• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 14
  • 12
  • 1
  • Tagged with
  • 27
  • 27
  • 19
  • 18
  • 17
  • 12
  • 11
  • 8
  • 7
  • 7
  • 6
  • 5
  • 5
  • 5
  • 4
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Droit, gouvernance d'entreprise et structure du système financier : analyse économétrique du cas français / Law, corporate governance and financial system : econometric analysis of french case

Boughanmi, Afef 25 June 2007 (has links)
The World Bank reports "Doing business" (2004, 2005 and 2006), referring to the main assumptions and findings of the "law and finance" theory, predict that the common law system provides better for financial development and economic growth than French origin civil law. This thesis challenges the "law and finance" theory supported by La Porta, Lopez-de-Silanes, Shleifer and Vishny (LLSV). Thus, it undergoes an empirical investigation of the role of corporate governance in financial development and in shaping the financial structure of firms. We focus on French corporate governance reforms in order to examine whether these reforms are consistent with a reorganization of the French financial system during the period 1980-2004. This research aims to evaluate the proposition that there is a strong and stable relationship between legal origin, investor protection and financial system. LLSV affirm, in addition, that the causality is from law to finance. Our analysis considers the dynamic aspect of corporate governance. The key question the study suggests that indicators of investor protection may be independent from legal origin. In addition, our investigation is rather focuses on other stakeholders (employees and bondholders) and points out that the stakeholder' point of view appears to be more relevant, than the shareholder approach, to understand the corporate governance mechanisms. Our econometric investigation is rather new as the law and finance literature has not always focused on the elaboration of corporate governance indicators suitable for the french legislation. Also, our thesis undergoes a multiple criteria analysis of corporate governance reforms, which is a method not yet used in the growing literature generated by the legal corporate governance approach. Indeed, we weight the dummy variables according to the importance of stakeholder rights included in the constructions of the indicators. This methodology shows that the causality is especially from finance to law. This thesis yields results that mitigate the main LLSV's predictions and emphasize the merits of the stakeholder approach. / Les rapports de la Banque Mondiale "Doing business" (2004, 2005 et 2006), en s'appuyant sur les travaux fondateurs du courant Law and Finance, expriment plusieurs réserves à l'égard des qualités du droit civil et posent le postulat de la supériorité des systèmes juridiques de common law par rapport aux législations issues du droit civil français. Notre thèse constitue un début de réponse à ces critiques. En effet, nous nous proposons de tester la validité de la théorie "Law and Finance" proposée par LaPorta, Lopez-de-Silanes, Shleifer et Vishny (LLSV) en évaluant les relations entre les réformes en matière de gouvernance d'entreprise et la réorganisation du système financier en France entre 1980 et 2004. Notre travail est par conséquent, une contribution à l'étude de la gouvernance des entreprises en adoptant une approche nouvelle intégrant le facteur juridique en tant que mécanisme de gouvernance et en testant le pouvoir explicatif de la vision actionnariale. L'objectif de cette thèse est donc de discuter le postulat selon lequel il existe une relation forte et stable entre tradition juridique, niveau de protection des droits des investisseurs et développement financier, le droit influençant la finance. L'analyse se focalise sur l'aspect dynamique en évaluant l'impact de l'évolution des règles de gouvernance sur le développement financier. La protection des droits des actionnaires et des créanciers apparaît indépendante de la tradition juridique. De plus notre travail intègre d'autres partenaires de l'entreprise (les salariés et les obligataires), notre réflexion nous conduit à conclure que l'approche partenariale s'avère indispensable à la description et à l'analyse de la gouvernance des entreprises. Notre étude économétrique est novatrice principalement pour deux raisons. D'une part, les indicateurs des règles de gouvernance sont adaptés aux spécificités du droit français et ne sont pas calqués sur d'autres indicateurs et notamment ceux de LLSV. D'autre part, cette thèse propose une nouvelle méthode de construction des indicateurs juridiques en utilisant les méthodes statistiques de l'approche multicritère. En offrant une meilleure vision des liens particuliers entre les séries juridiques et financières, cette méthodologie a permis de prouver que le lien de causalité droit-finance n'est pas à sens unique, mais particulièrement tranchée de la finance vers le droit. La protection juridique des actionnaires, des créanciers, des salariés et des obligataires est influencée par les participants aux marchés. Cette thèse constitue donc une rupture avec les travaux de LLSV puisqu'elle permet de limiter la portée de leurs principales conclusions et prouve la supériorité de la vision partenariale.
2

Développement financier et croissance économique : la structure financière joue-t-elle un rôle?

