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L'EMPREINTE ECOLOGIQUE : Proposition d'un modèle synthétique de représentation des empreintes à l'échelle " Micro " d'une organisation ou d'un projet

El Bouazzaoui, Ibtissam 03 July 2008 (has links) (PDF)
Aujourd'hui, face à l'épuisement des ressources naturelles et à la menace des changements climatiques, les acteurs souhaitant évaluer la pression exercée sur les ressources naturelles par nos modes de vie, ont besoin d'outils pertinents. L'empreinte écologique pourrait être l'un de ces outils. L'analyse de l'empreinte écologique permet d'évaluer la consommation des ressources naturelles régénératives et les besoins d'absorption des déchets d'une population humaine ou d'une économie donnée, en termes de surface correspondante de sol productif. Elle veut exprimer le degré de dépassement de la capacité de charge de l'écosystème exercé par une société ou une région dans les conditions de technologie et d'organisation sociale actuelles. Si l'on utilise les termes d'offre et demande, cet indice permet de dresser un bilan écologique en comparant la demande (empreinte écologique) et l'offre (biocapacité) en ressources naturelles régénératives. Le calcul de l'empreinte écologique est basé sur la traduction des consommations en surfaces (hectares globaux) de terre et d'eau biologiquement productives utilisées pour produire les ressources consommées et pour assimiler les déchets générés avec les technologies actuelles. Si la méthode est de plus en plus robuste au niveau des calculs d'empreintes nationaux, les calculs d'empreinte de sous-systèmes locaux ne fait pas encore l'objet d'une standardisation. Deux approches pour la transformation de données de consommations en unités de surfaces peuvent être utilisées pour un système donné : - La méthode " basée sur les calculs nationaux " consiste à pondérer les différentes composantes de l'empreinte du pays dans lequel se situe le système étudié par les ratios entre consommations propres au système étudié et consommations nationales. - L'approche par composante se base sur un inventaire direct des consommations à un niveau plus local (région, ville, etc) et par l'utilisation de facteurs de conversion spécifiques. Cette méthode nous semble plus appropriée pour des calculs d'empreinte d'une organisation, mais elle nécessite des adaptations méthodologiques pour rendre plus fiables les calculs à petite échelle (au niveau d'une organisation ou d'un projet). Cette étude vise donc à développer une méthode de calcul d'empreinte écologique en mettant en évidence les intérêts et limites qui peuvent être tirés d'un tel calcul à un niveau 'micro'. Nous avons choisi de travailler sur une activité de travaux publics pour laquelle nous pouvions obtenir les données, afin de montrer les intérêts de l'utilisation de cet indice dans le cadre d'une telle activité. Notre terrain d'application est le projet de mise à 2*2 voies du tronçon de la RN7- RN82 entre Cosne-Sur-Loire et Balbigny, en France.
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Le développement durable : enjeux de définition et de mesurabilité

DiBlasio Brochard, Lukas 06 1900 (has links) (PDF)
Le développement durable est un concept de plus en plus répandu, mais les enjeux entourant sa définition et sa mesurabilité suscitent encore beaucoup de discussions. La définition la plus fréquemment utilisée du développement durable reste celle du Rapport Brundtland, publié en 1987. Il n'existe toutefois pas encore de consensus sur les moyens d'atteindre le développement durable et sur les indicateurs pouvant l'évaluer. En effet, l'internationalisation du concept de développement durable a encouragé la création d'un ensemble de nouveaux indicateurs pour mesurer le niveau de progrès atteint par un État. Or, la grande divergence qui existe entre les résultats des différents indicateurs peut parfois laisser les chercheurs perplexes quant à l'utilité même du concept de développement durable. Nous soutenons que le concept de durabilité et ses interprétations sont en mesure de permettre une évaluation des indicateurs de développement durable et qu'il existe une corrélation entre le degré de durabilité d'un indicateur et les résultats qu'il produit. Afin de tester cette hypothèse, nous présentons une grille d'analyse pour évaluer, selon la durabilité, quatre des principaux indicateurs de développement durable, soit l'empreinte écologique, l'indice de la planète heureuse (IPH), l'indice de bien-être (IB) et l'index de performance environnementale (IPE). Ce test qualitatif nous permet de différencier de manière systématique les quatre indicateurs, selon leur durabilité. Finalement, une étude comparative des résultats des quatre indicateurs pour le Canada nous permet de tester cette méthode d'analyse et d'en vérifier les conclusions. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Développement durable, Brundtland, empreinte écologique, indice de planète heureuse, indice de bien-être, index de performance environnementale, indicateur environnemental.
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Contribution à la compréhension des enjeux environnementaux et économiques du gaspillage alimentaire et de la performance de stratégies pour sa réduction en restauration indépendante dans une perspective d'amélioration de l'éco-efficience

