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Housing in medieval and post-medieval Greece /

Sigalos, Eleftherios, January 2004 (has links)
Th. Ph. D.--Archaeology--University of Leiden, 2004. / Bibliogr. p. 157-171. Glossaire. Index.
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Vernaculaire moderne? : vers une compréhension de la notion d'architecture vernaculaire et de ses liens avec la modernité architecturale

Bisson, Marie-France January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire de maîtrise a pour but l'exploration de la notion d'architecture vernaculaire afin d'établir si une architecture vernaculaire moderne est concevable et quels sont les objets qu'elle qualifie. L'intérêt d'une telle recherche est issu de préoccupations liées à la documentation, et possiblement à la conservation, d'une architecture moderne actuellement négligée par les différentes instances à l'oeuvre pour la sauvegarde de l'architecture. L'exploration de la notion de vernaculaire en architecture passe en premier lieu par une recherche étymologique qui permet de dater les premières incursions du mot dans les discours sur l'architecture en Angleterre. L'évolution de la définition est ensuite suivie au travers les textes d'auteurs anglo-saxons reconnus pour leurs études sur l'architecture vernaculaire. L'examen des différentes méthodologies et des objets étudiés par ces auteurs majoritairement issu des sciences humaines démontre que l'architecture moderne est exclue de leurs recherches jusque dans les années 1980 environ. L'apport des architectes, des historiens de l'art et des critiques n'est pas non plus pris en compte par ceux qui s'intéressent au vernaculaire. Afin de comprendre le lien qui peut unir vernaculaire et modernité, ces textes de spécialistes liés à l'art et à l'architecture sont ensuite étudiés et nous dévoilent que l'architecture vernaculaire fut pour eux une source d'inspiration dans la conception et la compréhension d'une architecture moderne. Toutefois, leurs objets d'études sont différents de ceux qu'étudient les spécialistes du vernaculaire. De cette seconde exploration ressort que par leurs préoccupations, les critiques, historiens de l'art et architectes ont non seulement contribué à introduire de nouveaux objets dans le corpus de l'architecture vernaculaire, mais ils ont oeuvré à les insérer dans l'histoire de l'architecture qui les négligeait traditionnellement. La notion d'architecture vernaculaire apparait liée à la définition d'une architecture moderne. Ces deux idées ne sont donc pas antinomiques. La mise en relation des différentes démarches d'auteurs étudiés au sein de ce mémoire permet de constater que la définition du mot vernaculaire n'est pas établie en fonction d'un objet précis ou de caractéristiques immuables. Sa définition renvoie plutôt à une idée dynamique, liée à l'écriture de l'histoire de l'architecture. Ainsi, les objets appelés vernaculaires changent en fonction de la méthodologie de l'auteur dans sa recherche ou de son point de vue sur l'histoire de l'architecture. Ce constat renvoie d'ailleurs aux définitions des dictionnaires qui associent l'adjectif vernaculaire à des concepts tels que « monumental » et « style ». Depuis les années 1980, des auteurs d'horizons différents en appellent à un renouvellement de l'histoire de l'architecture, au moyen de l'exploration de thèmes socioéconomiques qui sont le plus souvent associés à l'architecture vernaculaire. En somme, la notion de vernaculaire ne peut être un outil à la conservation ou la documentation d'une architecture moderne qui ne soit pas monumentale. Toutefois, répondre aux questions que son étude soulève, permettrait de mieux cerner l'objet de l'histoire de l'architecture et l'objet de la sauvegarde. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Architecture, Vernaculaire, Moderne, Modernité, Histoire de l'architecture.
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Architect Henri Maclaine Pont : een speurtocht naar het wezenlijke van de Javaanse architectuur /

Leerdam, Ben F. van, January 1900 (has links)
Proefschrift--Bouwkunde--Technische universiteit Delft, 1995. / Titre au dos : "Architect Maclaine Pont" Résumés en anglais et en bahasa indonesia. Bibliogr. p. 181-193.
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Typologie de la maison traditionnelle à cour en Corée et adaptation des changements /

Kim, Hyung-Woo. Unknown Date (has links)
Th. 3e cycle--Archictecture domestique--Paris-Villemin, 1988. / Thèse dactylographié d'un exemplaire officiel.
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Charte de protection de l'habitat traditionnel créole guyanais.

