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Sous le signe de la lyre : les ensembles à vent en Europe / In the light of the lyre : wind ensembles throughout Europe, from the 1940s to the 1980s, a transnational culture

Martino, Laurent 14 October 2016 (has links)
Les ensembles à vent existent dans toute l’Europe. Ils sont un trait de culture partagé. La miseà jour d’une sub-culture fanfaristique s’effectue à partir des comparaisons, migrations,circulations, étudiées à travers les ensembles à vent et par emboîtement d’échelles. A partird’exemples représentatifs, pris à hauteur d’Hommes, l’existence d’un modèle européen de lafanfare, dans son fonctionnement, son image, son rôle… est mis au jour. Pluriels, les ensemblesà vent ne sont pas des copies parfaites, mais de nombreux points communs permettent demodéliser cette pratique socioculturelle.Même si pour beaucoup au second XXe siècle, le mouvement orphéonique relève du passé,notre étude des ensembles à vent débute dans les années 1940 avec la Seconde Guerre Mondialepuis la Libération, et s’achève dans les années 1980 marquées par un tournant social, politiqueet culturel. Plus que sur le déclin, la fanfare est, au cours de la période, en mutation. Inventé auXIXe siècle, l’ensemble à vent répond à une triple définition. Il s’agit tout d’abord d’unensemble d’instruments à vent (cuivres et bois) et de percussions joués par des musiciensamateurs. La fanfare est également un orchestre de plein air. Enfin, c’est une musique qui «marche », qui défile pour animer la cité.La nature même de cette pratique musicale collective, effectuée par des musiciens nonprofessionnels, inclut une dimension sociale capitale. Autour de cette pratique récréative, seforme un groupe avec ses sociabilités, qui le cimentent. Les ensembles à vent répondent aussià une demande sociale multiple et notamment un rôle d’éducation populaire.L’ensemble à vent apparaît comme un modèle transnational qui possède une réelle identité.Inclassable, il n’appartient ni à la culture populaire, ni à la culture savante. La catégorisationentre une culture dominée et une culture dominante doit être remise en cause au profit d’uneautonomisation des normes de valeurs et de l’abolition des hiérarchies. Le fonctionnement, toutcomme les appropriations qu’il subit et qu’il réalise, plaident en faveur d’une autonomisationdes ensembles à vent. Ils sont une pratique et un genre autonome et reconnaissable dans toutel’Europe. / Wind ensembles exist all over Europe. They are a shared cultural feature. The exposure of aband sub-culture is established from comparisons, migrations, circulations, through windensembles, and interlocking at various levels. Drawing from representative examples, on aperspective centered on Man, the existence of a European standard for brass-bands, in itsoperation, image, role is brought forward. In their varied nature, wind ensembles are not perfectduplicates, but many common features make a modelling of such a sociocultural practicepossible.Even though, for many, in the second half of the twentieth century, brass-band culture was athing of the past, our study of wind ensembles begins in the 1940s with the Second World War,then the Liberation, and ends in the 1980s with its social, political and cultural turning point.Rather than being declining, brass bands were, over the period, evolving sharply. Invented inthe nineteenth century, the wind ensemble meets three different definitions. It is first anensemble of wind instruments (brass and woodwind) and percussions played by amateurmusicians. Brass-bands is also an outdoor orchestra. Finally, it is a “marching” music, one thatparades to animate the city.The very nature of this collective music-making, carried out by non-professional musiciansincludes a major social dimension. Around this recreational activity, a group gathers, and iscemented by its sociabilities. Wind ensembles also respond to a multiple social demand, inparticular a role in popular education.The wind ensemble appears as a transnational model with a full identity. Unclassifiable, itbelongs neither to popular culture, nor to high brow culture. The categorization betweendominated and dominant culture should be called into question. Empowering standards as wellas abolishing hierarchies must be promoted instead. Its functioning as well as the ownerships itis subjected to and it achieves, advocates for an empowerment of wind ensembles. They are anautonomous and recognizable practice throughout Europe.
