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Development, Implementation, and Evaluation of Integrated Remote Motivational Interviewing Interventions for Behavior ModificationBraun, Ashlea January 2020 (has links)
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L’expérience de transition vers le retour au travail des survivantes âgées de moins de 50 ans après la fin des traitements du cancer du seinFadhlaoui, Asma 05 1900 (has links)
Après les traitements pour un cancer du sein, plusieurs survivantes désirent réintégrer une vie sociale active qui inclut le retour au travail. Bien que cette étape semble bénéfique, elle comporte plusieurs défis à surmonter tels que la gestion des effets secondaires des traitements au travail ou un soutien variable de la part des collègues et des professionnels de la santé. Toutefois, des facettes de cette expérience demeurent à être exploré au regard des survivantes, qui sont le plus susceptibles de réintégrer leur emploi. Il est même permis de croire que cette expérience peut être semblable à celle d’une transition. À notre connaissance, peu d’études abordent cette expérience sous l’angle de la transition et au regard des survivantes âgées de moins de 50 ans. Le but de cette étude était d’explorer l’expérience de transition vers le retour au travail de survivantes du cancer du sein.
Une étude qualitative exploratoire a été effectuée. Des entrevues narratives (n=8) ont été menées auprès de survivantes qui étaient retournées au travail depuis au moins six mois et âgées de moins de 50 ans. Une analyse de contenu thématique a été réalisée.
Les résultats ont été regroupés selon quatre thèmes : 1) une vie changée par le cancer, 2) le travail est un signe de normalité, 3) les facteurs influençant la transition et 4) les stratégies mobilisées pour réussir la transition vers le retour au travail. Les résultats suggèrent que les survivantes du cancer du sein veulent délaisser leur vie teintée par la maladie et réintégrer une vie « normale » qui inclut le retour au travail. L’expérience de transition vers le retour au travail est aussi influencée par plusieurs facteurs qui peuvent la faciliter ou l’entraver.
Cette étude a permis de mettre en lumière l’expérience de transition vers le retour au travail de femmes de moins de 50 ans qui semblent comporter des défis distincts par rapport à celles des femmes plus âgées. À la lumière des résultats, de nombreuses recommandations ont été élaborées afin de mieux accompagner les survivantes de moins de 50 ans durant leur transition vers le retour au travail. / After breast cancer treatments, many survivors wish to return to an active social life that includes return to work. Although this step seems beneficial, it has several challenges to overcome, such as managing the side effects of treatment at work or varying support from colleagues and health professionals. However, aspects of this experience remain to be explored for survivors, who are most likely to return to their jobs. It is even possible that this experience may be similar to that of a transition. To our knowledge, few studies have addressed this experience from a transition perspective and from the perspective of survivors under the age of 50. The purpose of this study was to explore the experience of transitioning breast cancer survivors back to work.
An exploratory qualitative study was conducted. Narrative interviews (n=8) were conducted with youth survivors who had returned to work for at least six months and were under the age of 50. An analysis of the thematic content was carried out.
The results were grouped into four themes: 1) a life changed by cancer, 2) work is a sign of normality, 3) factors influencing the transition and 4) strategies mobilized to successfully transition back to work. The results suggest that breast cancer survivors want to leave their illness-tinged lives and return to a “normal” life that includes returning to work. The experience of transitioning back to work is also influenced by several factors that may facilitate or hinder it.
This study highlighted the transition experience of women under the age of 50 who appear to have distinct challenges to return to work. Based on the results, many recommendations were developed to better support survivors during their transition back to work.
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Optimisation de l'évaluation de l'aptitude physique des survivants de leucémie lymphoblastique aiguëLabonté, Jennifer 11 1900 (has links)
Introduction : Le Test de Marche de 6 Minutes (6MWT) est le test le plus utilisé chez les patients atteints de cancer, évaluant la capacité fonctionnelle, tout en demeurant simple, sécuritaire et standardisé. Toutefois, aucune équation actuelle ne peut prédire la consommation maximale d’oxygène ("V" ̇O2 max) chez les survivants de cancer. Ainsi, l’objectif principal est de valider une équation spécifique pour prédire le "V" ̇O2 max à partir du 6MWT, alors que le second est de valider une équation spécifique pour prédire la distance de marche (6MWD) à partir du 6MWT.
