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Possessions et exorcismes dans l'hagiographie byzantine primitive (IVe-VIIe siècle)Goudal, Aurélie January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Possessions et exorcismes dans l'hagiographie byzantine primitive (IVe-VIIe siècle)Goudal, Aurélie January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Le diable et les démons dans la Legenda aurea du dominicain Jacques de VoragineJean, Marc-André January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Captivité démoniaque et lutte contre le diable chez Louis BouyerVilleneuve, Christian 12 April 2018 (has links)
Le but de la présente thèse de doctorat est de mettre en lumière la démonologie de Louis Bouyer, plus précisément à travers les thèmes de la « captivité démoniaque » et de la « lutte contre le diable », qui résument le mieux l'ensemble de cette démonologie. La méthode qui a conduit ce travail de recherche était commandée par le genre de la recherche, soit le genre « étude d'auteur ». Il a donc fallu d'abord faire un survol de l'ensemble des œuvres publiées de Bouyer afin d'y repérer tous les passages pertinents à la recherche, puis, en un deuxième temps, identifier dans la documentation retenue les éléments les plus essentiels et les plus caractéristiques de la démonologie de Bouyer. Or l'examen de ces divers éléments a permis de déterminer — et ce sont là les résultats de la recherche — qu'on pouvait les répartir en cinq développements distincts, qui seraient ainsi présentés en autant de chapitres de la thèse. Le premier porte sur la « captivité démoniaque » de l'homme et du monde, et les quatre suivants sur la « lutte contre le diable », plus précisément chez le Christ, dans la liturgie, dans la vie chrétienne et enfin dans la vie monastique. Les conclusions de cette recherche doctorale sont alors les suivantes : pour Louis Bouyer, l'homme destiné à faire du monde une louange de Dieu est devenu, par son péché, esclave et captif aux mains des puissances démoniaques ainsi que le monde avec lui. Mais le Christ apparaît comme le « plus fort » venu chasser le « fort » : par sa mort obéissante, il vainc le diable, et par son ascension ramène l'humanité au chœur de la louange divine. Or cette lutte victorieuse du Christ doit devenir celle des siens, et c'est là le tout de la liturgie. Dans le combat spirituel mené alors au cours de la vie chrétienne, l'Esprit va lutter en l'homme contre l'esprit malin, et la vie monastique ne sera qu'une réalisation radicale de cet affrontement des forces obscures tenant l'homme captif pour l'ouvrir à la vie de l'Esprit.
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Les marques du diable et les signes de l'Autre : rhétorique du dire démonologique à la fin de la RenaissanceHotton, Hélène 05 1900 (has links)
Comment le motif de la marque insensible du diable a-t-il pu se frayer un chemin au sein du discours théologique, juridique et médical de la fin de la Renaissance jusqu'à s'imposer comme une pièce essentielle du crime de sorcellerie? Selon quels mécanismes et à partir de quels systèmes de croyance cette marque corporelle en est-elle venue à connaître une si large diffusion et une aussi grande acceptation tant chez les gens du livres que parmi les couches populaires? En cette époque marquée par la grande chasse aux sorcières et le développement de l'investigation scientifique, l'intérêt que les savants portent à cette étrange sémiologie constitue une porte d'accès privilégiée pour aborder de front la dynamique du déplacement des frontières que la démonologie met en oeuvre au sein des différents champs du savoir. Cette thèse a pour objectif d'étudier le réseau des mutations épistémologiques qui conditionne l'émergence de la marque du diable dans le savoir démonologique français à la charnière des XVIe et XVIIe siècles. Nous examinerons par quels cheminements l'altérité diabolique s'est peu à peu intériorisée dans le corps et l'âme des individus sous l'influence grandissante des vertus de l'empirisme, de la méthode expérimentale et de l'observation. En analysant la construction rhétorique de la théorie des marques du diable et en la reliant aux changements qui s'opèrent sur la plateforme intellectuelle de l'Ancien Régime, nous entendons éclairer la nouvelle distribution qui s'effectue entre les faits naturels et surnaturels ainsi que les modalités d'écriture pour en rendre compte. / How did the motive of the Devil's Mark wend its way through the theological, legal and medical discourse at the end of the Renaissance to such a point that it became a critical component of the crime of witchcraft? Through what mechanisms and what belief systems did this idea of the Devil's Mark become so widely disseminated and greatly accepted among both the scholars and the general public? In a period marked by the Great Witch Hunt, as well as the development of scientific investigation, the fact that the scholars are interested in this strange semiotics is a very interesting starting point to address head-on the shift in boundaries that demonology brought about within these different fields of knowledge. The purpose of this thesis is to study the network of the epistemological mutations that shaped how the Devil's Mark emerged in French demonological knowledge between the end of the 16th century and the beginning of the 17th century. We will review how diabolical otherness gradually became internalized in the individuals' heart and soul under the increasingly powerful influence of empiricism, experimental method, and observation. We will analyze the rhetorical construction surrounding the Devil's Mark theory and relate it to the changes that took place in the intellectual platform of the Ancien Régime in order to shed light on the new classification that appeared between natural and supernatural facts, as well as on the rhetorical strategies used to report on them.
