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Insertion par l'activité économique et gestion de la précarité l'exemple du dispositif des associations intermédiaires /

Balzani, Bernard Meyer, Jean-Louis. January 2003 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Sociologie : Nancy 2 : 2003. / Bibliographie.
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Accompagnement de projets personnels et professionnels de jeunes adultes non diplômés en entreprise d'insertion socioprofessionnelle

Pratte, Lise January 2017 (has links)
Cette thèse aborde la situation des jeunes adultes non diplômés au regard des conséquences du décrochage scolaire (chômage, pauvreté, exclusion sociale) et des diffi¬cultés que vivent ces jeunes au niveau de leur insertion socioprofessionnelle (Blaya, 2010; Bourdon, Bélisle, Garon, Michaud, van Caloen, Gosselin, Yergeau et Chanoux, 2009; Bourdon et Vultur, 2007; Statistique Canada, 2012, 2016; Supeno, 2013; Supeno et Bourdon, 2013; Trottier et Gauthier, 2007). Certaines de ces recherches ainsi que d’autres à travers le monde explorent les initiatives et les mesures mises en place pour contrer le décrochage scolaire et aider à l’insertion socioprofessionnelle de jeunes sans diplôme ou qualification (Organisation de coopération et de développement économiques [OCDE], 2011, 2013; Smink et Schargel, 2007). Notre recherche se situe en entreprises d’insertion socioprofessionnelle (Ladeuix, 2001; Quintero, 2011) où se retrouvent environ 2000 jeunes de 18 à 35 ans sans diplôme de cinquième secondaire (Comeau, 2011). Des cher¬cheurs soulignent que certains jeunes adultes non diplômés sont acteurs de leur processus d’insertion (Trottier et Gauthier, 2007; Vultur, 2005). Cependant, peu de recherches examinent spécifiquement les projets personnels (reliés à la famille, à la résidence et aux relations sociales) et professionnels (relatifs notamment au travail, à la formation, à l’orientation et à la préparation à l’emploi) de ces jeunes au sein de structures mises en place au Québec. Certaines recherches étudient les projets professionnels en milieu scolaire (Beaucher, 2004, Beaucher et Dumas, 2008) ou les trajectoires de ces jeunes (Boutinet et Pineau, 2002; Supeno et Bourdon, 2013). D’autres soulignent l’importance de l’accompagnement (Pierre, 2009), mais sans explicitations ni liens avec les projets de ces jeunes. La présente recherche vise donc l’exploration de l’accompagnement des projets personnels et professionnels de jeunes adultes non diplômés en contexte d’entreprises d’insertion socioprofessionnelle québécoises. Il s’appuie sur les construits que sont l’accompagnement (Paul, 2001, 2002, 2009) et le projet (Boutinet, 2005) et l’accompagnement des projets (Boutinet, 2007a) afin d’aider à leur insertion sociale et professionnelle (Dubar, 2007). La recherche recourt à des typologies issues de différentes disciplines, dont l’éducation et le monde du travail, puisque les entreprises d’insertion comprennent des activités en lien avec celles-ci (Quintero, 2011). La méthodologie s’appuie sur une stratégie d’étude de cas utilisant des entretiens semi-dirigés, des récits de vie et un journal de bord, permettant ainsi d’éclairer les projets personnels et professionnels des participants ainsi que les pratiques d’accompagnement de ces projets par divers intervenants au sein de ces entreprises. Les cas sont les 15 parti¬cipants ainsi que deux entreprises d’insertion faisant partie du Collectif québécois et ayant conclu des ententes avec le milieu scolaire pour l’obtention d’un diplôme. De plus, le compagnonnage et l’accompagnement par les pairs y sont apparus comme des pra¬tiques d’accompagnement distinctives. Ces résultats contribuent au développement des connaissances scientifiques sur l’accompagnement, les projets personnels et profession¬nels de ces jeunes et l’utilisation du récit de vie comme outil de collecte de données, le tout dans le contexte spécifique d’entreprises d’insertion socioprofessionnelle québécoises. Des pratiques d’accompagnement ont été discutées pour des intervenants, qu’ils proviennent du milieu de l’éducation, de l’intervention sociale, de l’orientation ou du milieu de travail. Ceci constitue une originalité dans les recherches puisqu’à notre connaissance, aucune recherche antérieure en milieu d’entreprises d’insertion socioprofessionnelle ne s’est inspirée, dans sa posture épistémologique, de l’apport de ces disciplines et n’a utilisé de construits de secteurs différents dans une optique d’apporter une richesse de résultats. Cependant, il aurait été intéressant d’obtenir les témoignages des intervenants, mais nous avons tenu à conserver l’originalité de donner la parole à des participants qui n’en ont pas souvent l’occasion. C’est donc un apport spécifique de cette recherche que constitue l’intérêt porté à l’opinion et à la vision des participants en tout premier lieu, donc le fait de donner la voix aux « sans parole » ou aux gens vulnérables et non seulement aux dirigeants, aux gestionnaires ou aux intervenants de ces milieux différents des entreprises traditionnelles, à la fois dans leur mission et leur fonctionnement. Notre recherche permet aussi une meilleure connaissance de ces initiatives que représentent les entreprises d’insertion socioprofessionnelle au Québec. Certains résultats pourraient aider également des praticiens de l’éducation, de l’orientation et de l’insertion, notamment, à mieux cibler leurs interventions en fonction des projets personnels et professionnels de ces jeunes et au plan de leur formation, une recommandation de stage en milieu d’entreprises d’insertion pour s’imprégner de ces structures et de leur double mission économique et d’insertion socioprofessionnelle (Trottier et Gauthier, 2007). Cette recherche peut également inciter des intervenants à devenir des intervenants-chercheurs et explorer encore plus en profondeur les modes d’accompagnement de ces jeunes adultes non diplômés et en situation de précarité ainsi que de mieux comprendre son milieu professionnel ou pour améliorer la qualité des services (Shaw et Lunt, 2011).
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Étude des contextes favorables à l'émergence d'entreprises de l'économie sociale visant l'insertion de personnes sans emploi /