Lévesque, Jade 06 July 2023 (has links)
Thèse ou mémoire avec insertion d'articles / L'atteinte d'un système alimentaire durable passe nécessairement par la réduction du gaspillage alimentaire (GA) dû aux impacts sociaux, environnementaux et économiques considérables associés à sa génération. Or, il y a un manque d'information sur les impacts résultant de l'implantation de stratégies de réduction du gaspillage alimentaire (SRGAs) sur l'éco-efficience des restaurants, ce qui freine les restaurateurs à les adopter. De plus, il s'avère essentiel d'identifier des SRGAs adaptées aux diverses catégories de restaurants afin que celles-ci soient réalistes et faciles à implanter. Ce projet de doctorat présente d'abord une étude de cas du GA généré dans un restaurant indépendant et contribue à démontrer la pertinence d'utiliser une méthodologie de quantification et de catégorisation approfondie des impacts économiques et environnementaux du GA. Les résultats indiquent que l'analyse du GA uniquement sur la base de sa quantification massique est insuffisante pour identifier les points chauds reliés au GA dans une perspective d'éco-efficience, et donc, pour prendre des décisions éclairées en vue de sa réduction. L'impact de diverses SRGAs sur l'éco-efficience a ensuite été modélisé, ce qui a permis d'identifier les SRGAs les plus et les moins éco-efficientes à implanter dans le restaurant indépendant à l'étude. L'analyse de ces SRGA a fait ressortir quatre facteurs clés à considérer pour discerner des SRGAs à fort impact sur l'éco-efficience. Finalement, des entrevues ont été effectuées avec 16 restaurateurs dans le but d'explorer les facteurs affectant l'implantation de SRGAs en restauration indépendante. Les résultats ont mis en lumière que ces facteurs varient en fonction du type de restaurant et de ses caractéristiques. Ainsi, des approches préventive et corrective ont été suggérées pour favoriser l'implantation de SRGAs en fonction du type de restaurant dans une vision de maximisation de son éco-efficience. Ces travaux de recherche ont permis d'explorer un sujet fort d'actualité et n'ayant été étudié qu'en surface jusqu'à maintenant. Les résultats obtenus permettront d'appuyer les restaurateurs désireux d'implanter des SRGAs dans leur établissement en les guidant dans la priorisation de celles-ci dans une perspective d'éco-efficience. Il en ressortira ainsi une durabilité accrue pour ce secteur. / Reducing food waste (FW) plays a major role in achieving a sustainable food system, due to the considerable social, environmental and economic impacts associated with its generation. However, there is a lack of information on the impacts resulting from the implementation of food waste reduction strategies (FWRSs) on the eco-efficiency of restaurants, which hinders restaurateurs from adopting them. In addition, it is essential to identify FWRSs adapted to the different restaurants types so that they are realistic and easy to implement. This doctoral project first presents a case study of the FW generated in an independent restaurant and contribute to demonstrate the relevance of using an in-depth methodology for the quantification and categorization of the economic and environmental impacts of FW. The results indicate that the analysis of FW solely on the basis of its mass quantification is insufficient to identify FW hotspots from an eco-efficiency perspective, and therefore, to make informed decisions for its reduction. Then, the impact of various FWRSs on eco-efficiency was then modeled, which made possible to identify the most and least eco-efficient FWRSs to be implemented in the independent restaurant under study. The analysis of these FWRSs revealed four key factors to consider in order to discern the FWRSs s with a strong impact on the eco-efficiency. Finally, interviews were conducted with 16 restaurateurs to explore the factors affecting implementation of FWRSs in independent restaurants. The results revealed that these factors vary according to the type of restaurant and its characteristics. Thus, both preventive and corrective approaches were suggested to promote the implementation of FWRSs according to the restaurant type in a vision of maximizing its eco-efficiency. This research has made it possible to explore a highly topical subject that had until now only been studied on the surface. The results will contribute to supporting restaurateurs wishing to implement FWRSs in their establishments, by guiding them in the priorization of these FWRSs from an eco-efficiency perspective. This will result in increased sustainability for this sector.
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La gestion durable des réserves naturelles en zone montagnarde – Etudes de cas : La réserve naturelle des Hauts de Chartreuse (Alpes françaises) et la réserve naturelle de L'épicéa de résonance de Lăpuşna (Carpates Orientales).

