• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 4
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 6
  • 4
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

L’économie végétale des agglomérations gallo-romaines de Beaune-la-Rolande, Châteaubleau et Châteaumeillant / Vegetable economy of gallo-romans small towns : Beaune-la-Rolande, Châteaubleau and Châteaumeillant

Jedrusiak, Florian 10 December 2016 (has links)
Le but premier de ce travail est de préciser l’importance des productions végétales au sein des agglomérations secondaires gallo-romaines du centre bassin parisien. Le corpus est motivé par des choix chronologiques et géographiques : l’ensemble des sites est localisé au sein du bassin parisien et occupé entre le Ier et le Ve siècle ap. J.-C. Qu’entendons-nous par productions végétales ? Nous percevons trois cas différents : les productions végétales agricoles et donc alimentaires, que nous retrouvons par exemple dans les contextes urbains sous la forme des céréales produites, en l’état actuel de nos connaissances, dans les exploitations agricoles ; les productions vivrières, toujours alimentaires, produites directement dans les agglomérations (comme les potagers et les vergers) ; les productions végétales qui servent non pas à l’alimentation mais à l’artisanat. C'est le cas du bois du noisetier en vannerie. Le raisonnement autour des productions vivrières est une question centrale : que produisaient les urbains ? Où ? Quelle pouvait être l’importance de ces productions végétales alimentaires ? Afin d'y répondre, notre réflexion se porte sur les espaces non couverts des agglomérations secondaires. Il est certain en effet que la mise en culture des espèces végétales potagères et fruitières nécessite une source de lumière : elle n’est donc praticable que dans des espaces non couverts ou « non bâtis ». / The original intention of this work is to specify the importance of the vegetable productions within the Gallo-Roman small town of the center Paris region. The corpus is justified by chronological and geographical choices: the whole of the sites is localised within the Paris region and occupied between 1th and 5 th century. What we hear by vegetable productions ? We perceive three different cases : vegetable productions agricultural and thus food; productions food, directly produced in the small town (like the kitchen gardens and the orchards); the vegetable productions which are used not for the food but for the craft industry. The reasoning around the food productions is a key question : what produced the urban? Where? Which could be the importance of these vegetable food productions ? In order to answer it, our reflexion goes on not covers spaces of the small towns.
2

Agriculture et alimentation végétale en milieu montagnard durant le Néolithique : nouvelles données carpologiques dans les Alpes françaises du Nord

Martin, Lucie 30 September 2010 (has links) (PDF)
Depuis quelques années, plusieurs fouilles archéologiques dans les Alpes françaises du Nord ont révélé la présence de macrorestes végétaux, dont de nombreuses graines carbonisées de plantes sauvages et cultivées. L'analyse carpologique porte sur trois sites néolithiques en cours de fouille et une fouille menée auparavant. Il s'agit de l'abri sous roche de la Grande-Rivoire à Sassenage, dans le massif du Vercors (Isère) ; du site de plein air du Chenet des Pierres à Bozel, dans la vallée de la Tarentaise (Savoie) ; de la grotte des Balmes à Sollières-Sardières dans la Haute-Maurienne (Savoie) et de l'abri sous bloc ALP 1 de l'Aulp du Seuil, à Saint-Bernard-du-Touvet dans le massif de la Chartreuse (Isère). La problématique générale de ce travail est de définir, par ces nouvelles analyses et les connaissances disponibles, la façon dont les communautés humaines tiraient profit de leurs ressources végétales, cultivées ou sauvages, pour subvenir à leur besoin. Ce travail permet de répondre notamment à plusieurs interrogations sur la gestion de l'environnement végétal par l'homme au Néolithique, dans un contexte montagnard. Dans cette région aux biotopes variés et étagés, nous avons mis en évidence l'importance des céréales sur deux sites, et la possibilité de cultures en altitude. La cueillette, qui tient également une place importante, est pratiquée sur un large territoire, couvrant plusieurs étages de végétation. L'analyse carpologique de niveaux de bergerie nous permet de comprendre la façon dont les hommes géraient les ressources végétales pour l'entretien du bétail. Plusieurs taxons, comme les céréales, le sapin, le gui et l'if ont été reconnus pour leur usage vétérinaire et sanitaire. Enfin les données carpologiques contribuent à la compréhension de la fonction et de l'occupation des sites au sein du territoire alpin en fonction de la production et/ou de la consommation de plantes cultivées, d'un apport de la plaine ou encore de l'importance de la cueillette.
3

Émergence, développement et diversification de l'arboriculture en Grèce du Néolithique à l'époque romaine : confrontation des données archéobotaniques, morphométriques, épigraphiques et littéraires / Origins, development and diversification of arboriculture in Greece from the Neolithic to the Roman period : comparison of data from archaeobotany, morphometry, epigraphy and written documents

