Spelling suggestions: "subject:"central neuropathic pain"" "subject:"dentral neuropathic pain""
1 |
Evaluation and Characterisation of the Thermal Grill Apparatus for Spinal Cord Injury PatientsKostka, Dianw 12 December 2011 (has links)
Patients suffering from central neuropathic pain have thermal sensory deficits within the painful area. Prior research proposed that the loss of thermal sensation in regions of central neuropathic
pain may reflect similar central nervous system interaction between warm and cold sensory inputs that underlie the Thermal Grill Illusion (TGI) in which burning pain is felt while reduced warm/cold sensations are reported.
This work presents a portable and reliable device that was used to systematically evaluate the characteristics of the TGI in healthy individuals. The results suggest that the spatial distribution of the warm and cool stimuli significantly affected the quality of perceived TGI. Additionally, simultaneous tactile and thermal stimulation was shown to be significantly less painful than thermal stimulation alone. A high correlation was also seen in the subject‘s TG intensity scores and their cold pain threshold. These results are useful for future TGI studies for central neuropathic pain.
|
2 |
Evaluation and Characterisation of the Thermal Grill Apparatus for Spinal Cord Injury PatientsKostka, Dianw 12 December 2011 (has links)
Patients suffering from central neuropathic pain have thermal sensory deficits within the painful area. Prior research proposed that the loss of thermal sensation in regions of central neuropathic
pain may reflect similar central nervous system interaction between warm and cold sensory inputs that underlie the Thermal Grill Illusion (TGI) in which burning pain is felt while reduced warm/cold sensations are reported.
This work presents a portable and reliable device that was used to systematically evaluate the characteristics of the TGI in healthy individuals. The results suggest that the spatial distribution of the warm and cool stimuli significantly affected the quality of perceived TGI. Additionally, simultaneous tactile and thermal stimulation was shown to be significantly less painful than thermal stimulation alone. A high correlation was also seen in the subject‘s TG intensity scores and their cold pain threshold. These results are useful for future TGI studies for central neuropathic pain.
|
3 |
Étude Pharmacologique de la Douleur Neuropathique Centrale à la suite d'une Hémorragie Intrathalamique induite chez le Rat.Castel, Aude 03 1900 (has links)
La douleur neuropathique centrale post accident vasculaire cérébral est une condition débilitante dont le traitement s’avère souvent délicat et infructueux. Le but de ce projet était de reproduire cette condition chez le rat en injectant par stéréotaxie une solution de collagènase produisant une hémorragie localisée dans le noyau ventropostérolatéral du thalamus. Des tests comportementaux évaluant la coordination motrice, la sensibilité mécanique, au chaud et au froid étaient réalisés régulièrement afin d’établir la présence de douleur neuropathique puis les effets de l’administration de kétamine, d’amitriptyline, de gabapentine, et de carbamazepine étaient évalués. L’induction d’une hémorragie
intrathalamique conduit à l’apparition d’allodynie mécanique bilatérale persistante ainsi que d’allodynie au froid transitoire chez certains sujets et ce sans modification de la coordination motrice.
L’administration de kétamine à forte dose renverse l’allodynie mécanique mais est associée à une altération de la motricité. L’administration de gabapentine renverse également cette allodynie mécanique sans effet notable sur la coordination motrice. Les autres médicaments n’ont pas démontré d’effet significatif.
L’évaluation histopathologique des cerveaux montre une lésion bien localisée dans la zone d’intérêt.
Ces résultats montrent que l’injection intrathalamique de collagénase peut être utilisée comme un modèle fiable de douleur neuropathique centrale. Si la kétamine semble capable de soulager ce type de douleur, elle est associée à des effets indésirables. En revanche, la gabapentine serait une molécule prometteuse pour le traitement de cette condition. Le rôle des récepteurs NMDA et des canaux calciques voltage dépendants, cibles respectives de la kétamine et de la gabapentine dans le maintien de cette douleur mérite d’être précisé. / Central post stroke pain is a debilitating condition for which treatment is often difficult and unsuccessful.
The goal of this project was to reproduce an animal model of this condition by performing a
stereotaxic injection of collagenase solution inducing a localized hemorrhage within the ventroposterolateral
thalamic nuclei of rats. Behavioral tests to evaluate motor coordination, sentivity to mechanical,
hot and cold stimuli were performed regurlarly to establish if neuropathic pain was present. Then,
the effects of ketamine, amitriptyline, gabapentin and carbamazepine on such pain were evaluated. Induction
of an intrathalamic hemorrhage produced bilateral persistent mechanical allodynia as well as
transient cold allodynia in some animals without notable changes in motor coordination. High doses of
ketamine did reverse mechanical allodynia but with significant impairment in motor coordination. Similarly
gabapentin also reversed mechanical allodynia without undesirable effect on coordination. The
others two drugs failed to show any significant effect. Histopathological evaluation of the brain revealed
a well localized lesion in the area of interest.
These results show that an intrathalamic collagenase injection produced a reliable model of central
neuropathic pain. Ketamine was able to reverse mechanical allodynia but with significant side effects.