Bourgeois, Marc, January 2006 (has links)
Texte remanié de: Magistère--Génie de l'aménagement--École polytechnique de l'Université de Tours, 2006. / Bibliogr. f. 72-73.
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Imaginaire du passé et pensée du monde moderne : processus de médiatisation chez Albert Laprade, architecte / Imaginary of the past and thinking in the moderne world : the mediatization process in Albert Laprade's work, architect

Rosset, Claire 17 September 2018 (has links)
Le débat architectural du début du XXe siècle semble sous-tendu par les oppositions entre les tenants d'une tradition comme transmission historique ou régionale et ceux d'une modernité comme revendication de la tabula rasa. Mais si la modernité « intervient comme une coupure entre le passé et l'avenir […], elle assure aussi la jonction qui permet au passé de s'enrichir et à l'avenir de se souvenir » (Gasselin, 2007). Elle peut ainsi être observée dans les rapports qu'elle entretient avec la tradition, l'intérêt pour les cultures traditionnelles et vernaculaires s'amplifiant simultanément à l'émergence de la modernité architecturale. La thèse interroge les processus de fabrication qui permettent à l'architecte de construire une idée de la modernité architecturale qui se réclame de la tradition. Les enjeux de reconstruction après les guerres mondiales radicalisent les débats, conférant à la presse et aux grandes expositions internationales des rôles stratégiques de diffusion des idées. Les architectes en sont les acteurs principaux. En considérant l'architecture dans toutes ses dimensions de production (édifiée, représentée, écrite et publiée), nous formulons l'hypothèse qu'elle peut être analysée comme médium (c'est-à-dire comme support d'un message) et comme média (c'est-à-dire comme vecteur de communication). Par ailleurs, nous supposons que dans le processus de publication l'architecte fabrique simultanément un imaginaire du passé et une pensée du monde moderne. Nous identifions trois mouvements dans le processus de fabrication de cette pensée de la modernité. Dans un premier temps, nous nous intéresserons au passage de l'architecture édifiée à l'architecture représentée en interrogeant la capacité des architectes à construire des filiations historiques et/ou géographiques, notamment à partir de l'observation de l'existant. Dans un deuxième temps, nous analyserons les relations entre architecture édifiée et architecture publiée en considérant, comme Beatriz Colomina, que le média imprimé permet un « nouveau contexte de production, existant en parallèle au terrain de construction » (Colomina, 1988). Enfin, en étudiant le passage de l'architecture publiée à l'architecture racontée, nous interrogerons le rôle des espaces de publication dans les processus de mise en récit de l'architecture. Afin de conduire cette étude, nous nous appuyons sur la production de l'architecte Albert Laprade (1883-1978). Acteur sur la scène architecturale moderne, il va participer également à la reconnaissance de l'architecture traditionnelle. La diversité de sa production nous permet de constituer un corpus édifié, dessiné et écrit qui s'élabore à partir de la forme publiée de son travail : articles parus sur sa production bâtie (publiés par d'autres architectes),articles écrits par Albert Laprade (presse professionnelle ou non),ouvrages de l'architecte tels que les Albums de croquis. / In the early XXth century, the architectural debate in France seems underpinned by the opposition between the proponents of a tradition, as historical or regional transmission, and those of modernity, as a claim of tabula rasa. But if modernity “comes as a cut between past and future […]”, it also ensures the junction that allows the past to enrich itself and the future to remember” (Gasselin, 2007). Thus, tradition can be observed through its relations with tradition, as the interest in traditional or vernacular cultures amplifies simultaneously with the emergence of architectural modernity. The PHD examines the manufacturing processes that allow the architect to build an idea of architectural modernity that claims of tradition.Reconstruction issues after the World Wars radicalized the debate, giving the press and international exhibitions a strategic role of dissemination of ideas, the architects being the main players. Considering architecture in all its production aspects (built, represented, written and published), we hypothesize that it can be analysed as a medium (that is to say, a carrier of a message) and as a media (that is to say, a communication vector). Furthermore, we assume that in the process of publishing, the architect simultaneously produces an imaginary past and a thinking of the modern world.We identify three movements in the manufacturing process of the thought of modernity. First, we will look at the transition from built architecture to represented architecture by querying the architects ability to build historical and / or geographic affiliations, especially from the observation of the existing. Secondly, we analyse the relationship between built architecture and published architecture, considering, as Beatriz Colomina, that the print media enables a “new context of production, existing in parallel to the construction site” (Colomina, 1988). Finally, studying the transition of published architecture to narrated architecture, we will question the role of publication spaces in the architecture storytelling process.To conduct this study, we rely on the production of the architect Albert Laprade (1883-1978). Player on the modern architectural scene, he participated in the recognition of traditional architecture. The diversity of its production allows us to establish a corpus, built, designed and written, that develops from the published form of his work:articles about his builts (published by other architects)articles written by Albert Laprade (trade press or not)books published by the architect as his Albums de croquis.
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Les commerces kitsch exotiques au Québec : reconnaissance et sauvegarde d'un nouveau patrimoine

