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Gérard Seghers (1591-1651) et le caravagisme européen : entre les anciens Pays-Bas, l'Italie et l'Espagne/ Gerard Seghers (1591-1651) and european Caravaggism : between the Netherlands, Italy and Spain

Delvingt, Anne 26 June 2009 (has links)
Nous envisageons particulièrement la période caravagesque du peintre anversois Gérard Seghers (1591-1651) qui est la plus riche et la plus commentée dans son oeuvre. Nous ajoutons des tableaux caravagesques et nous en retirons d'autres du catalogue raisonné de l'artiste publié par Dorothea Bieneck en 1992. Nous traitons ainsi des thématiques caravagesques importantes du Reniement de saint Pierre et de la Crucifixion de saint Pierre mais aussi du thème plus commun mais très populaire, de la Sainte Famille. Nous étudions également les rapports entre l'oeuvre de Seghers et celle des peintres caravagesques contemporains présents à Rome lors du voyage de Seghers dans cette ville. Nous précisons ici la chronologie du voyage de Seghers à Rome et surtout celle de son voyage en Espagne sur lequel nous avions peu de renseignements jusqu'ici. En annexe, nous établissons le catalogue de 78 tableaux, inédits ou publiés, réapparus depuis la publication de Dorothea Bieneck en 1992.
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La Manfrediana methodus : variations thématiques et stylistiques dans la peinture européenne de la première moitié du XVIIe siècle / The Manfrediana methodus : thematic and stylistic variations in European painting during the first half of the 17th century

Kitisakon, Kitsirin 24 June 2014 (has links)
La Manfrediana methodus, expression de Joachim von Sandrart, désigne une façon de peindre d’après Bartolomeo Manfredi, peintre italien du XVIIe siècle, adaptée aux sujets de genre (le concert, le jeu…) et à certains sujets religieux. Elle trouve sa racine dans l’art du Caravage qu’adopte Manfredi avec originalité et dont ses contemporains vont également contribuer à mettre en place. Les peintres étrangers venus à Rome dans les années 1610 vont être séduits par cette « méthode » et on assistera à des variations autour des thèmes de la bonne aventure, des scènes de réunion ou du Reniement de Saint Pierre. La mort de Manfredi en 1622 et le retour de ses suiveurs dans leur pays à partir de 1620 marquent le début de la diffusion de la « méthode » en Europe. Utrecht et Anvers constitueront ses foyers nordiques principaux où elle s’éteindra autour des années 1630. Sa présence en France (à Paris, à Langres, en Languedoc, en Lorraine, et en Provence) sera notamment soulignée avec les cas de Georges de La Tour et Trophime Bigot. En Italie, si la « méthode » a survécu à Rome jusque dans les années 1630, en Toscane elle cristallise en un langage artistique particulier ; à Naples, sa trace peut être suggérée et c’est avec Mattia Preti qu’elle semble trouver ses derniers souffles, au-delà de 1650. En Espagne enfin, les premières scènes de genre Vélasquez peuvent très bien renvoyer à la « méthode ». Celle-ci, de par son adoption par des artistes d’origines diverses et de sensibilités différentes, se verra ainsi être utilisée avec des variations stylistiques et thématiques et se présente comme l’un des phénomènes artistiques européens les plus importants du XVIIe siècle. / The Manfrediana methodus, an expression by Joachim von Sandrart, refers to a method of painting after Bartolomeo Manfredi, an Italian painter in the 17th century, with life-size and half-length figures for genre subjects (concert, card players…) and some religious ones. The “method” is rooted in the art of Caravaggio adopted by Manfredi with originality, however, his contemporaries also contribute to its establishment. Foreign painters in Rome were seduced by Manfredi’s art as the variations on the Fortune-telling scenes, meeting scenes and the Denials of Saint Peter prove. Manfredi’s death in 1622 and the return of his followers in their country marks the diffusion of the “method” in Europe. Utrecht and Antwerp are its most important centers where it flourished until around 1630s. Its presence in France (Paris, Languedoc, Lorraine, Langres and Provence) can be underlined with the case of Georges de La Tour and Trophime Bigot. In Italy, if the “method” had survived in Rome until the 1630s, it crystallized in Tuscany in a particular artistic language. In Naples, its trace can be suggested and its last breaths, beyond 1650, seems to be found thanks to Mattia Preti. In Spain, the first genre scenes by Velazquez and the Triumph of Bacchus may well refer to it. Through the adherence by painters with various origins and different sensibilities, the “method” is used with stylistic and thematic diversities and represents one of the most important European artistic phenomenon in the 17th century.
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Gérard Seghers, 1591-1651, et le caravagisme européen: entre les anciens Pays-Bas, l'Italie et l'Espagne / Gerard Seghers, 1591-1651, and european Caravaggism: between the Netherlands, Italy and Spain

