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La CEQ à l'intérieur du mouvement ouvrier québécois : 1970-1978

Verroeulst, Daniel 16 February 2024 (has links)
« Thèse présentée à l'École des gradués de l'Université Laval pour l'obtention du grade de maître ès art (M.A.) » / « Axée sur le discours idéologique de la Centrale de l'enseignement du Québec durant les années 1970-1978 , cette recherche a pour objectif de dégager les prémisses d'un projet sociétal possible, et d'établir son degré de cohérence compte tenu du rôle d'agent de transformation sociale de la centrale et des moyens mis en œuvre pour la réalisation d'un tel projet. Cette recherche est descriptive et analytique. Le modèle d'analyse retenu pour atteindre son objectif consiste en une approche tridimensionnelle de l'idéologie telle que développée par Louis-Marie Tremblay dans son ouvrage: Le syndicalisme québécois: Idéologies de la C.S.N. et de la F.T.Q. 1940-70; Montréal, P.U.M., 1972, 286 pages. A titre de facteurs de développement de son idéologie, la structure socio-politique de la centrale et l'environnement formé par les contextes économique, politique, législatif et ouvrier des relations de travail retiennent particulièrement l'attention. Pour l'un, la structure socio-politique est responsable de ses grandes orientations et de ses grands objectifs en ce domaine. Ses instances décisionnelles sont: Le Congrès Général, le Conseil Général et le Bureau National où se situe la majeure partie de notre bibliographie. L'étape suivante consiste en une analyse serrée de son discours où les principaux points concernés sont: La définition que la centrale se donne d'elle-même, ses grands objectifs et ses grands mandats, la perception qu'elle a des principales composantes de son environnement: L'état, le patronat, les autres organisations syndicales, les femmes et les groupes populaires et enfin les rapports qu'elle entretient avec celles-ci. A ce sujet, nous voyons comment la centrale identifie ses alliés potentiels et comment elle tente de les organiser en vue d'une action commune dirigée essentiellement contre l'état. Puis, nous passons à une troisième étape qui comprend une délimitation de sa pensée économique, politique et socio-culturelle. Les auteurs particulièrement concernés par les fondements de cette pensée, sont Nicos Poulantzas et Antonio Gramsci. Dans notre conclusion, l'exposition des éléments qui nous ont semblé les plus pertinents en regard de nos objectifs et de nos postulats de départ amène à conclure que la conception organiciste des relations industrielles telle que formulée par J.T. Dunlop et A. Flanders demeure insuffisante pour rendre compte de certains changements structuraux possibles et de ses mécanismes d'adaptation. En effet, se basant sur la division de la structure sociale en deux classes fondamentales, la centrale combat pour s'assurer un meilleur contrôle sur l'ensemble des rapports entre ces deux classes; c'est-à-dire sur les rapports de production. En ceci, elle vise particulièrement l'état qui exerce en lui-même, dans son appareillage, des rapports de production et une division du travail propre au système économique capitaliste, et qui, en même temps, assure la reproduction future de ces rapports et de cette division par le biais de ses institutions dont le système scolaire en particulier. »--Pages i-ii
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Le Conseil général de la CEQ et l’arrimage de l’éducation à la souveraineté du Québec, 1990-1995.

