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Immunopathologie des podocytopathies acquises : rôle de c-mip dans les perturbations immunitaires et podocytaires / Immunopathology of acquired podocytopathy : role of c-mip in alterations of immune system and podocytes

N'Gome Sendeyo, Kelhia 17 December 2013 (has links)
Le Syndrome Néphrotique à Lésions Glomérulaires Minimes (SNLGM) et la glomérulonéphrite extra membraneuse (GEM) sont deux podocytopathies primitives d'origine immunitaire associant des altérations immunes et des atteintes podocytaires à l'origine d'un syndrome néphrotique. Cependant, bien que l'origine dysimmunitaire soit confortée par de nombreux arguments cliniques, les mécanismes impliqués restent obscurs. Initialement identifié dans les lymphocytes T (LT) de patients en phase de poussée de SNLGM, le gène c-mip est également exprimé dans les podocytes de patients atteints de SNLGM et de GEM, alors qu'il est physiologiquement réprimé. Ainsi, les objectifs de ce travail étaient : 1) appréhender le rôle de c-mip dans le LT d'une part à travers l'étude d'un modèle murin transgénique (Tg), et 2) comprendre la fonction de c-mip au niveau du podocyte grâce au modèle expérimental de GEM humaine induit chez le rat.Le modèle murin Tg Lck-cmip surexprime spécifiquement c-mip dans les LT matures périphériques. Cette surexpression est à l'origine d'un phénotype lymphocytaire altéré marqué par une accumulation de LT naïf, et une inhibition de la synthèse de cytokines de type TH1 et TH2, après une activation T spécifique ex vivo. Cette régulation négative est associée à une accumulation des formes inactives des kinases de la famille des Src et un blocage du recrutement des lipids rafts nécessaire à la formation de la synapse immunologique. Ces résultats suggèrent donc que c-mip est un régulateur négatif de l'activation T impliqué dans la signalisation proximale lymphocytaire et pourrait être impliqué dans l'hyporéactivité lymphocytaire observée chez les patients atteints de SNLGM actif.L'étude de la néphrite de Heymann passive, un modèle expérimental de GEM humaine, montre que l'induction podocytaire de c-mip coïncide avec l'apparition de la protéinurie. Cette surexpression est associée d'une part, à une diminution des taux de synaptopodine qui engendre une diminution de l'activité RhoA, à l'origine d'une désorganisation du cytosquelette podocytaire, et d'autre part à une induction de DAPK (death-associated protein kinase) et ILK (Integrin Linked Kinase) impliquées dans des phénomènes pro-apoptotiques. La cyclosporine A en inhibant l'expression de c-mip restaure les taux de DAPK et ILK ainsi que l'activité RhoA. Ainsi dans le podocyte, c-mip semble impliquer dans les troubles de la signalisation podocytaire aboutissant à une protéinurie néphrotique.C-mip semble donc jouer un rôle crucial dans les perturbations podocytaires et lymphocytaires observées chez les patients atteints de podocytopathies primitives et représente à ce titre une cible thérapeutique.Mots clefs :C-mip, Syndrome Néphrotique à Lésions Glomérulaires Minimes, Glomerulonéphrite Extra Membraneuse, signalisation proximale, lymphocyte T, podocyte, cytosquelette / Minimal Change Nephrotic Syndrome (MCNS) and Membranous Nephropathy (MN) are two primitive immune podocytopathies associating immune alterations and podocyte damage ultimately leading to proteinuria. Although the immune origin of the disease is corroborated by numerous clinical data, the mechanisms involved are still unknown. In previous works by the team, the c-mip protein was found expressed in T lymphocytes (TL) from patients with MCNS relapse, and in podocytes from MCNS and MN patients, while it is physiologically repressed. The aims of the present work were: firstly, to investigate the rôle of c-mip in TL by the study of Lck-cmip transgenic mice (Tg); secondly, to understand c-mip function in podocyte using a rat experimental model of human MN (Heymann nephritis).Transgenic mice overexpressed specifically c-mip in peripheral mature TL. This expression led to an altered TL phenotype characterized by accumulation of naïve LT associated with inhibition of TH1's and TH2's cytokines, after T-specific activation ex vivo. This negative regulation was correlated with an increase in the inactive forms of Src kinases and a blockage of the lipid raft clustering required for immunological synapse formation. These results suggest that (i) c-mip is a negative regulator of the proximal signaling events associated with TL activation involved in proximal signaling and (ii) it could be involved in the TL hyporeactivity described in SNLGM patients.In the study based on passive Heymann Nephritis, the experimental model of MN, the