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Cofree objects in the categories of comonoids in certain abelian monoidal categories

Abdulwahid, Adnan Hashim 01 August 2016 (has links)
We investigate cofree coalgebras, and limits and colimits of coalgebras in some abelian monoidal categories of interest, such as bimodules over a ring, and modules and comodules over a bialgebra or Hopf algebra. We nd concrete generators for the categories of coalgebras in these monoidal categories, and explicitly construct cofree coalgebras, products and limits of coalgebras in each case. This answers an open question in [4] on the existence of a cofree coring, and constructs the cofree (co)module coalgebra on a B-(co)module, for a bialgebra B.
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Règles de fusion pour certains modules remarquables de l’algèbre quantique Uqsl2

Robitaille-Grou, Philippe 08 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur la théorie des représentations de l’algèbre quantique Uqsl2 en q une racine de l’unité. Il étudie plus précisément certains modules de l’algèbre LUqsl2, l’extension de Lusztig de Uqsl2, lorsque q² est une p-racine primitive de l’unité pour p un entier supérieur ou égal à 2. Quatre familles de LUqsl2-modules de dimension finie, qualifiés de modules remarquables, sont identifiées : les modules simples et projectifs ainsi que les modules et comodules de Weyl. L’algèbre Uqsl2 possède une structure d’algèbre de Hopf ; cette dernière peut être étendue sur LUqsl2. L’antipode découlant de cette structure permet de définir la notion de dualité de LUqsl2-modules, à partir de laquelle sont construits les comodules de Weyl, tandis que le coproduit permet de définir le produit tensoriel de LUqsl2-modules, aussi appelé la fusion de modules. Le mémoire détermine les règles de fusion des modules remarquables : le produit tensoriel de toute paire de modules remarquables est exprimé comme une somme directe de modules indécomposables. Quoique les règles de fusion entre modules simples et projectifs aient été obtenues par Bushlanov, Feigin, Gainutdinov et Tipunin (cf. [7]), celles impliquant au moins un module ou comodule de Weyl sont nouvelles. / This thesis is devoted to the representation theory of the quantum algebra Uqsl2 for q a root of unity. More precisely it studies some modules of the algebra LUqsl2, the Lusztig extension of Uqsl2, when q² is a primitive p-root of unity for p an integer greater than or equal to 2. Four families of finite dimensional LUqsl2-modules, called remarkable modules, are identified: simple and projective modules as well as Weyl modules and comodules. The algebra Uqsl2 has a Hopf algebra structure; the latter can be extended to LUqsl2. The antipode of this structure is used to define a duality of LUqsl2-modules, from which the Weyl comodules are built, while the coproduct is used to define a tensor product of LUqsl2-modules, also called fusion of modules. This thesis determines the fusion rules of remarkable modules: the tensor product of any pair of remarkable modules is expressed as a direct sum of indecomposable modules. Although the fusion rules between simple and projective modules were obtained by Bushlanov, Feigin, Gainutdinov and Tipunin (cf. [7]), those involving at least one Weyl module or comodule are new.
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Ramification modérée pour des actions de schémas en groupes affines et pour des champs quotients

Marques, Sophie 15 July 2013 (has links) (PDF)
L'objet de cette thèse est de comprendre comment se généralise la théorie de la ramification pour des actions par des schémas en groupes affines avec un intérêt particulier pour la notion de modération. Comme contexte général pour ce résumé, considérons une base affine S := Spec(R) où R est un anneau unitaire, commutatif, X := Spec(B) un schéma affine sur S, G := Spec(A) un schéma en groupes affine, plat et de présentation finie sur S et une action de G sur X que nous noterons (X, G). Enfin, nous notons [X/G] le champ quotient associé à cette action et Y := Spec(BA) où BA est l'anneau des invariants pour l'action (X, G). Supposons de plus que le champ d'inertie soit fini.Comme point de référence, nous prenons la théorie classique de la ramification pour des anneaux munis d'une action par un groupe fini abstrait. Afin de comprendre comment généraliser cette théorie pour des actions par des schémas en groupes, nous considérons les actions par des schémas en groupes constants en se rappelant que la donnée de telles actions est équivalente à celle d'un anneau muni d'une action par un groupe fini abstrait nous ramenant au cas classique. Nous obtenons ainsi dans ce nouveau contexte des notions généralisant l'anneau des invariants en tant que quotient, les groupes d'inertie