Derradji, Fabrice 03 1900 (has links)
Notre doctorat est une recherche sur l’histoire du syndicalisme enseignant au Québec durant la première moitié des années 1990. Plus précisément, du Congrès de la Centrale des enseignants du Québec (CEQ) de juin 1990 à la convocation par le ministre de l’Éducation du gouvernement Parizeau des États généraux sur l’éducation en mars 1995. Notre recherche s’efforce de poser des jalons pour une première histoire critique du syndicalisme des enseignants à construire dans son rapport à l’histoire de l’éducation selon un constat initial que la première est sous-évaluée, voire largement invisible dans divers champs des sciences humaines et sociales (Relations industrielles, sociologie et histoire). La CEQ est la centrale syndicale des fédérations et des syndicats locaux représentant des enseignantes et des enseignants du Québec (des secteurs primaire, secondaire, collégial et même universitaire) et des professionnels de l’enseignement (animateurs de pastorale à l’époque). L’organe décisionnel de la CEQ est le Congrès national qui se réunit tous les deux ans ; l’application des décisions du Congrès se fait à la fois par le Bureau national (Conseil exécutif à partir de juin 1992) et le Conseil général des délégués de toutes les fédérations et de tous les syndicats locaux affiliés à la Centrale. Cette agora syndicale, qui se réunit six fois par année, est le cœur de la vie démocratique, tumultueuse, de la Centrale syndicale et étudie tous les rapports, les documents, les analyses, etc., qui lui sont soumis par le Bureau national / Conseil exécutif, l’unité de recherche de la CEQ ou divers comités. Dans un premier temps, notre thèse aborde le fait que le syndicalisme enseignant québécois est un objet historique inachevé et inabouti. Notre démarche tente de répondre à ce lien problématique entre historiographie et histoire. Puis, elle propose de nouveaux jalons pour une étude critique de cette histoire, notamment sur l’échec de la première tentative d’arrimage syndical de l’éducation à la souveraineté du Québec de 1977 à 1984. Mais alors, comment une centrale syndicale a-t-elle pu évoluer d’une opposition d’inspiration marxiste à toute tentative de réforme imposée de l’éducation et à un projet de souveraineté considéré comme conservateur et « capitaliste » portée par le PQ en 1977-1985 à iii une proposition d’une réforme globale, néolibérale, de l’éducation et un soutien à une souveraineté « sociale-démocrate » portée par le même parti politique en 1994-1995 ? Pour expliquer et comprendre ce paradoxe historique, nous allons étudier les nouvelles orientations stratégiques de la CEQ à partir du Congrès de juin 1990. Puis, dans un second temps, à partir d’archives syndicales – les procès-verbaux des réunions des délégués syndicaux au Conseil général de la CEQ –, notre étude historique porte sur le second arrimage de l’éducation fait par la Centrale à la conquête de la souveraineté du Québec, et particulièrement le rôle que joua le Conseil général des délégués syndicaux quant à la définition de quatre positions : 1) la question de la déconfessionnalisation, puis de la laïcité du système éducatif québécois ; 2) l’élaboration de la politique d’éducation interculturelle ; 3) les enjeux politiques et stratégiques autour de la définition de la souveraineté du Québec ; 4) le tournant participatif et la proposition d’une réforme globale de l’éducation au Québec. Enfin, notre recherche historique nous amène à décrire les mémoires syndicales enseignantes qui font de la CEQ une centrale syndicale si particulière dans l’histoire du mouvement ouvrier québécois. / Our thesis is a research on the history of teacher unionism in Quebec during the first half of the 1990s. More specifically, from the Congress of the Central Teachers of Quebec (CEQ) in June 1990 to the convocation by the Minister of Education of the Parizeau government of the Estates General on education in March 1995. Our research endeavors a milestone for a first critical history of teacher unionism to be constructed in its relationship to the history of education according to an initial observation that it is undervalued, even largely invisible in various fields of the humanities and social sciences (industrial relations, sociology and history). The CEQ is the central union of local federations and unions representing teachers in Quebec (primary, secondary and college and even university) and teaching professionals (pastoral animators at the time). The decision-making body of the CEQ is the National Congress which meets every two years; the application of the decisions of the Congress is done both by the National Office (Executive Council from June 1992) and the General Council of delegates of all the federations and all the local unions affiliated to the Centrale. This union agora, which meets six times a year, is the heart of the democratic, tumultuous life of the CEQ and studies all the reports, documents, analyzes, etc., which are submitted to it by the National Office / Executive Council, CEQ research unit or various committees. First, our thesis tackles the fact that Quebec teacher unionism is an unfinished and unfinished historical object. Our approach attempts to respond to this problematic link between historiography and history. Then, she proposed new milestones for a critical study of this history, in particular the failure of the first attempt to tie education to the sovereignty of Quebec from 1977 to 1984. But then, how was a Teacher Union able to evolve from an opposition of Marxist inspiration to any attempt at imposed reform of education and to a project of sovereignty considered as conservative and "capitalist" carried by the PQ in 1977-1985 to a proposal for a v comprehensive, neoliberal reform of education and support for a “social democratic” sovereignty carried by the same political party in 1994-1995? To explain and understand this historical paradox, we will study the new strategic orientations of the CEQ from the Congress of June 1990. Then, in a second step, from union archives - the minutes of the meetings of union delegates to the General Council of the CEQ -, our historical study relates to the second, the linkage of education made by the Centrale to the conquest of Quebec sovereignty, and in particular the role played by the General Council of union representatives in defining four positions: 1) the issue of deconfessionalization, then the secularity of the Quebec education system; 2) the development of intercultural education policy; 3) the political and strategic issues around the definition of Quebec sovereignty; 4) the participatory turning point and the proposal for a comprehensive education reform in Quebec. Finally, our historical research leads us to describe the teaching union memories that make the CEQ a special union organization in the history of the Quebec labor movement.
