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Colette journaliste : une étude des heures longuesGirard, Marie-Claire January 1998 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le triptyque des apparitions en Luc 24 : Essai d'analyse sémiotiqueLamarre, Hélène January 1990 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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The social construction of leadership studies: representations of rigour and relevance in textbooksCarroll, B., Firth, J., Ford, Jackie M., Taylor, S. 2016 September 1921 (has links)
Yes / Considerations of rigour and relevance rarely acknowledge students, learning, or the textbooks many of the academic community use to frame education. Here we explore the construction of meaning around rigour and relevance in four leadership studies textbooks – the two most globally popular leadership textbooks and two recent additions to the field – to explore how these ideas are represented. We read the four texts narratively for structure, purpose, style, and application. We further embed the analysis by considering the cultural positioning of the textbook-as-genre within leadership studies as a field more generally. This exploration of the textbook raises critical questions about rigour, relevance and the relationship constructed between them. From this, we argue for a re-commitment to the genuine ‘text-book’ written to engage students in understanding leadership as a continuing conversation between practices, theories, and contexts, rather than as a repository of rigorous and/or relevant content that lays claim to represent an objective science of leadership studies.
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La "conscience diasporale" en poésie cadienneBergeron-Maguire, Myriam 18 April 2018 (has links)
Depuis environ la seconde moitié du XXe siècle, la littérature d’expression française en Louisiane a connu un tournant décisif. En effet, si les débuts de l’histoire littéraire francophone dans l’État américain se sont peu démarqués de la littérature française qui avait cours à la même époque, la littérature franco-louisianaise contemporaine a pour sa part fait du choix de sa langue d’écriture son trait distinctif. Les écrivains Jean Arceneaux, David Chéramie, Deborah J. Clifton, Carol J. Doucet, Richard Guidry, Kirby Jambon et Zachary Richard ont tous opté dans leurs écrits pour la variété cadienne du français, en n’excluant ni les régionalismes ni les emprunts aux groupes avec lesquels la communauté est entrée en contact à un moment ou à un autre de son histoire. Cette étude se donne pour but de mesurer l’impact à la fois sur la langue et sur la littérature de l’emploi du vernaculaire dans un discours littéraire. En poésie cadienne, le choix d’une variété de langue d’écriture et le rapport à l’espace est symptomatique d’une stratégie d’accès à l’autonomie littéraire et d’un questionnement sur son identité au sein de la francophonie.
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Le texte comme partition dans le slam de poésie : l'exemple québécois suivi de Gris écarlateSylvain, Ann 13 December 2023 (has links)
La pratique du slam de poésie, dont les débuts remontent à une cinquantaine d'années tout au plus, gagne en popularité. C'est un art de la brièveté et, surtout, fortement ancré dans l'oralité, ce qui lui confère sa singularité. Ainsi, il est nécessaire de s'imprégner de l'essence du slam de poésie afin de s'assurer de sa pleine réception. La nature orale du slam de poésie l'exigeant, la partie critique de ce mémoire précède la partie création puisqu'il est essentiel de comprendre l'orientation de cette pratique particulière et de saisir quel état d'esprit est requis à la lecture. Nous nous intéressons donc, dans la première partie, à l'origine du slam de poésie, à son évolution en contexte québécois, aux particularités propres à sa pratique dans la ville de Québec ainsi qu'aux détails de sa pratique. Nous étudions les textes de slam de poésie sous l'angle de leur oralité, c’est-à-dire en considérant le texte comme une partition et chercherons à comprendre les traces d'oralité sous un aspect rhétorique pour ensuite écouter les performances enregistrées et ainsi valider nos observations. Une fois l'univers du slam de poésie mis en perspective, la partie création propose d'explorer les possibilités qu'offre le slam dans des textes de création que nous proposons de lire comme des partitions.