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L’architettura del rinascimento a Poitiers : la ricezione del linguaggio architettonico all’antica negli edifici residenziali tra la fine del quattrocento e la metà del cinquecento / The Renaissance architecture in Poitiers : la réception du langage architectonique à l’antique dans les édifices résidentiels entre la fin du Quattrocento et le milieu du Cinquecento / The Renaissance architecture in Poitiers : the classical architectural language in residential buildings between the end of the fifteenth and the of the sixteenth century

Ceccotti, Camilla 28 June 2018 (has links)
Notre travail de recherche se concentre sur l’apparition de la Renaissance à Poitiers et dans le territoire environnant entre la fin du XVe et le milieu du XVIe siècle. Nous en avons identifié les caractéristiques spécifiques dans le domaine de l’architecture en analysant notamment la typologie de bâtiment la plus diffusée dans le contexte urbain : celle de l’hôtel. Poitiers a connu une intense activité sur le plan architectural dès la fin du XVe siècle. Malgré cela, les études concernant le patrimoine bâti de la ville à l’époque de la Renaissance demeurent essentiellement peu développées comparativement à celles qui se penchent sur l’architecture du Moyen-Âge et du XVIIe siècle. La recherche que nous avons menée a tenté de combler cette « lacune » historiographique en analysant la production architectonique de la ville.Afin de comprendre les modalités de diffusion des modèles de la Renaissance italienne dans la région de Poitiers, nous avons examiné les principaux ensembles architectoniques qui sont exemplaires du langage régional. Nous avons tenté de comprendre la volonté de leurs commanditaires et nous avons comparé ces observations avec des données similaires concernant les principaux centres du Val de Loire. Ensuite, nous avons analysé la typologie de l’hôtel de Poitiers, le modèle de la résidence urbaine de la bourgeoisie. Le corpus architectonique poitevin considéré est constitué d’environ cinquante ensembles résidentiels édifiés dès la fin du XVe siècle. À partir de ce panorama, notre recherche s’est concentrée sur l’étude monographique de quatre bâtiments emblématiques qui témoignent du changement de langage formel (hôtels Fumé, Berthelot, d’Estissac et Beaucé). / The research investigates the dynamics of the Renaissance appearance in Poitiers and in the surrounding area, in the period between the end of the 15th and the first half of the 16th century. In particular, the identification of the peculiar characteristics of the architecture was achieved favoring the analysis of the most widespread type in the urban context, the hôtel.Poitiers has known an intense architectural activity since the end of the 15th century, nevertheless, the Renaissance city remains essentially unexamined, unlike the medieval and 17th century ones. The aim of my research is to fill this historiographical gap by analyzing the architectural production from the flamboyant age to that of those centers where the Renaissance sees its first flourishing.To understand the modality of migration of the Italian Renaissance model in the Poitiers region, were examined the architectural complexes of the Early Renaissance which represent the paradigm for the whole region and the related commissions, that were receptive to the importation of classical canons. Subsequently, the construction typology of the hotel was analyzed at a local level. This hotel represents the town residence model of the French bourgeoisie, whose economic and political power increased during the 15th century. The Poitiers’s architectural corpus, here considered, consists of about fifty residential complexes, built starting from the end of the 15th century: starting from such a considerable panorama, the research focused on the monographic study of four architectures, emblems of the change of stylistic language (the Fumé, Berthelot, d’Estissac and Beaucé hôtels). / La tematica di ricerca indaga la comprensione dei meccanismi di apparizione del Rinascimento a Poitiers e nel territorio circostante, in un lasso temporale compreso tra la fine del XV e la metà del XVI secolo. In particolare, si sono individuati i caratteri peculiari nell’ambito dell’architettura, privilegiando l’analisi della tipologia più diffusa nel contesto urbano, quella dell’hôtel.Principale polo della provincia storica