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"Un vieux rêve intime" : histoire, mémoires et représentations des Juifs d'Odessa / "An Old Secret Dream" : history and memories of the Jewish community from Odessa

Némirovski, Isabelle 26 September 2016 (has links)
Depuis sa fondation en 1794 par Catherine II, Odessa, cité portuaire de la mer Noire, ne laisse personne indifférent. Conçue pour devenir une utopie urbaine au sein d’une Russie très contraignante, la ville nouvelle – libre de servage, tolérante et entreprenante – attire des populations venues des quatre coins de l’Europe. Les premiers migrants sont en majorité des déshérités, des infortunés et des Juifs persécutés de l’Empire en quête d’un refuge. La société juive naissante éprise de liberté saisit sa chance en s’impliquant activement dans la réalisation de ce chantier ambitieux. Dès les années 1860, premiers frémissements d’un « bonheur juif », des banquiers, des négociants, des intellectuels, des artistes, des bandits et des « Juifs ordinaires » écrivent pareillement le « modernisme » et les légendes colorées d’Odessa la Juive. Le XXe siècle pris entre guerres et révolutions, sonne le glas de l’âge d’or des Juifs d’Odessa avec le retour des pogromes et des massacres de masse. Bon nombre d’entre eux repartent sur les routes de l’exil à la recherche de ports d’attache : onze villes nord-américaines portent le nom d’Odessa. Les Odessites vouent à leur ancienne terre d’adoption un véritable culte, sous des formes plurielles, œuvres littéraires, musicales, picturales et cinématographiques. A la lumière de l’Histoire et de la micro-histoire, l’enjeu de cette recherche sur la communauté juive odessite est d’identifier l’« espace de vérité » de la ville d’Odessa entre mythe et réalité. / Since its creation by Catherine the IInd in 1794, Odessa, a harbour on the Black Sea, leaves no one indifferent. Designed to become an urban utopia within a very compelling Russia, the new town – tolerant, enterprising, and from its origins free from serfdom – has attracted populations from across Europe. The first migrants were mainly poor, hapless people and persecuted Jews from the Empire in search of a refuge. The emerging Jewish society, freedom-loving, seized the opportunity to build an ideal city, culminating in the birth of a “Jewish happiness”. From 1860 onwards, great bankers, merchants, intellectuals, artists, gangsters and labourers all contributed to the “modernism” and the colourful history of the Jewish Odessa. Caught between wars and revolutions, the 20th Century sounded the knell of the golden age for Odessa Jews, with the return of pogroms and mass slaughters. A number of Jews went back to the roads of exile, looking for a new home: eleven North American towns have taken the name of Odessa. “Odessity” worship Odessa-mama: music works, paintings and movies aim at celebrating the glory of the homeland. Considering both the historical and micro-historical legacy, the challenge of this research on the Jewish community from Odessa aims to identify and establish a “truth space” between the real and the imaginary city.
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"Un vieux rêve intime" : histoire, mémoires et représentations des Juifs d'Odessa / "An Old Secret Dream" : history and memories of the Jewish community from Odessa

Némirovski, Isabelle 26 September 2016 (has links)
Depuis sa fondation en 1794 par Catherine II, Odessa, cité portuaire de la mer Noire, ne laisse personne indifférent. Conçue pour devenir une utopie urbaine au sein d’une Russie très contraignante, la ville nouvelle – libre de servage, tolérante et entreprenante – attire des populations venues des quatre coins de l’Europe. Les premiers migrants sont en majorité des déshérités, des infortunés et des Juifs persécutés de l’Empire en quête d’un refuge. La société juive naissante éprise de liberté saisit sa chance en s’impliquant activement dans la réalisation de ce chantier ambitieux. Dès les années 1860, premiers frémissements d’un « bonheur juif », des banquiers, des négociants, des intellectuels, des artistes, des bandits et des « Juifs ordinaires » écrivent pareillement le « modernisme » et les légendes colorées d’Odessa la Juive. Le XXe siècle pris entre guerres et révolutions, sonne le glas de l’âge d’or des Juifs d’Odessa avec le retour des pogromes et des massacres de masse. Bon nombre d’entre eux repartent sur les routes de l’exil à la recherche de ports d’attache : onze villes nord-américaines portent le nom d’Odessa. Les Odessites vouent à leur ancienne terre d’adoption un véritable culte, sous des formes plurielles, œuvres littéraires, musicales, picturales et cinématographiques. A la lumière de l’Histoire et de la micro-histoire, l’enjeu de cette recherche sur la communauté juive odessite est d’identifier l’« espace de vérité » de la ville d’Odessa entre mythe et réalité. / Since its creation by Catherine the IInd in 1794, Odessa, a harbour on the Black Sea, leaves no one indifferent. Designed to become an urban utopia within a very compelling Russia, the new town – tolerant, enterprising, and from its origins free from serfdom – has attracted populations from across Europe. The first migrants were mainly poor, hapless people and persecuted Jews from the Empire in search of a refuge. The emerging Jewish society, freedom-loving, seized the opportunity to build an ideal city, culminating in the birth of a “Jewish happiness”. From 1860 onwards, great bankers, merchants, intellectuals, artists, gangsters and labourers all contributed to the “modernism” and the colourful history of the Jewish Odessa. Caught between wars and revolutions, the 20th Century sounded the knell of the golden age for Odessa Jews, with the return of pogroms and mass slaughters. A number of Jews went back to the roads of exile, looking for a new home: eleven North American towns have taken the name of Odessa. “Odessity” worship Odessa-mama: music works, paintings and movies aim at celebrating the glory of the homeland. Considering both the historical and micro-historical legacy, the challenge of this research on the Jewish community from Odessa aims to identify and establish a “truth space” between the real and the imaginary city.
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"Un vieux rêve intime" : histoire, mémoires et représentations des Juifs d'Odessa / "An Old Secret Dream" : history and memories of the Jewish community from Odessa