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Le problème d'être un problème : théorie critique sur le racismeBisanswa, Donon 24 October 2024 (has links)
Cette thèse est née de la question suivante : « comment les groupes humains, notamment les Noirs, les Arabes, les musulmans ou les Autochtones, ont été amenés à être interprétés, jugés et traités comme des problèmes ? ». L'enjeu de la thèse est donc de répondre à cette question en proposant une *théorie critique sur le racisme*. La force de cette théorie critique, qui est une interprétation parmi plusieurs autres durant la longue histoire mouvementée du racisme, réside, avant tout, dans sa capacité à explorer la condition humaine, c'est-à-dire, les diverses situations dans lesquelles l'être humain s'engage en tant que comme *mode* d'être, en tant que projet en vertu des choix qui font *sens* à sa vie. En se basant sur les travaux de Jean-Paul Sartre, de Frantz Fanon et de Lewis Gordon, la thèse éclaire comment le concept sartrien de la mauvaise foi, compris en tant qu'attitude de l'être humain à se mentir à soi-même, est lié à la liberté et au racisme. Elle montre qu'échouer voir les membres d'autres races dans la dimension existentielle et contradictoire de la réalité humaine, c'est adopter l'attitude de la mauvaise foi, soit l'évasion de la réalité humaine. La mauvaise foi manifeste donc notre investissement dans les phénomènes, de sorte que nous pouvons créer des réalités ossifiées qui nous dissimulent à nous-même et permettent aux institutions oppressives de subsister. La thèse montre qu'une telle attitude affecte, également, nos *modes* de savoir, d'apprendre et de penser, qui sont, aussi, notre monde de *sens*, c'est-à-dire, le monde en tant que ce monde fait *sens* pour nous. La réflexion engagée à partir des travaux de Gayatri Spivak, d'Edward Saïd, de Fanon, de Boaventura de Soussa, d'Achille Mbembe, de Gordon et d'Edgar Morin examine comment cette attitude peut contribuer à la formation de « colonies » épistémiques et comment le but avoué de libérer l'humanité peut, paradoxalement, s'effondrer en son contraire. L'examen de la réalité humaine à partir du modèle herméneutique de la mauvaise foi et de sa *relation* avec le monde social, ce qu'Alfred Schütz appelait le monde de l'horizon de *sens* ou « socialité », permet d'apporter un éclairage original et une importante contribution sur la *généalogie* du racisme et de penser une véritable *praxis* de libération. / This thesis was born from the following question: « how have human groups, notably Blacks, Arabs, Muslims or Indigenous people, come to be interpreted, judged and treated as problems? ». The challenge of the thesis is therefore to answer this question by proposing a *critical theory on racism*. The strength of this critical theory, which is one interpretation among several others during the long turbulent history of racism, lies, above all, in its capacity to explore the human condition, that is to say, the various situations in which the human being engages as a mode of being, as a project in virtue of the choices that give meaning to one's life. Based on the work of Jean-Paul Sartre, Frantz Fanon and Lewis Gordon, the thesis sheds light on how Sartre's concept of bad faith, understood as the attitude of human beings to lie to themselves, is linked to freedom and racism. It shows that failing to see members of other races in the existential and contradictory dimension of human reality is to adopt the attitude of bad faith, or the escape from human reality. Bad faith therefore manifests our investment in phenomena, so that we can create ossified realities that hide us from ourselves and allow oppressive institutions to persist. The thesis shows that such an attitude also affects our ways of knowing, learning and thinking, which are also our world of meaning, that is to say, the world as this world makes meaning to us. The reflection initiated from the works of Gayatri Spivak, Edward Saïd, Fanon, Boaventura de Soussa, Achille Mbembe, Gordon and Edgar Morin examines how this attitude can contribute to the formation of epistemic « colonies » and how the avowed goal of liberating humanity can, paradoxically, collapse into its opposite. The examination of human reality based on the hermeneutic model of bad faith and its relationship with the social world, what Alfred Schütz called the world of the horizon of meaning or « sociality », allows us to provide original and an important contribution to the genealogy of racism and to think about a true praxis of liberation.
