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Domitien Germanicus: recherches documentaires et littéraires autour d'une titulature impériale

Martin, Alain January 1985 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Amor fati : entre stoïcisme et nietzschéisme

Duval, Benoît 24 April 2018 (has links)
Les Pensées de Marc-Aurèle représentent un véritable chant du cygne pour le concept grec d'amor fati. Dans le sillon initié par la tradition stoïcienne, Marc-Aurèle, en déployant cette idée, ne met ainsi en lumière qu'un concept qui se trouve en filigrane depuis fort longtemps dans la pensée antique. L'amor fati, ou littéralement « l'amour du destin », bénéficie en effet d'un échafaudage logique et conceptuel déjà riche et développé. Or, le christianisme émergeant à l'époque de Marc-Aurèle, par son idéologie à la fois puissante et populaire, a relayé l'amor fati aux oubliettes pour plusieurs siècles. C'est sous la plume de Friedrich Nietzsche, à la fin du XIXe siècle, que l'amor fati connait sa renaissance la plus éloquente. Un changement majeur est toutefois flagrant : l'amor fati nietzschéen est loin, au premier abord, de s'inscrire dans la foulée d'un néostoïcisme. Systématicité d'un côté et aphorisme de l'autre, ordre d'un côté et chaos de l'autre, raison d'un côté et affect de l'autre, ataraxie d'un côté et joie extatique de l'autre : les couples antimoniques s'additionnent et rendent pour le moins suspecte la thèse du partage du même concept. Cette radicale transfiguration opérée par Nietzsche de l'amor fati suggère l'incommensurabilité des paradigmes stoïcien et nietzschéen. Peut-être empruntent-ils simplement les mêmes mots pour signifier une réalité toute différente? Afin de dissiper l'ambiguïté, l'analyse minutieuse de l'amor fati que développent les stoïciens de l'époque impériale (Marc-Aurèle et Épictète en tête de liste) et Friedrich Nietzsche devient nécessaire.
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Tyran et magicien? : Représentation de la figure de l'empereur Julien dans les sources littéraires grecques, latines et syriaques de l'Antiquité tardive

Robert, Maryse 24 April 2018 (has links)
Même si les Humanistes et les Lumières tentèrent de réhabiliter le personnage de Julien l'Apostat, leurs tentatives furent somme toute vaines. En effet, encore au début du siècle dernier on parlait de l'Apostat sans même qu'il soit nécessaire de nommer Julien. Systématiquement, il était qualifié de suppôt de Satan, de magicien, d'impie pratiquant des sacrifices humains. Le présent travail se propose d'analyser l'évolution de la figure de l'empereur Julien durant les deux siècles qui suivirent sa mort, en 363, et se divise en trois chapitres. Le premier se concentre sur les faits historiquement attestés dans les différentes sources (épigraphiques, numismatiques, littéraires) au sujet de l'homme et traite des épisodes principaux de sa vie - sa naissance, son césarat, sa proclamation - sous la forme d'une analyse historique. Le deuxième étudie l'évolution de son image à travers les sources littéraires païennes et chrétiennes du IVe au VIe siècle, en analysant, dans un premier lieu, le portrait-bilan que les auteurs ont peint (portrait de Julien par lui-même ; portrait physique ; portrait psychologique). Le troisième chapitre est consacré au Roman syriaque de Julien l'Apostat et à l'étude du personnage désormais légendaire, où des extraits illustrant les thèmes du deuxième chapitre sont analysés. Le mémoire sert principalement à mettre en place le contexte des siècles précédant la mise par écrit du Roman.
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Les spectateurs du cirque à Rome (du Ier siècle a.C. au VIe siècle p.C.) : passion, émotions et politique / Spectators in the Roman circus from the 1st century BC to the 6th century AD : passion, emotions and politics

