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Genre et carrière professionnelle: enjeux identitaires et dilemmes normatifs dans le phénomène du "plafond de verre" / Gender and professional career: identity stakes and normative dilemmas in the "glass ceiling" phenomenon

Casini, Annalisa 31 October 2008 (has links)
Ce travail propose une réflexion sur les obstacles, souvent "invisibles", qui contribuent à maintenir les femmes aux niveaux inférieurs de la hiérarchie professionnelle. Ce phénomène a été baptisé « plafond de verre ». L’asymétrie des profils professionnels entre hommes et femmes est interrogée à partir d’une approche constructiviste multidisciplinaire profitant des contributions conjointes de l’histoire, de la philosophie, de la sociologie et de la psychologie sociale. L'introduction théorique propose une réflexion sur les déterminants historiques et psychosociaux de l’asymétrie du masculin et du féminin dans leurs rapports au pouvoir et au travail. Les théories des Représentations Sociales (Moscovici, 1961), de l'Identité Sociale (Tajfel & Turner, 1986) serviront de cadre conceptuel à l’ensemble du travail. Les antécédents psychosociaux du « plafond de verre » sont étudiés au travers d’une série de 6 études. La première explore le vécu et les représentations des femmes évoluant dans un contexte professionnel masculin tel que la politique et montre l’existence chez elles d’une tension entre les normes instrumentales en vigueur dans ce contexte et l’approche relationnelle qu’elles voudraient promouvoir. La deuxième et la troisième études explorent respectivement les représentations sociales de l’« emploi idéal pour soi » et de la « réussite » chez des jeunes universitaires (garçons et filles) en partant du présupposé qu’afin de mieux comprendre les stratégies différenciées de mobilité ascendante chez les deux sexes, il est important d’interroger les représentations sociales liées à la sphère professionnelle que les uns et les autres possèdent avant d’y être intégré-e-s. Enfin, trois études empiriques testent l’hypothèse générale selon laquelle la sous-représentation des femmes aux niveaux supérieurs de la hiérarchie sociale pourrait résulter des discordances qui existent entre, d’une part, les normes de genre endossées par les individus (i.e. féminine vs. masculine) ainsi que le niveau d’identification au genre et, d’autre part, les normes sous-tendant la culture des organisations. Les résultats suggèrent l’existence d’une telle incompatibilité normative et de son impact potentiel sur les stratégies de mobilité ascendante./Adopting a constructivist and multidisciplinary perspective, the present dissertation questions the “hidden obstacles” contributing to maintain women in the lower positions of the professional ladder, a phenomenon called “glass ceiling”. Framing our work in the social representations theory (Moscovici, 1961) and the social identity theory (Tajfel & Turner, 1986), we address the asymmetry in men’s and wome’s careers trough 6 study. Study 1 explores the representations of Belgian politician women with regard to their personal professional experiences and their relation to the normatively masculine political functioning. Furthermore, a second set of studies starts from the idea that, in order to understand women’s and men’s professional mobility strategies, we have to take social representations related to the professional domain into account. Hence, study 2 and 3 explore respectively the social representations of « an own ideal job » and of « a successful life » amongst young students of both sexes. Finally, studies 4, 5, and 6 test the general hypothesis that the lack of women in positions of power could be partially due to the incongruence between potentially conflicting social norms. Namely, while work settings seem to induce a social norm favoring instrumental social orientations, women socialization is still characterized by the existence of prescriptions about relational orientations. Results suggest the existence of this normative inconsistency together with its potential impact on women’s professional mobility strategies. / Doctorat en Sciences Psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Three essays in the economics of gender and development

Zoundi, David Aimé 23 July 2021 (has links)
Cette thèse de doctorat explore les obstacles à l'égalité des sexes dans les pays en développement. Elle est composée de trois essais. Le premier essai (chapitre 1) explore les racines de l'inégalité des sexes en faveur des garçons dans l'éducation. Il analyse l'effet de l'interaction entre la culture et les conditions économiques des ménages pauvres sur les probabilités de décrochage scolaire des garçons et des filles, en utilisant des données du Malawi. L'adéquation du Malawi à cette analyse découle de la coexistence sur son territoire de deux coutumes différentes de résidence post-maritale pour les couples : les coutumes patrilocales et matrilocales. Les résultats des estimations montrent que l'inégalité entre les sexes en matière d'éducation est enracinée dans l'interaction des conditions