results highlight a correlation between podocyte expression of c-mip and proteinuria. This expression is associated, on the one hand, with a decrease in synaptopodin levels, which generate a decrease of RhoA activity resulting in podocyte cytoskeleton disorganization, and on the other hand with DAPK (Death Associated Protein Kinase) and ILK (Integrin Linked Kinase) induction, known to be involved in pro-apoptotic mechanisms. Cyclosporin A inhibited c-mip expression and restored the basal levels of DAPK, ILK and Rhoa activity. These results suggest that in podocyte, c-mip could be involved in proximal signaling alterations leading to nephrotic proteinuria.In conclusion, c-mip could play a crucial rôle in both the lymphocyte and podocyte alterations observed in patients suffering from primitive podocytopathies, strongly suggesting its potential as a therapeutic target in these disorders.Key words :C-mip, MCNS, MN, proximal signaling, Src kinase, T lymphocyte, podocyte, cytoskeleton
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Physiopathologie des glomérulopathies : rôle de c-mip et conséquences de son invalidation / Physiopathology of glomerulopathies : role of c-mip and consequences of its invalidation

Mangier, Mélanie 04 December 2015 (has links)
L'apparition d'une protéinurie néphrotique constitue un effet secondaire aux thérapies ciblées anti-angiogéniques utilisées en oncologie (anti-VEGF ligand et les inhibiteurs de récepteurs tyrosine kinase). Dans ces travaux, nous avons étudié 29 patients traités par ces thérapies. 8 d'entre eux ont développé des lésions glomérulaires minimes ou hyalinose segmentaire et focale (LGM/HSF) majoritairement suite au traitement par les inhibiteurs des récepteurs tyrosine kinases (RTKIs) et 13 présentaient principalement des lésions de microangiopathie thrombotique (MAT) après thérapie anti-VEGF ligand. Dans cette étude, nous avons mis en évidence que c-mip est un acteur majeur du développement de protéinurie néphrotique consécutive aux traitements par les RTKIs. En effet, le Sorafenib (RTKI) induit l’expression de c-mip en inhibant l’activité de RelA et ce mécanisme serait impliqué dans le déclenchement des lésions LGM/HSF. Le rôle de c-mip dans la physiopathologie des podocytopathies acquises nous a conduit à générer un modèle murin d'invalidation de c-mip, conditionnelle et spécifique du podocyte. Les souris déficientes pour c-mip ont été étudiées dans deux modèles expérimentaux de protéinurie, induits par le LPS et le Sorafenib, respectivement. Dans les deux modèles, la protéinurie était significativement atténuée chez les souris déficientes avec préservation de l'architecture glomérulaire en comparaison des souris témoins. Le sorafenib a entraîné chez les souris témoins des lésions glomérulaires caractérisées par des rétractions du floculus, des thrombi intraglomérulaires et des lésions podocytaires. Ces résultats suggèrent que le sorafenib constitue un nouveau modèle murin d'induction d'une glomérulopathie expérimentale et que l'invalidation de c-mip spécifiquement dans le podocyte confèrerait une résistance au développement de protéinurie et de lésions rénales, suggérant que c-mip serait une cible thérapeutique potentielle. / Nephrotic proteinuria constitutes a serious side effect of anti-angiogenic therapies commonly used in oncology (anti-VEGF and tyrosine kinase receptorinhibitors, RTKI). In this work, we studied 29 patients treated by anti-angiogenic therapies. Eight of them developed minimal change nephrotic syndrome and focal and segmental glomerulosclerosis (MCNS/FSGS), mainly after RTKI treatment, and 13 underwent thrombotic microangiopathy lesions, mostly associated with anti-VEGF ligand therapy. C-mip overexpression was strongly related to the onset of nephrotic proteinuria after RTKI. Sorafenib (RTKI) induced c-mip expression by inhibiting RelA activity, ultimately leading to MCNS/FSGS. To confirm and clarify the pathophysiological role of c-mip in acquired podocytopathies, we generated a conditional, podocyte-specific c-mip knock-out mouse model. C-mip knockout mice were subjected to two experimental models of proteinuria, induced by LPS and Sorafenib, respectively. In each model, proteinuria was significantly decreased in cmip-invalidated mice, while glomerular architecture was preserved as compared to control mice. In the latter, Sorafenib led to glomerular tuft retractions, intraglomerular thrombi and podocyte lesions. This is suggested as the first experimental model of RTKI-induced glomerulopathy. Moreover, the podocyte specific knock out of c-mip confers resistance to proteinuria and renal injury, confirming c-mip as a potential therapeutic target in idiopathic nephrotic syndrome.
