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Un autre regard sur le sens du musée à partir d'une lecture phénoménologique-herméneutique de la rencontre de visiteurs avec des oeuvres d'art antiques

Bourdaleix-Manin, Anne-Laure January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Penser l'espace en philosophie de l’éducation : l'exemple de l'architecture scolaire

Létourneau, Marie-Claude 13 July 2021 (has links)
L’architecture scolaire au Québec est un domaine en plein essor : les nombreuses recherches récentes et les budgets ministériels s’y consacrant en font état. Malheureusement, les réflexions philosophiques d’envergure alliant espace et éducation demeurent à ce jour à constituer. Cela, malgré des besoins d’analyse criants, en raison des défis sociétaux, culturels, sociaux et éthiques portés par l’école et son espace. Notre objectif est donc de documenter le sujet dans une perspective philosophique, afin de préciser les éléments sur lesquels la réflexion liée à l’architecture scolaire doit s’appuyer. Pour ce faire, nous considérons certains encadrements ministériels, soit les compétences professionnelles, les obligations des enseignants et les missions de l’école. Afin de structurer un sujet vaste et pour l’instant « squelettique », nous avons choisi d’organiser notre propos à l’aide de quatre niveaux d’espace (de même qu’un type d’espace supplémentaire). Le premier niveau, l’espace conçu, a une fonction herméneutique : l’espace scolaire doit contenir des éléments significatifs, intégrés dès la conception architecturale de bâtiments « logogéniques ». Ce niveau d’espace contient également des impératifs éthiques : les préoccupations environnementales doivent enjoindre à la création d’espaces durables, qui procèdent d’une architecture située, « ménageant » le site et respectant l’écoumène. Le recours à une forme d’architecture vernaculaire, qui implique les habitants dans le processus de création, permet un nouage favorisant la collaboration, cruciale entre l’architecte et les différents acteurs (enseignants, élèves, familles, communauté, etc.). Cette proximité permet d’envisager l’architecte comme pédagogue, par son implication face aux compétences professionnelles ciblées (culturelle et éthique). Le deuxième niveau, l’espace représenté, concerne la constitution de la topogenèse, qui implique le corps, mais aussi une représentation occidentale tristement généralisée. Ce phénomène nécessite une décentration qui permet « d’appréhender » l’espace scolaire grâce à des éléments permettant de le libérer, soit le langage et le jeu. Cela nous encourage à proposer une forme de « nomadisme pédagogique », c’est-à-dire la présence de pratiques plus informelles et dynamiques. Le troisième niveau, l’espace vécu, s’appuie sur des distinctions bergsoniennes opposant la vision mathématique de l’espace à la notion de lieu. Cela nous permet de rendre compte de l’aspect qualitatif du lieu qu’est l’école, concourant au respect des sept obligations des enseignants, de même que des trois missions de l’école québécoise. Ce lieu, ni tout à fait privé, ni tout à fait public, doit être entrevu comme espace de socialisation. Le quatrième niveau, l’espace habité, vise les déterminations humaines fondamentalement ontologiques. Ce plus haut niveau d’espace est rendu possible par la faculté d’intuition, qui implique un rapport d’immédiateté à l’espace. L’aspect esthétique inspiré de Hölderlin, pour qui « l’homme habite en poète », nous permet de proposer l’école comme œuvre d’art, par transposition des quatre qualités de l’œuvre musicale, à savoir : la beauté, la pérennité, l’enseignement et la sincérité. Le dernier type d’espace présenté s’adjoint aux quatre niveaux proposés : il s’agit d’un espace partiellement transversal. Il est constitué par l’espace vicarial (non-lieu), qui engendre la déterritorialisation de l’école. Il importe donc que l’on prenne conscience des spécificités de l’espace scolaire, à savoir notamment la dimension critique, qui ne peut être accomplie par cet espace virtuel. / School architecture in Quebec is a soaring field: several recent researches and large governmental budgets can confirm it. Unfortunately, the major philosophical reflection needed about space and education still remain to be constituted. This, considering its possible societal, cultural, social and ethical impacts. My purpose is to document the subject in a philosophical way, with the intention of precising which elements have to be considered in order to think about school architecture. To do so, I analyze some governmental rules such as professional competencies, teachers’ obligations and school missions. To structure this huge subject, still “skeletal”, I chose to organize my work with four levels of space (and another type of space). The first level, designed space, has a hermeneutical function: school space must include significant elements and be designed “logogenically”. This level of space also includes ethical obligations: environmental concerns engage us to create sustainable spaces, which are built with a situated architecture, protecting sites and ecumene. Vernacular architecture, which involves dwellers in the creation process, allows a knotworking collaboration that is essential between the architect and all the actors (teachers, students, families, community, etc.). This close relation leads to consider the architect as a pedagogue, and to give him some responsibilities related to the targeted