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La communication sensible comme point de rencontre des nouvelles configurations de la communication d'entreprise : tentative de passerelle entre l'organisation communicante et les SICLibaert, Thierry 25 January 2008 (has links)
A partir de 3 domaines de communication d'entreprise, la communication environnementale, d'acceptabilité et de crise, émerge un domaine qui cristalise les nouvelles évolutions de la communication vers une approche en apparence non maitrisée des effets des actions de communication.
Je définis cette communication come étant sensible c'est-à-dire où les paramètres de maitrise restent hypothétiques.
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Vers une écologie spirituelle de la ville : Pour une critique du développement durable urbain, approches philosophique et psychanalytiqueDuchemin, Séverine 19 December 2008 (has links) (PDF)
Pour construire la ville durable, systèmes de représentations et usages demandent à être revus dans notre société moderne. Revenir sur cet ordre symbolique et pratique, c'est revenir sur notre rapport à la Nature, à l'Autre, à nous-mêmes, et à notre Idéal. En ce sens, la place faîte à la science et à la technique est nécessairement à interroger, et avec elle, celle de la productivité et d'une vision libérale de la vie en société. Le développement des sciences et des techniques a effectivement généré une productivité dévastatrice au niveau écologique, et l'idéologie libérale empêche le politique de corriger les erreurs commises sur le plan humain comme sur le plan de la biosphère. Une philosophie de la décroissance favorisant les valeurs de bien-être aux dépens des valeurs productivistes et libéralistes, une philosophie faisant triompher l'ontologique devant la logique et l'instrumentalisme, pourrait modifier les attitudes mercantiles, et permettre à notre société de prendre le virage qu'il lui faut prendre. Cette révolution en termes de valeurs n'est pas sans risque sur le plan des idéologies, ni sans modifier par ailleurs nos identités en profondeur. Pour accompagner le phénomène de résilience sur le plan social, un travail intérieur, c'est-à-dire en chacun de nous, doit être engagé. VERS
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Permanencias y transformaciones territoriales : la construcción histórica del territorio en la micro región de los valles interandinos de Cochabamba (Bolivia)Loza Armand Ugon, Andrés 14 October 2008 (has links)
Face à la vitesse des échanges et transformations qui semblent redéfinir l’ensemble de pratiques et valeurs qui font au rapport société/espace, la dimension historique acquérir des nouvelles relevances et comme référence identitaire/patrimoniale et comme indicateur d’une cohérence territoriale, supposée ou souhaitée. Le recours à l’histoire constitue une des stratégies courantes qui visent la mise en évidence des particularités qui font à l’originalité de chaque territoire dans le concert mondial. Le risque de cette approche est celle d’une lecture partielle et narcissiste qui réduit l’histoire de nos territoires à des clichés échangeables. Pourtant, si on l’envisage autrement cette tendance peut ouvrir les portes à la problématisation des processus actuels en reconnaissant le rôle dynamique de l’histoire dans la construction des territoires. Ainsi étant, la question n’est pas l’exaltation de certains valeurs mais la reconnaissance de l’épaisseur historique, des valeurs historiques/identitaires que définissent la particularité des territoires et qui pourraient être mobilisées autour des nouveaux projets de territoire.
Dans cet esprit, notre recherche vise à contribuer à la compréhension du processus de construction territorial de la micro région des vallées inter andins –Totora et Pocona- du département de Cochabamba, en Bolivie. Un territoire rurale qui historiquement à joué un rôle importante à niveau régional –lié notamment à la production de la feuille de coca- et qu’à présent traverse une situation de crise. Ce qu’on propose est la reconstruction des processus qui ont caractérisée chaque période de l’histoire micro régionale et que, en tant que rugosités ou inerties dynamiques, s’articulent dans la construction actuelle et projectuelle de ce territoire. Il s’agit, d’un côté, de mettre en évidence l’épaisseur historique/territorial en fonction de l‘interpellation aux dynamiques actuelles où la problématique patrimoniale/identitaire semble redéfinir les rapports avec l’histoire et le territoire ; et de générer une autre vision qui permette de repenser la pratique de la planification et l’aménagement territorial. Contribuant ainsi à la génération de nouveaux projets de territoire, cohérents avec les particularités locales, les principes d’articulation solidaire et ceux d’un développement centré dans les gens et la communauté.