Forichon, Sylvain 07 January 2015 (has links)
La passion des Romains pour les jeux du cirque, et surtout pour les courses de chars, apparaît comme un topos dans la littérature ancienne. Si les auteurs anciens ont maintes fois évoqué l’état d’excitation du public, les jugements moraux et les stéréotypes l’emportent sur toute tentative d’analyse et très peu d’amateurs de courses ont laissé de témoignage, comme la première partie de cette thèse le met en évidence. Il nous a donc fallu dépasser ces préjugés afin d’expliquer les raisons d’un tel engouement. La confrontation des données issues des sources textuelles aux résultats de travaux récents en psychologie des émotions et en sociologie du sport nous a permis de démontrer, dans la seconde partie, le lien entre la passion des jeux et les émotions provoquées par ces spectacles. En effet, cette passion se nourrissait largement des émotions intenses éprouvées par les spectateurs, elles-mêmes conséquence d’un phénomène d’hyperstimulation sensorielle auquel ils étaient soumis depuis leur arrivée aux abords du bâtiment jusqu’à la fin des jeux. Cet engouement pour les ludi circenses avait donc des causes intrinsèques aux spectacles. Face à ce constat et à l’intérêt croissant du pouvoir pour les circenses dès la fin de la République, la troisième partie de cette thèse examine la question de l’instrumentalisation de ces jeux à des fins politiques. Si des chefs d’armées, comme Pompée ou Jules César, comprirent tout le bénéfice qu’ils pouvaient en retirer en terme de popularité et si, à partir d’Auguste, les circenses font partie intégrante de la politique impériale, il serait néanmoins erroné de percevoir les spectateurs du cirque comme une foule manipulée par le pouvoir. Ils jouissaient en ce lieu d’une autorité considérable, non seulement sur le déroulement des jeux, mais aussi à l’égard de l’empereur, à tel point que le rapport de force avec ce dernier pouvait même éventuellement s’inverser. Le cirque a été en effet parfois le cadre de manifestations d’hostilité de la foule à l’encontre de l’empereur ou de ses proches et dans la plupart des cas les manifestants ont obtenu gain de cause. La clémence du prince semble donc avoir été l’usage en ce lieu. Cependant, il convient de ne pas réduire les acteurs de ces mouvements de protestation à la plèbe. Ces manifestations étaient vraisemblablement souvent orchestrées et soigneusement préparées à l’avance, or il nous est apparu que seuls des membres de l’ordre sénatorial ou équestre avaient les moyens humains et logistiques d’y parvenir. / Passion for Roman circus games, and especially for chariot races, appears as a topos in ancient literature. Even if ancient authors frequently evoke the excitement of the audience, this excitement often attracts moral condemnations and stereotypes rather than critical analysis and there are very few testimonies coming from chariot races enthusiasts, as it may be noted in the first part of the thesis. This study aims to overcome these prejudices in order to explain the reasons for such an enthusiasm. In the second part, after confronting data coming from textual sources with what recent works in psychology of emotion and sociology of sport can teach us, we demonstrate the link between passion for the games and the emotions provoked by those spectacles. This passion, indeed, was mainly entertained by the intensity of the emotions, resulting themselves from the sensory overload which the spectators experienced, from the moment they were reaching the circus to the end of the games. This passion may be due to factors intrinsic to the show. Considering this aspect as well as the growing interest of the power for circenses at the end of the Republic, the third part examines the exploitation of the games for political purposes. Even if army leaders, such as Pompey and Caesar, well understood all the benefits they could derive in terms of popularity, and even if the circenses started to be, from Augustus on, an integral part of imperial policy, it would be a mistake to see the spectators simply as a crowd manipulated by political power. It appears that the spectators enjoyed considerable authority over this place, not only in relation to the conduct of the games, but also even in relation to the emperor, insomuch as the power struggle between the emperor and his subjects could sometimes be reversed. On several occasions, indeed, the circus was the scene of the crowd’s hostility against the emperor or his relatives, and in many such cases, the demonstrators were successful. It seems that it was customary for the emperor to show clemency within the circus. However, it is important not to generalise about the participants of protests and not to consider them simply as a plebeian mob. Such protests were in all likelihood often carefully orchestrated and planned in advance; it seems clear that only members of the senatorial or equestrian orders had the human resources and logistical capacity to achieve that.
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Lire Grégoire de Nazianze à l'époque byzantine : édition critique, traduction et analyse des Commentaires de Basile le Minime aux Discours 4 et 5 de Grégoire de Nazianze