Socol, Olga 11 February 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse se propose d'évaluer comment peut-on gérer durablement l'espace montagnard, de telle manière qu'on puisse assurer les impératives de protection et de conservation des éléments naturels par rapport aux besoins d'utilisation de cet espace par la population locale. Les deux études de cas de notre recherche ont un statut spécial dans cette problématique : il s'agit de deux réserves naturelles situées en zone montagnarde, les réserves naturelles L'épicéa de résonance de Lăpuşna (Carpates roumaines) et Les Hauts de Chartreuse (Alpes Françaises). Le point commun de ces deux réserves naturelles est le rôle primordial des écosystèmes forestiers : la réserve roumaine est un écosystème forestier d'intérêt européen et dans la réserve naturelle française, 45% de la surface totale est boisée avec des peuplements d'intérêt européen. Pour étudier ces réserves naturelles dans le cadre des territoires où elles sont inscrites nous avons utilisé deux méthodes : la première est celle du calcul de l'empreinte écologique pour évaluer si la demande en ressources de la population locale constitue une menace pour la biocapacité dont disposent les réserves naturelles étudiées et la deuxième consiste dans l'étude de l'accessibilité dans ces deux réserves naturelles en temps que principal facteur dont dépend le flux de visiteurs. La valeur de l'empreinte écologique des populations qui habitent à proximité de ces réserves naturelles rend visible la valeur de la pression humaine vers les ressources qui existent dans les réserves naturelles, car la consommation de ces populations peut dépasser la biocapacité qu'elles ont a leur disposition.
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Le toit comme outil de régulation environnementale : le cas montréalais

Azouz, Zoubeir 03 1900 (has links)
No description available.
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Ressources et populations, réflexions sur la notion de

Lavaud, Jacques 24 April 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse cherche à interroger un thème crucial et souvent interdit : le rapport entre surpopulation globale et réalisme écologique. En suivant une recherche multidisciplinaire, elle propose une réflexion sur l'effet conjoint de la consommation et de la dégradation des ressources tant renouvelables que non renouvelables, due à l'augmentation exponentielle de la population humaine. Par une approche initialement diachronique (étude de l'état de la Terre depuis le 15e siècle, où l'homme commence à avoir une idée de sa clôture et de sa finitude, sur un lieu défini (Haïti)), puis diatopique (étude de la situation dans divers pays aujourd'hui), et enfin diaculturelle (étude de diverses politiques de gestion des ressources et de leur impact écologique), elle dresse un bilan historique et comparatif des technologies et de leur rôle dans le phénomène de destruction de la biosphère. Elle aboutit à la proposition d'une Organisation Mondiale de la Population (OMP), une sorte d'instrument de gouvernance mondiale (comparable à l'OMS, l'OMC, etc.) élaborant des directives sur la gestion de l'évolution de la population terrestre. Elle finit par argumenter sur la nécessité d'une révision de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme au profit de quelque " Déclaration Universelle des Droits de l'Humanité ".

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