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Habiletés numériques exactes et approximatives: Développement, interactions, rôle de l’école et de la culture/Exact and Approximate number skills: development, interactions, role of schooling and of cultureNys, Julie 17 November 2010 (has links)
Les animaux et êtres humains possèdent le sens du nombre, une capacité permettant d’appréhender rapidement et de manière approximative les quantités. Cette habileté étant présente très précocement et parmi différentes espèces, elle est considérée comme émergeant indépendamment de la culture, et en particulier de ces objets culturels que sont le langage et la scolarisation. Au-delà de cette compétence héritée phylogénétiquement, l’être humain développe également la capacité à appréhender et à manipuler les grandes quantités de manière exacte, du moins lorsqu’il évolue dans une culture de type occidental. Cette habileté émerge en grande partie grâce aux propriétés symboliques dont est pourvu le langage et aux outils mathématiques enseignés à l’école.
De précédentes recherches ont permis de montrer que les compétences numériques approximatives se précisent au cours de l’ontogenèse de l’individu. D’une part, ces habiletés se développent entre l’âge de trois et six ans, ce qui correspond à la période à laquelle l’enfant acquiert les habiletés numériques verbales. D’autre part, les adultes possèdent des compétences numériques approximatives plus élaborées que celles d’enfants de six ans, suggérant que ces compétences se précisent également durant la période consacrée aux apprentissages scolaires. Le présent travail de thèse a pour objectif d’examiner la manière dont les habiletés numériques exactes, acquises sous l’influence des apprentissages langagiers et scolaires émanant de la culture, s’intègrent aux habiletés numériques approximatives, et comment elles peuvent les influencer.
Cette proposition est évaluée expérimentalement à travers la mise en œuvre de cinq études. La première étude est consacrée aux interactions régissant les capacités numériques exactes et approximatives au cours de la scolarité primaire. La seconde étude examine l’influence du langage sur le développement des habiletés numériques exactes et approximatives, à travers l’évaluation d’enfants présentant un déficit langagier. La troisième étude explore plus directement la question de l’impact des apprentissages en mathématiques sur les compétences approximatives, grâce à l’évaluation d’adultes n’ayant pas bénéficié d’une éducation formelle en mathématiques. La quatrième étude est consacrée aux stratégies utilisées par l’adulte lors de la résolution exacte de calculs complexes afin d’examiner si certaines des procédures engagées portent les marques du système numérique approximatif. Enfin, la cinquième étude examine comment les capacités approximatives d’appréhension de la quantité sont associées aux habiletés arithmétiques exactes lorsqu’elles sont mises en œuvre à l’âge adulte. L’ensemble des résultats est intégré dans une section finale au sein de laquelle sont discutés les rapports entre nature et culture définissant les relations entre habiletés numériques approximatives et exactes.
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Développement agricole dans le Sud du Rwanda : étude du processus de participation locale au sein des coopérativesTurmel, Pierre-Anne 19 October 2012 (has links)
Dans les années 2000, pour assurer son développement, le Rwanda revoit sa stratégie agricole en prenant un virage coopératif majeur. Parallèlement, les critiques internationales des pratiques « néocoloniales » de développement rural provoquent un changement vers des approches plus participatives. Ces deux bouleversements entraînent des changements considérables dans les communautés rurales rwandaises, où naissaient des centaines de coopératives agricoles. Le mouvement grassroots (développement par le bas) et la méthode ÉRP (évaluation rurale participative) favorisent le renforcement des capacités de la société civile et sa participation aux projets, comme l’ont voulu les organisations partenaires au projet Développement agricole coopératif au Rwanda. La littérature et l’expérience coopérative sur le terrain nous enseignent comment s’articule la participation locale, du point de vue des partenaires CCA (Association des coopératives du Canada) et UGAMA-CSC (Centre de service aux coopératives du Rwanda). Mais, qu’en est-il du point de vue de la population bénéficiaire? C’est en menant 27 entrevues semi-dirigées, individuelles et anonymes, auprès de membres réguliers ainsi que les chefs de zone et les professionnels impliqués dans les coopératives, que l’étudiante-chercheure a voulu répondre à la question de recherche suivante : dans le Rwanda agricole, où œuvrent différents acteurs de développement sur un même projet, comment s’articule le processus de participation locale aux yeux de la population bénéficiaire ? La recherche offre un regard rétrospectif sur la participation de la population ciblée par le projet, ainsi que le pouvoir qu’elle a exercé à travers les différentes étapes du dit projet. Son objectif secondaire est d’améliorer ce processus pour des projets futurs en tirant des apprentissages. La participation qui est présentée dans la théorie n’est pas toujours calquée intégralement dans la pratique et les processus de prises de décisions ne revêtent pas toujours le caractère démocratique prétendu. Dans un contexte culturel unique, la signification de la participation peut être interprétée de façon bien différente, dépendamment de la position que l’on occupe dans la hiérarchie locale. L’analyse des réponses permet de dégager des recommandations issues de ces acteurs qui sont souvent cloîtrés dans le bas de l’échelle, où la prise de parole n’est pas la plus facile d’accès.