économiques du ménage et de la coutume patrilocale - lorsqu'un couple marié s'installe près de la famille du mari ou avec elle après le mariage. L'essai conclut que les politiques publiques qui rendent inutile le recours aux coutumes traditionnelles par les parents pour organiser leur vie familiale peuvent éliminer les inégalités entre les sexes favorisant l'éducation des garçons. Les deux derniers essais analysent la question de la polygynie—lorsqu'un homme peut avoir plusieurs épouses simultanément. Cette institution du mariage a disparu dans le monde entier mais reste confinée dans un groupe de pays d'Afrique subsaharienne, notamment dans la région du Sahel. La théorie économique prédit que l'augmentation de l'éducation des femmes entraîne la disparition de la polygynie. Cependant, les preuves empiriques ne permettent pas encore d'établir ce lien de causalité, mais plutôt une corrélation négative entre l'éducation et les probabilités de polygynie des femmes. Le deuxième essai examine l'effet de l'éducation sur les probabilités de polygynie des femmes, en utilisant principalement les données de l'Ouganda. Pour l'identification, nous utilisons une approche d'estimation qui aborde conjointement les problèmes de sélection de l'échantillon et d'endogénéité de l'éducation. Nous estimons un modèle à trois équations comprenant une équation de la polygynie (principale), une équation du mariage (sélection) et une équation de l'éducation (endogénéité). Les résultats de l'estimation confirment la prédiction de la théorie économique selon laquelle l'augmentation de l'éducation des femmes entraîne la disparition de la polygynie. Le troisième et dernier essai fournit des preuves sur la cause du regroupement de la polygynie dans les pays sujets à la sécheresse. Les preuves montrent que dans les économies villageoises dépendantes de l'agriculture pluviale, la rupture des accords informels de partage des risques suite à des chocs tels que les sécheresses augmentent la valeur de la famille nombreuse, tant en taille qu'en composition, comme levier des stratégies de résilience. Nous constatons que la polygynie permet aux ménages de renforcer leur résilience face aux effets négatifs de la sécheresse sur le rendement des cultures. Ces trois essais contribuent à faire progresser nos connaissances sur les obstacles à l'inégalité des sexes en Afrique subsaharienne. Il attire principalement l'attention sur l'importance pour les pays en développement d'investir dans la scolarisation des filles (essai 2) et de promouvoir des politiques publiques qui rendent moins attrayant pour les parents le recours aux institutions traditionnelles pour soutenir leurs moyens de subsistance (essai 1). En outre, des politiques telles que celles qui encouragent les petits exploitants agricoles en tant que stratégie de développement peuvent contribuer à la persistance de la polygynie dans les communautés sujettes à la sécheresse si elles sont menées sans sevrer la population rurale de sa dépendance à l'égard de l'agriculture pluviale. Dans ces contextes, la promotion de stratégies de résilience et d'adaptation indépendantes de la taille des ménages peut conduire à la disparition de la polygynie et du mariage d'enfants (essai 3). / This Ph.D. thesis explores barriers to gender equality in developing countries. It is composed of three essays. The first essay (chapter 1) explores the roots of gender inequality favoring boys in education. It analyzes the effect of culture interaction with poor household economic on the school dropout probabilities of boys' and girls', using Malawi data. Malawi's suitability for this analysis stems from the coexistence in its territory of two different customs of post-marital residence for couples: patrilocal and matrilocal customs. Estimation results show that gender inequality in education is rooted in the interaction of household economic conditions and the custom of patrilocality—when a married couple settles near or with the husband's family after marriage. The essay concludes that public policies that make it unnecessary for parents to rely on traditional customs to organize their family life can eliminate gender inequality favoring boys' education. The last two essays analyze the issue of polygyny—when a man can have multiples wives simultaneously. This marriage institution has disappeared globally but remains confined in a cluster of sub-Saharan African countries, particularly in the Sahel region. Economic theory predicts that increasing women's education leads to the disappearance of polygyny. Still, empirical evidence is yet to establish this causal link, settling instead for a negative correlation between education and women's polygyny probabilities. The second essay examines the effect of education on women's polygyny probabilities, using primarily Uganda data. For identification, we use an estimation approach that jointly addresses sample selection and education endogeneity problems. We estimate a three-equation model comprising a polygyny (main) equation, a marriage (selection), and an education (endogeneity) equation. Estimation