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Etude des dysfonctions lymphocitaires T dans le syndrome néphrotique idiopathique / Investigating T cells dysfunctions in minimal-change nephrotic syndrom

Vachin, Pauline 19 January 2018 (has links)
La pathogénie du syndrome néphrotique idiopathique est inconnue, mais de nombreux arguments clinques et expérimentaux favorisent l’hypothèse d’une pathogénie dys-immunitaire à expression immunologique et rénale, au cours de laquelle on observerait une altération des lymphocytes T. Cependant, le mécanisme exact reste encore mal connu. Récemment, le Rituximab, un anticorps dirigé contre l’antigène CD20, a montré une efficacité à induire une rémission à moyen et long terme suggérant l’implication d’une dysfonction des lymphocytes B et/ou un défaut de coopération T-B. Notre laboratoire a isolé un nouveau gène C-MIP dont l’expression est induite dans certaines sous-populations lymphocytaires T et B, ainsi que dans les podocytes de patients atteints de SNI en phase de poussée mais quasiment indétectable chez les sujets sains.Dans ces travaux, ancillaires au PHRC NEPHRUTIX, nous avons étudié les perturbations lymphocytaires T, avant, au moment de la rechute et en période de rémission au cours de syndrome néphrotique à lésions glomérulaires minimes et l’effet du traitement par le Rituximab. Dans cette étude, nous avons mis en évidence que la rechute était associée à un effondrement des lymphocytes T régulateurs, une baisse profonde de l’interleukine-2 ainsi qu’à une surexpression significative de C-MIP, précédant la survenue de la rechute. Ces modifications se restaurent en rémission. Enfin, la rémission obtenue dans le bras Rituximab, entraîne une diminution des lymphocytes T folliculaires (Tfh), des iNKT et des cellules double-négatives DN-TCR Vα24, suggérant que le SNLGM implique un défaut des réponses immunitaires innées et adaptatives, qui peut être stabilisé par un traitement par Rituximab.Afin d’étudier le rôle de C-MIP, nous avons généré des souris transgéniques sur-exprimant ce gène dans les lymphocytes T matures périphériques. Cette surexpression est à l’origine d’un phénotype lymphocytaire altéré marqué par une accumulation de lymphocytes T naïfs, un effondrement des cytokines activatrices de type Th1 et Th2 et une accumulation des formes inactives des Src kinases. Ces résultats suggèrent que C-MIP, en inhibant les Src kinases, est un régulateur négatif de l’activation T impliqué dans la signalisation proximale et pourrait être impliqué dans l’hypo-réactivité lymphocytaire T observée chez les patients atteints de SNLGM actif. / The pathogenesis of minimal-change nephrotic syndrom (MCNS) is unknown, but, supported by many clinical and experimental arguments, it was suggested that MCNS is a dys-immune disorder with immunogical and renal expression, during which T-cell alteration would be observed. However, the exact mechanism remains unknown. Recently, Rituximab, a B-cell depleting agent, is effctive in inducing mid- and long-term remission suggesting involvement of B-cell dysfunction and/or lack of T-B cooperation. Our laboratory identified a new gene: C-MIP. We have shown that C-MIP abundance is increased in some T and B lymphocyte subpopulations, as well as in podocytes of MCNS patients during relapse phase but undetectable in healthy subjects.In this work, ancillary to the NEPHRUTIX PHRC, we studied T-cell disturbances before and during the relapse or during the remission time in MCNS and the effect of Rituximab therapy. In this study, we found that relapses were associated with significant decrease in regulatory T cell and interleukin-2 expression, while C-MIP abundance was significantly increased. These changes are restored during remission time. Finally, remission after Rituximab therapy leads to a decrease in follicular T cells (Tfh), iNKT and double-negative (CD4- CD8-) T cells expressing the invariant Vα24 chain, suggesting that MCNS involves a disorder of innate and adaptative immune response, which can be stabilized by Rituximab treatment.In order to study the C-MIP role, we generated transgenic mice overexpressing this gene in the peripheral mature T-cells. This overexpression leads to an altered lymphocyte phenotype with an accumulation of naive T lymphocytes, a significant decrease of Th1 and Th2 activating cytokines and accumulation of inactive Src kinases. These results suggest that, by inhibiting Src kinases, C-MIP is a negative regulator of activation T involved in proximal signalling and may be responsable of the lymphocyte T hypo-reactivity observed in patients with active MCNS.