professional competencies (cultural and ethical). The second level, represented space, is about construction of a topogenesis, which uses body, but also an occidental representation of space sadly generalized. This phenomenon requires decentration to “apprehend” school space, liberating it with language and game. With this, I dare to propose a sort of “pedagogical nomadism”, that is to say more informal and dynamic practices. The third level, lived space, uses the bergsonian distinction that opposes the mathematical vision of space to that of a place. I can then consider the qualitative aspect of school as a place, respecting the seven teachers’ obligations and the three missions of Quebec schools. This place, neither completely private, nor completely public, can be seen as a space of socialization. The fourth level, dwelling, is about fundamentally ontological human determinations. This highest level of space is possible using intuition, which creates an immediate relation to space. The esthetical aspect, inspired by Hölderlin, who considers that “man dwells poetically”, leads me to propose school as an artwork, by transposing the four qualities of the musical work, namely beauty, sustainability, teaching and sincerity. The last type of space (vicarial space or nonplace) completes the four precedent levels. It is a partially transversal space, which causes deterritorialization of school. This means that specificities of physical school space, such as critical dimension (which cannot be accomplished by virtual space), have to be recognized.
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Serbes du Kosovo, Serbes ou Kosovars? : analyser le rôle de l’espace de vie dans la production des identifications au sein de quatre localités serbes au Kosovo

Fort, Emilie 16 January 2021 (has links)
Cette thèse a pour objectif d’analyser le processus de construction identitaire des populations serbes au Kosovo, en s’interrogeant spécifiquement sur le rôle de l’espace de vie dans la production et la réception des identifications produites par les institutions étatiques, religieuses et d’enseignements. Les cas d’étude sélectionnés — le quartier serbe d’Orahovac et le village de Velika Hoča, le village de Štrpce et celui de Gračanica — se distinguent par des configurations spatiales différentes qui nous permettent d’analyser plus directement l’incidence de ces espaces de vie sur la production des identités. Nous avons ici choisi les narratifs comme porte d’entrée pour appréhender le processus de co-constitution entre agent et structure, à partir duquel la construction identitaire est aujourd’hui généralement conceptualisée. À l’échelle de la structure, ce sont les narratifs institutionnels qui ont été étudiés comme producteurs de représentations. À l’échelle des agents, nous avons porté une attention particulière aux gens ordinaires et à la façon dont ceux-ci reçoivent et/ou produisent des identifications. Jusqu’à présent, peu de recherches ont porté attention à l’espace de vie des gens ordinaires dans le cadre du processus de construction identitaire. Cette recherche révèle pourtant que celui-ci agit comme un médiateur à la relation agent-structure et impacte la façon dont les individus reçoivent et produisent les identifications. En ce sens, cette thèse nous amène à souligner la distinction centrale entre narratif et représentation pour aborder la construction des identifications. Elle suggère également que les identifications sont principalement une question de degré. Considérant le rôle de l’espace de vie, il apparaît que celui-ci est à la fois producteur et produit des identifications individuelles, fournissant un exemple d’interaction entre agent et structure. Cette observation conduit à discuter les compréhensions trop rigides et objectives des espaces de vie, et la marginalisation des gens ordinaires et de leur performance dans l’analyse de la construction des identités collectives. / This thesis aims to analyze the process of identity building of Serbs population living in Kosovo by focusing on how the living environment impacts the production and reception of identification. For the purpose of this study, the cases were selected because of their distinguishing spatial configuration: the Serbs neighborhood of Orahovac, the village of Velika Hoča, the village of Gračanica and the village of Štrpce. In this research, we choose to address identity building through institutional and local narratives in order to examine the co-constitution process between agency and structure which is the current conceptual framework through which identity building is studied. So far, very few studies have questioned the impact of the living environment in this co-constitution process. However, this thesis reveals that the living environment mediates the agency-structure relation and impacts how individuals receive and produce identifications. We stress the need to distinguish between narrative and representation in order to study the identity building process. We also suggest that identifications are mostly a matter of degrees rather than a zero-sum process. The living environment appears both as a producer and a product of individual identification, thus being a good example of a structure-agency co-constitution. This thesis discusses the very rigid and objective comprehension of the living environments as well as the marginalization of ordinary people and the ways through which they perform collective identity.