results confirm economic theory's prediction that increasing women's education leads to the disappearance of polygyny. The third and final essay provides evidence on the cause of the clustering of polygyny in drought-prone countries. Evidence shows that in village economies dependent on rainfed agriculture, the breakdown of informal risk-sharing arrangements following covariate shocks such as droughts increases the value of having a large family, both in size and composition, as a lever of resilience strategies. We find that polygyny allows households to build resilience to the adverse effects of drought on crop yields. These three essays contribute to advancing our knowledge of the barriers to gender inequalityin sub-Saharan Africa. It mainly draws attention to the importance for developing countries to invest in girls' schooling (Essay 2) and promote public policies that make it less attractive for parents to resort to traditional institutions to support their livelihoods (Essay 1). Additionally, policies such as those promoting smallholder farmers as a development strategy can contribute to the persistence of polygyny in drought-prone communities if done without weaning the rural population of its dependence on rainfed agriculture. In these settings, promoting resilience and adaptation strategies independent of household size can lead to polygyny and child marriage's disappearance (Essay 3).
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Accroître l'autonomisation économique pour soutenir l'empowerment des femmes rurales au Mali : étude de deux structures collectives féminines de la région de Koulikoro (l'association «Musow jigitugu-ton» des productrices de farines infantiles de la commune de Toubacoro et l'union «Si yiriwa» des productrices de beurre de Karité du Cercle de Dioïla)

Yattara, Maïmounatou Altini 24 April 2018 (has links)
Au Mali, les femmes rurales constituent des actrices incontournables dans la production agricole, secteur sur lequel repose l’économie du pays. Pour un développement inclusif, et partant de la logique que l’autonomisation économique des femmes entrainerait leur empowerment, les centres d’autopromotion ont été mis en place par le gouvernement malien et ses partenaires dans les cercles et les communes afin de mieux promouvoir les femmes rurales. Cette étude a pour objectif de vérifier cette prémisse en saisissant les changements au niveau de l’empowerment des femmes occasionnés par les activités d’autonomisation économique au sein des centres d’autopromotion de l’association Musow jigitugu-ton de Toubacoro et de l’union Si yiriwa de Dioïla. Sur la base d’une démarche qualitative, des entrevues individuelles et des focus group ont été réalisés avec 31 femmes, 1 gestionnaire et 10 responsables des structures partenaires. Les résultats ont montré que les activités des centres favorisent l’autonomisation économique des femmes membres, cependant, des efforts restent à fournir pour une gestion autonome des revenus générés par les femmes afin de mieux maintenir leur autopromotion. Les résultats ont également permis de montrer que l’autonomisation économique est un vecteur de l’empowerment des femmes rurales. Toutefois, ce processus reste très affecté par la domination masculine encore profondément intégrée par les femmes. On retient aussi que les approches des partenaires sont défaillantes et que des mesures doivent être entreprises pour une meilleure intégration du genre dans toutes les actions si l’on veut que les centres d’autopromotion remplissent bien leurs rôles. Mots-clés : autonomisation économique des femmes, empowerment des femmes, centre d’autopromotion, femmes rurales, domination masculine. / Rural women in Mali are essential actors in agriculture, which is the most important field of the country’s economy. To promote inclusive development and women’s economic empowerment, the Malian government and local municipalities have set “self-promotion centers” to promote rural women empowerment. This study examines the self-promotion centers of the association "Musow jigitugu-ton" of Toubacoro and the union "Si yiriwa" of Dioïla. The main objective of the study is to investigate the impact of economic empowerment activities in women's empowerment. Using a qualitative approach, individual interviews and focus groups were carried out with 31 women, 1 manager and 10 managers of the partner organisations. The results indicate that activities of the centers improved women economic empowerment who are members, but efforts are still needed to manage the income generated by women in order to maintain their self-promotion. The results also show that economic empowerment is a vehicle for the empowerment of rural women. However, this process is still very much affected by the male dominance deeply integrated by women. Partners' approaches are failing in this regard and some measures must be taken to integrate gender approach in all actions if self-promotion centers are to fulfill their roles. Keywords: women economic empowerment, women empowerment, self-promotion center, rural women, male dominance.