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Rôle de la protéine c-mip dans la physiopathologie du syndrome néphrotique idiopathique / Role of c-mip and NFRkB genes into pathogenesis of minimal change nephrotic syndrome

Audard, Vincent 05 July 2010 (has links)
Le syndrome néphrotique idiopathique (SNI) est une néphropathie glomérulaire définie par une protéinurie massive associée à une hypoalbuminémie, sans lésions inflammatoires rénales, ni dépôts de complexes immuns circulants. Les travaux réalisés au cours de ma thèse concernent l’étude du rôle potentiel du gène c-mip dans la physiopathologie du SNI.Dans un premier temps, nous avons étudié la physiopathologie moléculaire de l’association maladie de Hodgkin et SNI. Nous avons démontré que cette association était liée à une forte induction de c-mip à la fois dans les cellules de Reed Sternberg (dont la présence signe le lymphome hodgkinien) et les podocytes qui sont des cellules spécialisées du glomérule rénal (Audard, et al. 2010). Nous avons montré que l’induction de c-mip résultait d’un défaut quantitatif et/ou qualitatif du gène Fyn, à la fois chez les patients et dans un modèle de souris déficiente en Fyn. Nous avons trouvé que c-mip était fortement induit dans les podocytes au cours du SNI ainsi que dans la glomérulopathie extramemenbraneuse (GEM). La surexpression de c-mip par transgénèse chez la souris déclenche une protéinurie néphrotique dont le mécanisme implique une rupture, médiée par c-mip, de la voie de signalisation de la néphrine (Science Signaling, 2010 co-auteur). L’étude de la néphrite de Heyman, le modèle expérimental de la GEM humaine, a permis de montrer que l’induction de c-mip coincidait avec l’apparition de la protéinurie et était associée à l’inhibition de l’activité RhoA, à une perte de la synaptopodine, à une diminution du VEGF tandis que l’expression de la DAPK (death-associated protein kinase) est fortement augmentée (Audard et al, manuscrit soumis 1). Nous avons recherché si l’hypogammaglobulinémie au cours du SNI était associée à des anomalies fonctionnelles des lymphocytes B (LB). Nous avons trouvé que c-mip interagit avec la sous unité régulatrice de la PI3 kinase et empêche la dissociation de la sous unité catalytique, p110, nécessaire à l’activation de la PI3 kinase. Enfin, l’expression de l’IL 21, une cytokine–clé secrétée par les lymphocytes T et intervenant dans la commutation isotypique, était fortement réduite dans le SNI (Audard et al, manuscrit en préparation 2). Ces résultats donnent un éclairage nouveau sur la physiopathologie moléculaire du SNI et suggèrent un rôle crucial de c-mip dans les anomalies lymphocytaires et podocytaires observées chez les patients / Idiopathic nephrotic syndrome comprises several podocyte diseases of unknown origin, affecting the glomerular podocyte, which plays a key role in controlling the permeability of the kidney filter to proteins. It is characterized by massive proteinuria and hypoalbuminemia, with no inflammatory lesions or cell infiltration. This works focused on the potential role of c-mip in the pathogenesis of INS. We showed that occurrence of minimal change nephrotic syndrome in the course of Hodgkin lymphoma (cHL-MCNS) is closely related to the induction of c-mip in both Hodgkin-Reed Sternberg cells and podocytes (Audard, et al. 2010), which is caused by a qualitative and/or quantitative defect in Fyn in both HRS and podocytes cells. We found that c-mip is upregulated in podocytes of patients with membranous nephropathy (MN). Transgenic mice overproducing c-mip in the podocytes developed heavy proteinuria without morphological alterations, inflammatory lesions or cell infiltrations. We showed that c-mip turned off podocyte proximal signaling by preventing the interaction between Fyn and nephrin, resulting in the inhibition of nephrin signaling pathway (Science signaling, 2010 coauthor). Moreover, the induction of c-mip in passive type Heymann nephritis (the experimental model of MN) was concomitant to proteinuria occurrence and is associated with reduction of RhoA activity, downregulation of synaptopodin and VEGF expression whereas DAPK expression is significantly increased (Audard et al manuscript submitted 1).We demonstrated that hypogammaglobulinemia, a common feature in INS patients, may result from a defect in B lymphocytes. We found that c-mip interacts with p85 regulatory subunit and prevent its dissociation from p110 catalytic subunit, resulting in inactivation of PI3 kinase. Finally, the expression of IL21, a key cytokine involved in class switching recombination, is repressed in active phases of INS, which may contribute for immunoglobulin disorders commonly observed in these patients (Audard et al manuscript in progress 2).Altogether, these results suggest that c-mip is a major player of lymphocyte and podocytes dysfunction observed in patients with INS

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