Diop, Thiémokho 04 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire est une contribution dans l'analyse de la relation entre développement financier et croissance, plus spécifiquement du lien entre structure financière et croissance économique. Même si la plupart des études ont conclu à l'existence d'une relation positive entre développement financier et croissance, le lien entre structure financière et croissance économique reste ambigu. Les nombreux travaux empiriques réalisés depuis plusieurs années sur la question, ont conclu soit à l'absence de corrélation entre la structure financière et la croissance, soit à un lien différencié selon le niveau de développement. Tous ces auteurs, qui se sont appuyés sur des bases de données assez larges et des méthodes économétriques de plus en plus sophistiquées, n'ont pas jusque-là abordé l'analyse de cette relation en tenant compte des notions "d'institutions appropriées" et de "distance à la frontière". La démarche méthodologique que nous avons adoptée s'est inspirée de cette "lacune" pour spécifier un modèle économétrique qui contribue à la clarification de ce lien. A cet effet, nous avons réalisé, avec Stata, une série de régressions en coupe transversale et sur panel dynamique du taux de croissance de 88 pays sur des variables de structure financière et des variables d'interaction entre celles-ci et la distance à la frontière technologique. Les résultats obtenus ont montré l'existence, dans les données, d'une forte relation négative entre la proximité à frontière et la croissance économique des pays orientés vers les banques et ceux où prédominent les marchés financiers. Qui plus est, l'introduction du concept "d'institutions appropriées" a permis de montrer que les pays orientés vers les intermédiaires financiers font de meilleures performances économiques quand ils se situent loin derrière la frontière technologique, mais que ces pays doivent, pour rester performants, réorienter leur système financier vers les marchés financier lorsqu'ils accèdent à une étape de développement ultérieure. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Développement financier, structure financière, croissance économique, institutions appropriées, distance à la frontière.
3

Croissance économique et développement financier : éléments d'analyse théorique et empirique / Financial development and growth : theoretical and empirical assessments

Eggoh, Jude Comlanvi 01 July 2009 (has links)
La présente thèse analyse la relation entre la finance et la croissance à travers des essais de modélisation théorique et des évaluations empiriques. (i) Les contributions théoriques peuvent se résumer en trois points : d’abord nous montrons à l’aide d’un modèle simple de croissance endogène que la relation entre le développement financier et la croissance peut être caractérisée par des équilibres multiples. Ensuite, au moyen d’un modèle de croissance à générations imbriquées, nous trouvons que l’équilibre financier est préférable à l’équilibre non financier dans la mesure où la proportion du revenu investi en actifs illiquides ainsi que le taux de croissance sont plus élevés au niveau du premier équilibre que du second. Enfin, en intégrant l’innovation financière dans le cadre théorique des modèles de croissance endogène, nous montrons que l’allocation des ressources productives dans le secteur financier accroît son efficacité et l’effet d’externalité sur le secteur réel, qui contribuent à améliorer la croissance économique. (ii) L’évaluation empirique a permis de montrer dans un premier temps que le développement financier est positivement associé à la croissance. Aussi, malgré la corrélation positive entre le développement financier et son instabilité, cette dernière n’a d’impact négatif sur la croissance qu’à court terme. Quant à la causalité entre les deux variables, elle est marquée par une relation réciproque aussi bien dans les pays développés, qu’en développement. Enfin, nous montrons que la relation entre le développement financier et la croissance est non linéaire ; ce qui valide les résultats théoriques obtenus à travers les équilibres multiples. Cette non linéarité peut dépendre non seulement des paramètres structurels, mais aussi des politiques économiques mises en oeuvre. Ce qui permet d’identifier les caractéristiques structurelles et les outils de politique économique pour une relation étroite entre les secteurs réel et financier. / This thesis analyses the relationship between financial development and growth through theoretical and empirical assessments. (i) The theoretical contribution can be sum up in three points: at first we show by means of a simple model of endogenous growth that financial development and growth relationship can be characterized by multiple balances. Then, using overlapping generation’s model, we find that financial equilibrium is better than non financial equilibrium as far as the share of income invested and growth are more raised at the level of the first balance than the second. Finally, by taking into account financial innovation in endogenous growth model, we show that the allocation of productive resources in financial sector increases its efficiency and the externality effect on real sector, which improve the economic growth. (ii) The empirical assessments show at first a positive link between finance and growth. In spite of the relationship between financial development and its instability, this last has negative impact on growth only in short run. As for the causality between both variables, it is bi-directional as well in developed and developing countries. Finally, we show that finance and growth relationship is non-linear; what confirms theoretical results obtained through the multiple balances. The non-linearity can depend not only on structural parameters, but also on economic policies. Then, we can identify the structural characteristics and the economic policies that allow narrow relationship between real and financial sectors.
4

