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History and Archeology of Dhofar

Phillips, Wendell 05 1900 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Non-Timber Forest Product (NTFP) Extraction in Arid Environments: Land-use Change, Frankincense Production and the Sustainability of Boswellia sacra in Dhofar (Oman)

Farah, Mohamud January 2008 (has links)
Frankincense, a much revered non-timber forest product (NTFP) known as luban in Oman, is a gum-resin extracted from Boswellia sacra (meqerot). In Oman, B.sacra is endemic to ecological zones in and around Dhofar's southern mountain ranges of Jabal Samhan, Jabal Qamar and Jabal Qara. Hojar (Samhan Nejd), Nejd (Qara Nejd), Shazr (Qamar Nejd) and Sha'b are the four B.sacra ecological zones. A suffix (i) after the name (i.e. Hojari or Samhan Nejdi) is indicative of the luban produced in or associated with the respective zone. Traditional Omani B.sacra ownership, management, organization, and frankincense extraction are based on a land parcel system known as menzela. The 1970's oil boom attracted rural labor to urban and oil operation centers in Dhofar and other provinces, thus creating a labor shortage that had a profound transformative impact on frankincense production. This transformation caused frankincense extraction to evolve from an Omani-controlled system to a Somali-dominated hybrid system. Migrant Somali harvesters predominantly control the production and processing of frankincense in the field. Similarly, wholesalers occupy the next rung up the production ladder are the most powerful players in the frankincense industry.Dhofar has a long history of non-timber forest product (NTFP) extraction. From April to mid-June 1999, luban production in the Hojari/Nejdi zone of the study area was estimated at 8,710 kg with a seasonal projection of 24,840kg-30,360kg. B.sacra, a single or multiple stem shrub restricted to wadis in arid environments in or around the Dhofar Mountains, can be found at elevations from 60m above sea level in Wadi Adonib on the coastal plains to 1,770m above sea level in Wadi Kharish (a branch of Wadi Qobyr) in jabal Samhan). Land-use and landcover changes in Dhofar are threatening the fragile stability of B.sacra habitats. Frankincense trees on easily accessible flat or gently sloping terrain are susceptible to stress and mortality from harvesting, grazing and mining, while trees on cliffs and steep slopes are less vulnerable to the effects of these land-use activities.
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Understanding Environmental Change and Biodiversity in a Dryland Ecosystem through Quantification of Climate Variability and Land Modification: The Case of the Dhofar Cloud Forest, Oman

January 2015 (has links)
abstract: The Dhofar Cloud Forest is one of the most diverse ecosystems on the Arabian Peninsula. As part of the South Arabian Cloud Forest that extends from southern Oman to Yemen, the cloud forest is an important center of endemism and provides valuable ecosystem services to those living in the region. There have been various claims made about the health of the cloud forest and its surrounding region, the most prominent of which are: 1) variability of the Indian Summer Monsoon threatens long-term vegetation health, and 2) human encroachment is causing deforestation and land degradation. This dissertation uses three independent studies to test these claims and bring new insight about the biodiversity of the cloud forest. Evidence is presented that shows that the vegetation dynamics of the cloud forest are resilient to most of the variability in the monsoon. Much of the biodiversity in the cloud forest is dominated by a few species with high abundance and a moderate number of species at low abundance. The characteristic tree species include Anogeissus dhofarica and Commiphora spp. These species tend to dominate the forested regions of the study area. Grasslands are dominated by species associated with overgrazing (Calotropis procera and Solanum incanum). Analysis from a land cover study conducted between 1988 and 2013 shows that deforestation has occurred to approximately 8% of the study area and decreased vegetation fractions are found throughout the region. Areas around the city of Salalah, located close to the cloud forest, show widespread degradation in the 21st century based on an NDVI time series analysis. It is concluded that humans are the primary driver of environmental change. Much of this change is tied to national policies and development priorities implemented after the Dhofar War in the 1970’s. / Dissertation/Thesis / Doctoral Dissertation Geography 2015
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Les mouvements verticaux de la marge passive nord du golfe d'Aden (Dhofar) : causes profondes et superficielles