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L'héritier trahi : étude psychocritique sur l'œuvre de RinguetGagnon, Claire 23 May 2024 (has links)
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Suite possible : méthode pour une sculpture en continuelle élaborationRobichaud, Charles 13 December 2023 (has links)
Principalement phénoménologique, mon mémoire s'articule autour d'un corpus d'œuvres produites pendant ma maîtrise en arts visuels et de leurs interactions dans le monde par le biais d'expositions, en écho avec certains écrits d'auteurs et avec la production d'autres artistes. J'élabore ici une saisie de certains des codes présents dans mon corpus. Je décris mes façons d'avancer, de créer dans une optique d'imprévisibilité et de singularité. Empruntant certaines visées philosophiques, mes intérêts plastiques abordent des pistes de réflexion reliées à la temporalité, à l'environnement ainsi qu'à l'identité. Mon travail se matérialise sous la forme d'installations sculpturales mobiles transformables. La diversité des réponses proposées par l'identité variable de mes installations conçues comme une série de suites, correspond à un besoin d'être libre en ouvrant des potentialités d'ajustements vers des avenues envisageables selon les contextes; des possibles.
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Les dépossessions romanesques : lecture de la négativité dans le roman moderne québécois (Anne Hébert, Gabrielle Roy, Réjean Ducharme)Noël, Alex 27 January 2024 (has links)
Cette thèse de doctorat propose de relire par le biais de la dépossession la façon dont certains romans modernes québécois expriment leur négativité. Notre recherche part du constat que le roman qui s’est écrit au Québec a souvent détenu un statut problématique aux yeux de la critique, comme si, pour être pleinement romanesque, il lui manquait sans cesse une composante essentielle du genre, que ce soit l’amour (Michel van Schendel), la maturité (Gilles Marcotte) ou encore l’aventure (Isabelle Daunais). Malgré leur diversité, certaines des critiques adressées au roman québécois auraient en commun d’avancer qu’au contraire de ce que l’on observe dans le roman européen, la transformation serait absente du corpus. Pour notre part, nous nous sommes demandé si la transformation du personnage, qui est souvent annoncée, mais que les oeuvres évitent effectivement, serait liée à autre chose qu’à l’ascension sociale propre au roman réaliste, à partir duquel on a beaucoup lu le roman écrit au Québec. L’hypothèse principale de cette étude est que si le personnage de certains romans ne se transforme pas entre le début et la fin des oeuvres, c’est parce que sa transformation n’est pas présentée comme un idéal à atteindre, mais qu’elle incarnerait plutôt une étape dans le processus de dépossession qui est le sien et que, dès lors, l’enjeu des oeuvres serait justement de raconter sa résistance. La thèse entend montrer que la situation existentielle explorée par le roman moderne québécois est presque toujours celle de la dépossession comme condition humaine, que c’est une question que le roman travaille de façon ontologique plutôt que sociohistorique. Après avoir passé en revue quelques romans canadiens-français d’avant 1945, l’analyse se concentre sur trois romanciers de la modernité québécoise : Anne Hébert, Gabrielle Roy et Réjean Ducharme, dont les oeuvres problématisent différents aspects de la question sous l’angle existentiel. Dans les romans autodiégétiques de Hébert, les narrateurs luttent contre la dépossession en prenant la parole, dans le but de se réapproprier leur histoire, mais ils se butent au dialogisme du roman : leur récit est toujours contaminé, envahi par la voix du dépossesseur, même lorsque ce dernier s’est retiré de l’histoire. Chez Roy, c’est le réalisme de la vie ordinaire, associé au temps, qui dépossède les héros moins de ce qu’ils sont que de ce qu’ils auraient pu être. Face à ce processus, les personnages cherchent à se ménager des espaces qui seraient épargnés, en ce sens que ces espaces enchantés où ils projettent leurs rêves et leurs