Développement financier, instabilité financière et croissance économique : implications pour la réduction de la pauvreté

Kpodar, Kangni 23 October 2006 (has links) (PDF)
La littérature sur la relation entre le développement financier et la croissance est très vaste et ancienne. Selon la théorie économique, le développement de l'intermédiation est favorable à la croissance économique car l'activité des banques accroît la mobilisation de l'épargne, améliore l'efficacité de l'allocation des ressources, et stimule l'innovation technologique. Cependant, certaines expériences de politiques visant à libéraliser les systèmes financiers des contraintes qui les empêchent de se développer et de contribuer à la croissance, se sont soldées par des échecs, ce qui a conduit à jeter un certain doute sur la généralité de la relation entre développement financier et développement économique. Ce doute a persisté avec les nombreuses études appliquées. Si la plupart des études (y compris les plus récentes) ont pu mettre en lumière, conformément aux prédictions théoriques, une relation positive entre le développement financier et la croissance (par exemple, Levine, Loayza et Beck, 2000), d'autres études (Andersen et Tarp (2003) par exemple) ont suggéré que la relation entre le développement financier pourrait être moins générale que ne le pense la littérature traditionnelle et ont souligné notamment que les résultats des études économétriques varient en fonction de l'échantillon et de la période considérée.<br />Dans cette thèse, nous nous sommes intéressés aux raisons pouvant expliquer les résultats ambigus des études appliquées sur le lien entre le développement financier et la croissance. En premier lieu, nous considérons que le développement financier risque d'être simultanément une source d'instabilité financière de telle sorte que l'effet bénéfique du développement financier sur la croissance soit amoindri ; il nous paraît donc indispensable de prendre en compte ce lien entre le développement financier et l'instabilité financière pour pouvoir véritablement apprécier la contribution du développement financier à la croissance. En second lieu, nous considérons l'existence d'effets de seuil dans la relation entre le développement financier et la croissance. En effet, il se peut qu'il existe un seuil minimum de développement économique en dessous duquel le développement financier n'a pas d'impact significatif sur la croissance, principalement à cause de la faiblesse de l'épargne et de la rentabilité des investissements. Par ailleurs, étant donné que la littérature économique s'est beaucoup consacrée à la relation entre le développement financier et la croissance, et très peu à la relation entre le développement financier et la réduction de la pauvreté, nous nous sommes également intéressés à l'impact spécifique que le développement financier peut avoir sur la réduction de la pauvreté au-delà de son effet indirect qui passe par la croissance.<br />L'analyse économétrique effectuée sur un panel de pays en développement avec des données quinquennales sur la période 1966-2000 nous a permis de mettre en évidence une relation positive entre le niveau de développement financier et celui de l'instabilité financière ; en particulier, l'instabilité du niveau de développement financier et l'occurrence de crises bancaires s'accroissent avec le développement du système financier. Les résultats montrent également que l'instabilité financière a un effet négatif sur la croissance économique et qu'elle réduit l'impact favorable du développement financier sur la croissance sans toutefois l'annuler. Par ailleurs, il ressort de notre analyse que pour les pays dont le niveau de PIB par tête est inférieur à un seuil de 2560 dollars, le développement financier ne semble pas avoir d'impact significatif sur la croissance. L'existence des effets de seuil et la prise en compte de l'instabilité financière dans la relation entre le développement financier et la croissance constituent des hypothèses complémentaires permettant d'expliquer les résultats ambigus des études appliquées sur le lien entre le développement financier et la croissance. Enfin, notre analyse montre également qu'en plus de son effet à travers la croissance, le développement financier favorise la réduction de la pauvreté principalement grâce à l'effet de conduit du capital de McKinnon (1973), l'accès aux dépôts profitent plus aux pauvres que l'accès aux crédits.
5