Arsenault, Roxanne 09 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire a été réalisé en réaction à la rapide disparition des commerces à thématiques kitsch exotiques au Québec. Puisque ces lieux reçoivent habituellement peu de considération, et qu'ils sont souvent pris pour acquis, aucune forme d'histoire n'a été réalisée pour la plupart d'entre eux, rendant ainsi difficile leur appropriation collective. Nous sommes conscients que ce sujet mériterait probablement une recherche et un document plus exhaustif, mais espérons tout de même établir ici une base qui nous mènera à un approfondissement du sujet. Le corpus exploré se divise en deux catégories : les endroits ayant un décor kitsch exprimé à travers une thématique exotique internationale et ceux ayant une thématique exotique vernaculaire. Les commerces ciblés se sont établis entre 1950 et 1980, majoritairement à Montréal, ainsi que des exemples dispersés à travers la province. Puisque le sujet est peu documenté, des méthodes de travail moins traditionnelles ont été développées pour l'identification des lieux et de leur histoire, telles que la recherche de terrain, le dépouillement de guides touristiques et l'enquête orale. Afin de mieux comprendre de quelle façon nous utilisons les termes kitsch et exotisme, nous explorerons ces notions dans un premier chapitre. Le corps du travail tend à présenter les diverses catégories de kitsch exotique, leur contexte d'émergence et des exemples de commerces représentatifs. En guise de conclusion, nous explorons les problématiques à une éventuelle reconnaissance patrimoniale, les actions concrètes à poser, ainsi que les valeurs à considérer en vue d'une possible patrimonialisation. Avec cette recherche, nous avons pu identifier plus d'une centaine de lieux divisés sous plusieurs styles exotiques. Suite à ces résultats, immerge l'existence tangible d'une tradition de lieux immersifs dans lesquels les stéréotypes culturels sont à l'honneur. En examinant les cadres d'évaluation patrimoniaux actuels, nous pouvons mieux saisir en quoi l'éventuel travail de reconnaissance consistera afin de préserver les derniers témoins d'une tradition kitsch exotique québécoise. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : kitsch, exotisme, patrimoine, Montréal, Québec, commerces, 1950, 1960, 1970
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Cultures constructives vernaculaires et résilience : entre savoir, pratique et technique : appréhender le vernaculaire en tant que génie du lieu et génie parasinistre / Vernacular building cultures and resilience : knowledge, practice and technique : apprehending vernacular as genius loci and disaster resilient ingenuity