Gabapentin appeared to be a promising drug for the treatment of this condition. The role of
NMDA receptors and voltage dependant calcium channels, that target ketamine and gabapentin respectively
in the maintenance of this pain, needs to be further defined.
|
4 |
Étude Pharmacologique de la Douleur Neuropathique Centrale à la suite d'une Hémorragie Intrathalamique induite chez le RatCastel, Aude 03 1900 (has links)
No description available.
|
5 |
L'effet antalgique de stimulations corticales non invasives par stimulation magnétique transcrânienne répétée (rTMS). : Confirmation de l'intérêt antalgique de la stimulation du cortex moteur primaire et exploration du potentiel d'une nouvelle cible corticale : le cortex somatosensoriel secondaire / The analgesic effect of non-invasive cortical stimulations by repeated transcranial magnetic stimulation (rTMS) : The analgesic interest of primary motor cortex stimulation and the potential of a new cortical target : the secondary somatosensory cortexQuesada, Charles 05 December 2018 (has links)
La douleur neuropathique centrale est une séquelle fréquente après une atteinte du système nerveux centrale. L’impact négatif de ces douleurs sur la qualité de vie des patients ainsi que l’efficacité modérée (40% de répondeurs) des traitements de 1ère intention font de la recherche de thérapies alternatives un enjeu clinique majeur. Depuis plusieurs années, la technique de stimulation magnétique transcrânienne répétée (rTMS) est présentée comme un outil intéressant pour soulager ce type de douleur sans pour autant que son efficacité clinique n’ait été clairement démontrée. Ce travail de thèse s’attache donc à investiguer l’efficacité de la rTMS pour traiter les douleurs neuropathiques centrales. Nous avons dans un premier temps mis en évidence, dans une étude observationnelle, qu’un minimum de 4-5 séances sur deux mois de rTMS à 20HZ sur le cortex moteur primaire (M1) produit un soulagement de la douleur pouvant se maintenir même après une année de stimulation. Afin d’écarter un possible effet placebo, nous avons objectivé l’efficacité antalgique en répliquant ce protocole dans une étude clinique randomisée, contrôlée, en groupes croisés. Les résultats obtenus confirment ceux de l’étude observationnelle puisque que l’effet antalgique de la rTMS active était significativement supérieure à la stimulation placebo pour le critère principal (% de soulagement, +33%) ou l’intensité douloureuse (EVA, -19%), avec 47% de répondeurs. Pour les patients non-répondeurs à la stimulation de M1, nous avons également testé contre placebo, dans une étude randomisée, l’efficacité d’une cible alternative : le cortex somesthésique secondaire (S2). Aucun des patients n’a été soulagé par cette stimulation mais le faible effectif de cette étude ne nous permet pas de conclure définitivement à l’absence d’effet antalgique. Enfin, compte tenu de l’utilisation croissante de nouvelles cibles corticales plus profondes, nous avons à partir de l’enregistrement du champ-magnétique produit par la rTMS dans différents milieux (l’air et modèle ex-vivo), proposé un modèle de distribution de ce champ selon la profondeur de la cible et le type de sonde de stimulation utilisé. Pour conclure, ces travaux objectivent l’effet antalgique de 4 séances de rTMS à 20Hz de M1 sur les douleurs neuropathiques centrales, validant ainsi son utilisation lorsque les traitements de 1ère intention ont échoué. Les résultats obtenus par la stimulation de S2 ainsi que par la modélisation du champ magnétique doivent permettre à de futures études d’explorer de nouvelles cibles corticales pour les patients qui restent encore en échec de traitement. / Central neuropathic pain is a common sequelae after central nervous system injury. Its negative consequences on the quality of life and the moderate efficacy (40% of responders) of first-line treatments make the search for alternative therapies a major clinical challenge. For several years, the technique of repeated transcranial magnetic stimulation (rTMS) is presented as an interesting tool to relieve this sort of pain even though its clinical efficacy has not been clearly demonstrated. The aim of this thesis was to investigate the effectiveness of rTMS to relieve central neuropathic pain.We first demonstrated, in an observational study, that a minimum of 4-5 sessions over two months of rTMS at 20HZ on the primary motor cortex (M1) produces pain relief that can be maintained even after a year of stimulation. In order to rule out a possible placebo effect, we objectified the analgesic efficacy by replicating this protocol in a randomized, controlled, cross-over clinical study. The results obtained confirm those of the observational study since the analgesic effect of the active rTMS was significantly greater than the placebo stimulation for the main criterion (% of pain relief, +33%) or pain intensity (VAS, -19%), with 47% of responders. For patients who did not respond to M1 stimulation, we also tested the efficacy of an alternative target in a randomized study: the secondary somatosensory cortex (S2). None of the patients were relieved by this stimulation, but the small size of this study does not allow us to definitively conclude that there is no analgesic effect. Finally, given the increasing use of new deeper cortical targets in rTMS for pain treatment, we have from the recording of the magnetic field produced by the rTMS in different media (air and ex-vivo model), proposed a magnetic-field distribution model according to the depth of the target and the type of stimulation coils used.To conclude, this work objectify the analgesic effect of 4 rTMS sessions at 20 Hz of M1 to relieve central neuropathic pain, validating its use when first-line treatments have failed. The results obtained by S2 stimulation as well as magnetic field modeling should allow future studies to explore new cortical targets for patients who are still failing treatment
|
Page generated in 0.1174 seconds