Four essays on finance and the real economy / Quatre essais sur la finance et l’économie réelle

Peia, Oana 12 October 2016 (has links)
This thesis consists of four essays on finance and the real economy. Chapter 1 studies the effect of banking crises on the composition of investment. It builds a partial equilibrium growth model with a banking sector and two types of investment projects: a safe, low return technology and an innovative, high productivity one. Investments in innovation are risky since they are subject to a liquidity cost which entrepreneurs cover by borrowing from the banking sector. When bank creditors are sufficiently pessimistic about the aggregate liquidity needs of the real sector, they will run on the bank and cause a credit freeze. This leads banks to tighten credit supply after the crisis, which decreases disproportionately investment in innovation and slows down economic growth. An empirical investigation, employing industry-level data on R&D investment around 13 recent banking crises, confirms this hypothesis. Industries that depend more on external finance, in more bank-based economies, invest disproportionately less in R&D following episodes of banking distress. These industries also have a relatively lower share of R&D in total investment, suggesting a shift in the composition of investment after the crisis. Such differential effects across sectors imply that the drop in R&D spending is, at least partially, the result of the contraction in credit supply.Chapter 2 studies the impact of coordination frictions in financial markets on the cost of capital. In the model, a financial intermediary seeks to raise funds to finance a risky capital-intensive project. Capital is owned by a large number of small investors, who observe noisy signals about the project's implementation cost. Employing a global games equilibrium refinement, we characterize a unique threshold equilibrium of the coordination game between investors. We then show that the relationship between the probability of success of the project and the rate of return on capital is non-monotonic. There exists a socially optimal price of capital, which maximizes the probability that the project is profitable. However, fee-maximizing intermediaries will generally set an interest rate that is higher than the socially optimal rate. The model best characterizes project finance investments funded through the bond market.Chapter 3 proposes a laboratory experiment to study the impact of partial deposit insurance schemes on the risk of deposit withdrawals. In the experiment, depositors decide whether to withdraw or leave their money in a bank, triggering a default when too many participants choose to withdraw. When a bank run occurs, the amount of wealth each depositor can recover depends on the number of withdrawals and a deposit insurance fund whose size cannot cover in full all depositors. We consider two treatments: (i) a perfect information case when depositors know the size of the insurance fund and (ii) a heterogeneous information setting when they only observe noisy signals about its size. Our results show that uncertainty about the level of deposit coverage exerts a significant impact on the propensity to run. The frequency of runs is relatively high in both treatments. A majority of subjects follow a threshold strategy consistent with a risk-dominant equilibrium selection. Finally, the last chapter re-examines the empirical relationship between financial and economic development while (i) taking into account their dynamics and (ii) differentiating between stock market and banking sector development. We study the cointegration and causality between finance and growth for 22 advanced economies. Our time series analysis suggests that the evidence in support of a finance-led growth is weak once we take into account the dynamics of financial and economic development. We show that, causality patterns depend on whether countries' financial development stems from the stock market or the banking sector. / This thesis consists of four essays on finance and the real economy. Chapter 1 studies the effect of banking crises on the composition of investment. It builds a partial equilibrium growth model with a banking sector and two types of investment projects: a safe, low return technology and an innovative, high productivity one. Investments in innovation are risky since they are subject to a liquidity cost which entrepreneurs cover by borrowing from the banking sector. When bank creditors are sufficiently pessimistic about the aggregate liquidity needs of the real sector, they will run on the bank and cause a credit freeze. This leads banks to tighten credit supply after the crisis, which decreases disproportionately investment in innovation and slows down economic growth. An empirical investigation, employing industry-level data on R&D investment around 13 recent banking crises, confirms this hypothesis. Industries that depend more on external finance, in more bank-based economies, invest disproportionately less in R&D following episodes of banking distress. These industries also have a relatively lower share of R&D in total investment, suggesting a shift in the composition of investment after the crisis. Such differential effects across sectors imply that the drop in R&D spending is, at least partially, the result of the contraction in credit supply.Chapter 2 studies the impact of coordination frictions in financial markets on the cost of capital. In the model, a financial intermediary seeks to raise funds to finance a risky capital-intensive project. Capital is owned by a large number of small investors, who observe noisy signals about the project's implementation cost. Employing a global games equilibrium refinement, we characterize a unique threshold equilibrium of the coordination game between investors. We then show that the relationship between the probability of success of the project and the rate of return on capital is non-monotonic. There exists a socially optimal price of capital, which maximizes the probability that the project is profitable. However, fee-maximizing intermediaries will generally set an interest rate that is higher than the socially optimal rate. The model best characterizes project finance investments funded through the bond market.Chapter 3 proposes a laboratory experiment to study the impact of partial deposit insurance schemes on the risk of deposit withdrawals. In the experiment, depositors decide whether to withdraw or leave their money in a bank, triggering a default when too many participants choose to withdraw. When a bank run occurs, the amount of wealth each depositor can recover depends on the number of withdrawals and a deposit insurance fund whose size cannot cover in full all depositors. We consider two treatments: (i) a perfect information case when depositors know the size of the insurance fund and (ii) a heterogeneous information setting when they only observe noisy signals about its size. Our results show that uncertainty about the level of deposit coverage exerts a significant impact on the propensity to run. The frequency of runs is relatively high in both treatments. A majority of subjects follow a threshold strategy consistent with a risk-dominant equilibrium selection. Finally, the last chapter re-examines the empirical relationship between financial and economic development while (i) taking into account their dynamics and (ii) differentiating between stock market and banking sector development. We study the cointegration and causality between finance and growth for 22 advanced economies. Our time series analysis suggests that the evidence in support of a finance-led growth is weak once we take into account the dynamics of financial and economic development. We show that, causality patterns depend on whether countries' financial development stems from the stock market or the banking sector.
6