souvenirs sont les seuls éléments qui échappent au processus de dépossession qui les affecte. Dans les romans de Ducharme, c’est le passage de l’enfance au conformisme du monde adulte qui menace de déposséder les personnages de leur identité, et les héros y résistent en élaborant des utopies négatives, par lesquelles ils défendent leur unicité face au roman qui cherche à faire d’eux des « types ». Enfin, l’analyse de la dépossession par le biais de l’ontologie romanesque aura aussi permis de constater que dans les oeuvres à l’étude la question se double d’une dimension formelle : la dépossession se rejoue constamment entre l’oeuvre et ses personnages, lesquels sont en lutte contre les romans, qui inscrivent ainsi cette négativité au coeur de leur poétique pour en faire une dépossession romanesque. / This doctoral dissertation seeks to revisit, through the lens of dispossession, the ways in which certain modern novels by Quebec authors express negativity. This research stems from the observation that novels written in Quebec have often been viewed as problematic by critics, who tend to deem them lacking in an essential element to be truly novelistic—be it love (Michel van Schendel), maturity (Gilles Marcotte), or adventure (Isabelle Daunais). Though diverse, some of the criticisms aimed at the Quebec novel seem to share a common thread: they all suggest that contrary to what can be observed in the European novel, the corpus is devoid of the concept of transformation. This thesis, on the other hand, wishes to examine whether character transformation—often impending but indeed ultimately skirted in these works—could be found elsewhere than in the social climb that is central to realist novels, which have long served as a reference against which novels written in Quebec are read. The central argument of this study is that the reason why the protagonists of several novels fail to transform between the beginning and the ending is that transformation isn’t an ideal they covet, but rather a stage in their journey towards dispossession. From this perspective, it becomes apparent that the fundamental issue underlying these works is the protagonist’s resistance itself. This thesis aims to show that the existential predicament investigated by the modern Quebec novel—from an ontological rather than a sociohistorical point of view—is almost always that of dispossession as a human condition. After surveying several French-Canadian novels published before 1945, three modern Quebec novelists will be examined more closely: Anne Hébert, Gabrielle Roy, and Réjean Ducharme, whose works bring into play various aspects of the question from an existential standpoint. In Hébert’s autodiegetic novels, the narrators struggle against dispossession by speaking up, in the hopes of reclaiming their narrative, but they are undermined by the novel’s dialogic nature: their account is constantly tainted by the voice of the dispossessor, even one who has withdrawn from the story. In Roy’s work, the realism of everyday life and its relation to time is what dispossesses theprotagonists, not so much of what they are, but of what they might have been. Faced with this threat,the characters attempt to create spaces that will be spared. The enchanted spaces where they project their dreams and memories are the only ones that will remain sheltered from the dispossession that falls upon them. In the novels of Ducharme, the transition from childhood to the conformity of adult life is what threatens to dispossess the characters of their identity. His protagonists resist this by developing negative utopias where they defend their singularity against the novel, which attempts to reduce them to “types.” This analysis of dispossession through the lens of novelistic ontology leads to the observation that in the studied works, the issue pertains to literary form: dispossession is constantly reiterated between the work and its characters, who struggle against the novel itself, thus placing this negativity at the very heart of the genre and making it a specifically novelistic dispossession.