Caimi, Annalisa 08 April 2014 (has links)
Dans les régions exposées à des aléas naturels, une large partie des bâtiments composant l'environnement construit sont réalisés presque exclusivement sur la base de l'expérience et de l'observation des bâtisseurs locaux, sans l'appui d'un architecte ou d'un ingénieur. Les communautés installées dans ces zones ont développé, au fil du temps, une multitude de stratégies pour co-habiter avec ces phénomènes, incluant des comportements sociaux et des approches de construction visant à prévenir et/ou à limiter l'exposition du bâti et de ses habitants. En fait, les constructeurs ont souvent intégré la présence et les caractéristiques locales des aléas naturels dans leurs pratiques quotidiennes, élaborant des détails et des dispositions constructives particulières pour réduire la vulnérabilité des artefacts et du milieu bâti. Le concept de culture constructive embrasse la dimension sociale et technique de l'acte de construire et du processus d'élaboration des savoirs et savoir-faire qui lui sont inhérents, reflétant intrinsèquement la multiplicité des sociétés humaines et leur enracinement indissoluble au territoire qu'elles habitent. Le vernaculaire en tant que caractérisation des modes de bâtir, d'habiter et de se protéger se révèle par ce fait une source précieuse de pratiques, techniques et mesures, testées au cours des siècles et des multiples aléas, pour la construction d'environnements bâtis durables, accessibles et sûrs. Ce travail de recherche explore le potentiel présenté par les cultures constructives vernaculaires dans le renforcement de la résilience locale. Et cela à partir des pratiques - constructives et comportementales - développées par les populations, groupes et individus habitant des contextes géographiquement exposés à des aléas naturels. Se fondant sur une forte interaction entre la théorie et la pratique, cette recherche entame une (re)découverte de l'ingéniosité intrinsèque à ces savoirs par le développement de deux axes thématiques. L'un investigue les dispositions et les dispositifs vernaculaires à caractère parasinistre ayant démontré leur efficacité à réduire la vulnérabilité de l'environnement construit envers différents types d'aléas naturels. L'autre axe questionne les modalités de leur identification et contribution directe au renforcement des capacités de populations et institutions dans la gestion des crises. À une analyse technique s'associe l'élaboration d'un outil méthodologique soutenant la mise en place d'une démarche de projet s'ancrant fortement aux spécificités contextuelles selon une logique de continuité, tant culturelle que de pratique, entre passé et futur, entre préparation et réponse aux catastrophes. / In areas prone to natural hazards, many of the buildings that make up the built environment are constructed almost exclusively through the experience and the direct observation of local builders, without the support of any architect or engineer. In these regions, communities have developed over time a variety of strategies to cope with natural phenomena through patterns of social behaviours and building approaches intended to prevent and/or to reduce their exposure to local risks. Similarly, local builders have often integrated natural hazards into their daily practices, developing singular techniques, building details or devices aiming to reduce the vulnerability of the built environment. The concept of building culture embraces the social and technical aspects related to the construction process and to the development of corresponding knowledge and know-how, intrinsically reflecting the multiplicity of human societies and their indissoluble connection with the territories they inhabit. The vernacular as characterization of ways of building, living and protecting oneself proves to be a valuable source of practices, techniques and measures, tested over the years and during multiple hazards, for contemporary construction of sustainable, accessible and safe built-environments. This research explores the potential of vernacular building cultures in enhancing local resilience; and this starting from - constructive and behavioural – practices developed by individual people and groups living in contexts geographically exposed to natural hazards. Based on a strong interaction between theory and action, this research undertakes a (re)discovery of vernacular knowledge through two thematic focuses. One examines disaster resilient vernacular provisions and devices which have demonstrated their effectiveness to reduce vulnerability of the built environment to various types of natural hazards. The other one considers ways for their identification and direct contribution to strengthening capacities of communities and institutions for disaster risk management. This research combines a technical analysis with the development of a methodological tool, contributing to set up a project approach strongly rooted into contextual specificities, linking culture and practice, past experience and future needs, disaster response and preparedness.
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La cabane revisitée : réhabilitation de l'architecture vernaculaire irlandaise (XVIIe-XIXe siècles) / The cabin revisited : a rehabilitation of Irish vernacular architecture (17th-19th centuries)