Rioual, Gaëlle 24 April 2018 (has links)
Thèse en cotutelle Université Laval, Québec, Canada et Université de Fribourg, Fribourg, Suisse / Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2017-2018 / Basile le Minime, évêque de Césarée en Cappadoce au milieu du Xe siècle, est principalement connu pour avoir écrit un Commentaire à tous les Discours de Grégoire de Nazianze. En effet, bien qu’il ait eu un rôle à jouer à la cour de l’empereur Constantin VII Porphyrogénète, entre autres lors de la prise du pouvoir par ce dernier et lors de la nomination du patriarche Polyeucte, deux événements qui ont marqué sa carrière ecclésiastique, c’est d’abord grâce à son œuvre exégétique qu’il passa à la postérité. Ses Commentaires connurent dès leur publication un certain succès, comme le prouve le nombre de manuscrits qui transmettent son œuvre, plus de quatre-vingt. Cette bonne fortune n’est peut-être pas étrangère au soutien de l’empereur Constantin, à qui les Commentaires étaient dédiés, mais elle s’inscrit également au sein d’un mouvement de mise en valeur de la figure de Grégoire de Nazianze, qui prit de l’ampleur tout au long de l’époque byzantine. Par la suite, son œuvre fut légèrement éclipsée par les contributions des commentateurs postérieurs, qui réutilisèrent toutefois une partie de ses exégèses, avant de tomber finalement en oubli partiel à la fin de l’Empire byzantin. En 1827, Jean-François Boissonade trouva dans la bibliothèque du Roi les Commentaires de Basile le Minime et en publia trois avec la Lettre dédicatoire par laquelle Basile annonçait son œuvre et l’offrait à Constantin VII. Il fut suivi de peu par Louis de Sinner qui publia un autre des Commentaires. Réédités peu de temps après dans la Patrologie grecque, ces quatre Commentaires furent toutefois les seuls et derniers à être publiés en entier et l’œuvre de Basile retint très peu l’attention des chercheurs, jusqu’aux travaux récents de Thomas Schmidt, qui reprit l’édition critique de la Lettre dédicatoire et fit l’édition princeps du Commentaire au Discours 38. Dans la lignée des travaux de ce chercheur, la présente thèse propose une nouvelle édition critique et une première traduction française des Commentaires aux Discours 4 et 5, qui avaient été autrefois publiés par Boissonade, mais seulement sur la base de deux manuscrits. Ces Discours, écrits par Grégoire de Nazianze au lendemain de la mort de l’empereur Julien pour fustiger l’Apostat, célébrer sa mort et montrer aux chrétiens les leçons à retenir de cette épreuve, connurent une certaine postérité à l’époque byzantine. En effet, dans les siècles suivants, les Invectives de Grégoire furent reprises par les auteurs ecclésiastiques et amplifiées, jusqu’à donner naissance à la légende noire de Julien, magicien et tyran par excellence. Ce n’est toutefois pas cet aspect du texte qui retint l’attention de Basile. Au contraire, Basile aborda ces Discours avec le sérieux d’un philologue qui cherche à rendre ces œuvres accessibles, comme il l’écrit lui-même dans l’épilogue qui suit le Commentaire au Discours 5, « pour ceux qui voient petit et qui ont besoin de lait au lieu d’une alimentation solide en discours » (Comm. 5, 66). À cette fin, il emploie une méthode pédagogique comparable à celle d’un grammairien chargé de faire découvrir à ses élèves une œuvre classique : il alterne ainsi les analyses textuelles, principalement axées sur des notions de grammaire et une paraphrase simplificatrice des passages compliqués, avec les exposés contextuels, qui expliquent les événements mis en scène dans l’œuvre ou les références culturelles et littéraires déployées par l’auteur. À cet ensemble s’ajoutent d’autres éléments d’informations sporadiques, en lien, le plus souvent, avec des matières scolaires, comme la rhétorique, la musique, l’astronomie ou la philosophie. En somme, les Commentaires de Basile ne sont pas seulement intéressants pour l’interprétation ou l’histoire exégétique du texte de Grégoire, mais également en tant que témoins de la culture scolaire du milieu de la période byzantine. / Basilius Minimus, bishop of Caesarea of Cappadocia in the middle of 10th century, is mainly known to have written a Commentary on every Oration of Gregory of Nazianzus. Although he had played in the court of the Emperor Constantine VII Porphyrogenetus, most notably when the latter recovered his throne and when Polyeuctus became the patriarch of Constantinople – two events very important in his ecclesiastical career –, he is mostly known for his exegetical work. His Commentaries soon experienced some success, as evidenced by the number of manuscripts, more than 80, that transmit his work. This success may have been a result of the support of the Emperor Constantine to which the Commentaries were dedicated, but it also corresponded to a larger movement valorizing the figure of Gregory of Nazianzus, a movement which gained momentum throughout the Byzantine period. His work has been somewhat overshadowed by the contributions of later commentators, which also borrowed from his exegesis, before falling partly into oblivion at the end of the Byzantine Empire. In 1827, Jean-François Boissonade found three of Basilius’ Commentaries in the Bibliothèque du Roi and published them, along with the dedicatory letter with which Basilius announced his work and offered it to Constantine VII. He was closely followed by Louis de Sinner who published another Commentary. Reedited shortly after in Patrologia graeca, these Commentaries however were the only and last Commentaries to be published in full. The exegesis of Basilius Minimus received very little attention from the researchers, until the recent works of Thomas Schmidt, who realized a new critical edition of the dedicatory letter and the editio princeps of the Commentary on the Oration 38. Following the lead of this researcher, this thesis proposes a new critical edition and a French translation of the Commentaries on the Orations 4 and 5, which were formerly published by Boissonade, but only on the basis of two manuscripts. Written by Gregory of Nazianzus in the aftermath of the Emperor Julian’s death in order to castigate the Apostate, to celebrate his death and to show which lessons the Christians should learn from this event, these Orations experienced a certain posterity in the Byzantine era. In the following centuries, Gregory’s Invectives were effectively taken over by ecclesiastical authors and amplified to give birth to the black legend of Julian as a magician and a tyrant par excellence. This is, however, not the aspect of the text that caught the attention of Basilius. On the contrary, Basilius went into these Orations with the seriousness of a philologist who tries to make these works easy to understand, as he himself wrote in the epilogue following the Commentary on the Oration 5, “to those who see small and who need milk instead of a solid diet of discourses” (Comm. 5, 66). For this purpose, he uses a pedagogical method similar to that of a grammarian who introduces his students to a classical text: he alternates textual analysis, mainly focused on grammatical concepts and simplified paraphrases of complicated passages, with contextual explanations, which expound the events mentioned in the work or on the cultural and literary references used by the author. To this corpus, he adds some other sporadic information, usually related to academic subjects such as rhetoric, music, astronomy or philosophy. In sum, the Basilius’ Commentaries are not only useful for the interpretation or exegetical history of Gregory’s text, but also as witnesses of scholarly culture in the middle of the Byzantine period.

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