Pagnoux, Clemence 29 June 2016 (has links)
L'histoire de l'arboriculture en Grèce est encore mal connue et seuls la vigne et l'olivier ont bénéficié d'un intérêt de longue date. L'objectif de ce travail est de comprendre les processus de mise en culture des arbres fruitiers en Grèce entre le Néolithique et l'époque romaine. Pour ce faire, le matériel carpologique (restes de graines et de fruits) publié de 56 sites a été pris en compte dans une synthèse. Les mentions de fruits et de fruitiers ont été inventoriées dans les documents épigraphiques en grec mycénien et classique, ainsi que dans les textes d'auteurs antiques. Une étude de morphométrie géométrique a été réalisée sur les pépins de vigne et les noyaux d'olive archéologiques. La confrontation de ces sources révèle une évolution du cortège des fruitiers utilisés : vigne, olivier et figuier dominent à toutes les périodes, l'importance de certains fruits sauvages décroît après l'âge du Bronze et nouveaux fruits sont alors introduits. Les premières vignes domestiques apparaissent à l'âge du Bronze, tandis qu'une même forme sélectionnée d'olivier est présente du Bronze ancien à l'époque romaine. Les premières formes d'arboriculture (haies, lisières et parcelles en partie défrichées) sont complétées, au Bronze récent, par des plantations de fruitiers. De grands vignobles apparaissent à l'époque classique, et l'époque romaine voit se développer une agriculture plus spécialisée où le souci du rendement se fait jour dans les traités d'agriculture comme dans la recherche de nouvelles variétés de vigne et d'olivier. Enfin, le recours à des formes peu sélectionnées ainsi que l'intégration de fruitiers sauvages aux cultures se maintiennent jusqu'à la période romaine. / Little is known concerning the history of arboriculture in Greece; only the grapevine and the olive tree have been a subject of interest for a long time. The aim of this work is to understand how fruit trees were cultivated in Greece between the Neolithic and the Roman period. This is why published archaeobotanical data (seeds and fruits) from 56 sites were taken into account in our synthesis. A survey of all references to fruits and fruit trees in epigraphic documents (Mycenaean and classic Greek) and in ancient authors has also been achieved. Archaeological pips and stones were submitted to Geometric Morphometry. Our approach reveals how fruit trees were used from the Neolithic up to the Roman period; while the grapevine, the olive tree and the fig tree predominate ail the time, it is clear that the importance of certain wild fruits decreases after the Bronze Age as new others are introduced. The first domesticated grapevines appear during the Bronze Age while a single selected variety of olive tree is present from the early Bronze Age to the Roman period. The first manifestations of arboriculture concern woodland edges and partially cleared land plots, real fruit tree plantations appear during the late Bronze Age, at the latest. Extensive vineyards appear during the Classical period, while a more specialized agriculture aiming at maximum profit characterizes the Roman period, as testified by the works on agronomy and the search for new varieties of olives and grapevines. Despite the search for higher yields, the use of less selected domesticates and wild fruits remains a reality until the roman period.
4

Reconstruction of environments and plant use in Holocene Southern Africa : study of macrobotanical remains from Late Stone Age sites of Toteng (Botswana), Leopard Cave and Geduld (Namibia) / Reconstruction de l'environnement et des usages des plantes en Afrique australe pendant l'Holocène : étude de restes macrobotaniques provenant de sites du Late Stone Age de Toteng (Botswana), Leopard Cave et Geduld (Namibie)

Mvimi, Malebogo 06 June 2019 (has links)
A travers l'analyse de matériel macrobotanique (charbon et graines / fruits) issus de trois sites majeurs du Later Stone Age (LSA) d'Afrique australe, cette étude s'intéresse à reconstituer les conditions environnementales durant l'Holocène dans la région, en particulier au cours des deux à trois derniers millénaires. L'étude de ce matériel, accompagné de la constitution d'une collection moderne de références de la végétation du bassin Kgalagadi, vise à mieux cerner l'impact quel'environnement a pu avoir sur les sociétés humaines (subsistance, peuplements, etc.) à une période-clé du (LSA), qui marque l'émergence des pratiques pastorales dans la région. L'étude des environnements est ici primordiale pour interpréter les conditions qui ont pu favoriser l'arrivée de ces premiers éleveurs et leurs lieux d'installation. En complément, une approche ethnographique a été menée, en travaillant avec les communautés locales dans la région de l'Erongo en Namibie, qui peuvent aider à comprendre et reconstituer les pratiques passées d'utilisation de la végétation. / Through macrobotanical (wood charcoal and seeds / fruit) analysis from three major Later Stone Age (LSA) sites located in the Kgalagadi Basin in southern Africa, this study is interested in reconstructing the environmental conditions during the Holocene in the region, in particular in the last two to three millennia. Initially this work couples archaeological macrobotanical analysis with the construction of modern reference material in an effort to trace the environmental / vegetal evolution as well as to comprehend socio-ecological and socio-environmental dynamics in Southern Africa during the late Holocene. The scope of this study covers the period spanning the last 3000-2000 years, with the main objective of understanding what relationships humans had with their environment at a time linked with the arrival or the appearance of the first herding practices in that part of Africa. These herding practices are believed to be accompanied by significant human movement from eastern or central Africa southwards. Favourable environmental conditions may have influenced their routes as well as settlement choices, and these are aspects that this archaeobotanical study aims to address. This study also employed an ethnographic approach, working with local communities in the Erongo region of Namibia, so as to make inferences to past vegetation utilisation practices while at the same time discerning and reconstituting past human activities.
5

Economie végétale et pratiques agricoles au Bronze final et au premier âge du Fer, de la côte de l'Île-de-France à la côte de Champagne.