Essor des banques étrangères dans les pays émergents : implications en matière de développement et de stabilité du systeme financier / Foreign banks expansion in emerging countries : implications for financial development and financial stability

Koffi, Navoki Romain 19 December 2014 (has links)
La libéralisation financière a été marquée dans de nombreux pays émergents par l’implantation massive de banques étrangères. A ce jour, les banques étrangères occupent une place dominante dans le secteur bancaire de ces pays et, cela soulève de nombreuses interrogations relatives aux effets sur la stabilité et le développement du système financier. L’objectif de cette thèse est donc d’étudier l’impact des banques étrangères sur l’efficacité du système financier et, de mettre en évidence le rôle de ces banques dans la survenance des crises et la transmission de chocs externes dans les pays émergents. Nous montrons ainsi que les banques étrangères contribuent à améliorer l’efficacité du système financier à travers la transmission de meilleures techniques d’évaluation et de gestion de risque. Cependant, elles sont apparues comme un vecteur de transmission de chocs externes. Cela nous amène, au regard de l’inadéquation du dispositif de surveillance prudentielle, à mettre en avant un cadre de coopération internationale dans la résolution des crises. Il s’agira donc de coordonner l’action collective en impliquant les autorités de régulation, les institutions financières internationales et les acteurs privés que sont notamment les banques de dimension systémique. / The financial liberalization in emerging countries has been marked by the growing rate of foreign banks presence. According to the increasing role of foreign banks in emerging markets, the aim of this thesis is to highlight the impacts on financial development and financial stability. It focuses mainly both on the implications of foreign banks competition on the efficiency of the financial system and on the fact that these banks can increase the financial crisis or convey external shocks. We show that foreign banks play a large part in improving financial efficiency through the best practices introduction in risk management. However, these banks have emerged as a vector of external shock transmission. This leads us, given the banking system regulation inadequacy, to promote a greater international cooperation in the crisis resolution based on national regulators, international financial institutions and multinational banks.
7

Essays on growth, unemployment and financial development / Essais sur la croissance, le chômage et le développement financier

