• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 17
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 18
  • 11
  • 5
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

L'image du pouvoir imp??rial dans la Chronographie de Th??ophane le Confesseur pendant le premier iconoclasme Byzantin (717-815)

Tremblay, Vincent January 2014 (has links)
L?????tude de l???iconoclasme byzantin, cette crise th??ologique ayant pour cause l???essor du culte associ?? aux images religieuses, a ??t?? un exercice ardu pour les historiens. En effet, les maigres sources disponibles pour cette p??riode sont toutes favorables au culte des images. Bien qu?????crite par un iconodoule convaincu et hostile aux empereurs iconoclastes, la Chronographie de Th??ophane le Confesseur ne m??rite pourtant pas ses ??tiquettes contemporaines de pro-iconophile et d???anti-iconoclaste. Le pr??sent m??moire propose donc de revoir et de nuancer les ??crits de Th??ophane en ce qui a trait au pouvoir imp??rial. Il s???agira de d??montrer que la place des empereurs sur l?????chiquier th??ologique n???a aucune influence sur la repr??sentation du pouvoir, voire et de ceux qui l???exercent, dans la Chronographie. En effet, une analyse rigoureuse des empereurs de la p??riode iconoclaste (717-780) et de la p??riode iconodoule (780-815) prouvera que pour Th??ophane, rien n???est absolu : les iconoclastes ne sont pas d??pourvus de vertu et les iconodoules peuvent agir de fa??on tyrannique. La Chronographie propose ainsi une image complexe du pouvoir imp??rial, qui oblige ?? reconsid??rer les fronti??res entre l??gitimit?? imp??riale et tyrannie. -- The study of Byzantine iconoclasm, a theological crisis caused by the emergence of religious practices centered on divine images, has proven to be a difficult endeavor for historians. Indeed, the few available sources which discuss this period are clearly favorable to this cult of images. Despite having been written by a convinced iconodule who was also hostile to iconoclastic emperors, the Chronicle by Theophanes the Confessor should not be labelled as purely pro-iconophile and anti-iconoclastic. As such, the present thesis will seek to review and relativize the writings of Theophanes with regards to imperial power. This will attempt to demonstrate that in the Chronicle, the place of emperors on the theological playing field has no impact on the representations of power or those who exert it. In fact, a rigorous analysis of emperors from the iconoclastic period (717-780) as well as the iconodule period (780-815) will show that inTheophanes??? mind nothing is absolute: iconoclasts are not devoid of virtue and iconodules can be tyrannical. Hence, the Chronicle presents a complex image of imperial power, one which demands a reconsideration of the boundaries between imperial legitimacy and tyranny.
12

L’astrolabe à Byzance : traités sur l’astrolabe du VIème au XIVème siècle / The Astrolabe in Byzantium : treaties on the astrolabe from 6th to 14th century