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L'expérience au travail de femmes dirigeantes de structures sportives au Québec : le paradoxe passion/obstacles

Abath, Anastasie Amboulé 12 April 2018 (has links)
Cette recherche a pour but de faire connaître et comprendre les aspects particuliers de l'expérience au travail des femmes investies dans les postes de pouvoir du sport de haut niveau au Québec, un domaine traditionnellement masculin. La théorie sociologique féministe des rapports sociaux de sexe a été retenue comme cadre théorique. Les données collectées au moyen d'entretiens semi-dirigés auprès de vingt trois (23) dirigeantes ont été analysées à l'aide du logiciel ALCESTE. La méthode utilisée est à caractère mixte. Les résultats font clairement ressortir la passion du travail dans l'univers sportif des répondantes, les motivations qui les animent à s'investir dans leur poste, les difficultés rencontrées du fait qu'elles sont des femmes, les moyens utilisés pour relever les défis rencontrés dans l'exercice de leurs fonctions, leurs réalisations et, surtout les différentes stratégies qu'elles utilisent pour survivre dans ces espaces de pouvoir souvent difficiles pour les femmes. Globalement, ces résultats révèlent un vécu satisfaisant mais perfectible étant donné que la très grande majorité des répondantes donnent nettement l'impression que leur expérience est très enrichissante et qu'elle vaut la peine d'être vécue. À plusieurs égards, la situation professionnelle de certaines de ces dirigeantes paraît enviable. Les directrices de fédérations sportives et les agentes de développement régional du sport, malgré le fait qu'elles aient un horaire irrégulier, sont très satisfaites d'occuper leurs fonctions. Les officielles apprécient aussi leurs conditions de travail et surtout les avantages que leur procure le statut d'officiel international. La majorité des entraineurs affirment avoir choisi ce domaine par intérêt pour la discipline, parce qu'elles aimaient ce sport et voulaient à leur tour partager leurs connaissances. Ce qui ressort de ces analyses nous fait comprendre qu'au-delà de certaines embûches liées au fait qu'elles sont d'abord et toujours considérées comme des femmes occupant des fonctions d'hommes, et du stress de toujours devoir faire leurs preuves pour être crédibles, les femmes qui s'aventurent dans cet environnement masculin ne semblent pas le regretter même si, à l'occasion, la plupart expriment un certain nombre de frustrations. Ces résultats devraient alimenter les réflexions et les projets de ceux et celles qui sont concernés par la place des femmes dans le leadership sportif. La satisfaction élevée des dirigeantes, qui se dégage des résultats de cette recherche, devrait les inciter à poursuivre leurs efforts en vue d'accroître la participation des femmes à la prise de décision dans les structures sportives. / The aim of this research is to identify and understand the specific aspects of work experience of women in power positions in high level sports in Québec, a men traditionally dominated area. The feminist sociology theory of gender social relationships was used as theoretical framework. Twenty three (23) in-depth interviews based on semistructured questions were conducted with women executives. The software ALCESTE was used to analyze the collected data. The findings make down the following key points for the participants: the excitement to work in the sport environment, the motivations of self investment in their position, the challenges encountered in their work as women, the means used to deal with the challenges met in performing their job, the achievements and especially the different strategies used to survive in these spaces of power often difficult for women. Overall, these findings reveal a satisfactory experience but that can be improved as the large majority of respondents clearly give the impression that their experience is very positive and it is worth living through. In many ways, the professional situation of some of these executive women seems desirable. The directors of sport federations and sport regional development agents, though they have irregular working hours, are satisfied with their positions. Officials also like their work conditions and mostly the benefices that their status of international official brings. The majority of coaches claim to have chosen the job because of their interest in the sport and their willingness to share their knowledge. These findings should supply the thoughts and projects of those who are concerned by the role of women in sport leadership. The high level of satisfaction of women leaders observed during this research is an indication that additional efforts is needed to increase women participation in decision making in sport organizations.
