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Contribution des facteurs objectifs et psychosociaux occupationnels dans l'explication de l'incapacité chronique liée aux lombalgies

Soucy, Isabelle. 04 June 2021 (has links)
La lombalgie est le plus fréquent, coûteux et incapacitant des troubles musculosquelettiques. Les études prospectives documentant la capacité des facteurs liés au travail à prédire la chronicité sont peu nombreuses, la méthodologie utilisée est très diversifiée et les résultats obtenus divergent. La présente étude vise à étudier la capacité des facteurs objectifs et psychosociaux occupationnels à prédire l'incapacité chronique liée aux lombalgies. Une étude prospective longitudinale avec deux temps de prise de mesure est réalisée. L'échantillon (N = 258) se compose de travailleurs lombalgiques en arrêt de travail compensés par la CSST, au stade subaigu du mal de dos. Parmi toutes les variables occupationnelles mesurées, le soutien social au travail, le stress perçu, les peurs et les croyances face au travail ainsi que l'implication dans un litige, permettent de prédire le statut d'emploi au suivi de six mois. Les autres variables liées au travail, telles les pratiques et les politiques organisationnelles en matière de réintégration au travail, agissent peut-être comme des barrières au retour au travail plutôt que comme des prédicteurs de l'incapacité chronique.
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Effets des contraintes psychosociales au travail sur la détresse psychologique et les absences médicalement certifiées pour problèmes de santé mentale : une étude prospective de 5 ans