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Les marques du diable et les signes de l'Autre : rhétorique du dire démonologique à la fin de la RenaissanceHotton, Hélène 05 1900 (has links)
Comment le motif de la marque insensible du diable a-t-il pu se frayer un chemin au sein du discours théologique, juridique et médical de la fin de la Renaissance jusqu'à s'imposer comme une pièce essentielle du crime de sorcellerie? Selon quels mécanismes et à partir de quels systèmes de croyance cette marque corporelle en est-elle venue à connaître une si large diffusion et une aussi grande acceptation tant chez les gens du livres que parmi les couches populaires? En cette époque marquée par la grande chasse aux sorcières et le développement de l'investigation scientifique, l'intérêt que les savants portent à cette étrange sémiologie constitue une porte d'accès privilégiée pour aborder de front la dynamique du déplacement des frontières que la démonologie met en oeuvre au sein des différents champs du savoir. Cette thèse a pour objectif d'étudier le réseau des mutations épistémologiques qui conditionne l'émergence de la marque du diable dans le savoir démonologique français à la charnière des XVIe et XVIIe siècles. Nous examinerons par quels cheminements l'altérité diabolique s'est peu à peu intériorisée dans le corps et l'âme des individus sous l'influence grandissante des vertus de l'empirisme, de la méthode expérimentale et de l'observation. En analysant la construction rhétorique de la théorie des marques du diable et en la reliant aux changements qui s'opèrent sur la plateforme intellectuelle de l'Ancien Régime, nous entendons éclairer la nouvelle distribution qui s'effectue entre les faits naturels et surnaturels ainsi que les modalités d'écriture pour en rendre compte. / How did the motive of the Devil's Mark wend its way through the theological, legal and medical discourse at the end of the Renaissance to such a point that it became a critical component of the crime of witchcraft? Through what mechanisms and what belief systems did this idea of the Devil's Mark become so widely disseminated and greatly accepted among both the scholars and the general public? In a period marked by the Great Witch Hunt, as well as the development of scientific investigation, the fact that the scholars are interested in this strange semiotics is a very interesting starting point to address head-on the shift in boundaries that demonology brought about within these different fields of knowledge. The purpose of this thesis is to study the network of the epistemological mutations that shaped how the Devil's Mark emerged in French demonological knowledge between the end of the 16th century and the beginning of the 17th century. We will review how diabolical otherness gradually became internalized in the individuals' heart and soul under the increasingly powerful influence of empiricism, experimental method, and observation. We will analyze the rhetorical construction surrounding the Devil's Mark theory and relate it to the changes that took place in the intellectual platform of the Ancien Régime in order to shed light on the new classification that appeared between natural and supernatural facts, as well as on the rhetorical strategies used to report on them.