Némirovski, Isabelle 26 September 2016 (has links)
Depuis sa fondation en 1794 par Catherine II, Odessa, cité portuaire de la mer Noire, ne laisse personne indifférent. Conçue pour devenir une utopie urbaine au sein d’une Russie très contraignante, la ville nouvelle – libre de servage, tolérante et entreprenante – attire des populations venues des quatre coins de l’Europe. Les premiers migrants sont en majorité des déshérités, des infortunés et des Juifs persécutés de l’Empire en quête d’un refuge. La société juive naissante éprise de liberté saisit sa chance en s’impliquant activement dans la réalisation de ce chantier ambitieux. Dès les années 1860, premiers frémissements d’un « bonheur juif », des banquiers, des négociants, des intellectuels, des artistes, des bandits et des « Juifs ordinaires » écrivent pareillement le « modernisme » et les légendes colorées d’Odessa la Juive. Le XXe siècle pris entre guerres et révolutions, sonne le glas de l’âge d’or des Juifs d’Odessa avec le retour des pogromes et des massacres de masse. Bon nombre d’entre eux repartent sur les routes de l’exil à la recherche de ports d’attache : onze villes nord-américaines portent le nom d’Odessa. Les Odessites vouent à leur ancienne terre d’adoption un véritable culte, sous des formes plurielles, œuvres littéraires, musicales, picturales et cinématographiques. A la lumière de l’Histoire et de la micro-histoire, l’enjeu de cette recherche sur la communauté juive odessite est d’identifier l’« espace de vérité » de la ville d’Odessa entre mythe et réalité. / Since its creation by Catherine the IInd in 1794, Odessa, a harbour on the Black Sea, leaves no one indifferent. Designed to become an urban utopia within a very compelling Russia, the new town – tolerant, enterprising, and from its origins free from serfdom – has attracted populations from across Europe. The first migrants were mainly poor, hapless people and persecuted Jews from the Empire in search of a refuge. The emerging Jewish society, freedom-loving, seized the opportunity to build an ideal city, culminating in the birth of a “Jewish happiness”. From 1860 onwards, great bankers, merchants, intellectuals, artists, gangsters and labourers all contributed to the “modernism” and the colourful history of the Jewish Odessa. Caught between wars and revolutions, the 20th Century sounded the knell of the golden age for Odessa Jews, with the return of pogroms and mass slaughters. A number of Jews went back to the roads of exile, looking for a new home: eleven North American towns have taken the name of Odessa. “Odessity” worship Odessa-mama: music works, paintings and movies aim at celebrating the glory of the homeland. Considering both the historical and micro-historical legacy, the challenge of this research on the Jewish community from Odessa aims to identify and establish a “truth space” between the real and the imaginary city.
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L'islam au Kazakhstan : les rapports Etats-religion (XVIIIème - XXème siècles) / Islam at Kazakhstan : relations between the States and Religion in XVII-XX centuries