Jarry, Claude 01 June 2011 (has links)
L’astrolabe, sous la forme dans laquelle il s’est répandu dans le monde arabo-persan, puis dans le monde occidental, est un instrument d’origine hellénistique. Mais nous ne disposons guère, pour témoigner de cette origine, que d’un traité d’usage de cet instrument, écrit au VIème siècle par un auteur alexandrin, Jean Philopon. Nous proposons tout d’abord une réédition de ce traité, sur une base nettement plus large que la seule édition existant à ce jour, et nous l’assortissons d’une traduction et de commentaires. Ce traité d’usage a connu un très grand succès à Byzance à l’époque des Paléologues, et nous nous posons la question de savoir dans quel environnement, astronomique et mathématique, s’est produit ce spectaculaire intérêt pour le traité alexandrin. Nous examinons pour cela ce qui a pu être disponible à Byzance à cette époque, en provenance de l’étranger, et cela nous amène à éditer et traduire deux traités d’usage, l’un en provenance du monde arabo-persan, dont l’auteur est Shams-le-Persan, et l’autre, d’auteur anonyme, en provenance du monde occidental. Nous passons ensuite en revue les œuvres de trois auteurs byzantins, Nicéphore Grégoras, Isaac Argyros, et Théodore Méliténiote, concernant cette fois la construction de l’astrolabe, et nous éditons, ou rééditons, totalement ou partiellement, les œuvres des deux premiers de ces auteurs, avec des traductions et des commentaires. Enfin, nous éditons et traduisons un traité d’origine occidentale, traduit à Chypre par Georges Lapithès, traité dont nous pensons qu’il a pu jouer un rôle dans l’existence, sous la plume de Nicéphore Grégoras, du premier texte authentiquement byzantin ayant trait à l’astrolabe. Cela nous permet de dresser un panorama critique du niveau atteint par Byzance, à cette époque, dans la maîtrise de la construction et de l’usage de l’astrolabe. / The astrolabe, as it spread in the Arab-Persian world and later on in the Western world, is an instrument of Hellenistic origin. However, the only available source to substantiate this origin is a treaty written in the 6th century by an Alexandrian author, John Philoponos. This present work will first of all present an edited version of the treaty with a much broader basis than that of the only existing edition, along with a translation and commentary. Philopono’s treaty met with great success in Byzantium at the time of the Palailogus and therefore one aim here will be to make sense of the environment, astronomical and mathematical, in which such interest took place. In order to do this, this study will proceed to examine the foreign sources available at the time as well as edit and translate two treaties, one from the Arab-Persian world written by Shams the Persian and other by an anonymous Western author. This will be followed thereafter by a review of the works of three Byzantine authors, Nikephoros Gregoras, Isaac Argyros, and Theodore Meliteniotes, which refer this time to the building of the astrolabe. As well as edit or reedit (fully or partially) the works of these first two authors, the present work offers translations along with commentary. A final step will be to edit and translate a Western treaty, translated in Cyprus by Georges Lapithès and believed to have played a part in the existence of the first authentically Byzantine text related to the astrolabe, by Nikephoros Gregoras.This allows for a critical overview of the level of command reached in the building and use of the astrolabe in Byzantium at that time.
13

Le règne de Constantin IX Monomaque (1042-1055) / The reign of Constantine IX Monomachos (1042-1055)

Buchs, Numa 23 November 2019 (has links)
Ma thèse constitue une étude du règne de Constantin IX Monomaque, un souverain qui a régné au milieu du XIe siècle, une période charnière de l’histoire byzantine. Les spécificités du règne sont multiples. Ancien exilé devenu empereur grâce à son mariage avec l’impératrice Zoé, Constantin Monomaque n’a eu de cesse de se créer une légitimité pour asseoir sa domination et conforter son trône. L’empereur a réussi avec brio à se constituer un réseau de fidèles avant son avènement et a su, par la suite, l’étoffer en ralliant de nombreuses familles aristocratiques et un grand nombre de fonctionnaires du palais. Pourtant, le pouvoir de l’empereur bien que consolidé a subi de nombreuses épreuves : les deux plus grandes révoltes militaires depuis près d’un demi-siècle, le peuple de Constantinople de plus en plus remuant, les complots palatiaux, … En dépit de ces difficultés, Constantin IX a réussi un exploit au cours de ce siècle si périlleux pour les détenteurs de la pourpre, mourir au pouvoir et de causes naturelles. Monomaque fut un empereur bâtisseur, lançant de grands chantiers aussi bien au sein de l’Empire qu’à l’étranger. La vie culturelle de cette période fut particulièrement riche, puisque plusieurs des grands intellectuels de l’histoire byzantine ont servi l’empereur et ont bénéficié de ses faveurs. Longtemps perçu comme un empereur hostile à l’armée, Constantin Monomaque fut bien au contraire un empereur militaire de premier plan, assurant son devoir en défendant l’Empire. Il fut aussi un des plus grands empereurs diplomates que l’Empire a connu, une politique visant à favoriser la paix aux frontières en désarmant les ennemis ou pour éviter d’en susciter. / My Ph. D. is a study of the reign of Constantine IX Monomachos, a ruler who ruled in the middle of the 11th century, a pivotal period in Byzantine history. The specificities of the reign are multiple. A former exile who became emperor thanks to his marriage to empress Zoe, Constantine Monomachos has never ceased to create a legitimacy to establish his domination and consolidate his throne. The emperor brilliantly succeeded in building up a network of faithful before his advent and subsequently succeeded in strengthening it by rallying many aristocratic families and a large number of officials of the palace. Yet, the power of the emperor, although consolidated, suffered many hardships: the two greatest military revolts in nearly half a century, the people of Constantinople increasingly restless, palatial plots, … Despite these difficulties, Constantine IX achieved a feat during this century so dangerous for the holders of imperial purple, die in power and from natural causes. Monomachos was a builder emperor, launching major projects both within the Empire and abroad. The cultural life of this period was particularly rich, since many of the great intellectuals of Byzantine history served and benefited from the emperor's favours. Long perceived as an emperor hostile to the army, Constantine Monomachos was on the contrary a first-rate military emperor, performing his duty by defending the Empire. He was also one of the greatest diplomatic emperors the Empire has ever known, a policy aimed at promoting peace at the borders by disarming enemies or avoiding creating them.
14