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Le Dieu de Platon : essai sur le Daimon-Socrate comme paradigme de la rationalité platonicienneMarier, Martin 19 April 2018 (has links)
L'Occident a cherché à comprendre la mystérieuse figure du Socrate historique à l'intérieur des différentes traditions philosophiques, religieuses et littéraires qui s'en réclament. La lecture que nous proposons ici relance l'interprétation de ce personnage dans une toute nouvelle direction et, surtout, celle que proposa Platon, sur de nouvelles bases exégétiques. Elle s'appuie sur l'impensé même de toute la réception occidentale postérieure de ce personnage : sa mimesis « logocentrique » dont tinrent cependant compte l'ensemble des auteurs des sokratikoi logoi de l'Antiquité. Toutes les sources de première main présentent d'abord Socrate — avec le sérieux qui s'impose ou encore d'une manière ironique ou comique — sous les traits d'un daimon psychique tutélaire (et, en quelque sorte « apomnématique ») de sa confrérie agissant par son logos sur la psyché de ses interlocuteurs comme un Intellect hypostatique. Loin des interprétations habituelles, l'ensemble des témoignages anciens rend compte d'une unité incontournable du personnage au coeur même de sa mise en scène mimétique. Ainsi, les secrets entourant cet être fascinant ne se comprennent historiquement qu'à partir de son activité mantique révélant un savoir-faire démiurgique supérieur et divin, une sophia hypostatique sanctionnée par l'oracle delphique. Au coeur de la cité, le Socrate platonicien est, d'une façon similaire — et selon de nouvelles perspectives anthropogoniques, politogoniques et cosmogoniques —, le personnage conceptuel et métaphysique même, le nomos religieux civique même et l'expression même du « bien-hénade ». Selon la mimesis typique aux sokratikoi logoi, la place centrale qu'il occupe à l'intérieur des dialogues qui étaient lus à lAcadémie à'Athènes est la même que celle qu'il occupe au sein du système métaphysique de Platon. Trouvant son double ou son alter ego intelligible à l'intérieur des différentes figures discursives selon les sujets abordés au cours des entretiens, il est à la fois, par exemple, le nomothète divin du Cratyle, l'Éros du Banquet et du Phèdre, l'Intellect démiurgique séparé du Timée, et le Bien-Un de la République. Bref, il tient véritablement le rôle de l'axe circulaire de l'édifice du monde intelligible comme un producteur psychique divin causal, paradigme même d'un genos intellectuel rationnel. Socrate n'est pas un personnage comme un autre : c'est le daimon-raison même à partir duquel une ontologie, une épistémologie, etc., ne s'enseignent pas, mais se livrent d'une manière divine à l'intérieur de la psyché de ses interlocuteurs.
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Les démons chez Porphyre et Jamblique aux IIIe et IVe siècles apr. J.-C. : offrir le salut universel ou donner une aura sacrée aux philosophes?St-Amant, Tommy 06 March 2024 (has links)
Ce travail se consacre à la croyance aux démons dans la philosophie platonicienne,plus particulièrement chez les deux néoplatoniciens Porphyre de Tyr (234 – 305 apr. J.-C.)et Jamblique de Chalcis (245-325 apr. J.-C.). Ces deux philosophes ont vécu lors d’une période de transformations religieuses, au cours de laquelle plusieurs individus s’interrogèrent particulièrement sur le sort de l’âme. Cette période fut propice à la progression des religions ritualisées, comme le christianisme, qui proposaient le salut à tous,en cette période de crises. Ce mémoire propose de comparer la démonologie de ces deux philosophes intégrée à leur doctrine du salut universel. Le premier chapitre se penche d’abords ur l’évolution de la démonologie de Platon à Plotin (maître de Porphyre), où nous avons montré l’effort des platoniciens pour former une société de démons intermédiaires (entre les hommes et les dieux) et variées susceptibles de répondre à plusieurs problèmes dans le monde ici-bas. Le deuxième chapitre montre que Porphyre et Jamblique ont usé d’une riche tradition démonologique qui les avait précédés, tout en accueillant dans leur philosophie des influences venues des religions ritualisées, pour répondre aux attentes de leurs contemporain sen construisant leur doctrine du salut universel. Le dernier chapitre montre, cependant, que cette initiative était plus motivée par leur désir d’atteindre une notoriété dans l’Empire en contexte de persécution des chrétiens et de confusion des pratiques religieuses traditionnelles.