et toutes leurs propriétés. Le cas non ramifié se généralise naturellement avec les actions libres. En ce qui concerne le cas modéré, qui nous intéresse particulièrement pour cette thèse, deux généralisations sont proposées dans la littérature. Celle d'actions modérées par des schémas en groupes affines introduite par Chinburg, Erez, Pappas et Taylor dans l'article [CEPT96] et celle de champ modéré introduite par Abramovich, Olsson et Vistoli dans [AOV08]. Il a été alors naturel d'essayer de comparer ces deux notions et de comprendre comment se généralisent les propriétés classiques d'objets modérés à des actions par des schémas en groupes affines.Tout d'abord, nous avons traduit algébriquement la propriété de modération sur un champ quotient comme l'exactitude du foncteur des invariants. Ce qui nous a permis d'obtenir aisément à l'aide de [CEPT96] qu'une action modérée définit toujours un champ quotient modéré. Quant à la réciproque, nous avons réussi à l'obtenir seulement lorsque nous supposons de plus que G est fini et localement libre sur S et que X est plat sur Y . Nous pouvons voir que la notion de modération pour l'anneau B muni d'une action par un groupe fini abstrait Γ est équivalente au fait que tous les groupes d'inertie aux points topologiques sont linéairement réductifs si l'on considère l'action par le schéma en groupes constant correspondant à Γ sur X. Il a été donc naturel de se demander si cette propriété est encore vraie en général. Effectivement, l'article [AOV08] caractérise le fait que le champ quotient [X/G] est modéré par le fait que les groupes d'inertie aux points géométriques sont linéairement réductifs.À nouveau, si l'on considère le cas des anneaux munis d'une action par un groupe fini abstrait, il est bien connu que l'action peut être totalement reconstruite à partir de l'action d'un groupe inertie. Lorsque l'on considère le cas des actions par les schémas en groupes constants, cela se traduit comme un théorème de slices, c'est-à-dire une description locale de l'action initiale par une action par un groupe d'inertie. Par exemple, lorsque G est fini, localement libre sur S, nous établissons que le fait qu'une action soit libre est une propriété locale pour la topologie fppf, ce qui peut se traduire comme un théorème de slices. Grâce à [AOV08], nous savons déjà qu'un champ quotient modéré [X/G] est localement isomorphe pour la topologie fppf à un champ quotient [X/H] où H est une extension du groupe d'inertie en un point de Y. Lorsque G est fini sur S, il nous a été possible de montrer que H est aussi un sous-groupe de G.
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Ramification modérée pour des actions de schémas en groupes affines et pour des champs quotients / Tameness for actions of affine group schemes and quotient stacks / Ramificazione moderata per azioni di schemi in gruppi affini e per stacks quoziente

Marques, Sophie 15 July 2013 (has links)
L’objet de cette thèse est de comprendre comment se généralise la théorie de la ramification pour des actions par des schémas en groupes affines avec un intérêt particulier pour la notion de modération. Comme contexte général pour ce résumé, considérons une base affine S := Spec(R) où R est un anneau unitaire, commutatif, X := Spec(B) un schéma affine sur S, G := Spec(A) un schéma en groupes affine, plat et de présentation finie sur S et une action de G sur X que nous noterons (X, G). Enfin, nous notons [X/G] le champ quotient associé à cette action et Y := Spec(BA) où BA est l’anneau des invariants pour l’action (X, G). Supposons de plus que le champ d’inertie soit fini.Comme point de référence, nous prenons la théorie classique de la ramification pour des anneaux munis d’une action par un groupe fini abstrait. Afin de comprendre comment généraliser cette théorie pour des actions par des schémas en groupes, nous considérons les actions par des schémas en groupes constants en se rappelant que la donnée de telles actions est équivalente à celle d’un anneau muni d’une action par un groupe fini abstrait nous ramenant au cas classique. Nous obtenons ainsi dans ce nouveau contexte des notions généralisant l’anneau des invariants en tant que quotient, les groupes d’inertie et toutes leurs propriétés. Le cas non ramifié se généralise naturellement avec les actions libres. En ce qui concerne le cas modéré, qui nous intéresse particulièrement pour cette thèse, deux généralisations sont proposées dans la littérature. Celle d’actions modérées par des schémas en groupes affines introduite par Chinburg, Erez, Pappas et Taylor dans l’article [CEPT96] et celle de champ modéré introduite par Abramovich, Olsson et Vistoli dans [AOV08]. Il a été alors naturel d’essayer de comparer ces deux notions et de comprendre comment se généralisent les propriétés classiques d’objets