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Nitshissituten : mémoire et continuité culturelle des Pessamiulnuat en territoires inondés

Gagnon, Justine 13 March 2019 (has links)
À partir des années 1950, la communauté innue de Pessamit voit son territoire ancestral radicalement bouleversé par l’intrusion de l’industrie hydroélectrique sur plusieurs des principales rivières qui le sillonnent. Culminant avec l’érection du célèbre barrage Manic-5 sur la rivière Manicouagan vers la fin des années 1960, cette période particulièrement florissante pour l’économie et la politique québécoises a ainsi contribué à l’attribution d’un caractère hautement symbolique à ces infrastructures bétonnées. Or, pour les Pessamiulnuat (les Innu.e.s de Pessamit), cette épopée industrielle a d’abord et avant tout signé la fin d’un mode de vie largement axé sur la navigation, si ce n’est la disparition de vastes territoires de chasse, sites culturels, sentiers de portages, etc. En l’absence de fouilles archéologiques ayant précédé la plupart des inondations, il n’est par conséquent resté de cet héritage que le souvenir qu’en conservent encore aujourd’hui ceux et celles ayant connu les rivières avant leur transformation. La thèse s’interroge sur le caractère intangible de cet héritage dorénavant ennoyé, puis sur les manières de le préserver et de le mettre en valeur, a posteriori. Au su de cette relation singulière liant la mémoire du territoire aux lieux et aux trajectoires qui la supportent et la rendent possible, il convient de s’interroger sur les voies qu’emprunte l’effort de rappel, alors même que ses référents disparaissent ou deviennent inaccessibles. Autrement dit, comment procède la réactivation de souvenirs à fortes composantes géographiques lorsque les lieux auxquels ceux-ci se rattachent n’existent plus dans leur forme matérielle? Y a-t-il quelque chose qui se transmet par-delà les ruptures historiques et culturelles, de sorte que la mémoire d’un lieu puisse être entretenue, sans nécessairement y avoir vécu ou y être passé ? Est-il même pertinent d’assurer à ces géographies d’autrefois une forme de pérennité ? Tablant sur les principes de la recherche-action et participative, la présente démarche s’est appuyée sur une série d’outils favorisant la collaboration avec le Conseil des Innus de Pessamit, tout en assurant des retombées concrètes pour les membres de la communauté. En plus des entretiens semi-dirigés réalisés auprès des Pessamiulnuat, des activités de cartographie participative ont été menées, alors que la tenue d’une exposition au Centre communautaire Ka Mamuitunanut a fait office de stratégie de diffusion et de validation des résultats préliminaires. Empruntant les sentiers que recomposent sans cesse les souvenirs de ceux et celles ayant navigué sur les rivières avant qu’elles ne soient harnachées, cette thèse met en lumière les particularités d’un patrimoine du « quotidien », profondément enraciné dans la culture de la navigation. Elle démontre à cet égard que l’effort de rappel, nécessaire dans la création des savoirs géographiques, rend par le fait même leurs composantes vivantes et pérennes, ce même longtemps après que les entités auxquelles elles réfèrent aient disparu. Elle s’intéresse en outre aux dernières avancées en matière de cartographie culturelle et critique pour supporter les pratiques mémorielles, puis aux stratégies commémoratives les plus adéquates pour révéler l’esprit de lieux radicalement transformés. Ainsi, les résultats obtenus ont servi de tremplin vers des initiatives très concrètes de mobilisation des connaissances et de mise en valeur patrimoniale, assurant à cet héritage intangible une inscription spatiale garante d’une plus grande visibilité. La conception d’une infrastructure informative (belvédère) a en effet permis d’interroger les catégories et les postulats propres à la gestion patrimoniale, révélant la nécessité, pour les Pessamiulnuat, de faire de ce patrimoine largement transformé un espace vivant, habité et utilisé dans le temps présent. Ces constats ont enfin jeté les bases d’une réflexion critique quant au rôle de la mémoire dans la construction et la documentation du passé, de même que dans la continuité culturelle, des éléments constitutifs de la reconnaissance des droits ancestraux autochtones au Canada. Les différents chapitres fournissent ainsi des clés d’analyse souvent négligées pour appréhender les tensions sous-jacentes à cette reconnaissance, qu’il s’agisse de l’opposition réductrice entre les patrimoines matériel et immatériel, ou encore de la tension persistante entre des recours au passé fondés sur l’écriture et la tradition orale. Alors que les preuves d’occupation du territoire et les stratégies d’affirmation culturelle sont au coeur des négociations et des revendications territoriales menées par les communautés innues du Québec, la question de la valorisation d’un patrimoine géoculturel