Stemmer, Michael Alfons 27 September 2016 (has links)
Le sujet de cette thèse porte sur l’analyse de l’hétérogénéité et des dynamiques du chômage régional, des conséquences de chocs négatifs sur la croissance économique et du lien entre le développement financier et la croissance au niveau des entreprises et des pays. Le chapitre 1 montre les dynamiques distributionnelles du chômage régional Européen. Conjointement avec Robert Beyer, nous étudions le comportement des taux de chômage régionaux autour de l’introduction de l’Euro et la crise financière mondiale. En plus, nous examinons les contributions européennes et nationales aux changements relatives dans le temps. Le chapitre 2 propose une analyse empirique de la convergence de la croissance économique de l’Europe de l’Ouest et des pays en transition. Dans ce travail en collaboration avec Olivier Damette et Mathilde Maurel, nous étudions la capacité à sortir d’une période de récession. En plus, nous analysons une non linéarité potentielle dans le processus de sortie. Le chapitre 3 centre son analyse sur l’étude des contraintes financières internes de la croissance des entreprises en Serbie. Conjointement avec Milos Markovic, nous étudions le degré de dépendance aux flux de liquidité des entreprises serbes pour leurs activités d’expansion et les comparons avec ceux des firmes belges. Enfin, dans le chapitre 4, j’explore la relation entre le développement financier et la croissance économique dans les pays en transition. Dans un cadre de causalité Granger en panel, j’analyse les effets de différents indicateurs financiers sur le PIB par tête et inversement. / The subject of this doctoral thesis deals with the analysis of regional unemployment heterogeneity and dynamics, the response of economic growth to negative shocks and the link between financial development and growth on a firm and country level. Chapter 1 shows the distributional dynamics of European regional unemployment. In this joint work with Robert Beyer, we study the behavior of regional unemployment rates with respect to the introduction of the Euro and the Global Financial Crisis and analyze European and country contributions to relative changes over time. Chapter 2 provides an empirical analysis into growth convergence of western European and transition countries after negative shocks. A collaboration with Olivier Damette and Mathilde Maurel, we study the rebound capacity, the speed of convergence to the normal growth path as well as nonlinearities along the process. Chapter 3 takes a closer look at internal financial constraints of firm growth in Serbia. A joint work with Milos Markovic, we show how much Serbian firms depend on cash flow for their expansionary activities and compare our sensitivity results with Belgium, a country with an advanced financial sector. Finally, in chapter 4 I explore the relationship between financial development and economic growth in transition countries. Through a panel Granger causality framework different financial indicators and their effects on per capita GDP as well as opposite causalities are assessed.
8

Le développement financier pour les pays du sud de la Méditerranée à l'épreuve de la mondialisation financière

Beji, Samouel 11 December 2009 (has links) (PDF)
Après la prise de conscience, du rôle que peut jouer le système financier dans la promotion de la croissance et le développement, nous proposons d'analyser dans la présente thèse, la situation des systèmes financiers dans les pays du sud de la Méditerranée et la problématique de leur développement. Ce rôle moteur du système financier revêt encore plus d'importance dans un contexte de mondialisation financière galopante qui incite les pays émergents de la périphérie à s'intégrer et à y faire partie. L'analyse de la situation du développement financier dans les pays de la région révèle une qualité « médiocre » de l'environnement légal qui prive le système financier de se développer et de se prémunir des risques inhérents à une ouverture financière hâtive. Nous insistons, dans la présente thèse, sur le rôle des institutions et d'un environnement légal et institutionnel favorable à la formation d'une assise à un développement financier sain. Nous montrons, ensuite, par une étude économétrique comprenant les dix pays du bassin sud de la Méditerranée sur la période 1980-2005, qu'une ouverture financière dans l'état actuel de l'environnement institutionnel et légal est préjudiciable. En profitant de cette étude, nous calculons des seuils de développement institutionnel à partir desquels une ouverture financière peut produire du développement financier. Par ailleurs, nous testons la nature de la relation qui existe entre le développement institutionnel, la régulation bancaire et le développement bancaire. De même, nous testons la nature de la relation qui existe entre le développement bancaire et le développement économique par la méthode du GMM (General Method of Moments) en panel dynamique pour les dix-neuf pays d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient durant la période 1982-2005.
9

La structuration de l'essor du marché financier de l'Afrique de l'Ouest : enjeu d'une mutation / Structuring of the financial market boom in West Africa : issue of a mutation

