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L’économie végétale des agglomérations gallo-romaines de Beaune-la-Rolande, Châteaubleau et Châteaumeillant / Vegetable economy of gallo-romans small towns : Beaune-la-Rolande, Châteaubleau and Châteaumeillant

Jedrusiak, Florian 10 December 2016 (has links)
Le but premier de ce travail est de préciser l’importance des productions végétales au sein des agglomérations secondaires gallo-romaines du centre bassin parisien. Le corpus est motivé par des choix chronologiques et géographiques : l’ensemble des sites est localisé au sein du bassin parisien et occupé entre le Ier et le Ve siècle ap. J.-C. Qu’entendons-nous par productions végétales ? Nous percevons trois cas différents : les productions végétales agricoles et donc alimentaires, que nous retrouvons par exemple dans les contextes urbains sous la forme des céréales produites, en l’état actuel de nos connaissances, dans les exploitations agricoles ; les productions vivrières, toujours alimentaires, produites directement dans les agglomérations (comme les potagers et les vergers) ; les productions végétales qui servent non pas à l’alimentation mais à l’artisanat. C'est le cas du bois du noisetier en vannerie. Le raisonnement autour des productions vivrières est une question centrale : que produisaient les urbains ? Où ? Quelle pouvait être l’importance de ces productions végétales alimentaires ? Afin d'y répondre, notre réflexion se porte sur les espaces non couverts des agglomérations secondaires. Il est certain en effet que la mise en culture des espèces végétales potagères et fruitières nécessite une source de lumière : elle n’est donc praticable que dans des espaces non couverts ou « non bâtis ». / The original intention of this work is to specify the importance of the vegetable productions within the Gallo-Roman small town of the center Paris region. The corpus is justified by chronological and geographical choices: the whole of the sites is localised within the Paris region and occupied between 1th and 5 th century. What we hear by vegetable productions ? We perceive three different cases : vegetable productions agricultural and thus food; productions food, directly produced in the small town (like the kitchen gardens and the orchards); the vegetable productions which are used not for the food but for the craft industry. The reasoning around the food productions is a key question : what produced the urban? Where? Which could be the importance of these vegetable food productions ? In order to answer it, our reflexion goes on not covers spaces of the small towns.
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Economie végétale et pratiques agricoles au Bronze final et au premier âge du Fer, de la côte de l'Île-de-France à la côte de Champagne / Vegetal economy and agricultural practices during late Bronze age and early Iron age, between Île-de-France cuesta and Champagne cuesta

Ferrage, Françoise 01 July 2013 (has links)
Les âges du Bronze final et du premier Fer constituent, pour la Champagne, une phase d'expansion des installations humaines. C'est également au Bronze final que se généralise, à l'échelle européenne, l'adoption de nouvelles plantes cultivées, les millets, l'épeautre, l'ers, la féverole et la caméline. L'étude carpologique de 21 sites localisés dans la Plaine de Troyes, le Pays remois et la Bassée, livre des informations sur l'agriculture qui accompagne cette expansion, et sur la façon dont elle intègre les changements observés à l'échelle européenne. Dès le début du Bronze final, une agriculture diversifiée est en place. Elle inclue les nouvelles plantes, qui prennent une part importante aux productions régionales basées sur l'orge vêtue, le millet commun, et les blés vêtus, dont l'épeautre et le «new» glume wheat, blé jusqu'alors inconnu en France. La lentille, l'ers et la caméline jouent un rôle notable, complémentaire à celui des céréales. L'agriculture est stable pendant les 9 siècles étudiés. Les parcelles sont cultivées de manière permanente et plutôt intensive, sans baisse de la fertilité des sols. Une expansion des espaces pâturés est probable au cours du premier âge du Fer, peut-être sous forme de jachères. Les systèmes de culture semblent capables de répondre aux besoins de subsistance et de se perpétuer. Des pratiques sociales de repas collectifs sont attestées. Les différences qui existent entre les productions végétales, selon les secteurs géographiques, peuvent être liées aux contraintes du milieu, ou à certaines affinités culturelles. / Late Bronze Age and Early Iron Age are for the Champagne area an expansion phase of human facilities. It is also during Late Bronze age that generalizes, at European level, adoption of new crops, millets, spelt, bitter vetch, field bean and gold of pleasure.The archaeobotanical study of 21 sites located in the plain of Troyes, the area of Reims and the Upper Seine Valley provides information on agriculture, which accompanies this expansion, and how it incorporates the changes observed in Europe. From the beginning of Late Bronze Age, diversified agriculture is in place. It includes the new plants, which take an important part in regional productions based on hulled barley, broomcorn millet, hulled wheats, including spelt and the "new" glume wheat, previously unknown in France. Lens, bitter vetch and go Id of pleasure play a significant role, complementary to that of cereals. Agriculture is stable during the 9 centuries investigated. Plots are cultivated permanently and rather intensively, without loss of soil fertility. An expansion of pasture areas is likely during early Iron Age, perhaps as fallows. Ability to produce surpluses seems low, but production systems are able to meet subsistence needs, and perpetuate. Mobilizing surplus in social practices of collective feasting is also likely. Crops show differences between geographical areas, in part related to the characteristics of the environment, but perhaps also due to some cultural affinities.

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