Pointu, Agnès 20 December 2007 (has links) (PDF)
Le terme de « marge » est utilisé pour définir la bordure de la croûte continentale. En domaine extensif la déchirure de la lithosphère continentale (ou rifting) conduit à terme à la formation de deux marges dites passives, séparées par de la croûte océanique. Ces marges sont très représentées puisqu'elles bordent la grande majorité des masses continentales entourant les océans actuels : Atlantique, Indien, Antarctique, et Arctique. De plus, elles représentent le stade ultime d'évolution d'une zone de rift : elles conservent donc l'histoire des déformations subies par la lithosphère étirée. Par conséquent, l'étude de leur structure et de leur formation est essentielle pour améliorer les conceptions actuelles de l'extension lithosphérique. En effet, malgré l'abondance des données disponibles le long des marges passives et la complexification croissante des modèles, certaines questions concernant le comportement de la lithosphère en extension, notamment la nature et l'origine des mouvements verticaux de la marge au cours du rifting demeurent sans réponse précise. La partie orientale du golfe d'Aden représente un laboratoire idéal pour aborder l'étude des marges passives. Cette marge jeune (rifting oligo-miocène) et non-volcanique est exempte d'évaporites et c'est un des rares bassins où il est possible de suivre de manière continue l'évolution d'une marge depuis sa partie proximale jusqu'à la dorsale océanique. Par ailleurs, la partie proximale de la marge présente la particularité d'affleurer à terre ce qui a rendu possible une étude sédimentologique de terrain ainsi que le déploiement d'un réseau temporaire de stations sismologiques en 2003. Dans le cadre de ce travail, nous avons étudié les mouvements verticaux de la marge Nord du golfe d'Aden (Dhofar) par le biais de deux approches complémentaires. L'étude sédimentologique de terrain a permis d'établir un historique complet des différents mouvements verticaux associés au rifting. Elle révèle une phase de surrection burdigalienne à langhienne (~ 1 Ma) contemporaine de l'océanisation et/ou de la mise en place de la TOC (Transition Ocean Continent) dont l'amplitude est estimée à 700 m au minimum. Un second épisode de soulèvement, d'amplitude beaucoup plus faible (de l'ordre de la centaine de mètres), débute au Pliocène et se poursuit actuellement. La détermination de la structure très profonde de la marge (lithosphérique à asthénosphérique) a été effectuée par le biais d'une étude de tomographie télésismique. Le déploiement de 11 stations sismologiques large bande de mars 2003 à mars 2004 a permis d'enregistrer 284 téléséismes. L'étude tomographique révèle l'existence de deux anomalies principales sous la marge dhofari : (1) Une anomalie lente crustale, limitée aux premiers 20 km, liée aux épais dépôts sédimentaires de la Plaine de Salalah ; (2) Une anomalie lente asthénosphérique, située entre 170 et 200 km de profondeur environ. En nous appuyant sur le modèle de Goes et al. (2000), nous avons montré que le ralentissement des rais dans cette zone pourrait être rattaché à des phénomènes de fusion partielle. Cette zone de matériel plus léger pourrait être la cause du soulèvement observé dans les séries sédimentaires. Cependant, l'imagerie sismique ne nous permet pas d'évaluer l'âge de la mise en place de ce matériel mantellique anormal sous la marge Nord du Dhofar. L'élargissement de notre zone d'étude ainsi que des analyses géologiques et géophysiques complémentaires sont indispensables pour pouvoir totalement corréler ou non ces deux observations.
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Interactions hôte-parasite dans le modèle Biomphalaria pfeifferi-Schistosoma mansoni du Dhofar (Oman) : génétique des populations de l'hôte, traits d'histoire de vie et conséquences sur la transmission du parasite

Mintsa Nguema, Rodrigue 26 March 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse a été réalisée dans le contexte de la réémergence de la schistosomose à Schistosoma mansoni (plathelminthe trématode) dans le Dhofar en Oman. Le travail est centré sur les interactions hôte-parasite et sur leurs conséquences sur la transmission du schistosome. Une première partie est consacrée à l'étude spatio-temporelle de la structure génétique des populations de Biomphalaria pfeifferi (mollusque gastéropode d'eau douce). Elle a été réalisée à l'aide de neuf marqueurs microsatellites sur 18 populations de mollusques. Les populations de B. pfeifferi étudiées sont caractérisées par une très faible variabilité génétique intra populationnelle. Par contre, elles sont fortement différenciées génétiquement. Une différenciation temporelle a également été enregistrée dans certaines populations. Une seconde partie est consacrée à l'étude des traits d'histoire de vie et des relations hôte-parasite. Elle a été réalisée à l'aide de huit combinaisons hôte-parasites qui diffèrent soit par la population de parasite (origine humaine ou origine murine), soit par la catégorie du site (naturel ou aménagé), soit par le morphe du mollusque (pigmenté ou albinos). Les traits d'histoire de vie suivants ont été analysés : croissance, fécondité et survie de B. pfeifferi et taux d'infestation, période prépatente et production cercarienne de S. mansoni. Les résultats montrent que la population de S. mansoni et le morphe de B. pfeifferi jouent un rôle majeur dans la transmission de la schistosomose dans le Dhofar. Les résultats sont discutés en termes de compatibilité hôte-parasite.

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