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Lecture de trois poètes québecois : étude phénoménologiqueGenois, André 26 April 2024 (has links)
« Nous croyons que la poésie des années 1970 à 1980 au Québec s'inscrit dans la continuité d'une poésie plus ancienne, c'est-à-dire celle des années 1950 à 1970, qui fut, quant à elle, scrutée par les critiques d'une façon plus systématique. Nous concentrerons notre attention sur les poètes plus récents, ceux des années 1970 à 1980. Cependant, comme il nous est impossible de tout retenir, nous en avons choisi trois qui sont plus particulièrement significatifs. La question que nous posons aux trois poètes retenus est la suivante: comment des poètes contemporains québécois résolvent-ils l'opposition fondamentale formée à partir de la conscience de chacun et le monde (plus précisément la société) qui les entoure? Comment chaque individu parvient-il à vivre avec son moi profond et la collectivité qui, souvent, le brime? Voilà l'interrogation de base qui nous guidera dans notre étude. Le corpus littéraire de la poésie étant beaucoup trop vaste présentement, nous avons dû nous limiter à l'étude de trois poètes seulement. Pourquoi? Question d'espace. Nous avons donc choisi Pierre Laberge, Alexis Lefrançois et Geneviève Amyot. Le choix de ces trois poètes est justifiable en raison de l'évidence d'un cheminement dans leurs écrits, dont témoignent le nombre et l'importance des recueils publiés (7, 4, 4 recueils respectivement) et la personnalité bien marquée de chacun de ces recueils. Il est sûr toutefois que nous aurions pu choisir d'autres poètes contemporains, puisque l'opposition semble être assez évidente chez nombre d'auteurs. Cependant, outre le cheminement qu'on perçoit dans leurs écrits, les poètes choisis réagissent très différemment à la problématique de base qui est ressentie avec autant d'acuité chez l'un que chez l'autre. C'est précisément pour cette raison que notre choix s'est porté sur ceux-ci. Le but de notre travail est donc de trouver comment chacun des trois poètes réagit devant l'opposition entre le monde et le moi intérieur. Il s'agit pour nous de voir comment se manifeste cette opposition et comment chaque poète en est conscient. Et parce que la souffrance naît de cette opposition, chaque poète tentera d'atténuer ce sentiment d'inconfort. Se creuse alors une distance entre l'univers extérieur, formé principalement par la société qui l'encercle. Une façon d'exorciser la souffrance qui en résulte est la volonté de dire les choses, l'acte de la parole, qui révèle la tragédie de chaque auteur. Saisir la conscience qui anime chaque auteur équivaut à comprendre le combat entre le quotidien banal et la recherche d'un lieu qui permettrait une possible résolution des conflits. C'est ce que nous tenterons de faire. La méthode que nous utiliserons pour saisir l'opposition entre l'intériorité du poète et l'univers extérieur consistera principalement en une étude des phénomènes en cause. Il s'agira pour nous de décrire les réseaux d'images qui surgissent dans les oeuvres à l'étude et de voir comment ceux-ci s'organisent. De la sorte, il sera facile de cerner la conscience chez chaque poète. L'analyse du retentissement de l'image, comme si chaque image engendrait un effet de retour et créait une globalité, fait saisir au lecteur le drame de chaque conscience. Nous tenterons donc de démontrer que, derrière la thématique, existe une orientation permettant au lecteur de voir comment se manifeste cette opposition. Notre travail portera essentiellement sur la découverte de la thématique chez chaque poète retenu. Nous tenterons de manifester cette opposition entre les mondes intérieur et extérieur en nous servant de la méthode thématique d'abord, puis de la phénoménologie ensuite. De la thématique d'abord, afin de suivre, au niveau des mots et des images, le parcours emprunté par chacun des poètes. Deuxièmement, nous tenterons de saisir le parcours sous-entendu de la conscience elle-même qui se dévoile au fur et à mesure que se tisse le réseau thématique. La conscience est donc révélée par les mots et les images et engendre finalement un univers particulier à chaque poète. Il s'agit pour nous de cerner le parcours de chaque auteur par la thématique et de voir comment la conscience de l'opposition se manifeste en analysant cette thématique. L'intérêt est dû principalement à ce que les poètes choisis n'ont à peu près pas été étudiés en profondeur. Mis à part quelques écrits dans les revues spécialisées, il n'existe, à notre connaissance, aucune étude s'intéressant aux auteurs choisis. Le phénomène de la jeune poésie québécoise demeure un champ de recherche négligé, pour ne pas dire ignoré. En effet, nous avons constaté que le phénomène de la jeune poésie québécoise, tout récent, est en voie d'existence et que, en conséquence, les études s'y rapportant sont succinctes. Nous avons la certitude que notre étude comble en partie, si minime soit-elle, un vide dans l'ensemble des écrits sur la littérature québécoise. Nous formulons le souhait que notre démarche puisse servir de référence aux étudiants et professeurs intéressés à cette nouvelle manifestation. »--Pages 1-4
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