Mullane, Fidelma 17 December 2010 (has links)
Tout au long de l’histoire coloniale, les habitations des classes irlandaises les plus modestes, les cabanes, furent décrites par les étrangers, Anglais pour la plupart, comme étant des constructions plus que médiocres, preuves de la nature « sauvage » et « barbare » des indigènes. Le caractère enfumé, le toit de chaume, le tas de fumier, et la cohabitation entre humains et animaux, ont été interprétés à partir de préjugés et de stéréotypes raciaux et non pas explicités en tant qu’expressions de conditions économiques, sociales, politiques ou environnementales. La thèse démontre que ces techniques vernaculaires observées au sein des habitations et autres constructions, telles que, l'enfumage et l'imprégnation de suie au niveau des murs en tourbe et des toits, avaient une raison d’être : ces pratiques étaient destinées à créer des matériaux capables d’enrichir le sol. La façon dont les matériaux étaient utilisés, le savoir-faire et la qualité de la transmission, désignés dans cette thèse sous le terme de « métis », ne fait que mettre en valeur la sagesse des autochtones capables de susciter des stratégies nécessaires à la survie. La réorientation des modèles architecturaux vernaculaires permettra d’établir une nouvelle définition de la construction traditionnelle pour aboutir à une approche reconfigurée et plus inclusive ainsi qu'à une meilleure compréhension de ses dimensions historiques et ethnographiques. Cette reconfiguration des études interdisciplinaires, ouverte aux différents paradigmes, inclurait la sagesse de la tradition. Ceci changerait la manière dont l’architecture vernaculaire pourrait être étudiée, gérée et réévaluée. / Taking the Irish cabin as object, this thesis deconstructs the outsider accounts and their contribution to a negative interpretation of such, particularly within the context of postcolonial scholarly literature. Such outsider accounts have an added significance in scholarship in so far as they retained a strict uniformity even while other formal studies changed perspective. This reveals certain ideological assumptions which are examined. The collision between the imposition of a dominating knowledge and practices drawn from indigenous wisdom is examined through the prism of descriptions and interpretations of materials and labour in specific ecological and economic contexts. A case study in the Claddagh village in the West of Ireland examines these contradictions in detail. The survival of such outsider accounts has had its consequence in contemporary constructions as to the meaning and function of the vernacular house. The recovery of the Irish cabin as an object of study within vernacular architecture must be achieved within a context of examining clearance, changes in housing and the major restructuring of economy and society occasioned by the Great Famine. The recovery of a proper account of their function as perceived by those who lived in such habitations in the rural economy is central to this thesis.
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Penser l'espace en philosophie de l’éducation : l'exemple de l'architecture scolaire