Ndjaboue, Ruth 24 April 2018 (has links)
Contexte : Les effets cumulés des contraintes psychosociales du modèle déséquilibre efforts-reconnaissance (DER) sur la santé mentale sont peu connus. Aussi, peu d’études ont évalué les effets du DER sur des indicateurs objectifs de problèmes de santé mentale (PSM). Enfin, aucune étude prospective antérieure n’a évalué l’effet combiné des contraintes psychosociales du DER et du modèle demande-latitude (DL) et sur les PSM médicalement certifiés. La présente thèse vise à combler ces limites. Objectifs : 1) Mesurer l’effet de l’exposition cumulée au déséquilibre efforts-reconnaissance sur la prévalence de la détresse psychologique sur une période de cinq ans; 2) Mesurer l’effet du déséquilibre efforts-reconnaissance sur l’incidence des absences médicalement certifiées pour PSM sur une période de cinq ans; 3) Évaluer l’effet indépendant et l’effet combiné des contraintes psychosociales des modèles Demande-Latitude et Déséquilibre Efforts-Reconnaissance sur l’incidence des absences médicalement certifiées pour PSM sur une période de cinq ans. Méthodes : La cohorte était constituée de plus de 2000 hommes et femmes occupant des emplois de cols blancs. La collecte des données a été réalisée à trois reprises avec une moyenne de suivi de cinq ans. À chaque temps, les contraintes psychosociales et la détresse psychologique ont été mesurées à l’aide d’instruments validés. Les absences médicalement certifiées pour PSM ont été récoltées à partir des fichiers administratifs des employeurs. Les PSM ont été modélisés à l’aide des régressions log-binomiale et de Cox. Les analyses ont été réalisées séparément chez les hommes et les femmes, en ajustant pour les principaux facteurs de confusion. Résultats : Chez les hommes et les femmes, une exposition chronique au DER sur trois ans était associée à une prévalence plus élevée de la détresse psychologique. Les effets observés à trois ans ont persisté à cinq ans chez les hommes (Rapport de prévalence (RP)=1,91 (1,20–3,04)) et les femmes (RP=2,48 (1,97–3,11)). Ces effets étaient de plus grande amplitude que ceux observés en utilisant l’exposition initiale à l’entrée dans l’étude (de +0,30 à +0,94). Par ailleurs, les hommes et les femmes exposés au DER présentaient un risque plus élevé d’absences médicalement certifiées pour PSM (Risque relatif (RR)=1,38 (1,08–1,76)), comparés aux travailleurs non-exposés. La faible reconnaissance au travail était associée à un risque important d’absences pour PSM chez les hommes (RR=3,04 (1,46–6,33)) mais pas chez les femmes (RR=1,24 (0,90–1,72)). Chez les femmes uniquement, un effet indépendant du « job strain » (RR=1,50 (1,12–2,07)) et du DER (RR=1,34 (0,98–1,84)), ainsi qu’un effet de l’exposition combinée au « job strain » (demande psychologique élevée et faible latitude décisionnelle) et au DER (RR=1,97 (1,40–2,78)) sur le risque d’absences médicalement certifiées pour PSM ont également été observés. Conclusion : Les résultats de cette thèse supportent l’effet délétère de l’exposition au DER sur la prévalence de la détresse psychologique et sur le risque d’absences médicalement certifiées pour PSM chez les hommes et les femmes. Chez les hommes et les femmes, l’exposition cumulée au DER était associée à une prévalence élevée de la détresse psychologique à trois ans et à cinq ans. De plus, les contraintes psychosociales du DER ont été associées aux absences médicalement certifiés pour PSM. Chez les femmes particulièrement, un effet combiné du « job strain » et du DER était associé à un risque plus élevé d’absences médicalement certifiées pour PSM, que l’exposition à un seul des deux facteurs. Ces résultats suggèrent que la réduction des contraintes psychosociales au travail pourrait contribuer à réduire l’incidence des PSM, incluant les absences médicalement certifiées pour PSM. / Context: There is a lack of scientific evidence concerning the cumulative effects of adverse psychosocial work factors from the Efforts-Reward Imbalance (ERI) model on mental health. Also, previous studies mainly used self-reported mental health problems (MHP). There is a lack of studies investigating the effect of cumulative exposure to ERI. Finally, no previous prospective study has evaluated the effect of combined exposure to adverse psychosocial work factors from the Demand-Control (DC) and ERI models. The current dissertation aimed to address this gap in knowledge. Objectives: 1) Evaluate the effect of cumulative exposure to ERI on the prevalence of psychological distress and the persistence of this effect over a 5-year period. 2) Evaluate the effect of ERI on the 5-year incidence of medically certified sickness absence for MHP. 3) Examine the independent and combined effect of adverse work factors from the DC and ERI models on the 5-year incidence of medically certified sickness absence for MHP. Methods: This study was a prospective cohort study. More than 2,000 white-collar workers (63.3% women) from three public organizations were followed over a mean duration of five years. Psychosocial work factors and psychological distress were measured using validated self-administrated questionnaires at baseline, and at 3- and 5-year follow-ups. Medical absences from work were collected from employers’ files. Multivariate analyses were performed using the log-binomial and the Cox regression models. Analyses were performed separately for men and women, while controlling for confounders. Results: Compared to unexposed workers, men and women with repeated exposure to ERI at 3-year follow-up had a higher prevalence of high psychological distress. The deleterious effects observed at 3-year persisted at 5-year follow-up among women (PR=2.48 95% confidence interval (CI) 1.97–3.11) and men (PR=1.91 95% CI 1.20–3.04). These effects were stronger than those found when considering a single baseline measurement (+0.30 to +0.94). Also, men and women exposed to ERI had a higher risk of medically certified sickness absence for MHP, compared to unexposed (Hazards ratio (HR) =1.38, 95% CI 1.08–1.76) workers. Low reward was significantly associated with a high risk of medically certified sickness absence among men (HR=2.80, 95% CI 1.34–5.89) but not in women. (HR=1.24, 95% CI 0.90–1.73). Among women, high strain (1.50 95% CI 1.12–2.07) and ERI (1.34 95% CI 0.98–1.84) were each independently associated with medically certified sickness absence for MHP. Women having a combined exposure to high strain and ERI also had a higher risk of medically certified sickness absence for MHP than unexposed women (1.97 95% CI 1.40–2.78). The results provide no support for either the independent or the combined effect of high strain and ERI among men. Conclusion: The results from this dissertation provide support for the deleterious effect of ERI on the prevalence of psychological distress and the risk of medically certified sickness absence among both men and women. Among women, independent and combined effects of high strain and ERI on the risk of medically certified sickness absence for MHP were also observed. These results suggest that reducing adverse psychosocial work factors can help to reduce MHP, including medically certified sickness absence for mental health problems.
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Les pratiques de gestion de l'absence et du retour au travail des supérieurs immédiats en raison d'une absence pour un problème de santé mentale