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La migration et le développement dans une municipalité maya du Yucatán : des possibilités envisageables, une accessibilité relative

Gagné, Annabelle 19 April 2018 (has links)
Ce mémoire aborde les effets de la mondialisation économique sur une population rurale hautement marginalisée. Plus précisément, il met en relation les dynamiques du développement et de la migration dans une municipalité autochtone du sud du Yucatán au Mexique. En comparant la participation aux projets de développement générateurs de revenus et la possibilité de migrer, l’auteure tente de déterminer ce qui incite la population à se tourner soit vers les projets de développement, soit vers la migration. Le genre, l’appartenance ethnique – plus précisément les capacités langagières – et le statut socioéconomique s’avèrent des éléments fort révélateurs pour comprendre la participation à ces activités. Ainsi, les femmes les plus marginalisées, ciblées par les agents du développement, semblent échapper aux projets et avoir plus de difficulté à migrer. Cette recherche révèle aussi que le facteur ethnique joue un rôle important quant aux possibilités de migrer ou de participer à un projet de développement. Dans la communauté rurale de Chacsinkín, presque la totalité de la population parle la langue maya, mais la maîtrise de l’espagnol comme langue seconde est déterminante dans la participation à un projet de développement ou la migration. Enfin, les possibilités de participer à un projet de développement et de migrer sont influencées par le statut socioéconomique de chacun et chacune et sont plus faciles d’accès pour les personnes intégrées aux réseaux locaux les plus puissants sur les plans économique et politique. / This thesis is about the effects of economic globalization on a highly marginalized rural population. More specifically, it examines the relations between development and migration in a municipality of Southern Yucatan, in Mexico. The author tries to reveal what fosters or hinders people to participate in development projects and to migrate toward national destinations or to another country. Gender, ethnicity – more specifically language capabilities –, and socioeconomic status are important elements for understanding participation in those activities. The most excluded women, targeted by development agencies, seem to be unable to take part in the projects and they migrate with more difficulties. Ethnicity also plays an important role. In the community of Chacsinkín, almost everyone speaks the maya language, but Spanish as a second language is a facilitating factor for participation in development projects and migration. Finally, participation in development projects and migration is influenced by socioeconomic status and are easier for those who are included in the most powerful political and economic networks.
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L’appropriation des technologies de l’information et de la communication dans le processus d’autonomisation des jeunes femmes d’Afrique de l’Ouest

Pilote, Anne-Marie 20 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2014-2015 / Les femmes ont globalement un tiers de chance en moins que les hommes de bénéficier des avantages de la société de l’information en Afrique de l’Ouest francophone. Pourtant, plusieurs travaux montrent que les progrès réalisés dans les domaines des technologies de l’information et de la communication (TIC) pavent la voie à une plus grande contribution des Africaines, particulièrement pour celles âgées de 18 à 35 ans, aux sphères politiques, économiques et sociales (PNUD, 2012). Notre projet a consisté à étudier les modalités d’appropriation des TIC de jeunes professionnelles de cette tranche d’âge issues de cette région du monde, regroupées au sein de coopératives et utilisant les outils technologiques dans leurs activités quotidiennes. S’appuyant sur 16 entretiens individuels semi-dirigés menés à Cotonou au Bénin de juin à août 2013, les résultats de notre recherche révèlent que les jeunes femmes interrogées se servent des TIC de multiples façons et que les usages développés favorisent leur autonomisation. Si l’appropriation de ces outils leur donne des moyens efficaces d’améliorer leurs conditions de vie, elle ne permet toutefois pas nécessairement de transformer une structure sociale qui les désavantage traditionnellement.
