opportunity to see the issues emerging around print during the second half of 18th century : France deals with academic controversies whereas English engraving is seeking for public recognition. After its invention, lithography is introduced in similar conditions in both countries. A few development occurs in England, but the new technology does not find its way in neither capitals. It is finally a French report of the Institute, in 1817, which offers a new start : information about it is broadly spread in French and British press. But during the next few years, the situation is very different in Paris and London. In France, the technique meets success in the street but official critic is reluctant to write about it because of political and ideological pressures. On the contrary, England is enthusiastic but cannot develop her production because she encounters with technical difficulties. After 1825, the amount of articles about lithography is growing in press. In Paris, it is considered as a new aesthetic, as well as imported English prints which meet a real success and are benchmarks for the world of prints : both contribute to the development of romanticism. On the contrary, England is envious of “grand genre” institutional French Engraving and rather focuses on large scale techniques : interest on mezzotinto on steel is awaken and a new interest on burin emerges. Therefore, Paris and London exchange their vision on engraving and this has a dynamic impact on their individual conceptions, but their visions never meet.
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L'estampe

Malenfant, Nicole 25 April 2018 (has links)
L'estampe est une oeuvre d’art imprimée sur papier à partir d'une matrice sur laquelle l'artiste a inscrit l'image de façon à ce que l'encre d'impression puisse y être déposée puis reportée sur le papier. L'oeuvre se réalise donc en deux étapes distinctes. Dans la première, l'artiste intervient techniquement pour modifier la surface de la matrice selon l'idée personnelle qu'il veut concrétiser. C'est alors que s'accomplit le processus créateur mais l'image n'existe que virtuellement, la matrice n'étant qu'un moule et non l'oeuvre en soi. A la deuxième étape, celle de l'impression, l'estampe est réalisée alors que l'encre déposée sur la matrice est reportée sur papier, révélant l'image créée par l'artiste. Au cours des siècles, les métiers de l'estampe se sont développés avec la contribution des artistes et des artisans qui ont cherché à en élargir les possibilités. C'est ainsi que les quatre grandes techniques de l'estampe se sont succédé, chacune ayant une pratique particulière et une écriture expressive qui lui soit propre. Ce sont, par ordre d'apparition historique, la gravure en relief, l'intaglio ou la gravure en creux, la lithographie et la sérigraphie. L'estampe est donc un métier d'art issu d'une grande tradition, celle de l'impression artisanale, mais aussi une oeuvre née de l'esprit créateur de l'artiste. Ces deux aspects sont indissociables, le métier ne prenant sa vocation artistique qu'avec la sensibilité de l'artiste et le rapport constant de ses gestes è l'image qu'il veut créer; mais à travers le processus technique, l'esprit créateur élabore à mime le dialogue avec la matière une j ^ réflexion qui donne son caractère expressif à l'oeuvre. C'est pourquoi le contenu de ce livre, qui traite du déroulement technique de chacun des métiers de l'estampe, laisse toujours une place importante h la volonté de l'artiste, â son intuition et à ses choix esthétiques afin que l'essence même du processus créateur s'intègre à la pratique technique. Ce livre, consacré à l'estampe en tant qu'expérience artistique, a été conçu pour faire connaître tous les aspects impliqués dans la pratique de ses métiers en dégageant autant la logique du procédé technique, d'une part, que la dimension expressive des interventions de l'artiste, d'autre part. Chaque chapitre décrit donc, geste après geste, l'élaboration technique d'un des quatre grands métiers de l'estampe. Chaque séquence technique se déploie d'abord autour d'une trame théorique afin de donner un fil directeur et une compréhension à la complexité de ces métiers; chaque matériel, chaque intervention est justifié en fonction de son rôle dans l'articulation des principes techniques propres à chacun des métiers. A la rigueur logique du procédé technique se juxtapose l'esprit du processus expressif qui élargit la fonction des interventions techniques, ces dernières devenant simultanément des gestes créateurs de signes ou d'effets répondant aux exigences de l'expression individuelle. C'est essentiellement à cette synthèse que l'artiste doit parvenir, chaque geste se soumettant â la fois à l'approche expressive et S la logique technique, générant une image originale tout en respectant le caractère du métier dont il emprunte la voie de réalisation. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Aldo Crommelynck (1931 - 2008) : un imprimeur de gravures entre Paris et New-York / Aldo Crommelynck ( 1931 - 2008) : an etching printer between Paris and New York

Aynard, Emmanuelle 18 March 2017 (has links)
Aldo Crommelynck (1931-2008) a animé l'atelier Crommelynck à Paris de 1956 à 1986, en compagnie de son frère Piero, puis a travaillé seul entre Paris et New York en partenariat avec Pace Editions, jusqu'en 1998. Sa collaboration avec les peintres modernes, dont Picasso à Mougins, a inauguré une carrière internationale auprès d'une quarantaine d'artistes contemporains. Sa maîtrise de l'eau-forte s'est intégrée au milieu artistique international, entre Paris, Londres et New York, dans un contexte profitable au marché de l'art. Son nom est associé à un mouvement de retour à la taille­douce qui coïncide avec le goût des artistes issus du Pop pour le travail de la main et pour la figuration du quotidien. D'autres, issus du minimalisme et du néo-expressionnisme, verront en lui le dépositaire d'un certain métier de la gravure identifié à Paris. Cette thèse entend déterminer ce que fut le «style Crommelynck», dans toutes ses dimensions. / Aldo Crommelynck (1931-2008) run the Crommelynck studio, in Paris from 1956 to 1986, with his brother Piero, and then worked alone between Paris and New York in partnership with Pace Editions until 1998. His collaboration with modem painters, including Picasso in Mougins, preceded his international career with forty or so contemporary artists. His mastery of etching well integrated into the artistic world of Paris, London and New York, in a context profitable to the art market. His name is associated with the revival of printmaking in the United States that coincided with the taste of the artists coming from Pop Art for handmade creation and for the representation of daily life. Others, who came afterwards, impregnated with Minimalism or Neo-expressionism, saw him as the repository of a certain etching craft identified with Paris. This thesis intends to determine what was the « Crommerlynck style » in all its dimensions.

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