del Poitou, Poitiers ha conosciuto un’intensa attività sul piano architettonico a partire dalla fine del XV secolo ma, ciononostante, la città nel Rinascimento resta essenzialmente non esaminata, al contrario di quella medievale e del XVII secolo. La ricerca ha tentato di colmare questa “lacuna” storiografica analizzando la produzione architettonica dall’età flamboyant raffrontandola a quella di quei centri, non lontani, dove il Rinascimento vede la sua prima fioritura, come Tours e Blois.Al fine di comprendere la modalità di migrazione del modello Rinascimentale italiano nella regione di Poitiers, si sono innanzitutto esaminati gli insiemi architettonici significativi del Primo Rinascimento che rappresentano il paradigma per tutta la regione e le relative committenze, sensibili all’importazione dei canoni classici, comparando i tempi e le modalità di diffusione con le vicissitudini dei centri della Valle della Loira.Successivamente, partendo da uno studio storico e urbano, a livello locale si è approfondita la tipologia costruttiva dell’hôtel, modello di residenza cittadina della ricca borghesia francese, il cui potere economico e politico è aumentato nel corso del XV secolo. Il corpus architettonico potevino considerato è costituito da circa cinquanta insiemi residenziali, edificati a partire dalla fine del Quattrocento: muovendo da tale considerevole panorama, la ricerca si è concentrata sullo studio monografico di quattro architetture-emblema del cambiamento di linguaggio stilistico. A partire dal flamboyant hôtel Fumé, si è passati ai contemporanei hôtels Berthelot e d’Estissac, considerati i primi edifici rinascimentali, fino ad arrivare all’hôtel Beaucé, che riflette delle soluzioni formali compiute del Rinascimento francese maturo. Nel quadro dello studio delle committenze, inoltre, si sono analizzate anche le cappelle fatte erigere a Notre-Dame-La-Grande, a Saint-Germain, a Saint-Hilaire e i castelli delle famiglie Fumé, Berthelot, d’Estissac. / El tema de investigación estudia los mecanismos de aparición del Renacimiento en Poitiers y sus aledaños, en un lapso temporal comprendido entre el final del siglo XV y la mitad del XVI. En particular, han sido individuadas sus peculiaridades en el ámbito de la arquitectura, privilegiando el análisis de la tipologia de mayor difusión en el contexto urbano, el hôtel.Poitiers, polo principal de la antigua provincia de Poitou, vivió una actividad intensa en el campo arquitectónico hacia finales del siglo XV. No obstante, la parte de la ciudad de época renacentista no ha sido exhaustivamente estudiada, a diferencia de los periodos medieval y del siglo XVII. La investigación busca completar este “vacío” historiografico analizando la producción arquitectónica realizada en la edad gótico-tardía y relacionándola a aquella de otros centros de las cercanías, en los que el Renacimiento se difundió tempranamente, como son Tours e Blois.Con el fin de comprender la modalidad de migración del modelo renacentista italiano en la región de Poitiers, se han examinado en primer lugar los complejos arquitectónicos emblemáticos del primer Renacimiento, que representan un modelo para toda la región, y sus respectivos promotores, atentos a la adopción de cánones clásicos, comparando tiempos y modalidades de difusión con las vicisitudes de los centros del Valle del Loira.Posteriormente, partiendo del aspectos historicos y urbanos, se profundizó a nivel local el examen de la tipología contructiva del hôtel, modelo de estancia de la rica burguesía francesa, cuyo poder económico y político se incrementó durante el siglo XV. El corpus arquitectónico potevino tomado en consideración está constituído por cinquenta conjuntos residenciales aproximadamente, construidos a partir de finales del Cuatrocientos: dada la amplitud de casos, se ha desarrollado el estudio monográfico de cuatro ejemplos emblemáticos del cambio del estilo en el lenguaje. Partiendo del flamboyant hôtel Fumé, y pasando por sus contemporáneos hôtels Berthelot y d’Estissac, considerados los primeros ejemplos renacentistas, se ha llegado al hôtel Beaucé, el cual refleja las soluciones formales adoptadas en el Renacimientos francés maduro. En el ámbito de las indagaciones sobre los promotores, además, han sido analizadas las capillas construídas en Notre-Dame-La-Grande, en Saint-Germain, en Saint-Hilaire y los castillos de las familias Fumé, Berthelot, d’Estissac.