N'Dah, Hartmann 19 February 2016 (has links)
Ces deux dernières décennies ont été marquées par une montée spectaculaire des marchés boursiers des pays en développement. Cette augmentation de l’activité boursière a favorisé, selon certains auteurs, l’amélioration des performances économiques de quelques pays dits émergents. Cependant, les pays africains peinent encore à bénéficier des avantages liés à l’activité boursière, compte tenu de l’étroitesse,de la faible liquidité et de l’inefficience de leurs marchés boursiers. Les marchés boursiers de ces pays accusent un retard manifeste par rapport aux pays en développement des autres continents. Cette thèse examine les facteurs qui expliquent le niveau de développement des marchés boursiers des pays en développement en général, et des pays africains en particulier à partir d’un échantillon de 106 pays. L’analyse empirique est articulée autour des tests statistiques et économétriques. Les résultats montrent que le capital social mesuré par la confiance influence considérablement le développement des marchés boursiers dans les pays en développement. Cette confiance, puisqu’elle est très faible en Afrique, explique le retard des marchés boursiers africains par rapport aux marchés des pays en développement des autres continents. Par ailleurs, la faiblesse de la confiance en Afrique est due à l’hétérogénéité des populations caractérisées par une forte fragmentation ethnique, linguistique et religieuse. Les résultats montrent également que le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication influence positivement le développement des marchés boursiers à travers la réduction des coûts des transactions. Enfin, le développement des marchés boursiers africains est également compromis par leur ouverture précoce au reste du monde. En effet, l’ouverture financière affecte négativement l’activité boursière dans ces pays. Pour favoriser l’essor des bourses africaines, il est donc nécessaire de prendre un certain nombre de mesures. Il s’agit d’améliorer l’environnement institutionnel de manière à mieux protéger les propriétaires de capitaux afin de réduire l’effet de la faiblesse de la confiance ; de mettre en œuvre une politique qui favorise le brassage socioculturel entre les populations ; d’œuvrer pour augmenter le nombre d’entreprises cotées sur les marchés boursiers à travers l’ouverture au privé du capital des sociétés étatiques par le biais de la bourse ainsi que des mesures incitatives vis-à-vis des entreprises privées et enfin de promouvoir le développement des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication. / The last two decades have seen a dramatic rise in stock markets in developing countries. This increase in marketactivity promoted, according to some authors, the improved economic performance of some so-called emergingcountries. However, African countries are still struggling to enjoy the benefits of market activity, given thenarrow, low liquidity and inefficiency of their stock markets. The stock markets of these countries clearlylagging behind compared to developing countries on other continents. This thesis examines the factors thatexplain the level of development of stock markets in developing countries in general and African countries inparticular from a sample of 106 countries. The empirical analysis is based around the statistical and econometrictests. The results show that social capital measured by the confidence greatly influences the development ofstock markets in developing countries. This confidence, since it is very low in Africa, explains the delay ofAfrican stock markets compared to markets in developing countries of other continents. Moreover, the lowconfidence in Africa is due to the heterogeneity of populations which are characterized by high ethnic, linguisticand religious fragmentation. The results also show that the development of new technologies of information andcommunication positively influences the development of stock markets by reducing transaction costs. Finally,the development of African stock markets is also compromised by their early opening to the world. Indeed,financial openness negatively affects market activity in these countries. To encourage the growth of Africanstock exchanges, it is necessary to take a number of measures. This is to improve the institutional environmentin order to better protect the owners of capital, this will reduce the effect of low confidence; to implement apolicy that promotes the socio-cultural mixing between populations; to work to increase the number of listedcompanies on the stock market through the opening to the private, the capital of state owned companies throughthe stock market and incentives vis- à-vis the private sector , and to promote development of New Technologiesof Information and Communication .
10