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« Où est le boss ? » : Rapports sociaux de sexe et division sociosexuée du travail dans l'agriculture de proximité québécoise

Benitez Ortiz, Alba 26 July 2022 (has links)
L'objectif de cette recherche est d'examiner les rapports sociaux de sexe et la division sociosexuée du travail qui prévalent chez les couples propriétaires d'une exploitation maraîchère qui commercialise une partie de ses produits en circuits courts. A priori, et en raison des valeurs d'horizontalité souvent revendiquées dans ce type d'agriculture, les personnes qui la pratiquent semblent favoriser des rapports sociaux plus justes ou égalitaires. Il existe également une image idyllique et familialiste, largement véhiculée par les personnes partisanes de l'agriculture de proximité, qui la définissent comme un mode de vie et un métier permettant une articulation harmonieuse entre travail et famille. Cela contribue à une idéalisation de la position et de la vie des femmes dans ce type d'agriculture, où elles prendraient davantage soin et seraient particulièrement connectées à l'environnement (humain et non humain), tout en étant épanouies dans leur rôle de mères et d'épouses. Les témoignages des femmes qui ont participé à ma recherche montrent que leur situation est loin d'être idyllique et que leurs trajectoires professionnelles et personnelles sont marquées par plusieurs défis. Ces défis reflètent une variété d'obstacles structurels, comme l'assignation aux femmes des tâches moins valorisées socialement et, parfois, la reproduction de rapports asymétriques au sein des couples. Les entretiens semi-dirigés menés auprès de dix femmes installées en agriculture de proximité dans les régions de Chaudière-Appalaches et de la Capitale-Nationale ont également révélé la persistance de stéréotypes sexistes et d'une division sociosexuée du travail assignant les femmes à certaines tâches spécifiques, dont le travail domestique. Cela entrave la transformation des rapports sociaux de sexe en agriculture de proximité et, en conséquence, contribue au maintien des inégalités structurelles dans ce milieu. / The purpose of this research is to examine gender relations and division of labor that prevail among couples who are owners or co-owners of a vegetable farm that commercializes its products in short supply chains. At first glance, given the horizontal values that are often promoted in this type of agriculture, people who practice it seem to favor fairer or more egalitarian social relations. There is also an idyllic and family-oriented image, widely held by the supporters of local agriculture, who define it as a way of life and an occupation that allows a harmonious articulation between work and family. This contributes to an idealization of the position and life of women in this type of agriculture, where they would be more nurturing and particularly connected to the environment (human and non-human), while being fulfilled in their role as mothers and wives. The narratives of the women who took part in my research show that their situation is far from being idyllic and that their professional and personal trajectories are marked by several challenges. These challenges reflect various structural obstacles, such as the assignment of less socially valued jobs to women and, sometimes, the asymmetrical dynamics that are reproduced within couples. Semi-structured interviews with ten women involved in local agriculture in the Chaudière-Appalaches and Capitale-Nationale regions also revealed the prevalence of a gendered division of labour and sexist stereotypes in agriculture. The latter hinders the transformation of gender relations and, consequently, contributes to the maintenance of structural inequalities in the context studied. / El objetivo de esta investigación es examinar les relaciones sociales de sexo y la división socio-sexual del trabajo entre las parejas propietarias o copropietarias de una explotación hortícola que comercializa sus productos en circuitos cortos. A priori, y debido a los valores de horizontalidad que se suelen reivindicar con frecuencia en este tipo de agricultura, las personas que la practican favorecer relaciones sociales más justas o igualitarias. Asimismo, existe una imagen idílica y familialista, ampliamente