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Une proposition d'école à tendance contre-hégémonique : le discours de la C.E.Q., 1970-1980

Anadon, Marta 25 April 2018 (has links)
Notre problématique de recherche découle de nos préoccupations relatives à la nature et au fonctionnement du discours syndical enseignant sur la scène éducative du Québec de la décennie soixante-dix. Comment la Centrale de l'enseignement du Québec a-t-elle participé au débat sur l'école québécoise? Comment expliquer qu'une centrale syndicale soit intervenue dans l'élaboration de politiques scolaires? Comment expliquer que ce discours ait circulé au sein de la société québécoise? Comment expliquer que ce discours ait connu une telle diffusion? Comment se situe-t-il par rapport au discours de l'Etat sur le sujet? Autant de questions qu'il nous importait d'élucider pour comprendre l'émergence et la diffusion de ce discours syndical. A ces fins, la démarche de recherche que nous avons privilégiée nous a amenée, dans un premier temps, à situer notre objet d'étude dans la problématique générale de la sociologie de l'éducation et, plus particulièrement, en regard des théories de la reproduction. Si nous avons souligné l'intérêt de ces travaux pour l'analyse de l'institution scolaire, nous avons également constaté qu'ils ne nous permettent pas de comprendre l'émergence d'un nouveau discours qui se détache de l'idéologie dominante, tel celui de la C.E.Q.. Nous nous sommes alors tournée vers la pensée gramscienne qui permet non seulement d'identifier les mécanismes politiques et idéologiques avec lesquels opèrent les classes dominantes, mais aussi d'entrevoir les formes de lutte que les classes populaires peuvent adopter pour établir une certaine hégémonie sur les processus sociaux. Par ailleurs, comme il s'agissait pour nous d'aborder l'affrontement idéologique entre la Centrale et le Ministère à partir d'une analyse des discours sur l'école québécoise et ce, afin de comprendre les rapports entre pédagogie et politique, il nous fallait développer notre réflexion sur la mise en oeuvre des phénomènes idéologiques dans les discours. Nous avons examiné les pratiques de recherche dans le domaine de l'analyse de discours afin de nous donner les moyens méthodologiques qui nous permettraient de faire une lecture capable d'aller au-delà de la lecture interprétative classique qui caractérise les analyses de textes en sociologie. En nous démarquant de l'analyse de contenu classique et en nous inspirant des travaux issus de la linguistique et de la sémiotique, nous avons tenté de prendre en compte la problématique complexe des discours, de l'analyser et de surmonter les obstacles qu'une telle analyse rencontre, eu égard à la diversité des contraintes linguistiques et extra-linguistiques. A la suite de l'analyse de chacun des appareils caractérisant la matière langagière, soit l'argumentatif, l'énonciatif et le narratif, nous avons proposé, entre autres, les interprétations suivantes: dans une société libérale comme celle du Québec le terrain du discours politico-idéologique dominant se veut un terrain apparemment homogène, la parole politique essaie par tous les moyens d'imposer ses critères de rationalité. Au Québec, comme d'ailleurs dans toute société divisée en classes, la politique éducative de la classe au pouvoir s'exprime selon l'objectif de soustraire le champ de l'éducation de la lutte de classes, en le présentant comme étant au dessus des conflits, comme l'essence "neutre" du savoir, du développement harmonieux de l’individu, comme la "petite patrie" au service de la communauté générale. Cependant, l'émergence d'un discours comme celui de la Centrale fait tomber l'illusion de l'homogénéité sociale et peut être interprétée comme une tentative de rupture concrète d'avec le projet hégémonique de la société. Par son discours contestataire et critique, par la participation militante de ses membres et par l'adoption d'un syndicalisme combatif, la C .E.Q. a voulu jouer la fonction multiple de directrice, d'organisatrice et d'éducatrice d'une nouvelle école, d'une nouvelle société. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2015

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