Un empereur en tournée : la mission diplomatique de Manuel II Paléologue en Occident (1399-1402)

Bourbeau, Mickaël January 2014 (has links)
Résumé : De 1399 à 1402, l’empereur Manuel II Paléologue entreprend son célèbre voyage en Occident. Durant ces années, le souverain byzantin séjourne en France et en Angleterre, ce qui le démarque de ses prédécesseurs. Malgré les avancées dans la recherche et dans l’édition de source, l’historiographie maintient la même perception de l’entreprise depuis les cent dernières années. Tout en reconnaissant sa notabilité, le voyage y est abordé comme un échec. Pourtant, ce jugement ne semble pas s’accompagner d’une considération des enjeux et des objectifs réels du projet ou de prendre en compte l’environnement culturel qui l’a motivé. L’interprétation traditionnelle a toutes les caractéristiques d’un artéfact procédant d’un schème interprétatif aujourd’hui dépassé. Cette recherche propose une approche en quatre parties pour analyser l’évènement de manière conséquente et pour émanciper l’historiographie de la téléologie. Premièrement, le déplacement sera situé en continuité d’un rapprochement de la dynastie régnante vers l’Europe et de ses capacités diplomatiques. Deuxièmement, les circonstances et objectifs réels de la mission seront ciblés. Troisièmement, l’étude mesurera la capacité de l’entreprise à répondre à ces objectifs et considérera l’accusation d’échec en fonction de cette capacité. Quatrièmement, une fois la perspective actualisée, il sera question de l’impact culturel positif de la visite, au-delà de ses objectifs pragmatiques. // Abstract : From 1399 to 1402, emperor Manuel II Palaiologos undertook his famousjourney to the West. During those years, the Byzantine ruler sojourned in France and England, distinguishing himself from his predecessors. In spite of notable advances in research and source analysis, most studies have maintained a pessimistic evaluation of his diplomatic undertaking over the last hundred years. While most historians recognize his voyage as a notable endeavour, the emperor’s travels are ultimately perceived as a failure. Yet, this judgement does not seem to consider the pragmatic issues at hand, the diplomacy’s true objectives or the cultural landscape upon which it draws itself. Instead, the traditional interpretation seems to hinge on an older, and obsolete, world view. To further emancipate history from its teleological trappings, this study proposes to analyse the subject by approaching it from four angles. Firstly, the emperor’s endeavour will be considered in continuity with the dynasty’s affinity with Europe and its diplomatic possibilities. Secondly, the mission’s pragmatic objectives and political circumstances will be identified. Thirdly, the study will measure the mission’s ability to succeed in its goals, and factor it in considering the accusation of failure. Fourthly, once the historical perspective has been thus actualized, it will be possible to identify the positive cultural impact of the emperor’s visit, independently of its pragmatic objectives.
15

Meglio il turbante del sultano della tiara latina : Giovanni Dokeianos e la transizione bizantino-ottomana a Costantinopoli nel secondo Quattrocento / Mieux vaut le turban du sultan que la tiare latine : Jean Dokeianos et la transition byzantine-ottomane à Constantinople dans la 2ème moitié du XVème siècle / Better the Sultan's Turban than the Latin Miter : John Dokeianos and the Byzantine-Ottoman Transition in Constantinople in the 2nd Half of the XVth Century