propagada por las personas partidarias de la agricultura de proximidad, que la definen como un modo de vida y una profesión que permite una articulación armoniosa entre el trabajo y la familia. Esto contribuye a una idealización de la posición y de la vida de las mujeres en este tipo de agricultura, donde serían las principales cuidadoras y estarían particularmente conectadas con el medio ambiente (tanto humano como no humano), así como realizadas en su papel de madres y esposas. Los testimonios de las mujeres que participaron en mi investigación muestran que su situación dista mucho de ser idílica y que tanto sus trayectorias profesionales como personales están marcadas por varios desafíos. Estos desafíos reflejan varios obstáculos estructurales, como la asignación de trabajos menos valorados socialmente a las mujeres y, en ocasiones, las dinámicas asimétricas que se reproducen dentro de las parejas. Entrevistas semiestructuradas con diez mujeres dedicadas a la agricultura local en las regiones de Chaudière-Appalaches y Capitale-Nationale revelaron la persistencia de una división socio-sexual del trabajo y de estereotipos sexistas en la agricultura. Esto último dificulta la transformación de las relaciones de sexo y, en consecuencia, contribuye al mantenimiento de las desigualdades estructurales en el contexto de estudio.
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Processus d'insertion professionnelle de femmes immigrantes "noires" d'origine africaine détentrices d'un grade universitaire et résidentes de la Ville de Québec

Nkolo, Christiane 13 April 2018 (has links)
Cette recherche vise à explorer une voie d'explicitation et de compréhension des problèmes d'insertion professionnelle de personnes immigrantes au Canada. Les théoriciens du capital humain et les fonctionnalistes considèrent la scolarisation comme étant un facteur homogénéisant et l'investissement par excellence pour une meilleure insertion et pour assurer l'égalité des chances sur le marché du travail. Ainsi, peu importe leur appartenance sociale et/ou ethnique, les personnes qui seraient appelées à occuper les positions les plus importantes dans la société seraient celles qui détiendraient des diplômes d'enseignement supérieur. Cette assertion est contredite par un nombre important de recherches dont les résultats montrent que plusieurs facteurs autres que le capital humain (mesuré par le diplôme) interviennent dans le processus d'insertion professionnelle. C'est le cas dans la recherche présente. Fondée sur un triple cadre théorique (rapports sociaux de sexe, rapports sociaux de race, capital social) et une méthodologie qualitative, il y est fait l'hypothèse générale que les rapports sociaux inégaux de sexe à la faveur des hommes et les rapports sociaux de race constituent des facteurs de division et de hiérarchisation dans l'ensemble de la vie sociale. Par conséquent, ils déteignent sur le processus d'insertion professionnelle. Par ailleurs, l'hypothèse selon laquelle le capital social, davantage que la notion de capital humain, structure le processus d'insertion professionnelle des femmes de minorités visibles au Canada y est également formulée. La présente recherche explore ces hypothèses à partir de l'expérience du processus d'insertion professionnelle de quatorze immigrantes "noires" d'origine africaine, détentrices d'un grade universitaire et résidentes de la ville de Québec (QC, Canada). Les résultats de cette recherche montrent que le processus d'insertion professionnelle de ces femmes est non seulement obstrué par des difficultés relatives à la structure du monde du travail, mais qu'effectivement, la division sociale sexuelle du travail (domestique et salarié) et la division sociale raciale y ont également une influence certaine. De même, les ressources sociales dont disposent ces femmes y jouent un rôle important. Leur capital humain (la détention d'un grade universitaire) structure également leur processus d'insertion professionnelle, même s'il n'en garantit pas la réussite selon la définition qu'elles formulent. Les résultats font voir, en outre, les facteurs qui faciliteraient ce processus, ainsi que les moyens mis en oeuvre par ces femmes pour surmonter les obstacles auxquels elles ont eu à faire face.

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