Vachon, Gisèle. January 1998 (has links)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 1998. / Bibliogr.: f. [143]-152. Publié aussi en version électronique.
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Organizational dynamics of supported employment programs for people with severe mental illness

Menear, Matthew 13 April 2018 (has links)
La présente étude qualitative visait à mieux comprendre l'influence des dynamiques organisationnelles sur l'implantation des programmes de soutien à l'emploi (SE) pour personnes atteintes de problèmes de santé mentale graves au Québec. Les résultats démontrent la présence de deux coalitions en lien avec ces programmes, soit une reliée au secteur de la santé et une reliée au secteur de l'emploi. La vision qui chapeaute les services des acteurs de la santé en est une de rétablissement et leurs services adhèrent ·généralement aux principes du modèle ±Individual Placement and Support¿. Comme ces acteurs, les acteurs de la coalition d'emploi visent aussi l'intégration de leurs clients en emplois compétitifs. Par contre, leurs valeurs et croyances différentes et la nature de leurs partenariats influencent ces derniers à organiser leurs services différemment des acteurs de la santé. Ensemble, les deux formes de SE semblent répondre aux besoins variés des utilisateurs de services vocationnels.
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Le réseau comme organisation du travail en itinéranceh[ressource électronique] : le cas de la (ré)intégration socioprofessionnelle des femmes dans la ville de Montréal

Plamondon, Gabrielle 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire porte sur le réseau de services qui sous-tend les trajectoires de (ré)intégration socioprofessionnelle des femmes en situation d'itinérance. Puisque le réseau est traité comme une organisation du travail, notre objectif est de décrire comment le travail y est divisé, puis réuni par le biais de mécanismes de coordination. Leur mise à jour est particulièrement pertinente puisque la (ré)intégration socioprofessionnelle suppose l'existence d'une intervention globale et individualisée qui ne peut exister sans collaboration interorganisationnelle. Au travers des résultats colligés, nous remarquons que ce sont les ajustements mutuels conjoints – soit des échanges directs – qui sont les plus répandus dans le réseau. Ils impliquent plusieurs OBNL du secteur communautaire, mais également des acteurs provenant d'autres secteurs d'activités tels que le RSSS et le RESS. La division verticale du travail est aussi abordée afin de montrer le rôle prépondérant des bailleurs de fonds sur l'offre de service disponible dans le réseau. Finalement, nous étudions quelques-unes des tensions que nous avons répertoriées entre les acteurs, notamment la course au financement. Ce mémoire tente également d'évaluer l'impact que la spécificité de l'itinérance au féminin a sur les services offerts dans le réseau. Nous remarquons entre autres une concentration des services sur l'insertion sociale plutôt que sur l'intégration professionnelle. De plus, nous observons des défauts de collaboration entre les maisons d'hébergement pour femmes et les OBNL qui spécialisent leur offre de service en employabilité. Ces raisons, en plus des obstacles à l'emploi liés aux causes de l'itinérance au féminin et aux besoins des femmes en situation d'itinérance, font en sorte que celles-ci participent moins aux activités d'employabilité que leur contrepartie masculine. Mots-clés : réseau, intégration socioprofessionnelle, femmes en situation d'itinérance, organisation du travail, ajustements mutuels.--Mots-clés : réseau, intégration socioprofessionnelle, femmes en situation d’itinérance, organisation du travail, ajustements mutuels.
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La signification du travail des travailleurs handicapés embauchés dans les entreprises adaptées de la Capitale-Nationale