Méthodes : Au total, 250 survivants d’au moins cinq ans de la leucémie lymphoblastique aigüe (LLA) (n=80 femmes (48%); n=88 hommes (52%)) avec un âge moyen de 22 ans (22.2 ± 6.3)
ont été recrutés. Parmi ceux-ci, 168 survivants ont réalisé un 6MWT ainsi qu’un test d’effort maximal sur ergocycle pour évaluer respectivement leur capacité fonctionnelle et leur fonction cardiorespiratoire. Une évaluation de leur pratique d’activités physiques a été réalisée par questionnaire. Les survivants ont ensuite été randomisés en deux groupes : le premier (n=118 (70%)) pour créer les équations et le deuxième groupe (n=50 (30%)) pour valider les équations créées. Des régressions linéaires multiples ont été réalisées pour prédire chacune des équations ("V" ̇O2 max et 6MWD) à partir du 6MWT. Les variables incluses dans les équations comprenaient l’âge, le poids, la taille, la fréquence cardiaque à la fin du test (FCfin), la distance de marche effectuée (6MWD), le niveau de la pratique d’activités physiques (MVLPA), la perception d’effort (EPE) ainsi que la durée des traitements (DT). La méthode de Bland et Altman a été utilisée pour valider chacune des équations en déterminant les différences moyennes et en comparant nos équations avec des équations de références.
Résultats : Équation spécifique "V" ̇O2 max (différence moyenne = 2.51mL.kg-1.min-1) = (-0,236 * âge(années)) - (0,094 * poids(kg)) - (0,120 * FCfin(bpm)) + (0,067 * 6MWD(mètres)) + (0,065 * MVLPA(min/jour)) - (0,204 * DT(années)) + 25,145 ; R2=0.61.
Équation spécifique 6MWD (différence moyenne = 10.86 mètres) = (3,948 * taille(cm)) - (1,223 * poids(kg)) + (1,913 * FCfin(bpm)) - (6,863 * EPE(/10)) + (0,556 * MVLPA(min/jour)) - 242,241 ; R2=0.36.
Conclusion : Il s’agit de la première étude qui prédit le "V" ̇O2 max et la 6MWD en utilisant des variables cliniques et spécifiques des survivants de LLA. Nos résultats permettent d’évaluer la capacité cardiorespiratoire des survivants de LLA et facilitera leur suivi. / Introduction: In cancer patients, the 6-Minute Walking Test (6MWT) is the most widely used test because it can assess the functional capacity in patients, while remaining simple, safe and standardized. However, it is reported that the actual equations cannot accurately predict a valid "V" ̇O2 peak value or a 6-minute walk distance (6MWD) in cancer survivors. Thus, the first aim is to validate a specific equation using the 6MWT to predict "V" ̇O2peak, while the second is to validate a specific equation to predict walk distance during 6MWT.
Methods: A total of 250 childhood acute lymphoblastic leukemia (ALL) survivors were enrolled in this study, among which 168 participants aged 22 years on average (22.2 ± 6.3) (n=80 females (48%); n=88 males (52%)) underwent a cardiopulmonary exercise test (CPET) and a 6MWT to assess their functional capacity and their cardiorespiratory fitness. Additionally, participants completed a physical activity questionnaire. Participants were randomly divided in two groups to create (n=118 (70%)) and to validate (n=50 (30%)) the equations. Multiple linear regression analyses were used to determine a new prediction equation for "V" ̇O2 peak and 6MWD from 6MWT. The validity in between the measured and predicted "V" ̇O2 peak and between the measured and predicted 6MWD was assessed using the Bland and Altman method.
Results: Specific "V" ̇O2 peak equation (mean of bias=2.51mL.kg-1.min-1) = (-0.236*age(years)) - (0.094*weight(kg)) - (0.120*HR end(bpm)) + (0.067*6MWD(meters)) + (0.065*MVLPA(min/day)) - (0.204*DT(years)) + 25.145.
Specific 6MWD equation (mean of bias=10.86meters) = (3.948*height(cm)) - (1.223*weight(kg)) + (1.913*HR end(bpm)) - (6.863*RPE) + (0.556*MVLPA(min/day)) - 242.241
Conclusion: This is the first study that predicted "V" ̇O2 peak and 6MWD using clinical and specific variables related to the disease from a 6MWT in childhood ALL survivors. It refines an already available tool that will strengthen an objective evaluation of the patient.