Delvingt, Anne 26 June 2009 (has links)
Nous envisageons particulièrement la période caravagesque du peintre anversois Gérard Seghers (1591-1651) qui est la plus riche et la plus commentée dans son oeuvre. Nous ajoutons des tableaux caravagesques et nous en retirons d'autres du catalogue raisonné de l'artiste publié par Dorothea Bieneck en 1992. Nous traitons ainsi des thématiques caravagesques importantes du Reniement de saint Pierre et de la Crucifixion de saint Pierre mais aussi du thème plus commun mais très populaire, de la Sainte Famille. Nous étudions également les rapports entre l'oeuvre de Seghers et celle des peintres caravagesques contemporains présents à Rome lors du voyage de Seghers dans cette ville. Nous précisons ici la chronologie du voyage de Seghers à Rome et surtout celle de son voyage en Espagne sur lequel nous avions peu de renseignements jusqu'ici.<p>En annexe, nous établissons le catalogue de 78 tableaux, inédits ou publiés, réapparus depuis la publication de Dorothea Bieneck en 1992. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le caravagisme à Naples : polymorphisme de la poétique caravagesque méridionale / Caravaggism in Naples : polymorphism of Southern Caravagesque Poetics

Philippon, Carole 15 June 2010 (has links)
Mon travail cherche à mettre en valeur la richesse de la Scuola Napoletana du XVIIème siècle (qui prend vie après les deux séjours du Caravage à Naples, entre 1606 et 1610). L'art napolitain est injustement sous-estimé ; la première moitié du Seicento est pourtant extrêmement importante puisque Naples est le seul centre artistique qui continue à considérer le caravagisme comme une force vitale de la peinture, et ce jusqu'en 1656 (année de la Grande Pestequi emporte avec elle les derniers peintres d'"origine" caravagesque). Je mets donc en exergue la période méridionale du Caravage (qui est trop souvent délaissée par rapport à sa période romaine), ainsi que l'extrême diversité des peintres caravagesques qui composent le milieu artistique napolitain, unis par une passion commune pour le langage du Caravage mais dont l'expression artistique intègre peu à peu d'autres influences. Le caravagisme méridional se distingue par son polymorphisme et par la diversité des influences extérieures avec lesquelles les artistes enrichissent leur caravagisme originel : si les premiers naturalistes (tels que Battistello) restent toujours fidèles au Maître, nombreux sont ceux qui suivront le courant ribéresque (Ribera, Fracanzano, le Maître de l'Annonce aux Bergers...) qui se caractérisepar sa portée sociale. Mais, parallèlement, certains peintres tissent des liens entre caravagisme et classicisme (Stanzione, Guarino), tandis que d'autres se focalisent sur un caravagisme narratif (Artemisia Gentileschi est réputée pour son talent de storyteller) ; dans le domaine chromatique, de nombreux artistes (dont Pietro Novelli ou Ribera) succombent au néovénétisme et au vandyckianisme en vogue à partir des années 1630. Enfin, le caravagisme se fait plus raffiné avec Bernardo Cavallino, qui apparaît comme un précurseur du goût rococo, tandis que l'oeuvre de Mattia Preti oscille entre caravagisme et baroque. / The aim of this work is to emphasize the richness of the Scuola Napoletana in the 17th Century (after it came to life following Caravaggio†s two stays in Naples between 1606 and 1610). Neapolitan art does not get the appreciation it deserves, and yet the first half of the Seicento was an extremely important period as Naples was the only major artistic centre where Caravaggism was still a driving force of painting, and would do so until 1656 (the year of the Great Plague that wiped out the last "original" Caravaggesque painters). I am therefore emphasizing Caravaggio†s Southern period, which is all too often neglected as compared to his Roman period, as well as the great diversity of Caravaggesque painters making up the artistic milieu in Naples, united by a shared passion for Caravaggio's language but progressively incorporating other influences into their artistic expression. Southern Caravaggism stands out because of its polymorphism and the highly diverse outer influences with which these artists enhance their original Caravaggism: while the first naturalists, such as Battistello, are always true to the Master, many will follow into Ribera's footsteps (Ribera,Fracanzano, the Master of the Announcement to the Shepherds...) and adopt a more socially oriented stance. At the same time, some painters draw links between Caravaggism and Classicism (Stanzione, Guarino), while others focus on narrative Caravaggism (Artemisia Gentileschi is famed for the storytelling talent). In the field of colour, many artists (including Pietro Novelli and Ribera) yield to the Neo-venetism or Vandyckianism that were fashionable as of the 1630†s. Finally,Caravaggism becomes more refined with Bernardo Cavallino, who appears to be a precursor of Rococo taste, while Mattia Preti balances on the verge between Caravaggism and Barocco.

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