Corriveau, Marie-Ève 24 April 2018 (has links)
Nous vivons dans une société fondée sur le travail. Modelé par elle, l'individu est incité à remplir un rôle utile et reconnu et ce, par le travail. Mais qu'arrive-t-il lorsqu'un individu ne répond pas aux normes sociétales valorisant l'homme productif ? L'absence de travail peut créer un sentiment d'exclusion sociale. Ce sentiment s'explique par le fait que le travail occupe une place très importante dans notre société. Dans le cadre de ce mémoire, nous nous sommes intéressés aux personnes handicapées qui sont, souvent, dans une situation de non-emploi. Par contre, depuis les années 1970, le Québec tente d'intégrer socialement ces personnes qui sont davantage en situation d'exclusion. La société s'adapte et tente de répondre aux besoins de ce groupe. Ainsi, nous nous sommes intéressés aux entreprises adaptées puisqu'elles permettent à des gens en situation de handicap d'occuper un emploi à long terme. Nous avons cherché à comprendre ce qui incitait les personnes handicapées à travailler. Pour mener à bien ce projet, nous avons effectué des groupes de discussion pour étudier l'ethos du travail auprès des travailleurs handicapés embauchés dans les entreprises adaptées de la Capitale-Nationale. L'objectif général était de saisir l'ethos du travail selon la tradition sociologique héritée par Max Weber. Ainsi, nous voulions saisir la centralité, la finalité et l'attitude à l'égard des normes sociétales auprès de ces travailleurs. Concrètement, nous avons cherché à savoir si les ethos développés par Mercure et Vultur (2010) s'appliquaient aux travailleurs handicapés.
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La construction sociale d'une économie d'insertion au Québec : le cas des entreprises d'insertion sociale