modérés à des actions par des schémas en groupes affines.Tout d’abord, nous avons traduit algébriquement la propriété de modération sur un champ quotient comme l’exactitude du foncteur des invariants. Ce qui nous a permis d’obtenir aisément à l’aide de [CEPT96] qu’une action modérée définit toujours un champ quotient modéré. Quant à la réciproque, nous avons réussi à l’obtenir seulement lorsque nous supposons de plus que G est fini et localement libre sur S et que X est plat sur Y . Nous pouvons voir que la notion de modération pour l’anneau B muni d’une action par un groupe fini abstrait Γ est équivalente au fait que tous les groupes d’inertie aux points topologiques sont linéairement réductifs si l’on considère l’action par le schéma en groupes constant correspondant à Γ sur X. Il a été donc naturel de se demander si cette propriété est encore vraie en général. Effectivement, l’article [AOV08] caractérise le fait que le champ quotient [X/G] est modéré par le fait que les groupes d’inertie aux points géométriques sont linéairement réductifs.À nouveau, si l’on considère le cas des anneaux munis d’une action par un groupe fini abstrait, il est bien connu que l’action peut être totalement reconstruite à partir de l’action d’un groupe inertie. Lorsque l’on considère le cas des actions par les schémas en groupes constants, cela se traduit comme un théorème de slices, c’est-à-dire une description locale de l’action initiale par une action par un groupe d’inertie. Par exemple, lorsque G est fini, localement libre sur S, nous établissons que le fait qu’une action soit libre est une propriété locale pour la topologie fppf, ce qui peut se traduire comme un théorème de slices. Grâce à [AOV08], nous savons déjà qu’un champ quotient modéré [X/G] est localement isomorphe pour la topologie fppf à un champ quotient [X/H] où H est une extension du groupe d’inertie en un point de Y. Lorsque G est fini sur S, il nous a été possible de montrer que H est aussi un sous-groupe de G. / The purpose of this thesis is to understand how to generalize the ramification theory for actions by affine group schemes with a particular interest for the notion of tameness. As general context for this summary, we consider an affine basis S := Spec(R) where R is a commutative, unitary ring, an affine, finitely presented, Noetherian scheme X := Spec(B) over S, a flat, finitely presented, affine group scheme G := Spec(A) over S and an action of G on X that we denote by (X, G). Finally, we denote [X/G] the quotient stack associated to this action and we set Y := Spec(BA) where BA is the ring of invariants for the action (X, G). Moreover, we suppose that the inertia stack is finite.As reference point, we take the classical theory of ramification for rings endowed with an action of a finite, abstract group. In order to understand how to generalize this theory for actions of group schemes, we consider the actions of constant group schemes knowing that the data of such actions is equivalent to the data of rings endowed with an action of a finite abstract group, this being the classical case. We obtain thus in this new context notions generalizing the ring of invariants as a quotient, the inertia group and all their properties. The unramified case is generalized naturally by the free actions. For the tame case, which interests us particularly here, two generalizations are proposed in the literature: the one of tame actions of affine group schemes introduced by Chinburg, Erez, Pappas et Taylor in the article [CEPT96] and the one of tame stacks introduced by Abramovich, Olsson and Vistoli in [AOV08]. It was then natural to compare these two notions and to understand how to generalize the classical properties of tame objects for the actions of affine group schemes. First of all, we traduced algebraically the tameness property on a quotient stack as the exactness of the functor of invariants. This permits to obtain easily thanks to [CEPT96] that tame actions define always tame quotient stacks. For the converse, we only manage to prove it when we suppose G to be finite, locally free over S and X flat over Y . We are able to see that the notion of tameness for a ring endowed with an action of a finite, abstract group Γ is equivalent to the fact that all the inertia group schemes at the topological points are linearly reductive if we consider the action of the constant group scheme corresponding to Γ over X. It was thus natural to wonder if this property was also true in general. In fact, the article [AOV08] characterizes the fact that the quotient stack [X/G] is tame by the fact that the inertia group schemes at the geometric points are linearly reductive.Again, if we consider the case of rings endowed with an action of a finite, abstract group, it is well known that these actions