Abdrakhmanov, Talgat 13 December 2012 (has links)
Les relations entre l’Etat et la religion sont déterminantes dans l’histoire de chaque pays. Au Kazakhstan, le statut de l’islam a varié au gré du régime sur place. Implanté en plusieurs vagues, commençant par la conquête arabe du sud du pays, puis officialisé par les Qarakhanides, la Horde d’Or sous le khan Özbek et les khans kazakhs, l’islam a trouvé une certaine régulation à partir du XVIIIème siècle avec la colonisation russe. L’Empire russe, intéressé par le fait de gagner les musulmans à sa cause, favorise leur religion en créant l’Assemblée spirituelle à Orenbourg. L’impératrice Catherine II envoie des mollahs tatars dans la steppe kazakhe et construit de nombreuses mosquées pour mieux contrôler les Kazakhs. Mais le renforcement de l’islam donne des résultats inverses à ceux escomptés et l’empire durcit sa position envers le dernier, il limite le nombre de mollahs et de mosquées par région. Avec l’arrivée des soviétiques au pouvoir, tout semble changer. Mais provisoirement seulement ; les premières « déclarations démocratiques » n’aboutissent qu’à se retourner contre toutes les religions par une série de répressions à la fin des années 1920, et l’idéologie communiste espère mettre fin à l’islam. Pourtant les Directions spirituelles musulmanes avaient été rétablies durant la Deuxième Guerre Mondiale par Staline qui avait voulu utiliser le potentiel religieux pour servir ses buts. Elles ont fonctionné jusqu’à l’effondrement de l’URSS en reflétant les décisions du parti. L’indépendance du Kazakhstan a donné une chance aux croyants de rétablir la religion, mais en même temps elle a contribué à l’apparition de mouvances radicales. Depuis les années 2000 le gouvernement revoit sa politique en matière religieuse, en effectuant de nouveau des restrictions. L’histoire recommence-t-elle ? / Relations between the state and religion are determining in the history of every country. At Kazakhstan the status of Islam has largely depended on the ruling regime. Islam was brought to Kazakhstan in several waves, starting from the conquest of the country’s south by Arabs. It was legalized by Qarakhanides, the Golden Horde under Khan Özbek and Kazakh clans and was further regularized with Russian colonization starting from XVIII century. Russian Empire, interested in attracting Muslims, has favored their religion by creating a Spiritual assembly at Orenburg. Empress Catherine II (The Great) had sent Tatar mullahs to the Kazakh steppes to establish Moslem institutions (mosques, religious schools, etc). This was aimed at gaining control over the Kazakh population. But reinforcement of Islam has led to rather opposite result and, as a consequence, Empire hardened towards Islam - the numbers of mosques and mullahs were reduced. It seemed to change upon arrival of the Soviets to the region, but only for a limited time, followed by anti-religious declarations of the Soviet Government and repressions at the end of 1920s, aiming to exterminate the influence of Islam once and forever. However during Second World War, under Stalin, Muslin spiritual institutions were once more re-established. They continued to function during the post-war era and collapse of USSR, being in the total support for the latter. Independence of Kazakhstan has provided an opportunity for the citizens to freely express their beliefs, and at the same time it led to the emerging of certain radical movements. From the years of 2000 the Kazakh government revises once again its policy on religion towards restriction. The history repeats itself?
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L'islam au Kazakhstan : les rapports Etats-religion (XVIIIème - XXème siècles)

Abdrakhmanov, Talgat 13 December 2012 (has links) (PDF)
Les relations entre l'Etat et la religion sont déterminantes dans l'histoire de chaque pays. Au Kazakhstan, le statut de l'islam a varié au gré du régime sur place. Implanté en plusieurs vagues, commençant par la conquête arabe du sud du pays, puis officialisé par les Qarakhanides, la Horde d'Or sous le khan Özbek et les khans kazakhs, l'islam a trouvé une certaine régulation à partir du XVIIIème siècle avec la colonisation russe. L'Empire russe, intéressé par le fait de gagner les musulmans à sa cause, favorise leur religion en créant l'Assemblée spirituelle à Orenbourg. L'impératrice Catherine II envoie des mollahs tatars dans la steppe kazakhe et construit de nombreuses mosquées pour mieux contrôler les Kazakhs. Mais le renforcement de l'islam donne des résultats inverses à ceux escomptés et l'empire durcit sa position envers le dernier, il limite le nombre de mollahs et de mosquées par région. Avec l'arrivée des soviétiques au pouvoir, tout semble changer. Mais provisoirement seulement ; les premières " déclarations démocratiques " n'aboutissent qu'à se retourner contre toutes les religions par une série de répressions à la fin des années 1920, et l'idéologie communiste espère mettre fin à l'islam. Pourtant les Directions spirituelles musulmanes avaient été rétablies durant la Deuxième Guerre Mondiale par Staline qui avait voulu utiliser le potentiel religieux pour servir ses buts. Elles ont fonctionné jusqu'à l'effondrement de l'URSS en reflétant les décisions du parti. L'indépendance du Kazakhstan a donné une chance aux croyants de rétablir la religion, mais en même temps elle a contribué à l'apparition de mouvances radicales. Depuis les années 2000 le gouvernement revoit sa politique en matière religieuse, en effectuant de nouveau des restrictions. L'histoire recommence-t-elle ?

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