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De la querelle à l’agonie. Les enjeux épistémologiques des humanistes français face au schisme religieux (1524-1604) / From Quarrel to Agony. The Epistemological Challenges of French Humanists Towards the Religious Schism (1524-1604)Peña, Santiago Francisco 16 March 2017 (has links)
Cette thèse de doctorat aspire à percevoir jusqu’à quel point la dynamique agonale du XVIe siècle déclenchée par la Réforme protestante provoqua des différences irréconciliables parmi les humanistes français. L’analyse prend comme point de départ la querelle sotériologique entre Érasme et Luther de 1524, considérée comme l’exemple le plus paradigmatique de l’impossibilité de trouver une compatibilité bien entendue entre les diverses manifestations de l’enthousiasme philologique, stylistique, éthique, religieux et épistémologique des humanistes. Ses oppositions fondamentales en ce qui concerne la liberté du chrétien démontrèrent que les humanistes étaient contraints d’envisager l’élan de réforme avec prudence afin d’éviter de mettre en danger leurs propres fondements épistémologiques. Par ailleurs, l’affrontement entre ces deux hommes tellement représentatifs de la Renaissance tardive peut bien inaugurer l’étude du cas français à cause de l’influence d’Érasme sur les humanistes vassaux du Roi Très-Chrétien, mais aussi à cause de l’échec de la collatio érasmienne. Le centre de gravité historique est l’événement le plus révoltant de la France du XVIe siècle, i.e., le massacre de la Saint-Barthélemy. Le choc provoqué par la tuerie fut si définitif qu’on peut, faisant attention aux participations directes des humanistes dans la polémique confessionnelle avant et après août 1572, reconstruire le socle commun de discours dont beaucoup d’eux partageaient. Nonobstant, ces dénominateurs communs encouragèrent paradoxalement des dynamiques agonales autant qu’ils permirent la survivance d’une courante irénique marquée par la tradition sceptique qui finira par être une des marques d’identification historiographique du discours humaniste. / This Ph.D. dissertation tries to measure how the violent dynamic of the 16th century, encouraged by the Reformation provoked dissention in between French Humanists. The analysis takes the debate between Erasmus and Luther of 1524 as a point of departure, considered as the paradigmatic example of the impossibility of finding some compatibility between the different versions of the philological, stylistic, ethic, religious and epistemological enthusiasm of the Humanists. Their fundamental oppositions concerning the free will showed that the Humanists were forced to take the will of reformation with caution to avoid the harm of their own epistemological fundaments. On the other hand, the clash between these men had a very large impact in France because Erasmus was one of the main influences of the French Humanism but also because of the failure of his collatio. The center of gravity of the research is the Saint-Bartholomew Night’s Massacre because it left an impression over the humanists’ consciences that the analysis of the discourses before and after the killing may allow to recover the common basis of their discourses. This common basis encouraged violent dynamics but let paradoxically survive an irenic trend marked by the skeptic tradition, which would be one of the most characteristic signs of the historiographical readings of the humanist discourse.
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Elévations. Écritures du voyage aérien à la Renaissance / Elevation. Writing the aerial voyage in the RenaissanceMaus de Rolley, Thibaut 21 November 2009 (has links)
Du Roland furieux de l’Arioste (1516-1532) au Songe de Kepler (1634), cette thèse propose une étude des récits de voyages aériens dans la fiction narrative de la Renaissance (romans, poèmes épiques, satires) ainsi que des discours théoriques abordant la question du vol et de l’élévation (démonologie, cosmographie, astronomie, discours sur la possibilité du vol humain ou le vol des oiseaux, etc.). Trois principaux objets sont mis en valeur : les voyages célestes écrits dans la lignée de récits comme le Songe de Scipion de Cicéron ou l’Icaroménippe de Lucien de Samosate ; les voyages aériens de la fiction chevaleresque ; le motif du transport diabolique. L’étude montre ainsi l’importance prise par l’imaginaire du vol à la Renaissance, à la croisée de la fiction et des discours savants, et dessine une « pré-histoire » des fictions d’envol avant les récits de Godwin (The Man in the Moone, 1638) et de Cyrano de Bergerac (Etats et Empires de la Lune et du Soleil, 1657 et 1662). Au cœur de cette rêverie se loge tout à la fois le désir de prendre la mesure du monde et les inquiétudes suscitées par ce même désir. / From Ariosto’s Orlando furioso (1516-1532) to Kepler’s Somnium (1634), this thesis offers a study of aerial and celestial voyages in Renaissance narrative fiction (romances, epic poems, satires) as well as of learned treatises related to the question of flying (demonology, cosmography, astronomy, learned discourses on human and bird flight, etc.). It focuses on three main subjects: cosmic voyages in the tradition of Cicero’s Dream of Scipio or Lucian of Samosata’s Icaromenippus; aerial voyages in chivalric romance; diabolical transvection (eg. fly to the sabbath). It thus shows the extent to which flight captured the Renaissance imagination, at the cross-roads between fiction and learned discourse, and it traces a « pre-history » of fictional flying before Godwin’s Man in the Moone (1638) or Cyrano de Bergerac’s Etats et Empires de la Lune et du Soleil (1657 and 1662). At the heart of this fantasy lies a desire to measure the world from above – together with the anxieties produced by the same desire.
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