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Freins aux initiatives locales et pratiques d’actions solidaires comme alternative dans le processus de développement local en Afrique de l’ouest : le cas du pays Toura (Côte d’Ivoire)Soumahoro, Moustapha January 2007 (has links)
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La participation dans les organisations coopératives en Haïti : le cas de la coopérative Saint-JérômePierre, Marc Élie January 2007 (has links) (PDF)
Ce travail de recherche porte sur la participation des membres de la Coopérative Saint-Jérôme, à Petite Rivière de l'Artibonite en Haïti. La dynamique sociale de la coopérative ne dépend pas seulement de sa gestion, ni de ses principes et structures, mais surtout de la participation active des membres. Cette recherche présente différentes théories portant sur le mouvement coopératif et la participation dans l'organisation. Plus particulièrement, il s'agit d'étudier la question de la participation dans une coopérative haïtienne, en vue de comprendre les différents problèmes posés dans les cas d'absence de participation et les contradictions qui se sont tissées autour des pratiques de gestions autocratiques dans le coopératisme. A travers cette étude de cas, nous avons mis en lumière les rapports sociaux sur lesquels s'édifie la coopérative Saint-Jérôme. Pour corriger la situation, cette recherche propose des éléments de solution par le biais d'un programme de formation basé sur l'expérience et le savoir des membres. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Participation, Coopérative, Stratégies des membres, Paysannerie, Développement rural.
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Approche méthodologique pour les projets de réutilisation des eaux usées en irrigationBenzaria, Mohammed January 2008 (has links) (PDF)
Le problème de l'eau se pose avec acuité aussi bien au Nord qu'au Sud, chez les uns en terme de qualité, chez les autres en terme de quantité.
L'accroissement démographique, les activités anthropiques et les changements climatiques exercent une grande pression sur la ressource «eau». Celle-ci diminue à cause de la surexploitation des nappes, de la pollution des lacs et des rivières, etc. Pour disposer de plus d'eau douce pour les usages industriels et d'eau potable, l'agriculture, qui consomme près de 70% de toute l'eau douce utilisée, doit réutiliser davantage les eaux usées en irrigation. Cette réutilisation permet, en plus de l'eau, d'apporter des fertilisants et de la matière organique. La réutilisation des eaux usées a toujours existé, mais elle a toujours été traitée d'une façon monodisciplinaire, le seul critère retenu étant la santé humaine. Toutes les normes de l'OMS ont été élaborées dans un souci sanitaire. Celles-ci ont été d'une part contraignantes, car difficile à respecter par les pays en voie de développement et, d'autre part, ont posé le problème d'acceptabilité sociale (image négative d'une eau considérée dangereuse). Le travail consiste à élaborer un outil de prise de décision qui, d'une part, intègre le nombre maximum de systèmes dans lesquels s'inscrit la réutilisation des eaux usées, et donc plusieurs critères et, d'autre part, permet de s'assurer que ce type de projet s'inscrit dans une perspective de développement durable et ce dès son élaboration.
Une approche théorique a été adoptée, elle consiste à inventorier les systèmes mis en jeu dans le projet, à choisir les principes du développement durables qui cadrent avec le projet et d'élaborer une grille pour aider à la prise de décision. Cette approche doit pouvoir se généraliser à d'autres problématiques environnementales présentant des similitudes. Le présent travail ne présente aucune validation sur le terrain. Les difficultés rencontrées sont d'ordre théorique, notamment la définition des paramètres liés aux systèmes, le nombre de principes à choisir parmi les vingt sept du développement durable, la formulation de la question et l'évaluation au niveau de la grille. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Réutilisation des eaux usées, Irrigation, Développement durable, Grille décisionnel.