Létourneau, Marie-Claude 13 July 2021 (has links)
L’architecture scolaire au Québec est un domaine en plein essor : les nombreuses recherches récentes et les budgets ministériels s’y consacrant en font état. Malheureusement, les réflexions philosophiques d’envergure alliant espace et éducation demeurent à ce jour à constituer. Cela, malgré des besoins d’analyse criants, en raison des défis sociétaux, culturels, sociaux et éthiques portés par l’école et son espace. Notre objectif est donc de documenter le sujet dans une perspective philosophique, afin de préciser les éléments sur lesquels la réflexion liée à l’architecture scolaire doit s’appuyer. Pour ce faire, nous considérons certains encadrements ministériels, soit les compétences professionnelles, les obligations des enseignants et les missions de l’école. Afin de structurer un sujet vaste et pour l’instant « squelettique », nous avons choisi d’organiser notre propos à l’aide de quatre niveaux d’espace (de même qu’un type d’espace supplémentaire). Le premier niveau, l’espace conçu, a une fonction herméneutique : l’espace scolaire doit contenir des éléments significatifs, intégrés dès la conception architecturale de bâtiments « logogéniques ». Ce niveau d’espace contient également des impératifs éthiques : les préoccupations environnementales doivent enjoindre à la création d’espaces durables, qui procèdent d’une architecture située, « ménageant » le site et respectant l’écoumène. Le recours à une forme d’architecture vernaculaire, qui implique les habitants dans le processus de création, permet un nouage favorisant la collaboration, cruciale entre l’architecte et les différents acteurs (enseignants, élèves, familles, communauté, etc.). Cette proximité permet d’envisager l’architecte comme pédagogue, par son implication face aux compétences professionnelles ciblées (culturelle et éthique). Le deuxième niveau, l’espace représenté, concerne la constitution de la topogenèse, qui implique le corps, mais aussi une représentation occidentale tristement généralisée. Ce phénomène nécessite une décentration qui permet « d’appréhender » l’espace scolaire grâce à des éléments permettant de le libérer, soit le langage et le jeu. Cela nous encourage à proposer une forme de « nomadisme pédagogique », c’est-à-dire la présence de pratiques plus informelles et dynamiques. Le troisième niveau, l’espace vécu, s’appuie sur des distinctions bergsoniennes opposant la vision mathématique de l’espace à la notion de lieu. Cela nous permet de rendre compte de l’aspect qualitatif du lieu qu’est l’école, concourant au respect des sept obligations des enseignants, de même que des trois missions de l’école québécoise. Ce lieu, ni tout à fait privé, ni tout à fait public, doit être entrevu comme espace de socialisation. Le quatrième niveau, l’espace habité, vise les déterminations humaines fondamentalement ontologiques. Ce plus haut niveau d’espace est rendu possible par la faculté d’intuition, qui implique un rapport d’immédiateté à l’espace. L’aspect esthétique inspiré de Hölderlin, pour qui « l’homme habite en poète », nous permet de proposer l’école comme œuvre d’art, par transposition des quatre qualités de l’œuvre musicale, à savoir : la beauté, la pérennité, l’enseignement et la sincérité. Le dernier type d’espace présenté s’adjoint aux quatre niveaux proposés : il s’agit d’un espace partiellement transversal. Il est constitué par l’espace vicarial (non-lieu), qui engendre la déterritorialisation de l’école. Il importe donc que l’on prenne conscience des spécificités de l’espace scolaire, à savoir notamment la dimension critique, qui ne peut être accomplie par cet espace virtuel. / School architecture in Quebec is a soaring field: several recent researches and large governmental budgets can confirm it. Unfortunately, the major philosophical reflection needed about space and education still remain to be constituted. This, considering its possible societal, cultural, social and ethical impacts. My purpose is to document the subject in a philosophical way, with the intention of precising which elements have to be considered in order to think about school architecture. To do so, I analyze some governmental rules such as professional competencies, teachers’ obligations and school missions. To structure this huge subject, still “skeletal”, I chose to organize my work with four levels of space (and another type of space). The first level, designed space, has a hermeneutical function: school space must include significant elements and be designed “logogenically”. This level of space also includes ethical obligations: environmental concerns engage us to create sustainable spaces, which are built with a situated architecture, protecting sites and ecumene. Vernacular architecture, which involves dwellers in the creation process, allows a knotworking collaboration that is essential between the architect and all the actors (teachers, students, families, community, etc.). This close relation leads to consider the architect as a pedagogue, and to give him some responsibilities related to the targeted professional competencies (cultural and ethical). The second level, represented space, is about construction of a topogenesis, which uses body, but also an occidental representation of space sadly generalized. This phenomenon requires decentration to “apprehend” school space, liberating it with language and game. With this, I dare to propose a sort of “pedagogical nomadism”, that is to say more informal and dynamic practices. The third level, lived space, uses the bergsonian distinction that opposes the mathematical vision of space to that of a place. I can then consider the qualitative aspect of school as a place, respecting the seven teachers’ obligations and the three missions of Quebec schools. This place, neither completely private, nor completely public, can be seen as a space of socialization. The fourth level, dwelling, is about fundamentally ontological human determinations. This highest level of space is possible using intuition, which creates an immediate relation to space. The esthetical aspect, inspired by Hölderlin, who considers that “man dwells poetically”, leads me to propose school as an artwork, by transposing the four qualities of the musical work, namely beauty, sustainability, teaching and sincerity. The last type of space (vicarial space or nonplace) completes the four precedent levels. It is a partially transversal space, which causes deterritorialization of school. This means that specificities of physical school space, such as critical dimension (which cannot be accomplished by virtual space), have to be recognized.

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