Calia, Anna 20 October 2016 (has links)
Contrairement à la diaspora des intellectuels et des manuscrits grecs en Occident au XVème siècle, le rôle joué par les savants byzantins à Constantinople après la conquête ottomane de 1453 est un sujet encore peu connu. Dans le premier chapitre de ma thèse je dresse un tableau de Constantinople avant et après la Chute, tout en soulignant le développement de l’idéologie impériale ottomane et l’importance des réseaux marchands et des archontes grecs en tant qu’intermédiaires entre la cour ottomane et le Patriarcat. Le deuxième chapitre se concentre sur la présence grecque dans la cour ottomane de Mehmed II. J’aborde en particulier le cosmopolitisme culturel dans la cour à partir de l’intérêt ottoman pour l’héritage culturel byzantin, qui est attesté aussi par la circulation des savants byzantins et de quelques manuscrits grecs. La deuxième partie de la thèse est consacrée au rhéteur et copiste Jean Dokeianos, un personnage représentatif de la transition byzantine-ottomane. J’offre une édition commentée de ses ouvrages rhétoriques inédits, écrits pour les membres de la dernière cour byzantine de Mistra. Initialement proche de Pléthon, il s’approcha au cercle anti-unioniste de Gennadios Scholarios après son déplacement à Constantinople autour de 1460, où il travailla pour le Patriarcat et pour la cour ottomane. Dans le dernier chapitre je présente l’éclectique collection manuscrite de Dokeianos et son activité de copie à Mistra et à Constantinople, tout en proposant des nouvelles identifications. Dans l’appendice j’offre une édition de quelques ouvrages Byzantines inédits de la moitié du XVème siècle écrites par des auteurs liés à différents égards à Dokeianos / Unlike the XVth century diaspora of Byzantine intellectuals and Greek manuscripts to the West, the role played by Byzantine scholars in Constantinople in the aftermath of the Ottoman conquest in 1453 is still a little-explored subject. In the first chapter of my dissertation I provide an overview of the conditions of Constantinople before and after the conquest, discussing the emergence of an Ottoman imperial ideology and the importance of Greek merchant networks and Greek archons as intermediators between the Ottoman court and the Patriarchate. The second chapter focuses on the Greek presence in the Ottoman court during Mehmed II’s reign. In particular, I address cultural cosmopolitism in the sultan’s court by looking at the Ottoman interest for the Byzantine cultural legacy, which is also attested by the circulation of Byzantine scholars and by a number of Greek manuscripts in the Ottoman court. The second part of the dissertation is devoted to the rhetorician and copyist John Dokeianos, a representative figure of the Byzantine-Ottoman transition. I provide a commented edition of his unedited rhetorical works written for members of the Byzantine court of Mistra. Formerly close to Pletho, he became close to the anti-Unionist circle of Gennadios Scholarios when he moved to Constantinople around 1460, where he worked for both the Patriarchate and the Ottoman court. In the last chapter I discuss Dokeianos’ eclectic book collection and his copying activities in Mistra and Constantinople, proposing new manuscripts identifications. In the appendix I provide an edition of some unedited XVth century Byzantine works written by authors connected in various degrees to Dokeianos.
16

D’une Cappadoce à l’autre (Ve av. – Xe ap.) : problèmes historiques, géographiques et archéologiques / From Cappadocia to another (5th BC to 10th AD) : Historical, geographical and archaeological problems

Lamesa, Anaïs 19 March 2016 (has links)
S’interrogeant sur l’existence d’une culture matérielle propre à la Cappadoce, X. de Planhol soulevait déjà, dans les années 1980, la contradiction entre les résultats des études cappadociennes et les sources. De fait, archéologiquement et historiquement, la Cappadoce rupestre s’inscrit dans la continuité des autres provinces anatoliennes. Dépendant d’empires plus puissants, elle ne semble pas développer des traditions architecturales et culturelles propres, si ce n’est de posséder des monuments creusés dans la roche. A contrario à l’époque médiévale, certains auteurs arabes et byzantins reconnaissent aux Cappadociens un mode de vie troglodytique qui les individualise, de facto, de leurs voisins anatoliens. Ces assertions sont d’ailleurs confirmées par le développement de la pratique rupestre à l’époque byzantine dans la zone. Afin de comprendre ce décalage, deux approches ont été menées parallèlement. La première, historique, a pour objet d’étudier les représentations littéraires de la Cappadoce et des Cappadociens entre le Ve av. J.-C. et le Xe ap. J-C. La seconde approche, archéologique, a pour but de comprendre les processus de réalisation des monuments rupestres entre le IIIe siècle av. J.-C. et le Xe siècle ap. J.-C. À elles deux, elles mettent en lumière la lente construction culturelle qui, tant dans les sources que dans la praxis, aboutit à la fin du Xe siècle à l’existence d’un fait rupestre. / In the 1980s, questioning the existence of an own material cultures in Cappadocia, X. de Planhol already raised the contradictions between results of Cappadocian studies and sources. In fact, the current region of Cappadocia seems to be “provincial”. Dependent on more powerful Empires, this region doesn’t seem to develop its own architectural traditions and its own material cultures. It has just carved monuments. But in some medieval sources, Cappadocians are described like Troglodyte and de facto are distinguished from their Anatolian neighbors. To understand this shift, two methodological approaches were conducted. The first one is historical and has the purpose to study literary representations of Cappadocia and Cappadocians between the Vth century BC and the Xth century AD. The second approach is archaeological and should allow understanding process of making a carved monument between the IIIrd century BC and the Xth century AD. Both highlight the slow cultural construction that results in recognition of a “carving fact” in the Xth century AD.
17