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Les régions métropolitaines de recensement innovantes au CanadaBourassa, Michel January 2008 (has links) (PDF)
Cette étude porte entièrement sur l'innovation régionale au Canada. En effet, elle tente de mieux comprendre quels sont les facteurs qui influencent la production et la productivité d'innovations dans les neuf RMR les plus innovantes du Canada. La partie introductive expose le thème de l'innovation. Pour ce faire, elle définit l'innovation tout en précisant les acteurs participants aux activités d'innovation, le processus d'innovation et les stratégies de protection de la propriété intellectuelle. Par la suite, ce chapitre présente la situation de l'innovation au Canada. Finalement, elle termine par les objectifs de cette étude. La revue de la littérature présente d'abord l'évolution des théories relatives aux districts industriels de Marshall qui ont mené aux externalités. Par la suite, les théories sur la production d'innovation et la fonction d'innovation sont exposées. Ces deux thèmes mènent aux théories traitant des externalités de connaissances, de l'importance de la structure locale et de la diffusion des connaissances. Le troisième chapitre présente le cadre conceptuel basé sur les théories présentées au chapitre précédent. De ce cadre conceptuel, on extrait des questions et des hypothèses de recherche qui serviront à déterminer les facteurs influençant l'innovation régionale dans les neuf plus grandes RMR au Canada. Par la suite les variables utilisées sont définies et justifiées. Enfin, l'échantillon est décrit et ses faits saillants sont exposés. Le chapitre quatre porte sur les analyses statistiques tentant de répondre aux questions et hypothèses de recherche. En effet, toutes les hypothèses sont testées et les résultats sont présentés et interprétés. La deuxième partie de ce chapitre présente une discussion des résultats et une exposition des conséquences de ceux-ci sur la gestion de l'innovation au niveau régional.
Finalement, la conclusion revient sur les résultats obtenus tout en présentant les limites de l'étude et les possibilités de recherches futures. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Innovation régionale, Production d'innovation, Productivité d'innovation, Structure locale, Extemalité, Facteur d'influence, RMR.
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La ville viable comme projet intégrateur : regard sur sa mise en oeuvre entre la planification et le design urbainPetit, Christian January 2008 (has links) (PDF)
Cette recherche pose un regard sur la transversalité et l'interdisciplinarité du projet de ville viable, à travers la pratique du design urbain, pratique à saveur culturelle et dont les objectifs sont très rapprochés de ceux du développement durable en milieu urbain. D'une part, la culture, malgré les bonnes intentions, reste un domaine auquel on n'accorde pas l'importance qui lui revient. D'autre part, le discours concernant l'apport du design urbain à la ville viable fait souvent la preuve de la dominante environnementale sur le discours du développement durable: réduction du transport, densité, réduction de la consommation d'énergie, choix des matériaux de construction, etc. À l'ère de la « bonne gouvernance » et de la participation citoyenne, le rôle de négociation des professionnels du design urbain est de plus en plus important. IIs doivent être porteurs du projet de développement durable pour favoriser la construction collective de ce qui sera considéré comme un design urbain viable. Ainsi, leur propre perception du projet devient un facteur clé. Sur cette base, la recherche avait pour objectif de comprendre la dynamique existante entre la planifïcation de la ville viable et sa mise en oeuvre dans la pratique du design urbain, au moyen d'entretiens semi-dirigés auprès d'employés et élus municipaux. Sous forme d'études de cas, quatre villes ont été ciblées: Copenhague, Oslo, Montréal et Québec. Les résultats et l'analyse sont présentés en deux temps: d'abord selon les quatre cas à l'étude, puis selon les fonctions occupées par les personnes rencontrées lors des entretiens.
Premier constat: quatre villes à l'étude et autant de stratégies différentes pour atteindre la viabilité urbaine. Mais la perception du développement durable, et surtout celle de l'environnement, est fortement tributaire du discours environnementaliste, parfois au détriment de la flexibilité souhaitée. De plus, il existe des langages professionnels qu'il importerait de faire se rencontrer, et les urbanistes semblent avoir un rôle important à jouer à ce niveau. Enfin, l'esprit de la gouvernance a déjà fait sa marque; les gens de tous horizons semblent prêts à accepter l'expertise des autres. Il ne reste plus qu'à trouver de bonnes façons de favoriser le partage. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Ville viable, Développement durable, Design urbain, Interdisciplinarité, Transversalité, Culture, Processus, Perceptions, Information.
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