Toulemonde, Françoise 01 July 2013 (has links) (PDF)
Les âges du Bronze final et du premier Fer constituent, pour la Champagne, une phase d'expansion des installations humaines. C'est également au Bronze final que se généralise, à l'échelle européenne, l'adoption de nouvelles plantes cultivées, les millets, l'épeautre, l'ers, la féverole et la caméline. L'étude carpologique de 21 sites localisés dans la Plaine de Troyes, le Pays remois et la Bassée, livre des informations sur l'agriculture qui accompagne cette expansion, et sur la façon dont elle intègre les changements observés à l'échelle européenne. Dès le début du Bronze final, une agriculture diversifiée est en place. Elle inclue les nouvelles plantes, qui prennent une part importante aux productions régionales basées sur l'orge vêtue, le millet commun, et les blés vêtus, dont l'épeautre et le "new" glume wheat, blé jusqu'alors inconnu en France. La lentille, l'ers et la caméline jouent un rôle notable, complémentaire à celui des céréales. L'agriculture est stable pendant les 9 siècles étudiés. Les parcelles sont cultivées de manière permanente et plutôt intensive, sans baisse de la fertilité des sols. Une expansion des espaces pâturés est probable au cours du premier âge du Fer, peut-être sous forme de jachères. Les systèmes de culture semblent capables de répondre aux besoins de subsistance et de se perpétuer. Des pratiques sociales de repas collectifs sont attestées. Les différences qui existent entre les productions végétales, selon les secteurs géographiques, peuvent être liées aux contraintes du milieu, ou à certaines affinités culturelles.
6

Economie végétale et pratiques agricoles au Bronze final et au premier âge du Fer, de la côte de l'Île-de-France à la côte de Champagne / Vegetal economy and agricultural practices during late Bronze age and early Iron age, between Île-de-France cuesta and Champagne cuesta

Ferrage, Françoise 01 July 2013 (has links)
Les âges du Bronze final et du premier Fer constituent, pour la Champagne, une phase d'expansion des installations humaines. C'est également au Bronze final que se généralise, à l'échelle européenne, l'adoption de nouvelles plantes cultivées, les millets, l'épeautre, l'ers, la féverole et la caméline. L'étude carpologique de 21 sites localisés dans la Plaine de Troyes, le Pays remois et la Bassée, livre des informations sur l'agriculture qui accompagne cette expansion, et sur la façon dont elle intègre les changements observés à l'échelle européenne. Dès le début du Bronze final, une agriculture diversifiée est en place. Elle inclue les nouvelles plantes, qui prennent une part importante aux productions régionales basées sur l'orge vêtue, le millet commun, et les blés vêtus, dont l'épeautre et le «new» glume wheat, blé jusqu'alors inconnu en France. La lentille, l'ers et la caméline jouent un rôle notable, complémentaire à celui des céréales. L'agriculture est stable pendant les 9 siècles étudiés. Les parcelles sont cultivées de manière permanente et plutôt intensive, sans baisse de la fertilité des sols. Une expansion des espaces pâturés est probable au cours du premier âge du Fer, peut-être sous forme de jachères. Les systèmes de culture semblent capables de répondre aux besoins de subsistance et de se perpétuer. Des pratiques sociales de repas collectifs sont attestées. Les différences qui existent entre les productions végétales, selon les secteurs géographiques, peuvent être liées aux contraintes du milieu, ou à certaines affinités culturelles. / Late Bronze Age and Early Iron Age are for the Champagne area an expansion phase of human facilities. It is also during Late Bronze age that generalizes, at European level, adoption of new crops, millets, spelt, bitter vetch, field bean and gold of pleasure.The archaeobotanical study of 21 sites located in the plain of Troyes, the area of Reims and the Upper Seine Valley provides information on agriculture, which accompanies this expansion, and how it incorporates the changes observed in Europe. From the beginning of Late Bronze Age, diversified agriculture is in place. It includes the new plants, which take an important part in regional productions based on hulled barley, broomcorn millet, hulled wheats, including spelt and the "new" glume wheat, previously unknown in France. Lens, bitter vetch and go Id of pleasure play a significant role, complementary to that of cereals. Agriculture is stable during the 9 centuries investigated. Plots are cultivated permanently and rather intensively, without loss of soil fertility. An expansion of pasture areas is likely during early Iron Age, perhaps as fallows. Ability to produce surpluses seems low, but production systems are able to meet subsistence needs, and perpetuate. Mobilizing surplus in social practices of collective feasting is also likely. Crops show differences between geographical areas, in part related to the characteristics of the environment, but perhaps also due to some cultural affinities.

Page generated in 0.0265 seconds