Pierre, Alfred 12 1900 (has links)
Cette thèse analyse le processus par lequel les entreprises d’insertion tentent de neutraliser la situation d’exclusion des populations marginalisées. Il s’agit des individus souvent sans emploi, sans revenu et sans protection sociale qui se battent pour exister socialement. Ils sont diversement nommés et appréhendés par la théorie sociologique, soit en termes « d’inutiles au monde » ou de « désaffiliés », soit en termes de « personnes disqualifiées », de « rebuts humains » ou de « vaincus dans la lutte pour le capital symbolique », pour l’importance sociale. En accordant leur intérêt exclusivement à ces exclus et en transformant le revenu d’assistance sociale en salaire de travail, les entreprises d’insertion jouent, depuis les années 1980, un rôle crucial dans leur lutte pour l’existence sociale et les placent dans la lisière du travailleur et de l’assisté social pour les transformer et les insérer dans le marché du travail. Nous saisissons l’encastrement social et l’émergence de ces entreprises comme un vecteur d’inclusion sociale en lien avec la dépossession sociale qui s’opère par la montée du travail atypique, l’obligation d’activation sociale et le recul de la protection sociale pour comprendre ce qui se joue réellement dans ces organismes. À savoir, en quoi et comment leurs interventions permettent-elles de réhabiliter et de réinsérer les vaincus postfordistes dans le marché du travail ? Quelle est leur mission véritable ? S’agit-il d’une mission d’adaptation des travailleurs aux besoins du marché du travail, d’activation des prestataires potentiels de l’assistance sociale, de requalification des exclus ou de lutte contre l’exclusion et la pauvreté ? Nous inscrivant dans la continuité de Pierre Bourdieu pour qui « le monde social, armé de ce savoir, peut défaire ce que le monde social a fait », cette thèse interroge la mission de ces entreprises en rapport avec le mandat reçu d’Emploi-Québec dans la perspective de la théorie des champs de l’auteur. Laquelle perspective définit l’exclusion et l’insertion sociales comme la position occupée dans l’espace social, résultant du rapport des espèces de capital possédé à ses habitus, les dispositions sociales héritées de sa trajectoire sociale. Ce faisant, l’exclusion sociale reste et demeure un processus de dépossession sociale, c’est-à-dire de décapitalisation, la carence de ressources et pouvoirs nécessaires et indispensables à l’occupation et au maintien d’une position sociale donnée dans un champ. Dès lors, renverser l’exclusion sociale est bien possible et correspond à la mise en œuvre d’un processus de repossession sociale, c’est-à-dire de capitalisation ou de recapitalisation, entendue comme la dotation des exclus en ressources et pouvoirs nécessaires pour payer leurs droits d’entrée dans le champ, s’y investir et jouer le jeu. Nous considérons cet objet d’analyse en mettant en œuvre un double dispositif méthodologique. D’une part, nous avons donné la parole à des dirigeants et intervenants d’entreprises d’insertion qui ont accepté volontiers de nous parler de leurs récits de pratique, c’est-à-dire de ce qu’ils ont fait et font ordinairement avec les bénéficiaires. Ce qui permet de retracer les formes d’interventions pour comprendre ce qui se fait et se défait dans les entreprises afin de doter les bénéficiaires en capitaux nécessaires à leur insertion dans le marché du travail. D’autre part, nous avons donné la parole à des participants afin de comprendre les faits structurants de trois moments de leurs trajectoires sociale et professionnelle, les moments ante-parcours, in-parcours et post-parcours d’insertion. À partir d’un matériau de 69 entretiens en profondeur (36 avec des membres dirigeants et intervenants et 33 avec des participants et participantes), nous analysons la formation des travailleurs et travailleuses précaires et polyvalents, dotés d’un méta-capital. C’est le capital spécifique de ce sous-champ d’insertion, la production des habitus professionnels, devant fonctionner comme un capital à caractère général et universalisant, appelé « les compétences transférables ». Les portraits-types de bénéficiaires permettent ainsi de révéler en quoi le parcours d’insertion est propice pour l’évolution de leur trajectoire. / Abstract This thesis analyzes the process by which integration enterprises try to neutralize the exclusion of marginalized populations. These are individuals who are often unemployed, without income and without social protection who struggle to exist socially. They are variously named and understood by sociological theory, either in terms of "useless in the world" or "disaffiliated", or in terms of "disqualified persons", "human rejects" or "vanquished in the struggle for the world". By giving their interest exclusively to those excluded and by transforming the income from social assistance into working wages, integration enterprises have, since the 1980s, played a crucial role in their struggle for social existence and placed them on the fringes of society. We understand the social embeddedness and the emergence of these companies as a vector of social inclusion in connection with social dispossession which takes place through the rise of atypical work, the obligation of social activation and the decline in social protection to understand what is really going on in these organizations. Namely, how do their interventions make it possible to rehabilitate and reintegrate the defeated post-Fordists into the labor market? What is their real mission? Is it a mission of adapting workers to the needs of the labor market, activating potential social assistance providers, re-qualification of the excluded or the fight against exclusion and poverty? In line with Pierre Bourdieu for whom “the social world, armed with this knowledge, can undo what the social world has done”, this thesis questions the mission of these companies in relation to the mandate received from Emploi-Québec from the perspective of the author's field theory. This perspective defines social exclusion and inclusion as the position occupied in social space, resulting from the relationship of the capital possessed to its habits, the social arrangements inherited from its social trajectory. In doing so, social exclusion remains a process of social dispossession, that is to say of decapitalization, the lack of resources and powers necessary and essential to the occupation and maintenance of a given social position in a field. Therefore, reversing social exclusion is quite possible and corresponds to the implementation of a process of social repossession, that is to say of capitalization or recapitalization, understood as the endowment of the excluded with the necessary resources and powers to pay their entry fees to the field, invest in it and play the game. We demonstrate here this object of analysis by implementing a double methodological device. On the one hand, we gave the floor to managers and workers in integration enterprises who willingly agree to talk about their practices. This makes it possible to trace the forms of intervention in order to understand what is done and what is undone in companies in order to provide the beneficiaries with the capital necessary for their integration into the labor market. On the other hand, we gave the floor to participants to understand the structuring facts of three moments in their social and professional trajectories, the pre-journey, in-journey and post-integration moments. Using material from 69 in-depth interviews (36 with executive members and speakers and 33 with participants), we analyze the fabric of precarious and versatile workers, endowed with a meta-capital. It is the specific capital of this insertion sub-field, the production of professional habits, to function as a general and universalizing capital, called "transferable skills". The typical portraits of beneficiaries thus make it possible to reveal the opportunity of the integration process for the development of their trajectories.

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