L'explication touchant le temple divin, les ornements sacrés et la divine Mystagogie de Syméon de Thessalonique (1429) : édition, traduction, commentaire / The Explanation about the Divine Temple, the Sacred Ornaments and Divine Mystagogy, of Symeon of Thessalonica († 1429) : Edition, translation and commentaries

Garnier, Sébastien 04 June 2011 (has links)
À la veille de la prise définitive de Thessalonique, l’archevêque Syméon (†1429) apporte les dernières retouches à son commentaire mystagogique, l’Explication touchant le temple divin, les ornements sacrés et la divine Mystagogie. Il s’agit de la troisième version d’un traité destiné à l’origine au clergé crétois. Le dernier traité mystagogique byzantin fait le tableau des fastes d’une liturgie pontificale et enregistre les derniers développements d’un rituel dont l’évolution touche alors à son terme. Synthèse de la tradition mystagogique qui l’a précédé, l’ouvrage manifeste un véritable retour aux sources du genre (Denys l’Aréopagite et Maxime le Confesseur). Syméon y propose un exposé de la doctrine eucharistique conforme aux thèses palamites sur la Grâce, conçue comme énergie commune aux hypostases de la Trinité mais distincte de son essence. Ce commentaire a joué un rôle essentiel dans le développement et la transmission du palamisme au sein de l’Église grecque. Cette dernière version est conservée dans le Zagorensis 23, où une main est intervenue directement dans le corps et les marges du texte afin de le corriger et de l’amplifier. La question de savoir si ces interventions sont autographes se pose. Nous tenterons d’en comprendre la signification. D’autre part les quatre témoins qui conservent cette version révisée, nous permettront d’en retracer l’histoire. Complétée par ces quatre témoins, nous présentons une édition de la leçon du Zagorensis, de lecture souvent difficile et lacunaire. Elle sera accompagnée d’une traduction. En contrepoint, l’étude de la tradition manuscrite nous permettra d’esquisser l’histoire de deux premières versions de cette œuvre / On the eve of the definitive fall of Thessalonica, archbishop Symeon (1429 ) brings the last touch to his mystagogical comment, the Explanation about the Divine Temple, the Sacred Ornaments and Divine Mystagogy. It is the third version of a treaty originally intended for the Cretan clergy. The last Byzantine Mystagogical treaty made thepicture of the splendors of an episcopal liturgy and registered the last developments of a rite the evolution of which touched then its term. Synthesis of the mystagogical tradition which preceded, the work testifies for a real return to the sources of the genre (Denys the Areopagite and Maxime the Confessor). Symeon proposes a presentation of the eucharistic doctrine in accordance with the palamites theses on the Grace, conceived as the energy common to the hypostases of the Trinity but different from Their essence. This comment played anessential role in the development and the transmission of Palamism within the Greek Church. This last version is preserved in Zagorensis 23, where a hand intervened directly in the body and the margins of the text to correct and amplify it. The question to know if these interventions are original arises. We shall try to understand its meaning. On the other hand four witnesses which keep this revised version, will allow us to redraw its history. Completed by these four witnesses, we present an edition of the lesson of Zagorensis, whose reading is often difficult and incomplete. It will be accompanied with a translation. In counterpoint, the study of the handwritten tradition will allow us to sketch the history of first two versions of this work.
18

L'Eglise orthodoxe et l'Etat communiste roumain, 1948-1989: étude de l'idéologie de l'Eglise orthodoxe :entre traditions byzantines et national-communisme

Gillet, Olivier 02 March 1995 (has links)
Dans quelle mesure les traditions de l’Église orthodoxe, héritière d’un modèle byzantin imprégné de césaropapisme qui ignorait donc la séparation des pouvoirs temporels et spirituels, ont-elles influencé les comportements démocratiques dans les pays d’Europe où elle est dominante ?Le cas particulier de la Roumanie depuis 1948. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

Page generated in 0.0291 seconds