Études sur la relation entre la finance et la croissance économique

Rabemananjara, Julie 04 1900 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Depuis plusieurs années, l'analyse des facteurs qui déterminent la croissance a fait l'objet de nombreuses études et a permis d'examiner le rôle du système financier comme source de croissance. Cette thèse entre dans cette ligne de recherche: elle examine l'effet du développement financier sur la croissance économique et est composée de quatre chapitres. Le premier chapitre présente une revue des écrits sur le lien entre le développement du système financier et la croissance économique. Les premières contributions ont été publiées dès les années 50, mais c'est surtout au cours des années 70 que les économistes ont analysé l'importance de l'activité financière sur la croissance économique après la publication des travaux de Mckinnon (1973) et Shaw (1973) sur la libéralisation financière. Au cours des années 80, les recherches sur le sujet ont connu un regain d'intérêt avec le développement de la théorie de la croissance endogène qui a permis de montrer l'influence du facteur financier sur la croissance économique. En général, la plupart des études effectuées montrent que le développement financier a un impact positif sur la croissance économique. Les résultats en ce qui concerne le sens de la causalité finance-croissance suggèrent que l'impact du développement financier diffère d'un pays à un autre. Le second chapitre analyse les relations entre le développement financier, l'inflation et la croissance économique. Pour cela, un modèle simple de croissance endogène dans lequel la monnaie entre dans la fonction de coût de transaction de la firme est développé. Cette formulation permet de justifier le rôle du facteur financier dans le modèle. Les résultats trouvés montrent que le développement financier a un effet positif sur la croissance économique. En outre l'inflation et la croissance économique sont négativement reliées. Les résultats des simulations montrent qu'en réponse à un choc de développement financier, le coût de transaction diminue, la demande de monnaie, la consommation et le stock de capital augmentent tandis que les obligations baissent, ces résultats sont cohérents avec le modèle théorique. L'analyse de sensibilité montre que les résultats sont inchangés. Finalement, l'analyse du coût en termes de bien-être d'une inflation modérée (10%) montre qu'il représente 4.8% de l'output. Ce résultat est similaire à celui trouvé récemment par Wu et Thang (1998). Le troisième chapitre est une extension du modèle présenté dans le second chapitre dans lequel la possibilité d'évasion fiscale est introduite. Nous montrons que le développement du secteur financier peut affecter l'évasion fiscale en améliorant les moyens à la disposition du gouvernement pour collecter les taxes. Deux approches ont été adoptées pour mettre en évidence ces relations sur des données réelles. La première approche est une analyse longitudinale fondée sur la cointégration; les tests mis en œuvre sur les données du Mexique, de la Grèce et de la Corée pour la période 1976-1995 révèlent l'existence d'au moins une relation d'équilibre de long terme entre le développement financier, le revenu de la taxation et le revenu publique. En ce qui concerne l'évasion fiscale, nos tests ont permis de révéler l'existence du phénomène dans les 3 pays étudiés. La seconde approche est une étude transversale portant sur 26 pays pour l'année 1984. Les études de corrélations partielles ont montré que le développement financier a un effet négatif significatif sur l'évasion fiscale et un effet positif sur le revenu de la taxation. Ces résultats corroborent l'idée selon laquelle le développement du secteur financier est un facteur qui réduit l'évasion fiscale. Le quatrième chapitre est consacré à une étude empirique des effets du développement financier sur la croissance économique à long terme en utilisant des données en panel annuelles portant sur 20 pays pour la période 1960 à 1987. Pour cela, une fonction Cobb-Douglas augmentée (c'est à dire intégrant le capital humain et le facteur financier) est considérée. Cette étude exploite les développements récents de l’analyse économétrique des variables non-stationnaires dans les données en panel (Im, Pesaran et Shin, 1995; Pedroni, 1995). Ces techniques ont l'avantage d'améliorer les propriétés des tests des séries temporelles non-stationnaires conventionnelles dans le cas des échantillons de faible taille. Les résultats révèlent que les tests de cointégration traditionnels (Engle et Granger, 1987) n'ont pas permis de mettre en évidence de façon claire l'existence de relation de long terme dans certains pays. En revanche, les tests effectués sur les données de panel pour les 3 groupes (pays émergents, pays développés, ensemble des pays) ont révélé l'existence d'une telle relation entre la croissance, le développement financier, le capital humain, le capital physique et la force de travail. Finalement, les tests de causalité fondés sur un système vectoriel autorégréssif suggèrent que à court terme, le sens et l’ampleur diffèrent d'un pays à un autre. Pour les pays développés, nous avons trouvé que les liens causaux sont unidirectionnels alors que pour les pays émergents d'Asie, ils sont bidirectionnels. Les résultats pour ces derniers s'accordent avec l'afflux important de capitaux consécutifs aux réformes financières mises en œuvre dans ces pays.

Page generated in 0.0926 seconds