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L'église Sainte-Marie-Majeure de Ferentino et la dimension cistercienne de l'architecture du Latium méridional au XIIIe siècle / The Church of Santa Maria Maggiore in Ferentino and the Cistercian Dimension of Thirteenth-Century Architecture in Southern Lazio / La chiesa di Santa Maria Maggiore a Ferentino e gli echi cistercensi nell‟architettura duecentesca del Lazio meridionale

Gallotta, Emanuele 21 June 2019 (has links)
La recherche porte sur l'étude historique et architecturale de l'église de Sainte-Marie-Majeure à Ferentino (province de Frosinone, Italie), l'un des plus importants édifices construits dans le Latium méridional au XIIIe siècle. Le contexte scientifique montre d'énormes désaccords relatifs à la période d'édification et, par conséquent, aux différentes références culturelles ayant inspiré l'architecture de l'église, à partir des abbayes de Fossanova (1208) et Casamari (1217). D'autre part, en raison de la rareté des sources médiévales qui nous sont parvenues, nous ne connaissons pas avec précision la chronologie relative et absolue du bâtiment. Le texte de synthèse, qui est supporté de deux volumes supplémentaires rassemblant les sources iconographiques et toute la documentation écrite (inédite ou non) sur Sainte-Marie-Majeure, se compose de trois parties. Après avoir retracé l'histoire de l'église, depuis ses origines jusqu'aux dernières restaurations, à partir de l'exposé critique de questions historiographiques, l'architecture de l'édifice et ses principales phases de construction sont analysées de manière exhaustive. Enfin, la dernière section contextualise notre étude de cas dans le cadre du renouvellement architectural du Latium méridional et, plus largement, dans l'histoire de l'architecture médiévale, sans se limiter à l'Italie. En sélectionnant tel édifice-clé, constituant un exemplum sous le point de vue architectural, la recherche a spécifié les modalités de réception et de transmission des modèles provenant de la Bourgogne et de l'Ile-de-France à l'architecture religieuse et civile dans la province ecclésiastique de Campagna et Marittima au XIIIe siècle. / My research deals with the historical and architectural study of Santa Maria Maggiore in Ferentino (in the modern province of Frosinone), one of the most important buildings erected in southern Lazio during the thirteenth century. The existing scholarship on the church was out of date and suffered from large gaps that left the history of its construction unexplained. Neither the date of the site‟s foundation nor that of its completion are known because of the lack of medieval documentary sources. Consequently, the main disagreements about Santa Maria Maggiore had concerned the sources of inspiration for its architecture, as scholars generally compared it to the model of the Cistercian abbeys of Fossanova (1208) and Casamari (1217). My dissertation is accompanied by two additional volumes containing the images supporting the text and a catalogue of written sources including unpublished archival documents, and it is divided into three parts. The first traces the entire history of the building and begins with a critical exposition of related historiographical issues. The second section exhaustively analyses the architecture of the church and its building phases by reconciling documentary evidence and visual analysis of the church. The third section contextualizes the design of Santa Maria Maggiore within the territory of southern Lazio and the panorama of "Cistercian" architecture. By taking this exemplary monument as its subject, my research demonstrates the complex reception of architectural models from Burgundy and the Ile-de-France, analysing their subsequent reworkings in thirteenth-century religious and civil architecture in the ecclesiastical province of Campagna and Marittima. / La ricerca affronta lo studio storico-critico della chiesa di Santa Maria Maggiore a Ferentino (FR), uno dei più importanti edifici costruiti nel Lazio meridionale durante il XIII secolo. Nonostante sia stata dichiarata Monumento Nazionale nel 1884, non era mai stata oggetto di uno studio sistematico ed è ancora oggi pressoché inedita. Il contesto scientifico, ormai desueto, soffre di grandi lacune sulle vicende costruttive della fabbrica, di cui non sono note né la data di fondazione né quella di completamento del cantiere a causa della scarsità di fonti documentarie medievali. Di conseguenza, i principali disaccordi hanno riguardato le influenze culturali fonte d‟ispirazione per l‟architettura di Santa Maria Maggiore, troppo genericamente ricondotte al modello delle abbaziali cistercensi di Fossanova (1208) e Casamari (1217). La dissertazione, accompagnata da due volumi supplementari che contengono le immagini di supporto al testo e il repertorio delle fonti documentarie, è suddivisa in tre parti: quella iniziale ripercorre l‟intera storia dell‟edificio a partire dall‟esposizione critica delle questioni storiografiche; la seconda sezione analizza in modo esaustivo l‟architettura della fabbrica e le fasi edilizie riconosciute; la terza parte, infine, contestualizza il caso studio nel quadro del Lazio meridionale e nel panorama dell‟architettura “cistercense”. Estendendo il campo di indagine, il lavoro ha acquisito un valore a scala territoriale poiché la ricostruzione delle vicende edilizie di Santa Maria Maggiore ha permesso l‟istituzione di raffronti con diverse altre architetture coeve sia italiane che francesi, al di là dei due magniloquenti monasteri di Fossanova e Casamari. A questi ultimi, infatti, la storiografia ha attribuito da sempre un ruolo privilegiato nell‟introduzione del linguaggio gotico ultramontano nel territorio a sud di Roma, di cui la chiesa ferentinese rappresenta una derivazione locale. Selezionando tale exemplum, la ricerca ha precisato le modalità di accoglienza dei modelli provenienti dalla Borgogna e dall‟Ilede-France, rintracciando le successive rielaborazioni nell‟edilizia duecentesca sia religiosa che civile nella Provincia ecclesiastica di Campagna e Marittima.

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