can be totally reconstructed from an action involving an inertia group. When we consider actions by constant group schemes, this is translated as a slice theorem, that is, a local description of the initial action by an action involving an inertia group. For example, we establish that the fact that an action is free is a "local property" for the fppf topology and this can be translated also as a "local" slice theorem. Thanks to [AOV08], we already know that a tame quotient stack [X/G] is locally isomorphic for the fppf topology to a quotient stack [X/H], where H is an extension of the inertia group in a point of Y . When G is finite over S, it was possible to show that H is also a subgroup of G. In this thesis, it was not possible to obtain a slice theorem in this generality. However, when G is commutative, finite over S, it is possible to prove the existence of a torsor, if we suppose [X/G] to be tame. This permits to prove a slice theorem when G is commutative, finite over S and [X/G] is tame. / Lo scopo di questa tesi è capire come si generalizza la teoria della ramificazione per azioni di schemi in gruppi affini con un interesse particolare per la nozione di moderazione. Come contesto generale per questo riassunto, consideriamo una base affine S := Spec(R) dove R è un anello unitario e commutativo, X := Spec(B) uno schema affine, noetheriano e di presentazione finita su S, G := Spec(A) uno schema in gruppi affine, piatto e di presentazione finita su S e un’azione di G su X che denoteremo (X, G). Infine, denotiamo con [X/G] lo stack quoziente associato a questa azione e Y := Spec(BA) dove BA è l’anello degli invarianti per l’azione (X, G). Supponiamo inoltre che il campo d’inerzia sia finito.Come punto di riferimento prendiamo la teoria classica della ramificazione per anelli muniti d’un’azione d’un gruppo finito astratto. Al fine di comprendere come generalizzare questa teoria per azioni di schemi in gruppi, consideriamo le azioni di schemi in gruppi costanti ricordando che il dato di tali azioni è equivalente al dato d’un anello dotato d’un’azione d’un gruppo finito astratto, riconducendosi al caso classico. Otteniamo così in questo nuovo contesto delle nozioni che generalizzano l’anello degli invarianti in quanto quoziente, i gruppi d’inerzia e tutte le loro proprietà. Il caso non ramificato si generalizza in modo naturale con le azioni libere. Per qual che riguarda il caso moderato, al quale siamo particolarmente interessati in questa tesi, due generalizzazioni sono proposte nella letteratura: quella delle azioni moderate di schemi in gruppi affini introdotta da Chinburg, Erez, Pappas e Taylor nell’articolo [CEPT96] e quella di stack moderato introdotta da Abramovich, Olsson e Vistoli in [AOV08]. È stato quindi naturale cercare di confrontare queste due nozioni e capire come si generalizzano le proprietà classiche degli oggetti moderati ad azioni di schemi in gruppi affini.Per cominciare, abbiamo tradotto algebricamente la proprietà di moderazione su un stack quoziente come l’esattezza del funtore degli invarianti. Ciò ha permesso d’ottenere agevolmente, usando [CEPT96], che un’azione moderata definisce sempre uno stack quoziente moderato. Quanto al viceversa, siamo riusciti ad ottenerlo solamente sotto l’ulteriore ipotesi che G sia finito e localmente libero su S e che X sia piatto su Y . Possiamo vedere che la nozione di moderazione per l’anello B dotato d’un’azione d’un gruppo finito astratto Γ è equivalente al fatto che tutti i gruppi d’inerzia sui punti topologici siano linearmente riduttivi se si considera l’azione dello schema in gruppi costante corrispondente a Γ su X. È stato quindi naturale domandarsi se questa proprietà sia vera in generale. In effetti, l’articolo [AOV08] caratterizza il fatto che lo stack quoziente [X/G] è moderato tramite il fatto che i gruppi d’inerzia sui punti geometrici siano linearmente riduttivi.Di nuovo, se consideriamo il caso degli anelli muniti d’un’azione d’un gruppo finito astratto, è ben noto che quest’azione può essere totalmente ricostruita a partire da un’azione in cui interviene un gruppo d’inerzia. Quando consideriamo il caso delle azioni degli schemi in gruppi costanti, questo si traduce come un teorema di slices, cioè una descrizione locale dell’azione di partenza (X,G) tramite un’azione in cui interviene un gruppo d’inerzia. Per esempio quando G è finito e localmente libero su S, stabiliamo che il fatto che un’azione è libera è una proprietà locale per la topologia fppf, ciò si può interpretare come un teorema di slices. Grazie a [AOV08] sappiamo già che uno stack quoziente moderato [X/G] è localmente isomorfo per la topologia fppf a uno stack quoziente [X/H], dove H è un’estensione d’un gruppo d’inerzia in un punto di Y.

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