invisibilisé par le développement hydroélectrique devient pour ainsi dire déterminante. Car le travail de mémoire constitue en définitive un impératif de justice. Mots-clés: Paysages ennoyés; patrimoine intangible; territoires autochtones; Innu.e.s de Pessamit; développement hydroélectrique; lieux de mémoire; continuité culturelle; justice spatiale; cartographie. / Beginning in the 1950s, the Innu community of Pessamit saw its ancestral land radically transformed by the intrusion of the hydroelectric industry on several of its major rivers. Culminating with the erection of the well-known Manic-5 dam on the Manicouagan River in the late 1960s, this flourishing period for Québec's economy and its political affirmation contributed to the highly symbolic character to these infrastructures. However, for the Pessamiulnuat (the Innus of Pessamit), this industrial endeavor has first and foremost brought about the end of a way of life relying largely on navigation, along with the disappearance of vast hunting grounds, cultural sites, portage trails, etc. In the absence of any archaeological surveys preceding the floods, what remains of this geocultural heritage are the memories of those who navigated the rivers before their transformation. This research project explores the now intangible nature of this flooded heritage, as well as the ways to preserve and enhance it, a posteriori. Drawing on the singular relationship linking memory to places and trajectories, it seems relevant to question the various paths memory – and the remembering process – take when those geographical bearings disappear or become inaccessible. In other words, how can the awakening of memories deeply intertwined with places and landscapes take place when these geographical features no longer exist in their tangible form? Furthermore, is there something that can be transmitted beyond historical and cultural disruptions, so that the memory of a place can be maintained, without necessarily having lived or been there? Is it even relevant to ensure a form of continuity for these past geographies? Based on participatory action research principles, this project relied on a variety of tools that promoted a deep collaboration with the Innu Council of Pessamit, while providing tangible benefits to the community members. In addition to semi-directed interviews that have been conducted with the Pessamiulnuat, participatory mapping activities were used, whereas the creation of an exhibition at the Ka Mamuitunanut Community Center served as a strategy for disseminating and validating preliminary results. Following the trails of memories shared by those who navigated the rivers before they were harnessed, this dissertation highlights the specificities of a « daily practice » heritage, deeply rooted in a navigational culture. It demonstrates that the remembering process, as part of geographical knowledge acquisition, renders its components alive and sustainable, even long after the places they refer to have disappeared. This dissertation also addresses the scope and opportunities recent advances in cultural and critical cartography may offer to support the remembering process, as well as to represent its visual components. Furthermore, it focuses on commemorative strategies that can reveal the spirit of places which have been drastically transformed. In fact, the research outcomes served as a starting point for very concrete knowledge mobilization initiatives and heritage preservation activities, aiming to provide this intangible patrimony a spatial inscription, guaranteeing greater visibility. The design of an informative platform (belvedere) allowed us to question the categories and assumptions promoted by heritage management institutions, revealing the need for the Pessamiulnuat to turn this largely transformed heritage into a living, inhabited and used space in the present time. These observations lay the foundations for a critical reflection on the role of memory in the construction and documentation of the past, along with cultural continuity, which are at the foundation of Aboriginal rights recognition in Canada. This dissertation thus provides analytical keys that are often overlooked in order to grasp the tensions underlying this recognition, be it the reductive opposition between tangible and intangible heritage, or the persistent tension between writing and oral traditions. Since proof of land use and Indigenous cultural affirmation strategies are at the heart of the negotiations and land claims led by the Innu communities of Quebec, the enhancement of such an invisibilized geocultural heritage is key. For memory work is ultimately a question of justice. Keywords: Flooded landscapes; intangible heritage; Indigenous lands; Innus of Pessamit; hydroelectric development; place of memory; cultural continuity; spatial justice; mapping.

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