Lafond, Marie-France 16 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2009-2010 / Alors que les problèmes de santé mentale ont atteint une apogée en tête de liste des causes d'absentéisme, cette étude vise à décrire les pratiques des supérieurs immédiats en gestion de l'absence et du retour au travail auprès d'employés absents en raison d'un problème de santé mentale. Cette démarche s'est effectuée à l'aide d'une recension des écrits portant sur les connaissances issues des études sur la réintégration professionnelle en santé mentale, les recherches menées auprès de cohortes de travailleurs en absence maladie en raison d'un problème de santé mentale et sur l'incapacité au travail et sur la littérature spécifique au rôle du supérieur immédiat dans le retour au travail. En nous appuyant sur les modèles théoriques de St-Arnaud, (2001), de Karasek, (1990), de Johnson et Hall, (1988), de Baril et Berthelette, (2000), de Durand et Loisel, (2001) ainsi que l'étude de Susan Stock et al., (1999), il a été possible de dégager les dimensions organisationnelle, opérationnelle, relationnelle et de collaboration de la gestion des absences et du retour au travail. Le choix d'une méthodologie d'étude de cas unique a permis un examen détaillé des pratiques des supérieurs. Les données ont été constituées à partir d'entrevues individuelles auprès de huit supérieurs qui ont été codées par thème. Les résultats démontrent une grande variabilité des pratiques de gestion de l'absence et du retour. Le manque d'information sur le motif de l'absence et les facteurs ayant contribué au retrait s'avère un dénominateur commun. Deux trajectoires distinctes de retour au travail émergent: une réintégration dans la fonction initiale et un retour dans un autre service. Dans ce dernier cas, des milieux d'accueil sont choisis en fonction de l'accès à des tâches modérées, du climat de l'équipe et des habiletés du supérieur. Des facteurs organisationnels favorisent l'actualisation des pratiques des supérieurs. Ce sont la mise en place des mesures d'adaptation répondant aux capacités de l'employé notamment le maintien de la personne remplaçante en surnuméraire, le soutien des collègues, la préparation du retour au travail et la décentralisation des décisions. Quant aux obstacles, ils réfèrent au manque de ressources financières, à l'insuffisance des informations sur les motifs ayant contribué au retrait du travail et sur les capacités fonctionnelles de l'employé ainsi qu'au manque de collaboration entre les acteurs impliqués dans le processus de retour au travail. Cette étude rend compte de la nécessité d'outiller et de soutenir les supérieurs immédiats dans l'exercice de leur rôle au plan de la gestion de l'incapacité au travail. Nos résultats vont dans le sens d'une logique systémique de double soutien : le soutien des employés de retour au travail implique le soutien organisationnel des supérieurs immédiats.
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Retour au travail à la suite d'une lésion professionnelle : perspective des intervenants en réadaptation du système d'indemnisation public

Robichaud, Marie-Maxime 23 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2015-2016 / Mieux comprendre le retour au travail s’avère nécessaire afin d’en saisir la complexité et prévenir qu’une situation d’incapacité se prolonge. Le retour au travail mobilise l’intervention de nombreux acteurs. Parmi ceux-ci, les intervenants en réadaptation de l’organisme d’indemnisation public occupent un rôle essentiel. Leur perspective sur ce qui influence le retour au travail a été peu documentée jusqu’à maintenant. L’objectif de ce mémoire est de mieux comprendre ce qui influence le retour au travail à la suite d’une lésion professionnelle à partir de la perspective des intervenants en réadaptation de l’organisme d’indemnisation public. Cette étude qualitative s’appuie sur un modèle écologique de gestion de l’incapacité. Des entrevues semi-dirigées ont été effectuées auprès de dix-neuf agents d’indemnisation et conseillers en réadaptation. Une analyse thématique en continu a été menée. Selon les intervenants, la représentation de l’objectif et du processus menant au retour au travail peut différer d’un acteur à l’autre, en fonction de leur contexte, et influencer leur manière de se mobiliser et de collaborer durant le processus. Des éléments psychosociaux individuels ont été nommés, dont des stratégies d’adaptations, des réactions cognitives et émotives du travailleur et des proches ainsi que des éléments relevant de la vie personnelle. La qualité des relations au travail, la culture organisationnelle et les pratiques de gestion ont été soulevés par les intervenants. Finalement, le fonctionnement des systèmes d’indemnisation et de santé ainsi que la collaboration et la transmission d’informations entre les acteurs durant le processus ont émergé de l’analyse. Ce que les intervenants perçoivent comme facilitant le retour au travail demeure lié à ce qui facilite l’atteinte de l’objectif initial du processus prescrit par l’organisme d’indemnisation public. Les résultats sont cohérents avec plusieurs écrits scientifiques et amènent à explorer l’influence sur le retour au travail du contexte dans lequel s’insère chaque acteur.
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L'influence de la détresse psychologique sur l'évolution vers l'incapacité chronique des travailleurs atteints de lombalgie en arrêt de travail