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Les interventions infirmières encourageant la promotion de la santé des survivantes de cancer du sein : une revue de la portéeTorabi, Pegah 08 1900 (has links)
Grâce à l’amélioration de l’efficacité du dépistage du cancer, le nombre de survivantes de cancer de sein augmente rapidement. Cependant, après le traitement du cancer, les survivantes du cancer du sein ont plus de besoins non satisfaits que les survivants d’autres types de cancer. Elles souhaitent adopter des habitudes de vie saines et mieux contrôler leur vie, mais elles ont besoin du soutien et des conseils des infirmières, en particulier des infirmières de soins de première ligne, qui possèdent les compétences requises pour promouvoir la santé. Toutefois, les interventions de promotion de la santé pour les survivantes du cancer du sein ne semblent pas être considérées comme une priorité dans ces soins, principalement en raison de l’absence de lignes directrices claires et d’un manque de connaissances relatives à ces interventions. Pour combler cette lacune, ce projet de mémoire visait à recenser les interventions infirmières de promotion de la santé chez des survivantes du cancer du sein afin de décrire les approches utilisées et les caractéristiques de ces interventions dans les études disponibles.
Une revue de la portée a été réalisée. Les lignes directrices du Joanna Briggs Institute (JBI) ont été suivies pour développer le but et les questions de recherche, identifier les études répondant aux critères de sélection retenus, et extraire les données recherchées pour répondre aux questions de recherche. Cinq banques de données électroniques ont été consultées pour identifier de manière systématique des articles publiés entre 2002 et 2022.
Vingt-deux articles ont été retenus. Il ressort que les infirmières utilisent principalement des approches éducationnelles, même si elles ont également recours à des approches de changement de comportement et d’autonomisation individuelle ou de la communauté pour améliorer la santé des survivantes du cancer du sein. Les infirmières ont utilisé divers moyens tels que du matériel écrit et des outils numériques dans le cadre des interventions de promotion de la santé. Les interventions ont été majoritairement offertes lors de soins spécialisés. Elles étaient dispensées soit dans un format de groupe pour faciliter le soutien par les pairs ou soit sous forme individuelle pour s’adapter aux problèmes particuliers des survivantes.
La revue de la portée conclut sur la nécessité de réaliser davantage de recherches sur les interventions infirmières visant à améliorer la santé globale des survivantes du cancer du sein et ce, dans le cadre des soins de première ligne. Cette étude suggère également que des recherches futures sont nécessaires pour tenir compte d’un plus grand nombre de déterminants sociaux de la santé lors de l’élaboration d’interventions de promotion de la santé. / Due to the improved effectiveness of cancer screening, the number of breast cancer survivors is rising rapidly. However, after cancer treatment, female breast cancer survivors seem to have higher unmet needs than survivors of other types of cancer. They want to adopt a healthy lifestyle and take greater control of their lives, but they need the support and guidance of nurses, especially in primary care, who have the required skills to promote health. However, health promotion interventions for female breast cancer survivors do not seem to be considered a priority in their care, mainly due to the lack of clinical guidelines and knowledge about these interventions. To fill this gap, this dissertation aimed to map nursing health promotion interventions for female breast cancer survivors in order to describe the approaches used and the characteristics of these interventions in the available studies.
A scoping review methodology has been applied. The Joanna Briggs Institute (JBI) guidelines were followed to develop the research aim and questions, identify studies relevant to the inclusion criteria, and extract the data needed to answer research questions. Five electronic databases were consulted to systemically identify articles published between 2002 and 2022.
Twenty-two articles have been selected. It was found that nurses mainly use educational approaches, although they employ behavior change, and self-empowerment or community empowerment approaches to improve the health of breast cancer survivors. The nurses used a variety of methods, such as written material and digital tools, as part of their health promotion interventions. The majority of interventions were provided as part of specialized care. The interventions were delivered either in a group format to facilitate peer support or on an individual basis to adapt to survivors' specific problems.
The scoping review concludes that further research is required regarding nursing interventions aimed at enhancing the holistic health of breast cancer survivors in primary care settings. This study also suggests that future research is needed to consider a wider range of social determinants of health when developing health promotion interventions.
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