Mainville, Geneviève. 03 June 2021 (has links)
Plusieurs études prospectives font ressortir l'importance des variables psychologiques lorsqu'il s'agit d'expliquer l'évolution vers l'incapacité chronique à la suite d'une lombalgie. La présente étude vise à vérifier si la détresse psychologique, mesurée au stade précoce de la lombalgie, permet de prédire le statut fonctionnel, un indicateur fréquemment utilisé pour mesurer l'incapacité chronique. L'échantillon est composé de 258 travailleurs atteints de lombalgie en arrêt de travail et compensés par la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST). Les résultats indiquent que la détresse psychologique permet de prédire le statut fonctionnel. La présente étude souligne donc l'importance de dépister la détresse psychologique au stade subaigu de la lombalgie puisqu'elle peut limiter l'amélioration du statut fonctionnel des travailleurs.
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Étude des pratiques organisationnelles au sein de protocoles ou programmes de retour au travail à la suite d'une absence pour des problèmes en santé psychologique

Delisle, Stéphanie January 2010 (has links)
De nombreuses études révèlent que les problèmes de santé psychologique au travail représentent l'une des plus importantes causes d'absence du travail. En effet, ces derniers génèrent une invalidité qui cause une absence du travail et des coûts élevés pour les organisations. Ainsi, certaines données d'études qui portent sur ce phénomène démontrent que les organisations commencent à ressentir le besoin de se doter d'approches plus complètes et plus intégrées tant au niveau de la gestion des absences et du retour au travail qu'au niveau de la santé et de la productivité des employés. Toutefois, peu d'études permettent de cerner quelles sont les pratiques organisationnelles développées dans le cadre de protocoles ou aux programmes de retour au travail des organisations qui sont mises en oeuvre, par les organisations, à la suite d'un problème de santé psychologique. Les objectifs de cette étude sont donc d'identifier et de décrire les pratiques organisationnelles de retour au travail après un problème de santé psychologique, de les analyser à la lumière études recensées en matière de santé psychologique et de retour au travail, et de cerner les logiques d'action qui sous-tendent ces pratiques. / Dans le but de répondre à ces objectifs, une méthodologie qualitative a été utilisée. Ainsi, des entrevues ont été réalisées dans treize (13) organisations auprès d'intervenants oeuvrant dans le cadre de programmes ou de protocoles de retour au travail à la suite d'un problème de santé psychologique. Les pratiques organisationnelles répertoriées sont, en général, assez conformes avec ce que l'on retrouve dans la littérature scientifique publiée à ce sujet. De fait, toutes les organisations visitées ont révélé avoir mis en oeuvre leurs pratiques de retour au travail en raison des coûts élevés que génèrent les absences pour des raisons de santé mentale. De plus, la majorité des organisations ont aussi bien saisi l'importance d'intervenir sur l'individu, mais aussi sur l'environnement psychosocial de travail dans le but de favoriser le rétablissement. Par contre, certaines pratiques qu'elles utilisent pour la gestion médico-administrative des absences, telles que de fréquentes vérifications ou des demandes d'expertise médicale, ont toutefois été reconnues dans la littérature comme ayant des effets négatifs sur le rétablissement de l'employé. Aussi, il a été constaté que certains intervenants des protocoles de retour au travail assurent un rôle de coordination des interventions de réintégration qui se rapproche de celui du gestionnaire de cas dont la valeur ajoutée est démontrée dans la littérature. Au niveau de l'intervention sur l'environnement psychosocial de travail, certaines actions sont effectuées sur le climat de travail et, dans le cas de retours progressifs, sur la révision temporaire de l'organisation du travail. En effet, les organisations utilisent beaucoup le retour progressif pendant lequel les tâches, les horaires et la charge de travail sont modifiés de façon temporaire. À ce sujet, les études démontrent d'ailleurs qu'il est important d'intervenir sur l'environnement de travail de la personne s'étant absentée puisque cela contribue à son rétablissement, à son retour au travail et à son maintien en emploi. Par contre, dans les organisations visitées ce type d'intervention n'est que temporaire et s'adresse uniquement aux personnes s'étant absentées du travail. Il serait alors intéressant que ces interventions soient aussi utilisées dans le but de faire de la prévention primaire sur les facteurs de risques identifiés dans le milieu de travail, ce qui favoriserait la santé de tout le personnel. D'ailleurs, on remarque que la santé du personnel est un enjeu de plus en plus préoccupant pour les organisations qui devront amorcer des changements culturels pour inscrire davantage leurs pratiques dans une rationalité humaine et subjective plutôt que dans une rationalité économique.

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